Depuis des années, Frédéric Beigbeder est l'un des pourfendeurs du livre numérique : un support déshumanisé, déshumanisant, et qui plus est utilisé par des pirates de livres qui se soucient peu de l'auteur. L'écrivain avait même décidé de ne pas vendre son dernier roman, Oona & Salinger, sur les plateformes de vente numérique, en guise de résistance. Mais, lorsque l'on va à Rome...