Sarah Beattie, Tim Seeley, Seeley Beattie, Rebekah Isaacs

Jeanette Winterson, La Faille du temps

Le jury du Prix [du métro] Goncourt 2019, présidé par Francis Tabouret, lauréat de l'année dernière, a désigné Estelle-Sarah Bulle lauréate de la récompense pour son livre Là où les chiens aboient par la queue, publié par les éditions Liana Levi.

Estelle-Sarah Bulle — Là où les chiens aboient par la queue

Waterstones connaît une période difficile, comme nombre de librairies. C'est peut-être l'une des raisons du départ de Sarah Clarke, directrice des relations avec les éditeurs, vers l'éditeur Pan Macmillan. Une information relayée par The Bookseller. 

Ça n'en finit pas entre Sarah Palin et son vrai-faux biographe : si la belle réfléchit sérieusement à porter plainte contre celui qui a déballé toute sa vie privée, l'éditeur qui a publié l'ouvrage serre les dents et les coudes, avec son auteur.

C'est l'une des intégristes les plus antipathiques de la planète, et surtout ancienne gouverneure de l'Alaska les plus en vogue dans le monde de l'édition. Sarah Palin, colistière des présidentielles américaines de 2008 a décidé de lancer un nouveau livre touchant à l'esprit religieux, pour Noël. Et où commencer mieux sa tournée promotionnelle qu'à Bethlehem ?

L'ancienne candidate à la vice-présidence des États-Unis, remarquée pour ses propos absurdes, publie un nouveau livre sur les fêtes de Noël. Elle entend bien redonner à cette fête son véritable sens religieux, face une commercialisation toujours un peu plus grande. Autant dire qu'elle arrive après la bataille. Mais bon, l'espoir fait vivre. 

Que c'est mignon... Selon que vous serez puissants ou misérables, disait le fabuliste qui avait oublié d'affabuler, n'est-ce pas ? Que vient donc faire la petite Bristol Palin dans le monde de l'édition ? Publier un livre de mémoires, évidemment.

Le livre de Sarah Palin doit sortir demain et le site Gawker avait décidé d'exciter un peu le public en publiant des extraits. Mais voilà : l'ex-colistière de McCain ne l'entendait pas de cette oreille...

Sarah Palin ? Oui, l'ex-colistière de McCain, qui depuis se répand en confession sur sa vie, son oeuvre et sa vision de l'Amérique, bien puritaine, bien moche. Un nom qui a su faire vendre, mais qui va prendre une méchante claque, alors que le deuxième opus est là.

Elle s’appelait Sarah, roman publié par Tatiana de Rosnay chez Héloïse d’Ormesson en 2007, n’en finit pas de vivre de nouvelles vives éditoriales. À l’origine, ce titre emprunté à un morceau de la chanson de Jean-Jacques Goldman, Comme toi. Et la traduction par Agnès Michaux – Tatiana écrit en anglais... Puis un film, des adaptations, une bande dessinée, un livre audio… L’intérêt ne faiblit plus. Plus de 11 millions d’exemplaires, et de nouveaux rebondissements.

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Alors que les deux dernières semaines du classement des meilleures ventes étaient dominées par le livre Le Suppléant du prince Harry, ce dernier perd sa couronne au profit de la jeune Sarah Rivens. Le tome 2 de son roman Captive, qu'elle avait d'abord publié sur Wattpad, a convaincu 53.257 acheteurs pour sa première semaine sortie, plus du double que les mémoires du duc de Sussex (21.383 ex.).

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Marie-Madeleine Rigopoulos, débauchée du Livre sur la Place pour le futur Festival du livre de Paris, sera remplacée au poste de commissaire générale du Livre sur la Place par Sarah Polacci, a appris ActuaLitté.

Troisième semaine de l'année (du 15 au 21 janvier), Sarah Rivens reste en tête avec le tome 1 de Lakestone (29.543 ventes), toujours suivie par le controversé parrain du Printemps des poètes, Sylvain Tesson et ses fées (21.553 ventes). La 3e place revient à Michel Bussi pour le poche de Trois vies par semaine (13.782 ventes).

Aaron Eckhart sera le nouvel acteur à incarner sur grand écran la créature Frankenstein, ont annoncé les studios Lionsgate dans un communiqué.

Difficile de poser question plus gênante à un auteur que « Quel est votre texte préféré ? », mais Isaac Asimov n'est pas resté muet : pour lui, sa nouvelle La Dernière Question, parue pour la première fois en 1956, est une de ses plus belles œuvres. Et l'écrivain de science-fiction s'est même prêté au jeu de la lecture à voix haute.

Avis à tous les robots ! Tandis que l'auteur phare de science-fiction a vécu dans un appartement de l'ouest de Philadelphie, pendant ses productives années 1940, cette semaine, le journal Philadelphia Weekly a mis en orbite une pétition le concernant. Un appel visant à récolter 2.500 signatures numériques, afin que l'adresse en question soit marquée d'une plaque commémorative en l'honneur d'Isaac Asimov. Un projet qui n'entre heureusement pas en conflit avec ses lois de la robotique.

Amusante, cette situation... Enfin, amusante... Si Oussama Ben Laden a bien été tué par des troupes américaines, et que les États-Unis souhaitent en finir définitivement avec Al-Qaeda, un petit retour en arrière s'impose, alors qu'en 2002 le Guardian publiait un bien étrange article...

En novembre 1944, Ray Bradbury proposait dans Weird Tales la nouvelle The Jar : un fermier achète un bocal rempli de formol, dans lequel flotte « une de ces choses pâles, qui dérive dans l'alcool... avec des yeux vides et morts qui vous regardent, mais ne vous voient pas ». L'homme et bientôt une bonne partie du village ne peuvent détacher leurs yeux du récipient...

Après avoir assumé la présidence de la Booksellers Association depuis 2012, qui rassemblerait désormais près de 3800 membres, le libraire Patrick Neale laisse la place à son pair Tim Walker. Le nouveau président, propriétaire des librairies Walkers Bookshops de Stamford et Oakham, prend à son tour ses fonctions pour deux ans.