Évidemment, si l’on se fie au livre qu’il avait publié en 2010, chez Nova Editions, Christophe Alévêque n’était ni convaincu par Ségolène, ni enthousiasmé par Sarkozy. Libertude, égalitude, fraternitude présentait une uchronie où le monde politique en prenait plus que pour son grade. Et au pouvoir, on retrouvait alors Ségolène Royal, élue en mai 2007... La situation n’était pas vraiment plus reluisante.