Depuis novembre 2013, les discussions étaient ouvertes entre Transport for London, société qui se charge de l'exploitation du métro londonien, et Amazon. Il s'agissait d'implanter des points de récupération de colis - alors qu'à cette période, TfL annonçait 750 suppressions d'emploi. Utiliser les stations pour le bénéfice de la firme, et recevoir un loyer en retour, était une belle idée.