Marlène Merveilleux, Margaret Penrose

La romancière canadienne Margaret Atwood, dont le livre La Servante écarlate connaît en ce moment un regain d'attention grâce à la présidence de Donald Trump et une série sur Hulu, se voit décerner le Prix Franz Kafka 2017, remis par la Franz Kafka Society. C'est le 22 mai dernier que le nom de la lauréate a été choisi.

Le magazine littéraire de France 5, diffusé chaque mercredi et présenté par François Busnel, s'est imposé comme une émission incontournable du paysage audiovisuel français. Un titre qui lui permet, ce mercredi 30 octobre, de recevoir en exclusivité Margaret Atwood, qui viendra évoquer la suite de La Servante écarlate et son récent Prix Booker...

Organisé par Nielsen Book, l'enregistreur officiel des ventes de livres au Royaume-Uni, les Nielsen Bestseller Awards récompensent à titre honorifique les auteurs dont les livres ont généré le plus de ventes – formats papier et numérique confondus – sur le territoire britannique au cours de l’année écoulée. Lors de sa cérémonie annuelle, qui s’est déroulée ce 23 janvier dans les locaux du Coutts à Londres, Jojo Moyes, Margaret Atwood et Heather Morris font partie des grands vainqueurs de cette édition, avec plus de 1 000 000 d’exemplaires vendus.

L'actrice et réalisatrice canadienne est sur le point de s'engager pour diriger l'adaptation du roman Captive de Margaret Atwood. Publié en 1996, il relate l'histoire réelle d'un double meurtre de 1843 depuis le point de vue de l'accusée Grace Marks, jeune domestique de seize ans.

In Other Worlds, le prochain livre de Margaret Atwwod connaîtra donc de multiples vies, selon ses formats. En effet, mi-octobre, elle annonçait qu'une version rare serait publiée sur... de la paille.

Après le LongPen classique et le LongPen numérique LiveSign iDoLVine, l'équipe de Margaret Atwood lance la nouvelle application Fanado pour mobile. La campagne de promotion "Goes to mobile" lancée au mois dernier sur le site Indiegogo.com, part à la conquête du domaine de la vidéo-conférence, et de la promotion sur les réseaux sociaux.

Elle ne manque pas de ressources, la romancière canadienne. Une nouvelle édition de son livre propose en effet de découvrir de nouvelles technologies de lecture, pour les internautes. Et par quel type d'appareil cette découverte inédite doit-elle transiter ? Hmm ? Accrochez-vous, ça vaut le détour.

Une romancière canadienne et un directeur de théâtre français, c'est le grand luxe pour le Rolex Arts Program, qui vient de dévoiler la liste des six artistes de son jury.

La romancière, poétesse et critique canadienne Margaret Atwood est également... dessinatrice. Une autre casquette que l'on pourra découvrir dans une anthologie comics, The Secret Loves of Geek Girls. L'ouvrage réunira des contributions de dessinateurs, d'auteurs de science-fiction ou encore de créateurs de jeux vidéo. Et ceux d'Atwood, donc. Une campagne de financement participatif est en marche.

La plume de l’auteure canadienne, Margaret Atwood, n’est apparemment pas toujours du goût du National Post. Dans un éditorial satirique publié vendredi sur le site du quotidien, l’écrivaine s’attaquait aux différents candidats pour la campagne électorale qui se déroule en ce moment au Canada. Son papier fut cependant retiré pour réapparaître, le soir même, réduit de plusieurs lignes. Une manœuvre qu'elle ne manque pas de dénoncer sur la toile depuis quelques jours. 

L'éditeur numérique à succès, Byliner, a annoncé la publication d'une nouvelle série de livres numériques. Celle-ci rassemblera plusieurs épisodes d'histoires brèves rédigées par deux plumes célèbres : celles de l'auteure primée et poétesse canadienne Margaret Artwood, et de l'écrivain américain de récits criminels basés sur des faits réels Joe McGinniss. Cette suite de publications compte s'inscrire dans la lignée des écrits d'icônes comme Charles Dickens et Tom Wolfe, mais sous une forme résolument modernisée.

Margaret Atwood invente une secte écologique pour avertir...

Basée à Chartres, la librairie Aux Deux Éléphants est une spécialiste des livres de Jules Verne et des cartonnages. ActuaLitté a rencontré le libraire Antoine Fleury, lors du Salon Internationnal du Livre Rare et de l’Objet d’art à Paris.

L'artiste Winshluss, véritable touche à tout de génie, est à découvrir au musée des Arts décoratifs jusqu'au 10 novembre 2013. Cette exposition intitulée « Winshluss. Un monde merveilleux » présente les multiples facettes de Vincent Paronnaud, né en 1970.

Au XVIe siècle, l’imaginaire et le raisonnable n’étaient pas aussi rigoureusement distingués qu’aujourd’hui. La pensée magique tenait une place prépondérante, et les grands esprits n’hésitaient pas à s’appuyer sur le merveilleux pour étayer leurs thèses. Commode. Parmi les créations les plus folles de l’histoire des représentations, Le Livre des Miracles d’Augsbourg. On en sait peu sur cet ouvrage attribué à un certain Hans Burgkmair le Jeune.

La ministre déléguée à la Citoyenneté, mais également romancière, Marlène Schiappa, a annoncé, dans un entretien, la création d’un festival consacré aux « livres publiés par des citoyens engagés ». Un événement qui se tiendra le 11 février à la Bibliothèque nationale de France, avec, au programme, la remise de deux prix littéraires, notamment, ou encore des ateliers et tables rondes animées par l'autrice Anne-Marie Revol, où éditeurs et écrivains donneront « des clés pour publier son premier roman ».

Pour l'année 2016, Dark Horse a visiblement décidé de miser sur de grands noms d'auteurs : la Canadienne Margaret Atwood fera ainsi ses débuts en tant que scénariste de comics, quand Neil Gaiman, de son côté, verra une de ses nouvelles adaptées en bande dessinée, How to Talk to Girls at Parties (Comment parler aux filles pendant les fêtes), publiée en 2007.

Margaret Eleanor « Peggy » Atwood, dit Margaret Atwood, romancière, poétesse et critique littéraire canadienne de renom a été récompensé lors de l’édition 2016 du prix PEN Pinter. Elle qui a commencé à prendre la plume à l’âge de 16 ans, recevra son prix lors d’une soirée organisée à la British Library le 13 octobre prochain. 

Au cours la Comic-Con, la semaine passée, se tenait un débat intitulé What's Hot in YA, faisant le point la littérature destinée aux jeunes adultes. Margaret Stohl faisait partie des membres du panel qui y intervenait. L'auteure de Beautiful Creatures a annoncé, pas peu fière, avoir signé avec la maison Marvel (Disney). Elle plancherait d'ores et déjà sur un projet top-secret, dont les fans pourront guetter la venue, via les réseaux et le hashtag #MarvelYA.

Le site Buzzfeed, dans sa version américaine, puis ses déclinaisons internationales, s'est spécialisé dans tous les contenus qui pouvaient générer du clic et des partages sur les réseaux sociaux. Il vient de réaliser un coup de maître en associant Margaret Atwood, romancière canadienne à la renommée mondiale, et les zombies, pour quelques conseils avisés.

Margaret Mazzantini, auteure de Venir au monde et La mer, le matin, a signé le scénario du film Fortunata pour Sergio Castellitto, qui n'est autre que son compagnon dans la vie. Mazzantini a publié son premier roman, Antenora (Il Catino di zinco), en 1994.

Les débats autour des répercussions de l'affaire Weinstein et de la libération de la parole des femmes sur les réseaux sociaux sont loin d'être terminés. Margaret Atwood, auteure de La servante écarlate, publié en 1987, mais redevenu un succès d'édition récemment, a signé une tribune pour s'interroger sur l'appellation « Mauvaise féministe ». Sur les réseaux sociaux, Atwood a été qualifiée ainsi après avoir commenté une affaire de dénonciation calomnieuse.

Margaret Atwood a décidément la cote auprès des plateformes de streaming : après Hulu et The Handmaid's Tale, adapté du livre La Servante écarlate, c'est Netflix qui s'offre un récit de l'auteure. Alias Grace sera diffusée le 25 septembre 2017, et adapte le roman du même nom paru en 1996 et deux ans plus tard en France sous le titre Captive chez Robert Laffont, dans une traduction de Michèle Albaret-Maatsch.

L'une est auteure reconnue, a signé La Servante écarlate, récit dystopique d'une Amérique qui opprime les femmes, l'autre est actrice, ambassadrice de bonne volonté d'ONU Femmes : Margaret Atwood a été interviewée par Emma Watson pour le magazine Entertainment Weekly. L'occasion d'évoquer les inspirations de l'auteure, la société actuelle et le féminisme, entre autres.

Vendredi 25 octobre lors d’une cérémonie au château de Windsor, Margaret Atwood a reçu l’Ordre britannique des compagnons d’honneur par la reine Élisabeth II pour « services rendus à la littérature ».

C’était l’auteure de l’année 2017, ce fut l’ouvrage révélation, grâce à son adaptation en série : Margaret Atwood poursuit sur sa lancée, et annonce un sequel à La servante écarlate. The Handmaid’s Tale sera donc suivi par The Testaments, qui se déroulera 15 ans plus tard.

La fondation canadienne Writers’ Trust a tenu à honorer l’écrivaine ainsi que son époux en renommant leur prix du meilleur roman ou recueil de nouvelles de l’année. Il est aujourd’hui possible de remporter le prix Margaret Atwood et Graeme Gibson, doté de 60.000 $.

Margaret Atwood s’était déjà posé la question : « Suis-je une mauvaise féministe ? » en prenant une position contestée sur le mouvement #MeToo. Une autre tornade se déclenche, rappelant étrangement celle portée contre JK Rowling, suite à un commentaire de la romancière. Car cette fois, il serait question de propos transphobes.