À l'instar de Milan Kundera (ou en son hommage ?), le titre du dernier roman de Florian Zeller sonne comme un prélude à une grande symphonie. Naturellement, il s'ouvre donc avec ce premier chapitre « L'Ode à la joie », de Beethoven, que l'auteur admire, pour sa vaillance, sa force puisée dans la joie, envers et contre tout.