N'existe-t-il donc plus rien de sacré en ce bas monde que l'on s'en prenne, dans des attaques d'une crasse vulgarité aux noms mêmes de ces génies qui firent la langue française ? L'iconoclaste ne reculera-t-il devant rien, pour fouler aux pieds la culture, et ses exceptions, et dans une verve de légionnaire, osera-t-il inventer les plus infâmes jeux de mots (laids, très laids), pour salir la Littérature ?