Art. Histoire de l’art en images

L'art du papier découpé n'est pas le plus commun dans les musées du monde. Et pourtant, celui-ci aussi avait ses grands maîtres, et surtout une artiste particulièrement douée, la Néerlandaise Joanna Koerten. Quelque peu reléguée à l'arrière-plan par l'histoire de l'art, elle marqua pourtant le XVIIe siècle.

Le Musée des lettres et manuscrits, partenaire d'Art Square, présentait à l'occasion du Salon du livre de Paris une exposition ainsi qu'une conférence sur l'histoire du livre d'art depuis l'invention de l'imprimerie par Gutenberg. L'occasion pour Pascal Fulacher, conservateur du Musée des lettres et manuscrits, journaliste et auteur de Six siècles d'art du livre parmi les collections du Musée des lettres et manuscrits, de présenter au public quelques innovations clés entrant dans le cadre de la conception d'objets-livres.

Docteure d’État en science politique, Isabelle Veyrat-Masson dirige le laboratoire communication et politique du CNRS. Elle est l’auteure de plusieurs publications sur l’histoire et la télévision, parmi lesquelles Quand la télévision explore le temps. Membre du bureau de la Société pour l’histoire des médias, elle participe aussi comme experte à de nombreuses émissions de radio et de télévision et assure une chronique régulière sur France Culture. 

Le Festival de l'histoire de l'art revient pour la troisième année consécutive au Château et dans la ville de Fontainebleau du vendredi 31 mai au dimanche 2 juin 2013. Organisé par le ministère de la Culture et de la Communication, l'Institut national d'histoire de l'art et le Château de Fontainebleau, cet événement s'attend à la visite de près de 20 000 visiteurs.

La Commission d'enrichissement de la langue français a chaussé ses plus belles sneakers pour faire un tour dans la street : elle propose aujourd'hui une liste de termes anglophones attachés à la pratique du graffiti ou du hip hop ainsi que leurs équivalents français. Crew devient ainsi le collectif, tandis que le graffeur qui pratique le toy se voit qualifié de « gâcheur » ou de « gâcheuse »...

Nous ne sommes plus à , L'ère du soupçon (essaie sur la narration), de Nathalie Sarraute, mais à «  l'Art du récit » en ce rendez-vous de la 33e édition du Salon du livre. 

La bande dessinée est désormais rompue aux salles de vente : les planches se succèdent, et les prix ne désenflent pas. La maison Alexandre Millon profite de l'engouement des collectionneurs en matière de phylactères et organise le dimanche 8 décembre prochain, en duplex Paris-Bruxelles, une vente exceptionnelle rassemblant classiques de la BD et oeuvres contemporaines.

Le Festival de l’histoire de l’art accueille son nouveau président Bruno Racine, accompagné également d’une nouvelle équipe pour coordonner et programmer l’évènement. 

Tout commence par un email, de remerciement, suite à la publication de notre chronique Jesus contre Hitler. Un auteur - mettons, un créateur, plutôt - nous informe de la sortie prochaine de son livre. La chose est classique. Mais celui-ci retient tout particulièrement l'attention, avec un roman sous licence libre. Probablement pas le premier roman libre paru en France, mais une initiative remarquable. Rendez-vous est pris avec Pouhiou, au « le pseudonyme le plus ridicule de la blogo-culturo-scénico-sphère francophone ». Ambiance assurée.

Après avoir longtemps coédité les ouvrages issus de ses programmes de recherche ou les thèses de jeunes chercheurs, l’Institut national d’histoire de l’art lance cette année ses propres collections : « Dits » et « Inédits ».

Pour la deuxième année consécutive, le Syndicat national de l'édition organise l'opération « J'aime le livre d'art » : du 17 novembre au 15 décembre 2018, l'événement vise à mettre en valeur les beaux livres et les livres d'art dans les librairies participantes.

S’il suffisait de réunir 51 pointures de la BD contemporaine pour faire un album, ça se saurait.

La galerie Glénat se réjouit d’accueillir pour la première fois les œuvres de l’artiste italien Federico Bertolucci, parallèlement à la parution de Love T5, Le Molosse. Une centaine d’œuvres sur papier est présentée à cette occasion, avec des œuvres réalisées entre 2009 et 2020. 

Le Musée de la BD de Bruxelles propose un cycle dédié à l'impact de l'Art nouveau dans le développement de la bande dessinée. Intitulée « Neuvième Art Nouveau », cette exposition invite à un voyage unique au sein de la Belle Époque. À retrouver du 1er décembre au 31 mars 2024.

Pour rendre compte de la diversité de l’actualité des publications en histoire de l’art, l’INHA (Institut national d'Histoire de l'Art) initie un nouveau rendez-vous : les Dialogues de la salle Labrouste. Dès le 18 janvier 2019 la première séance de l'année accueillera Françoise Gaultier et Laurent Haumesser pour discuter autour du catalogue de l’exposition Un rêve d’Italie. La collection du marquis Campana (musée du Louvre éditions / Liénart, 2018).

Acteur important de la communauté artistique contemporaine, l’ADAGP organise le 28 septembre prochain à l’Institut national des arts (INHA) un colloque intitulé « La Traçabilité de l’œuvre d’art ou la force de son histoire ».

Une bibliothèque d'un nouveau genre est née au Royaume-Uni, baptisée la

Le Festival de l’histoire de l’art de Fontainebleau est une manifestation qui rassemble les spécialistes de l’histoire de l’art du monde entier et propose pendant trois jours au grand public conférences, débats, concerts, expositions, projections, lectures et rencontres, du 3 au 5 juin prochain.

Parce que l'art n'a pas d'âge et s'affranchit sans peine du temps, la revue Dada s'adresse aux lecteurs de 8 ans et plus, pour leur faire découvrir ou redécouvrir un artiste, un thème, une période particulière de l'histoire des arts visuels. Créée en 1991, la revue a été reprise il y a 10 ans par Antoine Ullmann, directeur général des éditions Arola et directeur de publication de Dada.

Avec l’introduction de l’enseignement de l’histoire des arts au sein des programmes officiels de l’Education nationale, le Festival de l’histoire de l’art trouve pleinement sa place dans le paysage culturel actuel tant pour les professionnels que pour les amateurs. En mémoire de L’Eloge de la folie, publié par Erasme, il y a cinq cents ans, cette première édition aura pour thème principal la folie.

Difficile de savoir à quelle date seront réellement déclenchées les hostilités, et quand la boutique ouvrira réellement ses portes. L'autre enjeu sera de mesurer le catalogue d'ouvrages français proposés par la boutique Kindle Store. Mais en attendant, les fuites gouttent...

Eliartd'éveiller les enfants à l'univers artistique

Cette exposition d'envergure internationale enrichie de prêts exceptionnels provenant de Chine et des Etats-Unis, a pour objectif de rendre accessible au public le goût des lettrés chinois pour les rochers en le confrontant à une trentaine de ces pierres pluri-millénaires choisies et chéries par des générations de lettrés.

BONNES FEUILLES - Depuis son ouverture au cœur du XIXe siècle, l’hôtel Drouot a été le lieu de nombreuses transactions majeures dans le monde de l'art. Les enchères organisées en ses murs ont influencé les tendances, ressuscité des artistes oubliés, validé des mouvements artistiques émergents et joué un rôle clé dans le parcours des plus grands noms de l'art moderne et contemporain. 

Du 6 avril au 10 juillet 2023, le Musée d’art et d’histoire Paul Éluard présente l’exposition « Pablo Picasso, Paul Éluard, une amitié sublime », conçue en partenariat avec le Musée Picasso de Barcelone et le Musée national Picasso-Paris. Celle-ci met en lumière les relations privilégiées de Paul Éluard (1895-1952) et Pablo Picasso (1881-1973).

Le premier Grand Prix du festival de l’histoire de l’art a été décerné à Samuel Delerue et Isabelle Kalinowski pour l’édition et la première traduction en français du texte de Carl Einstein Je vois une maison (présent dans l’ouvrage La Discontinuité même, éd. L’Écarquillé, 2021) lors de la 11e édition du festival le 4 juin dernier.

Nous achevons ce jour notre série d'entretetin avec Patrick Ghrenassia, enseignant agrégé de philosophie, qui tout la semaine a évoqué dans nos colonnes différents points autour de la dématérialisation et de la transition numérique. 

Coup de chapeau à notre président, qui depuis la fin du eG8 n'a pas trop fait de vagues, et se tiendrait plutôt tranquille dans son coin. Mais heureusement, il y a Mozinor, le remixeur fou, le contrefacteur de première et l'homme de toutes les parodies...