Matiulla Wesa, étudiant de 22 ans originaire de Kandahar, en Afghanistan, est à l’origine du projet. Il achève sa licence de sciences politiques. Adolescent, il a crée Pen Path, une organisation bénévole qui travaille, à terme, à rouvrir les écoles fermées, principalement situées dans des zones de conflit. Mais avant d’y parvenir, le jeune étudiant a pris l’initiative d’ouvrir des bibliothèques dans des zones reculées, là où les conflits se déroulent le plus souvent. Car Pen Path se tourne avant tout vers les populations pauvres, victimes collatérales de la violence des conflits.