Tarik Belmekki

Les ministres de la Culture et de l'Économie ont cosigné un arrêté, daté du 4 avril et publié au Journal officiel ce vendredi 7 avril. Le texte établit un montant minimal de tarification du service de livraison du livre dans la loi, avec une entrée en application 6 mois plus tard, en octobre prochain.

Dédicaces - Jeudi 27 février 2014 à 20h00 - A la librairie

Frein au développement de la vente en ligne, avantage concurrentiel fort pour le géant américain Amazon : les frais d’expédition de livres avec les services de La Poste coûtent cher. Au point que les éditeurs comme les libraires se retrouvent facilement pris à la gorge. Le Colissimo imposé à cause de 3 cm de hauteur pour un ouvrage pose de sérieux problèmes. Dont on ne se privera pas de parler prochainement.

Envoyer un livre par La Poste est rapidement ruineux, les éditions Le Héron d’argent en font l’expérience. La maison a d’ailleurs mis en ligne une pétition réclamant un changement de politique commerciale chez La Poste, sous peine d’asphyxier les petits éditeurs. 

Selon l’association de consommateurs l’UFC-Que Choisir, le tarif social de l’Internet, proposé par Eric Besson, ministre de l’Industrie, est « bien trop élevé ». A 20 € par mois pour le téléphone fixe et l’accès illimité au haut débit, l’offre n’apparaît même pas concurrentielle sur le marché, comme le note nos confrères de

Paul Kirchner, lui, s'est entiché d'un objet si commun que sa manie est fascinante de bout en bout 

La loi du 10 août 1981 semble d'une limpidité redoutable : pour les livres, un prix de vente au public est fixé par l'éditeur, puis respecté par le détaillant. Dans les faits, la situation se complexifie, autour de cette question : comment définir le livre ? Dans le secteur du jeu de rôle, l'interprétation de la loi a ainsi conduit Amazon à ne pas appliquer le prix unique du livre sur les manuels de jeu.

Les plaintes pour agressions sexuelles déposées contre l'islamologue et théologien suisse Tariq Ramadan ont éclaboussé le journal Mediapart et son directeur de la publication Edwy Plenel, accusé de complaisance vis-à-vis de l'intellectuel. Après la une de Charlie Hebdo qui moque le silence présumé de Mediapart et de Plenel, Mediapart a publié ce 13 novembre une tribune de soutien signée par un certain nombre de personnalités - ce qui n'a pas vraiment plu à Joann Sfar.

Depuis le mois de janvier 2015, les éditeurs, particulièrement les plus petits, et les libraires font face à une augmentation des tarifs postaux pour l'envoi de livres. Quand le livre n'excède pas les 3 centimètres, tout va bien : mais une fois cette épaisseur dépassée, le prix d’expédition est aligné sur celui du Colissimo, ce qui double la facture. Plusieurs actions ont déjà été entreprises, et la question portée à l'Assemblée nationale : une nouvelle pétition espère faire changer les choses.

Prélévement à la source, qui se tarit

#AssisesEditionsIndépendantes23 – Depuis plusieurs années les éditeurs indépendants demandent la création d’un tarif postal préférentiel pour l’envoi de livres, selon le modèle du tarif existant Livres et Brochures. Mais ce dernier n’existera certainement jamais. 

Scénariste, journaliste, photographe et peintre, Tarek Ben Yakhlef signe ses oeuvres du nom Tarek, sobrement. Diplômé de la Sorbonne en histoire médiévale et histoire de l'Art, il a commencé à pentre sur toile en 1990, après avoir pratiqué le graffiti, fin 1985. Il publie Paris Tonkar en 1991 premier livre d'art publié en Europe consacré au Spraycan art à Paris. 

Amazon vient de subir un sérieux revers devant la Haute Cour de Francfort. Le cybermarchand avait vendu un livre au tarif d'occasion, plutôt qu'au tarif unique en vigueur, suite à la plainte d'un client. Le Börsenverein, association des éditeurs et des libraires allemands, a obtenu gain de cause, et le juge a obligé Amazon à cesser ce type de pratique, sous peine d'une amende salée.

Désormais, les étudiants savent pourquoi ils attendront avec impatience leurs étrennes de Noël : la tablette double ou simple écran tactile, le Kno, a un tarif. Enfin, deux...

#RDVBDAmiens2023 – Voulant sauver des livres d’un autodafé, Tarid, un bibliothécaire de Cordoue, entreprend de les déplacer le plus loin possible des hommes du vizir Amir. À dos d’âne et accompagné de Lubna, jeune copiste et de Marwan, ancien apprenti devenu voleur, Tarid part dans un long périple intense et drôle. La Bibliomule de Cordoue est au coeur des découvertes que proposent les Rendez-vous de la bande dessinée d'Amiens

Prêts. Comme les scouts. Il aura fallu du temps pour que les consommateurs étatsuniens se disent prêts à acheter des livres numériques dans une librairie indépendante à condition que le tarif soit attractif. Ah, oui, bien sûr...

La Loi Darcos, qu’aura tant vantée Emmanuel Macron, a pris un camouflet. Dans son avis circonstancié, la Commission européenne considère le tarif minimal pour les frais de port comme « une restriction de la libre circulation des services ». 

La grande cérémonie d’Apple s’est achevée hier avec la présentation d’un smartphone au tarif indécent, certes. En dépit de ses évolutions technologiques, l’iPhone X reste un produit totalement délirant. Mais quelques nouvelles fonctionnalités apparaissent tout de même.

Trois premiers romans en compétition, c’est le tarif du prix littéraire Saga Café (Liège, Belgique), qui cette année célèbre sa 10e édition. Il couronne un ouvrage belge francophone, et depuis 2017, a même ajouté une corde jeunesse à son arc. 

Introduire de la publicité dans les lecteurs ebook pour les proposer moins à un tarif moindre au consommateur, l'idée a fait son chemin, et plutôt bien fonctionner chez Amazon. Mais étendre cette solution aux livres numériques eux-mêmes, quel avenir ?

En France l’offre premium garantit notamment aux clients Amazon une livraison gratuite sous 24 heures contre une souscription de 49 euros annuels. Sur ce terrain de la fidélisation des usagers, Fnac+ propose dès aujourd’hui son alternative avec un tarif parfaitement aligné.

Nouvel entrant dans le monde de l’abonnement pour les livres audio : Cultura. L’offre est on ne peut plus classique : 9,99 € mensuel, pour piocher dans un catalogue de 2500 ouvrages. Évidemment, pour ce tarif, seul un livre est accessible par mois. 

La guerre des prix aura lieu, et a même déjà démarré, depuis qu'Amazon a annoncé son Kindle Fire à un tarif insolent, estimait la concurrence. C'est que le marchand de Seattle avait bel et bien une idée derrière la tête. 

La course aux tablettes a sonné aux États-Unis, avant de se propager au reste du monde. Et avec l'introduction du Kindle Fire, c'est un nouveau concurrent à l'iPad qui débarque en force : tarif très attractif, environnement fermé Amazon...

En janvier dernier sortait la première partie du diptyque, Succube, de Renart, dont nous n'avions pas tari d'éloges. Sombre, lourd d'une ambiance bien amenée, et particulièrement prometteur, l'avis était unanime : on aime.

Lancée en 2010, l'application mobiBrevet conçue et réalisée par rue des écoles a été téléchargée à près de 200 000 exemplaires. Habituellement téléchargeable au tarif de 1,99 € sur téléphone Android et iPhone, cette application sera gratuite du 25 mars au 10 juillet 2015.

Après 7 romans, une pièce de théâtre, une nouvelle trilogie au cinéma et un site (anciennement Pottermore, renommé WizardingWorld depuis la rentrée 2019) dédié à l’univers du célèbre sorcier à la cicatrice, on aurait cru que la plume de Joanne Rowling se serait tarie...

L’université américaine est coûteuse, et les manuels scolaires plus encore. Mais quand les étudiants de l’université de Louisiane à Lafayette ont découvert le tarif d’un ouvrage d’électronique, en format numérique, ce fut la panique. 999,99 $ pour un ebook, on crise.

La publicité est un modèle économique à ne pas négliger, vient de se rappeler Amazon, qui a lancé une offre spéciale pour son Kindle 3 en version WiFi, à tarif doucement réduit. L'appareil est proposé pour 114 $ contre 139 $. La raison ? La publicité.

Très attendu après trois adaptations où les fans ont en particulier retenu l'interprétation de l'acteur Wesley Snipes, le nouveau film Blade sera réalisé par un Français, Yann Demange. Notamment connu pour Undercover — Une histoire vraie (2018), il reprend le projet abandonné par Bassam Tariq.