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Littérature française (poches)

Le voyeur

Dans ce roman policier, il n’y a ni police, ni intrigue policière. Peut-être y a-t-il un crime, mais il n’est sans doute pas le crime d’apparence dont le livre cherche, avec trop de préméditation, à nous convaincre. Mais il y a une inconnue. Durant les heures que Mathias, le voyageur de commerce, a passées dans le petit pays de son enfance pour y vendre des bracelets-montres, s’est glissé un temps mort qui ne peut être récupéré. De ce vide, nous ne pouvons nous approcher directement ; nous ne pouvons même pas le situer à un moment du temps commun, mais de même que, dans la tradition du roman policier, le crime nous conduit au criminel par un labyrinthe passionnant de soupçons et d’indices, de même, ici, nous soupçonnons peu à peu la description minutieusement objective, où tout est recensé, exprimé et révélé, d’avoir pour centre une lacune qui est comme l’origine et la source de cette extrême clarté par laquelle nous voyons tout, sauf elle-même. Ce point obscur qui nous permet de voir, voilà le but de la recherche et le lieu, l’enjeu de l’intrigue. Comment y sommes-nous conduits ? Moins par le fil d’une anecdote que par un art raffiné d’images. La scène à laquelle nous n’assistons pas n’est rien d’autre qu’une image centrale qui se construit peu à peu par une superposition subtile de détails, figures, de souvenirs, par la métamorphose et l’infléchissement insensible d’un dessin ou d’un schème autour duquel tout ce que voit le voyageur s’organise et s’anime.

10/2013

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Littérature étrangère

Le Voyeur absolu

Le voyeur absolu. Evgen Bavcar est né en 1946 en Slovénie. A l'âge de 11 ans, à la suite de deux accidents consécutifs, il perd totalement la vue. Au début des années soixante, à l'Institut des jeunes aveugles de Ljubljana, puis au lycée, il prend ses premières photos. Installé à Paris, où il a poursuivi des études en philosophie et en esthétique, il est naturalise français en 1981, et travaille pour le CNRS. En avril 1987, la première exposition des photos d'Evgen Bavcar a lieu à Pans. Depuis, expositions, catalogues et publications se succèdent dans différents pays d'Europe (en Allemagne, France, Espagne, Suisse, etc.). Cette expérience, stupéfiante à bien des égards, ne cesse de poser des questions. Comment un aveugle réussit-il à substituer à une vision qui n'existe plus depuis trente-cinq ans un ensemble sensible qui lui permet d'appréhender une réalité dans tous ses détails ? Cette expérience exceptionnelle, sans équivalent dans l'histoire de l'art, conduit évidemment à se poser cette question essentielle : la photographie ne serait-elle pas, avant toute chose, une image mentale du monde, et seulement cela ? Un effet de sensualité, dont le tirage sur papier ne constituerait qu'un phénomène secondaire ?

03/1992

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Littérature étrangère

Le petit voyeur

Le Caire, fin des années 1940. Un garçon d'une dizaine d'années consigne sa vie quotidienne : il partage une chambre et un lit uniques avec un père, âgé, qui ressemble plus à un grand-père, dans un petit appartement au confort réduit au strict nécessaire. Son récit est ponctué de flash-backs, souvenirs d'une prime enfance heureuse, où la mère était présente. Que s'est-il passé ? Lui-même semble l'ignorer. Lentement, au fil des pages, l'histoire familiale va se révéler, au lecteur en même temps qu'au narrateur. Accroché à ce père qui lutte désespérément contre la déchéance physique et le déclassement social, l'enfant solitaire essaie de comprendre le monde mystérieux des adultes. Il écoute aux portes, espionne à travers les trous de serrure, fouille les tiroirs et les placards, lit les livres interdits. Dans ce récit poignant, largement autobiographique, Sonallah Ibrahim renoue avec l'écriture objectiviste et l'attention extrême portée au détail caractéristiques de son premier roman, Cette odeur-là (Actes Sud, 1992), qui révolutionna l'écriture arabe. En restituant au plus près le regard de l'enfant qu'il a été, avec ses peurs, ses désirs, ses interrogations, il donne à son récit une charge émotive exceptionnelle et livre une de ses oeuvres les plus fortes.

09/2008

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BD tout public

Voyeurs

Dominika et Szymon sont multiples. Multiples et amoureux. Dans le jeu de l'amour, ils se découvrent et se redécouvrent. Ensemble, ils renouvellent sans cesse les situations et dessinent, depuis le coeur de leurs sentiments, mille chemins à emprunter. Autant de vies et d'identités au service d'un mariage dont la stabilité ne saurait être ébranlée. Cependant, le doux Szymon voudrait connaître sa muse encore plus pleinement et découvrir ses secrets, goûter chaque minute de son intimité passée et jouir par procuration de sa liberté. Et cela, même s'il faut accepter de la regarder s'ébattre dans les bras d'un autre... L'histoire d'un épanouissement érotique et amoureux hors des sentiers battus où l'âme des personnages est délicatement mise à nue.

06/2015

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Policiers

Le motel du voyeur

Le 7 janvier 1980, Gay Tales reçoit à son domicile new-yorkais une lettre anonyme en provenance du Colorado. Le courrier débute ainsi : "je crois être en possession d'informations importantes qui pourraient vous être utiles." ; homme, Gerald Foos, confesse dans cette missive un secret glaçant : voyeur, il a acquis un motel à Denver dans 'unique but de le transformer en "laboratoire d'observation". Avec l'aide de son épouse, il a découpé dans le plafond l'une douzaine de chambres des orifices rectangulaires le 15 centimètres sur 35, puis les a masqués avec de fausses cilles d'aération lui permettant de voir sans être vu. Il a ainsi épié sa clientèle pendant plusieurs décennies, annotant ans le moindre détail ce qu'il observait et entendait - sans jamais être découvert. A la lecture d'un tel aveu, Gay Talese e décide à rencontrer l'homme. Au travers des notes et des carnets du voyeur, matériau incroyable découpé, commenté et reproduit en partie dans l'ouvrage, l'écrivain va percer peu à peu les mystères du Manor House Motel. Le plus troublant 'entre eux : un meurtre non résolu, digne d'une scène de psychose, auquel le voyeur assisterait, impuissant. Le voyeur exige l'anonymat ; l'écrivain, soucieux de toujours livrer les véritables identités de ses personnages, s'en tient aux prémices de son enquête. Trente-cinq ans plus tard, Gerald Foos se décide à rendre publique sa machination et Gay Talese peut enfin publier ce livre dérangeant et fascinant. Le Motel du Voyeur interroge aussi, à travers la figure de Gerald Foos, étrange double pervers de l'auteur, la position du journaliste qui scrute le réel en observateur - en voyeur. Au-delà du fait divers, cette plongée hallucinante dans la psyché américaine, parcourt une sociologie criminelle des moeurs, et s'avère être le plus parfait des romans noirs, à mi-chemin du chef d'oeuvre de Truman Capote, De sang-froid et du journaliste et 1'Assassin de Janet Malcolm. Gênant, passionnant, troublant, autant le dire, roman ou enquête, vous n'avez jamais lu un tel livre.

09/2016

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Policiers

Le Voyeur du Yorkshire

Eastvale, paisible petite ville du Yorkshire, au cadre idyllique. C'est là que vient d'être muté l'inspecteur Banks, qui a quitté sans regret Londres et son cortège de violences. Mais, sous ce décor de carte postale, se cache une réalité beaucoup plus sombre, beaucoup plus dangereuse, incarnée par un voyeur qui espionne les femmes la nuit dans leur chambre... Le pervers ne choisit pas ses victimes au hasard : celles-ci semblent toutes avoir un point commun. La tension monte d'un cran dans la cité lorsqu'une vieille dame est retrouvée sauvagement assassinée. Les deux affaires sont-elles liées ? Et que penser de ces deux adolescents, petits délinquants passés du vol aux agressions ? Banks va devoir faire preuve de perspicacité pour débusquer la vérité, au-delà des apparences.

03/2007

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Littérature française

Le voleur

" Education. La chasse aux instincts. On me reproche mes défauts ; on me fait honte de mes imperfections. Je ne dois pas être comme je suis, mais comme il faut. Pourquoi faut-il ?... On m'incite à suivre les bons exemples ; parce qu'il n'y a que les mauvais qui vous décident à agir. On m'apprend à ne pas tromper les autres ; mais point à ne pas me laisser tromper. On m'inocule la raison - ils appellent ça comme ça - juste à la place du cœur. Mes sentiments violents sont criminels, ou au moins déplacés ; on m'enseigne à les dissimuler. De ma confiance, on fait quelque chose qui mérite d'avoir un nom : la servilité ; de mon orgueil, quelque chose qui ne devrait pas en avoir : le respect humain. Le crâne déprimé par le casque d'airain de la saine philosophie, les pieds alourdis par les brodequins à semelles de plomb dont me chaussent les moralistes, je pourrai décemment, vers mon quatrième lustre, me présenter à mes semblables. J'aurai du savoir-vivre. Je regarderai passer ma vie derrière le carreau brouillé des conventions hypocrites, avec permission de la romantiser un peu, mais défense de la vivre. J'aurai peur. Car il n'y a qu'une chose qu'on m'apprenne ici, je le sais ! On m'apprend à avoir peur. "

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Littérature française

Le voleur

Georges Randal, jeune homme de bonne famille promis à l'existence d'un bon bourgeois, découvre sa vraie vocation quand son oncle le dépouille de son héritage. Il sent alors peser sur lui l'obligation morale de ne pas être complice des voleurs légaux : révolté contre le monde où il vit il fera du vol son métier. Il est vite repéré par le mystérieux abbé Lamargelle qui l'introduit dans la confrérie des voleurs et l'élite de la canaille. Suivent diverses aventures provoquées par des hasards et des rencontres dans des décors de théâtre et de bals masqués où les rideaux dissimulent des ombres et où les cadavres se mettent à parler. Mais l'essentiel n'est pas là car Georges Darien, anarchiste militant (et peut-être lui-même voleur professionnel, le doute demeure), se soucie peu d'écrire un roman traditionnel. Ses personnages, libérés des servitudes et des lâchetés bourgeoises, improvisent entre deux cambriolages des réquisitoires passionnés contre une société qui non seulement permet et encourage le vol légal, mais encore "poursuit, avec le knout du respect, l'unité dans la platitude" . Selon André Breton, "Le voleur", où se mêlent le romanesque le plus fantaisiste et la satire sociale la plus âpre, "est le plus rigoureux assaut que je sache contre l'hypocrisie, l'imposture, la sottise, la lâcheté" .

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Histoires à écouter

Au voleur

Filou l'écureuil a caché ses provisions de glands pour l'hiver. Mais le lendemain son trésor a disparu. Qui est le coupable ? Le geai des chênes, grand amateur de glands ? le Père blaireau qui se promène la nuit ? La terrible bête noire de la forêt ? Une aventure pleine de rebondissements, jouée par des comédiens, et réalisée comme un dessin animé sonore. En prime, douze chansons originales chantées par des enfants (textes et partitions inclus), ainsi qu'un documentaire sur les vrais chants et cris des animaux de l'histoire. Le livre résume et illustre joliment l'histoire. Le CD est accompagné d'une version numérique à télécharger.

09/2023

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Poésie

Voyeurs, voyez

Osez affirmer votre curiosité ! Devenez Voyeurs(euses), Juges, Psychologues, Ami(e)s... Venez rire et pleurer. Choisissez de vous perdre dans la tête de cette anonyme pour qui chaque souffle de vie est un chemin à accomplir et où il est beau de grandir à travers nos erreurs ; puisque de toute façon la vie ne nous autorise pas à fuir, qu'on le croie ou non, qu'on le veuille ou non. Voici le journal intime d'une ombre.

11/2020

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Littérature française

Le Voleur

Georges Randal, jeune homme de bonne famille promis à l'existence d'un bon bourgeois, découvre sa vraie vocation quand son oncle le dépouille de son héritage. Il sent alors peser sur lui l'obligation morale de ne pas être complice des voleurs légaux : révolté contre le monde où il vit il fera du vol son métier. Il est vite repéré par le mystérieux abbé Lamargelle qui l'introduit dans la confrérie des voleurs et l'élite de la canaille. Suivent diverses aventures provoquées par des hasards et des rencontres dans des décors de théâtre et de bals masqués où les rideaux dissimulent des ombres et où les cadavres se mettent à parler. Mais l'essentiel n'est pas là car Georges Darien, anarchiste militant (et peut-être lui-même voleur professionnel, le doute demeure), se soucie peu d'écrire un roman traditionnel. Ses personnages, libérés des servitudes et des lâchetés bourgeoises, improvisent entre deux cambriolages des réquisitoires passionnés contre une société qui non seulement permet et encourage le vol légal, mais encore "poursuit, avec le knout du respect, l'unité dans la platitude". Selon André Breton, "Le voleur", où se mêlent le romanesque le plus fantaisiste et la satire sociale la plus âpre, "est le plus rigoureux assaut que je sache contre l'hypocrisie, l'imposture, la sottise, la lâcheté".

04/2023

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Littérature française

Le voyeur et le voyant

Les Ecritures dépossèdent l'Homme de ses mythologies. Les mythes sont le langage de l'origine, l'écrit est celui du partage d'un butin, celui de l'Histoire. Ecrire dans cette conscience c'est restituer ce qui peut l'être du butin. C'est ce que véhiculent ces constats intimistes livrés ici par l'auteur. Le voyeur, comme le voyant, n'est jamais que sous le coup de son désir de voir au-delà du visible qui réduit l'Occident à une cruelle et confortable fatalité.

01/2017

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BD tout public

Journal du Voleur

"N'est pas Narcisse qui veut. Combien se penchent sur l'eau qui n'y voient qu'une vague apparence d'homme. Genet se voit partout ; les surfaces les plus mates lui renvoient son image ; même chez les autres, il s'aperçoit et met au jour du même coup leur plus profond secret. Le thème inquiétant du double, image, sosie, frère ennemi, se retrouve en toutes ses oeuvres. Chacune d'elles a cette étrange propriété d'être elle-même et le reflet d'elle-même. Genet fait apparaître une foule grouillante et touffue qui nous intrigue, nous transporte, et se change en Genet sous le regard de Genet. Dans le Journal du voleur, le mythe du double a pris sa forme la plus rassurante, la plus commune, la plus naturelle : Genet y parle de Genet sans intermédiaire ; [. . . ] Son autobiographie n'est pas une autobiographie, elle n'en a que l'apparence : c'est une cosmogonie sacrée. Ses histoires ne sont pas des histoires : elles vous passionnent et vous fascinnent mais vous croyiez qu'il vous racontait des faits et vous vous apercevez soudain qu'il vous décrit des rites ; s'il parle des mendiants pouilleux du "Barrio Chino" c'est pour agiter somptueusement des questions de préséance et d'étiquette : il est le Saint-Simon de cette Cour des Miracles. Ses souvenirs ne sont pas des souvenirs : ils sont exacts mais sacrés ; il parle de sa vie comme un évangéliste, en témoin émerveillé. . . si pourtant vous savez voir, à la jointure, la ligne mince qui sépare le mythe enveloppant du mythe enveloppé, vous découvrirez la vérité, qui est terrible". Jean-Paul Sartre.

10/1993

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Littérature étrangère

Voleur, espion, assassin

"Dans la vie, il n'y a pas de tragédies, il y a soit de l'amour, soit le vide. Et pour comprendre la vie des autres, il faut avoir vécu la sienne". Narrateur dans la plus belle tradition russe, intellectuel averti et fin connaisseur des vicissitudes soviétiques, Iouri Bouïda nous livre avec Voleur, espion et assassin une autobiographie d'envergure. De son enfance d'après-guerre dans la région de Kaliningrad jusqu'aux premiers bouleversements de la perestroïka, Bouïda n'évoque jamais la violence et la désolation du quotidien sans recours au burlesque : des toilettes gelées, de l'érotisme au milieu de ruines teutoniques et des discours que plus personne n'écoute. Puisque la plupart des autres préfèrent la vodka, notre héros monte rapidement l'échelle sociale. Il devient membre du Parti communiste, rédacteur en chef d'un quotidien au fin fond de la campagne, puis chargé de la communication au comité régional du Parti. C'est l'écriture qui va le sauver, même s'il doit s'y reprendre à plusieurs fois avant de saisir ce que sa grand-mère lui disait avant sa mort : "La liberté, c'est toi. Seulement, n'oublie jamais que la prison aussi, c'est toi". Né après la mort de Staline, marqué par un système politique et social en déclin, Bouïda dresse le portrait d'une société aussi défaillante que débrouillarde, aussi cruelle que capable de tendresse. Voleur, espion et assassin nous parle du courage individuel, de l'intégrité malgré tout, et d'une joie de vivre indéfectible.

03/2018

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Romans, témoignages & Co

V comme Voleur

La solitude d'un adolescent abandonné qui se donne un but pour survivre : permettre à celle qu'il aime en secret de rejoindre sa famille au Brésil. Une pépite de PKJ, label " Trésor de lecture ", rééditée sous un nouveau titre plus explicite (paru précédemment sous A comme voleur). Arthur est seul dans l'appartement familial du bord de mer. Seul à 14 ans. Sa mère l'a quitté depuis un mois, laissant quelques centaines d'euros sur le buffet. Et il a tout dépensé. Il se sert à manger dans les rayons du supermarché du coin, où il espère toujours apercevoir Florence, la jolie caissière, Florence, sa raison de rêver. Mais pour pouvoir passer à sa caisse, il faut de l'argent. Lors d'une rencontre nocturne de cerfs-volants, où Arthur espère vider quelques poches, il voit Florence et s'empare de son sac à main. Dedans se trouve une lettre de la jeune fille, adressée à son frère, au Brésil. Plus que tout au monde, elle désire y retourner avant que sa mère, "la Vovozinha", ne meure. Arthur parviendra-t-il à lui faire ce cadeau ?

07/2022

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Lecture 6-9 ans

Voleur de souvenirs

Léo le renardeau adore écouter son grand-père, Célestin, lui raconter son passé. Souvenirs que ce détective à la retraite a soigneusement classés et numérotés. Mais un jour, le souvenir n° 26 demeure introuvable. Léo et Célestin enquêtent sur sa disparition.

09/2016

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Autres éditeurs (A à E)

Voleur d'anniversaires !

Dans une sombre grotte, vivait Victor, un monstre pas vraiment méchant et sentant bon la rose. Mais, son pouvoir était terrible : il volait les anniversaires des enfants et il adorait ça ! Une fois qu'il était passé chez l'un ou l'autre, tout le monde oubliait l'anniversaire - adieu fêtes, bonbons, cotillons et cadeaux ; et malheur, les enfants ne grandissaient plus. Ils étaient condamnés à avoir toujours le même âge, à ne jamais devenir adultes... et devaient aller à l'école toute leur vie. Jusqu'à cette nuit où Victor voulut voler l'anniversaire de Bastien, un garçon de huit ans qui n'avait peur de rien... Une fable enlevée de Olivier et Laurent Souillé où pointent la peur, l'humour, la force des rencontres, la beauté des promesses et l'incroyable magie de la tendresse... Un album, dès 4 ans, magnifiquement illustré, tout en rondeur et en couleurs chaudes par Frédéric Pillot.

08/2023

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Littérature Espagnole

Fils de voleur

Valparaíso, 1914. Après avoir été injustement accusé du casse d'une bijouterie, le jeune Aniceto Hevia est jeté en prison. A sa sortie, il vagabonde entre le Chili et l'Argentine aux côtés de laissés-pour-compte et de réfractaires à l'ordre établi. Fils d'El Gallego, un voleur de classe internationale ayant mis sur les dents toutes les polices d'Amérique du Sud, il puise dans ses souvenirs d'enfance, où règne la brutalité d'un quotidien désenchanté, la force pour vivre la fraternité des en-dehors, en marge d'un monde devenu fou. Véritable autodidacte, Manuel Rojas (1886-1973) a exercé d'innombrables métiers avant de prendre la plume. Tour à tour coursier, docker, charpentier, peintre en bâtiment, cheminot, employé à l'hippodrome de Santiago, il se rapproche des cercles libertaires et littéraires du Chili et collabore à diverses revues. Encensé par Luis Sepúlveda, on peut considérer la publication en 1951 de Fils de voleur comme l'acte de naissance de la littérature moderne chilienne.

11/2021

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Littérature étrangère

Voleur de cartes

" Improbable lecteur, Maintenant que mon texte est apparu sur ton écran, je te demande de m'accorder quelques minutes. Ce ne sera pas long. C'est un pacte, le même depuis toujours. Les règles du jeu sont claires depuis la nuit des temps. Il est impossible de comprendre l'acte de lire autrement. Sophie revient vivre à Paris après des années d'absence. Perdue, elle furète sur Internet et tombe sur le message d'un mystérieux écrivain. Intriguée, elle se met à dévorer ses textes, sans imaginer qu'ils vont la conduire à Trieste et qu'elle fera en chemin la connaissance d'un séduisant voleur de cartes... À la manière de Jostein Gaarder dans Le monde de Sophie, Eduardo Lago nous invite à un apprentissage du monde fantasmé de la fiction, un monde hanté par les histoires et les personnages, laissant le lecteur mener l'enquête et plonger avec lui dans le réseau qu'est la littérature.

05/2010

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Littérature française (poches)

Journal du voleur

Je nomme violence une audace au repos amoureuse des périls. On la distingue dans un regard, une démarche, un sourire, et c'est en vous qu'elle produit les remous. Elle vous démonte. Cette violence est un calme qui vous agite. On dit quelquefois : " Un gars qui a de la gueule. " Les traits délicats de Pilorge étaient d'une violence extrême. Leur délicatesse surtout était violence.

03/1982

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Lecture 9-12 ans

Le vrai voleur

Gardien en chef du Trésor Royal, Gauvain l'oie est le seul à détenir les clefs de la chambre forte du palais de son Altesse, l'ours Basil. Or, stupeur ! Le nombre de rubis diminue de jour en jour. Pire : le très précieux diamant "Kalikak" disparaît. Les soupçons pèsent sur l'honorable, l'irréprochable Gauvain.

10/2017

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Littérature française

Voleur de guirlandes

C'est un quartier délaissé, avec son tank de la dernière guerre fraîchement repeint, autour duquel on s'assoit. C'est là qu'on revient, toujours. Qu'on se retrouve. Qu'on se raconte. Il est là. Il y a cette fille chez qui il vit. Lui, il fait des vidéos. Il interroge des gens, va à leur rencontre. "Tu te rappelles tout ce qu'ils nous racontaient à nous, se disent entre eux certains, qui n'en disent pas plus, n'en savent sans doute pas plus, mais hochent la tête, assez longtemps, pour laisser croire. Tu te rappelles, on les laissait raconter pour s'amuser, ils rajoutent, au bout d'un moment. Et putain, on en croyait la moitié, ils rajoutent. Et silence. Et c'était déjà pas mal, bordel de Dieu, la moitié. Et silence. " Un texte sur l'envie de vivre, sur l'énergie fondamentale trop souvent perdue. Sur l'amour. Sur les rêves. Sur la libido.

01/2018

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Littérature française

Voleur de poules

Des poules égorgées, un bélier tué, un incendie... à n'en pas douter Etienne et Paule Jolimont sont visés par un voisin malveillant. C'est ce que pense tout de suite leurs amis Claire et Simon Paquard. Aidés de la gendarmerie, ils vont remonter la piste du malfaiteur. Mais que vont-ils trouver ? Quelle bête vont-ils débusquer ? Elle n'est peut-être pas celle qu'on croit... Quand on ne règle jamais les maux de l'enfance, il se transforme plus tard en malheur

12/2016

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Policiers

Le voleur de nuits

Clara reçoit un jour un appel téléphonique inattendu de Jérôme, un homme qu'elle a dû abandonner vingt ans plus tôt pour en épouser un autre. Sa passion pour elle semble intacte. Elle accepte de le revoir. Au fur et à mesure de leurs rencontres, elle s'interroge sur ses véritables intentions, au point de se confier à l'un de ses amis policier. Son coeur rejetant sans cesse les objections soulevées par sa raison, reste sans réponse en l'état la question de savoir si son amour d'antan l'a contactée par nostalgie ou pour se venger d'elle. Seuls des éléments alarmants semblent devoir répondre à cette question. Ce roman porte en lui une réflexion sur la limite entre la passion amoureuse et les troubles psychiques. Quand la folie se substitue-t-elle au romantisme ?

06/2020

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Romans historiques

Le Voleur d'orgues

Le corps sans vie de Peter est trouvé dans la grange d'Albert Verbrugghe, incendiée après un orage. Sur lui, un carnet au titre énigmatique : Je vous ai tant aimés. Une aura de mystère entoure cet ancien soldat allemand resté dans les Flandres après la guerre, exclu volontaire du monde des vivants. Nuit après nuit, Albert traduit à Jean, son petit-fils orphelin, le journal intime de cet homme hors du commun : sa jeunesse auprès de sa mère Pamina, militante féministe pour la paix, leur engagement humaniste commun face aux idéaux nazis, les rencontres qui détermineront une vie farouchement opposée à Hitler et cette impérieuse nécessité d'éveiller ses concitoyens pour les sortir de leur indifférence. Il en paiera le prix fort, objet de la machination cruelle d'un régime d'inhumanité pour le contraindre à rentrer dans le rang, lui, un organiste de talent qui communie avec la géniale harmonie d'un Bach ou d'un Haendel. L'amour de la musique qui transparait à chaque page est le fil conducteur de ce récit.

10/2019

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Littérature française

Le voleur d'étincelles

Le voleur d'étincelles est un des premiers romans de Robert Brasillach. Le personnage principal de cette oeuvre est un provincial émigré à Paris du nom de Lazare. Solitaire, il s'embarque facilement dans ses souvenirs d'enfant et redécouvre la ville où toute son histoire a commencé. Sensibles à la présence du bonheur et à la joie d'exister, les souvenirs de Lazare s'arrêteront particulièrement sur les passages, les odeurs et les histoires d'autrefois. Essayiste et romancier, Robert Brasillach (1909-1945) fit ses études au Lycée Louis-le-Grand à Paris puis à l'Ecole Normale Supérieure. Très jeune, il devint le responsable de la chronique littéraire de l'Action française et l'auteur de plusieurs chef-d'oeuvres littéraires. En 1939, il succéda à Pierre Gaxotte à la tête de l'hebdomadaire Je suis partout. En 1945, victime des drames de l'épuration, il fut condamné à mort par une cour de justice et exécuté malgré une pétition signée et adressée au général De Gaulle par les plus grand écrivains français dont François Mauriac.

02/1994

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Poésie

Le voleur de souffle

Il y a en nous beaucoup de pensées, d'arts, de savoirs. Certains explorent des univers, nos désirs, et notre mémoire. Pourtant le passage du vent sur les blés nous parle plus qu'aucun livre ; un simple chant d'oiseau nous creuse parfois d'un vide que rien ne comble ; le vacillement d'un regard, un nuage qui se déchire, nous arrachent soudain à toutes nos certitudes. C'est peut-être que ce qui nous concerne vraiment n'est pas de maîtriser ou comprendre, ni même de veiller ou d'être fraternels. Nos paroles sont-elles si fondamentales, si nécessaires ? Est-ce qu'elles ne commencent pas à vivre seulement lorsqu'elles deviennent peu sûres, passantes et défaites, mourants lambeaux comme nos instants ? Lorsqu'elles nous livrent moins au pouvoir des faits et à l'esprit du moment qu'aux tensions et aux luminescences qui nous en délivrent. Comme si le langage ne nous forunissait aucun moyen ni aucune vérité mais ne s'animait qu'à notre insu dans notre respiration la plus démunie.

04/1991

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Littérature française (poches)

Le voleur de bonbons

Douze ans, pas franchement beau, Matthieu ne fiche rien à l'école. À l'occasion, il chaparde. " On n'en fera jamais rien ", se lamente sa grand-mère. Tout le village est bien de cet avis. Arrive Manon. Ils ont le même âge. Lui, éclatant de santé ; elle, gravement malade : leucémique. Pour amener un sourire sur ses lèvres pâles, il lui fallait des cadeaux : des bonbons, un collier, un briquet - tous volés, bien sûr. Et, parce que Marion lui a dit qu'elle se sentait mieux lorsqu'elle avait communié, un jour il va trop loin. Le ciboire et les hosties disparaissent. Scandale dans ce hameau de Corrèze ! Cinq années dans un centre d'éducation surveillée, et Matthieu est libre. Il n'a cessé de penser à Marion ; il la retrouve. La maladie n'a pas abandonné la jeune fille ; Matthieu ne l'abandonnera pas non plus...

11/2004

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Policiers

Le voleur de morts

A travers la traque d'un tueur en série adepte du bistouri, Tess Gerritsen brosse un tableau captivant des débuts de la police scientifique. Boston, 1830. Alors qu'elle veille ô l'hôpital sur sa soeur mourante, Rose sympathise avec Norris, futur médecin d'origine modeste. Afin de financer ses études, ce dernier vole des cadavres dans les cimetières et les vend ensuite au marché noir. Quand une vague de meurtres sanglants secoue la ville, c'est sur lui que se portent tous les soupçons. De son côté, Rose comprend qu'elle est suivie et menacée... De nos jours, dons le Massachusetts. Julia fait une découverte macabre dons son jardin : le squelette d'une femme assassinée plus d'un siècle auparavant. Intriguée, elle décide d'élucider ce mystère. Son enquête la mène sur les traces d'un homme surnommé le Faucheur.

11/2012

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Littérature étrangère

Le voleur de voitures

Alex, seize ans, vient de voler sa quatorzième voiture. Pas pour la revendre ou se lancer dans un trafic, non, juste pour conduire, s'évader d'un morne quotidien coincé entre une scolarité dont il s'est totalement désintéressé et une famille éclatée - un père alcoolique ouvrier chez Chevrolet, une mère partie ailleurs en emmenant avec elle son petit frère. Largement inspiré de la jeunesse de l'auteur qui, comme Alex, découvrit la lecture en maison de correction après avoir été arrêté au volant d'un véhicule qui n'était pas le sien, Le Voleur de voitures arrive à créer un personnage universel, un adolescent paumé qui sombre dans la délinquance sans même en avoir conscience. Il s'embourbe mollement, espérant se faire arrêter pour que quelque chose vienne, enfin, perturber son existence morose. En suivant l'inexorable coulée de ce personnage qui perd pied, Theodore Weesner tresse un roman initiatique sensible et émouvant sur les relations père-fils, sur l'apprentissage de l'amour à l'adolescence, la recherche du frère perdu et la fin de l'enfance.

08/2015