Preload Tome 2 : Te sentir renaître

Dans quelques mois (le 16 novembre 2011), le quatrième opus de sera sur les écrans.

Comme le dernier Harry Potter, pour officiellement apporter plus de détails aux spectateurs, Révélation sera en deux parties. Ainsi rien ne nous sera caché de la transformation de Bella, du mariage à la naissance de Renesmée…

Officieusement, on peut se demander si les producteurs, voyant que la fin approche à grands pas se posent la question du «comment qu'on pourrait continuer tout ça pendant encore 2-3 ans… ho, alleezz, juste un peu!»

Pour celles et ceux qui n'ont pas lu les romans de Stephenie Meyer (Hachette jeunesse), ils peuvent, s'ils le veulent, démarrer cette fantastique saga par le premier tome qui vient de paraître en Livre de Poche jeunesse (les suivants arriveront dans l'année…) et l'avoir toujours dans leur sac…

… soit continuer à faire comme si de rien n'était ou encore s'en moquer ouvertement.

Ainsi à la fin de l'année 2010 l'équipe du Palmashow s'est bien amusée à parodier les quelques premiers épisodes.

Attention, Adaptation…

Palmashow - Twilight
envoyé par Palmashow. - Regardez plus de vidéos comiques.

Avant, elle s’éclatait. Maintenant, elle disjoncte (probablement plus proche du terme “overdive” du titre anglais). Ce roman de William Gibson, paru en juin 88 et traduit en français en janvier 90 aura longtemps souffert d’un texte… qui avait le mérite d’exister.

Le Diable Vauvert s’est retroussé les manches et Laurent Queyssi donne un nouveau souffle à cette œuvre fondatrice du cyberpunk — comme à peu près tout ce que Gibson a pu écrire en la matière. Preuve ? Dans Matrix Reloaded, l’une des musiques a pris le nom du roman (Mona Lisa Overdrive), pour 10 minutes de trajets…

Mona Lisa, ce sont trois femmes — Sally, Mona et Angie —, toutes aussi mystérieuses que le tableau de Leonardo Da Vinci, mais en mieux. Éloignées les unes des autres comme l’eau peut l’être du feu (pardon pour cette image bancale), elles feront front commun lorsqu’à Mégacorps éclate un conflit.

Chacune exerce une fascinante attraction, alors qu’elles incarnent des figures féminines archétypales suprêmes : femme-violence, femme-décadence, femme-désir. Une trinité d’enfer pour univers cybernétique, et le troisième tome pour clore une épopée entre cybermonde et humanité 2.0.

On nous cache tout, on nous dit rien et en plus on nous ment et on nous spolie ! Eh oui, car aujourd'hui, c'est officiel, Steve Jobs apprend à la face du monde qui s'y attendait tout de même un peu que son iPad s'est vendu comme des babas au rhum chez les Alcooliques Anonymes. En 28 jours, 1 million de machines sont parties soit moins de la moitié des 74 jours qu'il avait fallu pour que l'iPhone atteigne ce même million.
Très fort, le père Jobs... Sidérant, même. Et il travaille d'arrache-pied, pour fournir toute la demande sidérale qui afflue vers Apple. Mais La Pomme saura lobotomiser contenter tout un chacun...

Quoique finalement, lobotomiser, ce n'est pas si mal comme terme. Parce que Jobs nous apprend aussi officiellement que 12 millions d'applications ont été téléchargées et que 1,5 million de livres l'ont également été depuis l'iBookstore. Ouah... Émerveillement consterné par la béatitude profonde du Geek en fureur ! Apple est grand, Apple est beau, Apple va sauver le monde de l'édition...

Ou pas. En fait.

Pourquoi un tel défaitisme ? Parce qu'entre temps, il suffit de faire un tour sur le Twitter de Hadrien Gardeur, cofondateur de Feedbooks, pour sentir l'impact de la douche froide passer sur une nuque offerte... Que nous dit-il Hadrien ?

Voilà. Sur la même période, Feedbooks a distribué 1,1 million d'ebooks de plus qu'Apple.

Concurrence déloyale !

Ben, oui, Hadrien, mais on triche chez Feedbooks. Là, en l'occurrence, c'est 1,5 million d'ebooks uniquement distribués sur la plateforme iBookstore, donc exclusivement sur l'iPad. Vendu à un million d'exemplaires.... Alors que chez Feedbooks, on est ouvert à une multitude de plateformes. Alors forcément, on peut pas comparer... Et puis, y'a plus de livres gratuits sur Feedbooks... Non, vraiment, c'est pas sympa de sabrer une petite société comme la firme de Cupertino, qui a quand même grandement besoin que l'on lui laisse de la place pour se faire connaître. Et dont les médias parlent si peu...

C'est même déloyal de plonger Apple dans ses propres erreurs de communication, alors que le monde entier s'enflamme pour sa tablette même pas pratique pour lire - que ce soit des BD ou des livres. Et ses logiciels même pas adaptés - je pense en particulier à Stanza, véritable honte !

merci à Paul Biba de Teleread

Dans son livre La tentation de l'impossible Mario Vargas Llosa se frotte à nouveau avec brio au difficile exercice de l'essai littéraire. On se rappellera L'Orgie Perpetuelle un excellent essai sur Flaubert et Madame Bovary de la main du même écrivain. Quand Mario Vargas Llosa s'attaque à Hugo et à ses Misérables, on ouvre bien grand les yeux et les oreilles et on apprécie ce moment de bonheur et de culture.

Et c'est certainement ce que nos confrères du Monde ont fait car ils ont eu l'occasion de rencontrer l'écrivain dans sa maison parisienne et de l'entendre parler de Victor Hugo. Il faut savoir en premier lieu que Hugo a été un véritable choc pour l'écrivain. Et le « choc Hugo », Mario Vargas Llosa l'a reçu en 1950 alors qu'il était âgé de 14 ans et résident d'un pensionnat de l'école militaire Leoncio Prado de Lima. En découvrant Les Misérables le jeune Mario a pu casser « la routine abrutissante » de sa vie à l'école militaire et sentir que « La vie splendide de la fiction donnait la force de supporter la vie véritable. Mais la richesse de la littérature rendait plus pauvre, aussi, la réalité réelle. »

Dans cet entretien, l'auteur explique la force de Victor Hugo mais aussi les reproches qui lui ont été faits. Et sa pensée rebondissante le mène à des considérations plus générales sur la littérature. L'auteur se pose une question qui ferait pâlir plus d'un lycéen passant son bac de philo.

La littérature peut-elle « subvertir l'ordre social ? ». L'écrivain concède bien volontiers que « comme il est pratiquement impossible de prouver que les chefs-d'oeuvre les plus marquants, des tragédies de Shakespeare aux romans de Faulkner, en passant par Don Quichotte et Guerre et Paix, aient provoqué le moindre bouleversement politique et social, cette idée de la littérature comme activité délassante et inoffensive a fini par rencontrer une acceptation généralisée dans les sociétés ouvertes de notre temps » cependant il refuse l'idée que « la littérature puisse être une forme d'amusement, même élaboré et sophistiqué. Si c'est un divertissement, ce doit être un divertissement problématique ».

Par la suite Mario Vargas Llosa évoque la relation de Victor Hugo avec les femmes, et reviens sur des côtés plus sombres de l'auteur des Misérables, ou encore l'usage qu'il faisait de l'espagnol pour cacher certains secrets.

Alors pour retrouver le compte rendu de cette rencontre avec Mario Vargas Llosa, il vous suffit de suivre notre lien vers Le Monde.

A cette occasion madame Christine Albanel ministre de la Culture et de la Communication s'adresse à l'ensemble des agents de son ministère par une lettre.

Rappelant que ce ministère fondé par André Malraux, fêtera ses cinquante ans en 2009, la ministre pose les principes d'une nécessaire refonte des objectifs et des moyens mis en oeuvre pour conserver, développer et rendre accessible le patrimoine culturel français tout en encourageant la création.

Les axes trois axes principaux de la réforme sont donnés avec une invitation à la discussion pour que chacun puisse se sentir impliqué dans le débat.

Ces orientations vont donner lieu à des projets de réformes qui seront soumi à validation lors du prochain Conseil de modernisation au printemps 2008.A ce moment, de nouveaux axes seront à l'étude, notamment concernant les politiques d'intervention du ministère. Les mesures devraient entrer en vigueur entre 2008 et 201.

Il ne faut cependant pas se voiler la face. Derrière la lettre de la ministre, ce sont des restrictions budgétaires qui sont en ligne de mire. La volonté politique est tout de même de limiter les dépenses dites "administratives" au profit de moyens directement alloué à de l'effectif. Selon le Ministère, les dépenses de fonctionnement, ces dix dernières années, sont passées de 44% à 53% du total des dépenses consacrées à la culture.

A ceci s'ajoute un changement radical du pays culturel avec l'arrivée de nouveaux modes de diffusion. Le ministère de la Culture et de la Communication doit se positionner sur cet enjeu majeur: protéger et promouvoir la culture sur les nouveaux réseaux d'information.

Voilà donc des perspectives ambitieuses avec des moyens qui restent à définir. C'est un dossier que vous pouvez suivre directement sur le site du ministère.

A l'image de la Green attitude, ce nouveau mode alimentaire (encore un !), conçu pour rester en bonne santé, équilibré et profitable à tous, suivi par de nombreuses personnalités (et alors ?) peut séduire, au-delà de l'effet de mode qui le place à présent sur le podium des régimes.

Sans être dépendant d'un régime quelconque, juste soucieux de manger plus sainement et de varier les plaisirs, cet ouvrage va vous permettre de consommer davantage de légumes et de fruits, de vous sentir mieux.

L'équilibre acido-basique, en résumé, c'est l'équilibre chimique de notre sang. Notre ph sanguin est de 7,4. S'il descend, il s'acidifie et c'est mauvais signe. De nombreux organes participent au maintien de cet équilibre. Nos cellules produisent de l'acidité (c'est normal, compte-tenu de notre mode de vie actuel) et pour la réduire, il est utile de consommer des molécules alcanisantes. En effet, si l'équilibre se rompt, l'individu grossit, se sent fatigué et nerveux, souffre davantage, dort moins bien…

Le principe de ce mode alimentaire est d'apprendre à associer les aliments acidifiants avec les aliments alcanisants. De manière un peu réductive, il s'agit de diminuer les aliments riches en protéines animales, les sucreries, l'excès de sel et de privilégier les légumes, les fruits, les herbes aromatiques et les épices.

 Ainsi, consommez sans modération des légumes verts, de l'eau minérale riche en bicarbonate de calcium (type Salvetat). Une liste d'aliments pour lutter contre certains symptômes  comme la fatigue ou le stress, les douleurs musculaires, la frilosité, la déprime, etc.  est proposée et 19 aliments acido-basiques sont répertoriés par ordre alphabétique ainsi que des idées de combinaisons idéales pour parvenir au meilleur équilibre (par exemple, canard et ananas, feta, tomate, poivron et oignon, moules et céleri…)

La seconde partie de l'ouvrage offre au lecteur une semaine de menus pour chaque saison et 100 recettes dont des smoothies et des jus alléchants et variés. Sans surprise dans la déclinaison des plats proposés, l'ouvrage garantit néanmoins une cuisine équilibrée, saine, adaptée au quotidien. Et des desserts gourmands qu'il ne faut pas hésiter à tester (écrasé de tofu aux framboises, mousse au cacao et à l'avocat, flan de poire).

Et si cela ne vous suffit pas, vous pouvez télécharger en fin d'ouvrage, une semaine d'un programme spécial Detox. Hippocrate avait prévenu : "Que ta nourriture soit ta médecine, et ta médecine, ta nourriture."