Et te dire que je t'aime

La librairie Mosaïque, basée à Repentigny, au Québec, n'a pas un destin commun : elle a commencé la vente de livres sur internet en 2001, avant d'ouvrir une librairie physique en 2004, avec plus de 16.000 ouvrages.

BONNES FEUILLES - Un roman noir qui dénonce le système mafieux derrière la restitution des biens spoliés par le communisme, doublé d’une méditation bouleversante sur l’alcoolisme.

Mieux lire et écrire aide à la réussite scolaire

Pas question de passer à côté. Ni de laisser passer. La coopérative Publie.net, c'est une mission d'intérêt public, soutenue par François Bon et son équipe, à bout de bras. Alors le message d'aujourd'hui, impossible de ne pas le relayer. Et tant pis pour le copier-coller arbitraire, François, tu m'excuseras. Ou pas. De toute manière, depuis New York, tu peux toujours avoir le bras long... Aujourd'hui, Publie.net a besoin d'un coup de main, d'un sérieux coup de main. Impossible de passer à côté, ou de ne pas avoir l'intelligence de comprendre ce que cela représenterait que de perdre cet acteur. En avant. 

Marina Tsvetaïeva-Rainer Rilke Est-ce que tu m'aimes encore ?

Salon du Livre et de la Presse Jeunesse de Seine Saint-Denis

L'Île de Malte n'aime manifestement ni lire ni les livres

Après la fantastique intervention de Roberto Benigni, lors de la conférence de presse du livre du pape François, la maison américaine Loyola Press de Chicago surfe sur la tendance. Elle vient de mettre en ligne une vidéo type book trailer, qui accompagne un autre ouvrage : le livre destiné aux enfants, qui réunit les lettres de réponses du pape, et celles qu’il a reçues. 

Voilà maintenant 40 ans que J’aime lire donne rendez-vous aux jeunes lecteurs, tous les mois. À travers des histoires à découvrir tout seul, comme un grand, blotti dans un coin, ces romans jeunesse connaissent une nouvelle ligne graphique. 

collection Hostile HolsterAnkamaKilling Time

Financièrement, le marché du livre américain semble avoir redressé une certaine barre. Et dans le monde anglo-saxon, plus globalement, un vent de renouveau soufflerait doucement, brise paisible, après des années de tempêtes et d’agitation. Mais que se passe-t-il ?

Montréal célèbre ses 375 ans cette année ! Pour l’occasion elle a, bien entendu, mis ses beaux plus beaux atours pour séduire autant ses habitants que les nombreux touristes qui tombent en amour avec l’île. Pour la fête, la Métropole québécoise a vu son pont Jacques-Cartier s’illuminer, et accueilli Les Géants de la compagnie théâtrale Royal de Luxe, d’immenses marionnettes qui ont arpenté ses rues et qui en ont ébahi plus d’un. Les  éditeurs québécois n’ont pas été en reste et ont sorti des ouvrages pas piqués des vers. Zoom sur des albums  très diversifiés.

La chaîne franco-allemande proposera de découvrir ce 17 décembre – oui, demain... – le film d'animation Les enfants loups, Ame & Yuki, à 20 h 50. Il s'agit du troisième film réalisé par Mamoru Hosoda, particulièrement plébiscité actuellement par la critique et le public. En France, lors de sa sortie, le film avait regroupé plus de 200.000 spectateurs.

Depuis le 20 mai, Paris compte une nouvelle librairie généraliste de quartier, il s'agit de « Aux livres etc. ». Elle se situe à une cinquantaine de mètres de la place de la République et plus précisément au 36 rue René Boulanger (10e arrondissement).

Les deux compères des Casseurs Flowters, aka Gringe et Orelsan, travaillent pour la culture et l’édification du peuple. Sur Canal +, les deux loosers magnifiques jouent dans la pastille Bloqués, qui met en scène leurs non-aventures. Crise de rires et grincements de dents quand les deux rappeurs parlent de culture et de cul...

Pour sa quatrième aventure éditoriale, Antoine Chereau voulait parler d’amour. Car rien ne compte finalement plus que ce bel et noble élan qui pousse deux personnes l’une vers l’autre, d’abord à se rouler des galoches, avant de finir par se rouler les pouces en attendant que ça passe. Ah, l’amour...

La vie privée devient au centre des questions propres au lecteur, dans un univers numérique où toutes ses activités, depuis les achats jusqu'à la lecture proprement dite, peuvent être quantifiées et conservées. La protection des données personnelles ne doit pas simplement lutter contre un gouvernement parfois intrusif ; elle est également à la merci des écosystèmes façonnés par les acteurs numériques, qui profitent de la moindre donnée pour exploiter des éléments susceptibles de faire vendre plus.

Siné, c'est fini, et dire que c'était l'Hebdo de mes premières amours...

Comme dirait l'autre allumé de France Inter : « Je dis assez ! » Notre petit journal agite les passions, fait trembler les murs - papier à cigarette, ce n'est pas bien compliqué, comme dans le conte, il suffit de souffler. Plus quotidiennement, il relate en détail, dans une langue qui est la sienne, avec un ton personnel, ce qu'il croit important de retenir des univers du livre. Ici, là-bas, un peu plus loin encore et parfois tout au bout du monde. Un travail de surveillance constante, de vigilance permanente… Bref, un travail d'exigence.

Une table ronde dominicale réunissait des acteurs pour discuter d'un genre littéraire sur le devant de la scène médiatique ces temps-ci : la romance. Loin de s'en tenir à Fifty Shades, les intervenants ont tenu à explorer les différentes facettes d'un genre dont les lectrices (et les lecteurs) sont de plus en plus nombreuses - et nombreux. 

Voilà qui n'est pas banal. C'est un ancien élève de l'université de Georgetown qui n'est pas satisfait de l'état actuel de son ancien établissement. Et cet ancien élève n'est pas tout à fait n'importe qui, puisqu'il s'agit de William Peter Blatty, l'auteur du livre L'Exorciste. 

Six années depuis le dernier tome qu’avaient cosigné Laurent Vassilian et Nicolas Tabary — et qui très personnellement, ne m’avait pas emballé. « Moi président », clamait voilà peu encore un heureux candidat à l’Élysée, dont on se gardera bien de dire que les promesses n’engagent que ceux qui les croient (ah, tiens, non…) ! Eh bien, ô Grand Vizir, qu’en est-il de votre débordante ambition : vous, Calife, que gagnerait le bon peuple de Bagdad ?  

Cette année, la maison d’édition jeunesse Scholastic a commandité une étude auprès de YouGov, sur les habitudes de lectures des jeunes canadiens – anglophones et francophones –, ainsi que leurs parents. Et contrairement aux idées reçues... les enfants lisent. Réjouissance !

Mathias Enard sera à Metz du 11 au 13 avril au festival Littérature et Journalisme dont le thème principal est l'Europe d'aujourd'hui. En tant que conseiller littéraire, il a participé -activement, nous dit-on- à la programmation de ces quatre jours d'échanges et de rencontres avec des écrivains et journalistes européens. Il revient sur cette expérience forcément positive pour un auteur qui aime avant tout partager sa passion de la littérature.

Kindle 2 : ce qu'on aime ou pas en 10 leçons

Entre 1832 et 1835, l'écrivain russe Nicolas Gogol rédigea Le Nez, une nouvelle grotesque, dans laquelle un barbier découvre un nez dans son petit-déjeuner, un lendemain de cuite. Il s'agit de celui d'un assesseur de collège, bien résolu à retrouver son bien, mais l'organe fait désormais son propre bonhomme de chemin. En 1963, les inventeurs de la technique de l'écran d'épingles allaient adapter l'oeuvre sous la forme d'un court-métrage d'animation.

BONNES FEUILLES – La vie, dans sa simplicité, convient parfaitement aux pigeons qui préfèrent éviter toute réflexion sur leur destin ou la façon de le maîtriser. En renonçant à toute responsabilité, ils se soumettent volontiers à une autorité dominante. 

Considérer l’évolution du marché du livre au Royaume-Uni et ses évolutions implique de prendre en compte la transition numérique. Pour le cabinet Enders Analysis, il s’agit là d’une « force perturbatrice essentielle ». Mais pour les industriels, « croire que le pire est passé est extrêmement dangereux ». De nombreux enjeux poussent à l’optimisme, et le cabinet a produit une analyse relativement fine des enjeux actuels.

Félins pour l’autre, entendu. On connaissait aussi les pigeons, dont le partenaire reste le même durant toute leur existence. Mais exprimer l’amour, l’engagement et la vie d’un couple à travers des Gallinacés — pourtant câlines, assez — il fallait oser. Surtout avec dans l’idée de produire un hymne graphique à la tolérance.

Que faire de l’amour et de ses infinies variations ? Comment dire aux gens qu’on les aime ? Et à quel prix ? Cette semaine, la Grande Librairie conjugue le verbe « aimer » à tous les temps, avec quatre écrivains qui le pensent, le racontent et le vivent… passionnément.