Les sentiments sont partagés, et nécessairement complexes : d'un côté, les hommages, le recueillement, l'émotion. De l'autre, la mobilisation, les chants, les dessins, les réseaux. En face, la solidarité, évidente, mais un peu distante : Défendre la liberté d'expression, oui, adhérer pleinement au Je suis Charlie, moins, voire pas du tout. Que reste-t-il ? Eh bien, un album prochain, collector, réunissant une vingtaine d'éditeurs, et une question : l'hommage implique-t-il que les dessinateurs ne soient pas rémunérés ? Gloups...