Céline, Drieu, Brasillach, Chardonne sont régulièrement évoqués avec cette Grande Question rebattue: faut-il parler de l'oeuvre d'écrivains moralement condamnables? Bien sûr que oui, et Dieu merci, en matière littéraire, le "politiquement correct" d'une certaine presse n'a pas encore gagné... Mais il est regrettable que les écrivains résistants soient si peu évoqués: Jean Prévost, bien sûr, mais aussi Jacques Decour qui, s'il ne portait pas le nom d'un lycée parisien, serait bel et bien enterré.