Fin décembre, ActuaLitté avait souhaité attirer l'attention du Conseil constitutionnel sur le registre ReLIRE. En effet, ce dernier devra se prononcer d'ici au 21 mars, jolie date, sur la constitutionnalité de l'article 1er de la législation sur l'exploitation numérique des livres indisponibles du XXe siècle. Or, comme nous l'avions déjà remarqué, on retrouve les ouvrages de sept des membres du Conseil dans la base du registre. Mais un huitième nous avait insidieusement échappé.