À peine la fatigue des fêtes digérée (ou pas), voici que déboule la rentrée d’hiver sur nos tables ! On pioche au hasard (bon, d’accord, pas tout à fait, car avec Alma, on sait où on va) : un petit nouveau, Arnaud Modat. Un roman court (160 pages) qui semble un brin décalé (il vous suffit de lire « l’autoportrait » final cher à l’éditeur pour vous situer le bonhomme), voilà de quoi bien commencer l’année.