Comme il avait vu juste, cet humoriste qu’on pendrait aujourd’hui par les orteils, poil aux groseilles, lorsqu’il lançait : « Tous nous sommes fauchés un jour par le croche-pied rigolard de la mort imbécile, et les droits de l’homme s’effacent devant les droits de l’asticot. » Ah, Pierre, qu’aurais-tu pensé de cette campagne, où la Mort rigolarde, invite, non à une dernière bière, mais à un petit vers – si tant est qu’on aime la poésie ?