Interrogée par le Républicain Lorrain, désireux de savoir si le ministère possédait une marge de manoeuvre pour faire entendre raison à Amazon, Aurélie Filippetti s'étrangle. Elle a assuré ne pas se résoudre à battre en retraite dans sa bataille pour sauver la librairie des géants de l'e-commerce. Après l'accusation du dumping, elle exige que la firme applique la législation française, et paye de justes impôts. Elle se félicite de nombreux soutiens à l'étranger dans le cadre de cette croisade, et ce, notamment au Royaume-Uni.