Définitivement, cette histoire d’écriture inclusive vire plus au pugilat qu’au débat linguistique. D’un côté, les opposants, de l’autre les partisans. Et le chant diffère selon que l’on se tienne devant ou derrière la barricade. Dernière sortie en date, celle du Premier ministre Édouard Philippe, qui suit son collaborateur de l’Éducation nationale : pas d’écriture inclusive dans les textes officiels.