On finira l’année comme elle débuta : avec des histoires de parents consciencieux, et soucieux de ne pas laisser leurs enfants lire n’importe quoi. Pour preuve, une fois de plus, ce père qui, en Floride, estimait Fahrenheit 451 violent et blasphématoire. Manquant de vivacité d'esprit, il a oublié de proposer qu'on brûle l'exemplaire. Ou encore, cet autre pour qui le mot « penis », est intolérable dans un livre...