Dans la vie d’une démocratie, c’est toujours la presse qui morfle, pour peu qu’elle conserve un tant soit peu le sens du devoir, autant que le désir d’informer. Pour Monsieur Kraus, qui rend compte de la vie du Chef, le leader d’un étrange État, le journalisme ne pouvait plus prendre qu’une forme : celle de la satire.