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Une vie de Pintade à Beyrouth

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Une vie de Pintade à Beyrouth

À Beyrouth, les pintades ont du vent dans les voiles, des talons à flanquer le vertige à l'aiguille du Midi, des griffes manucurées en toute saison. Ici, être belle est un devoir. Jonglant habilement entre toutes les influences culturelles, elles chérissent leurs mezzés autant que leurs smoothies. Et quand elles ont fini de se demander qui elles sont exactement (chiites ou maronites, de la montagne ou de la plaine, du Nord ou du Sud), elles se retrouvent sur la Corniche, sur le front de mer, pour voir autant que pour être vues. Émancipées et pleines de tabous, féminines et militantes, superficielles et courageuses, les habitantes de Beyrouth sont pétries de contradictions. Femmes soumises, les Libanaises ? Vous repasserez. Les Pintades du Levant vont vous ébouriffer les plumes. Et vous pourriez même décider d'en prendre de la graine (de boulgour). Une pintade n'est ni une poule ni une dinde, ni même une caille, et certainement pas une bécasse, mais le symbole de la femme d'aujourd'hui, sérieuse et frivole à la fois. Dans une ville sous tension qui risque de déraper à tout moment, être une pintade est une déclaration de guerre à la guerre.

10/2009

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Une vie de Pintade à Madrid

Les Pintades c'est un peu comme avoir une meilleure amie dans chaque ville. Quand on pense aux Madrilènes, on imagine les personnages féminins déjantés des romans de Lucia Extebarria, les chicas à la sexualité débridée des films d’Almodovar et de Bigas Luna. La réalité est un peu plus nuancée mais tout aussi savoureuse. On croise toutes sortes de femmes dans les rues de Madrid, des « pijas » (les BCBG) de Salamanca aux branchées de Chueca, des « toda la vida » (« pure souche ») de Chamberi aux militantes multi-ethniques de Lavapiés. Madrid, « capitale européenne où l'on peut sortir un jeudi et rentrer à la maison le lundi suivant ! », est peuplée de femmes de tempérament qui n'aiment rien tant que vivre dans la rue, s’amuser avec leur pandilla (leur bande de copines de toujours), passer de bar à tapas en boîte de nuit, réinventer la Movida, boire, manger, draguer… Tout ça avec un décalage horaire permanent de deux bonnes heures ! Parce que l'Europe, l’euro, Zara et autres grandes chaînes franchisées sont loin d'avoir aplani les Pyrénées, suivez les Pintades dans l'exploration désopilante des coulisses d'une ville attachante, contrastée, où l'on peut croiser une procession de la Semaine Sainte en sortant d'une cérémonie de mariage gay, où les mall rutilants à l'américaine côtoient les merceries et les bazars de quartier, où les enfants, traités comme des petits princes, restent (par plaisir) au domicile parental jusque trente ans, où les femmes optent plus souvent pour la blondeur en tube que pour de folles boucles noires. Comme toujours, les Pintades sont partageuses : elles vous diront où manger les meilleurs œufs brouillés au chorizo, où trouver les meilleurs bars à tapas, où se faire pomponner, dans quelles piscines piquer une tête l'été, ou encore où vous faire faire (sur mesure) la même robe que la princesse Letizia…

03/2011

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Une vie de pintade à Berlin

« Je n’ai pas peur » est leur credo : féministes, enivrées de liberté, les Berlinoises portent leur ville chevillée au corps. Elles sont DJettes, designers, actrices porno-lesbiennes ou mères de famille… Toujours sans fards et sans artifices, elles pensent que la mode doit être pratique avant tout, pour leur permettre de filer à vélo le long de la Spree ou de faire la fête jusqu’au bout de la nuit. Leurs cafés sont légendaires, leurs brunchs dominicaux incontournables, sans parler de leur célèbre currywurst ! Et qu’on ne vienne pas leur dire qu’à Berlin l’hiver est trop long : les saunas sont là pour réchauffer les corps et les marchés de Noël pour réchauffer les coeurs. À la fois étude de moeurs, galerie de portraits et guide pratique, cet ouvrage vous donnera leurs adresses les plus pointues.Une Pintade n’est ni une poule ni une dinde et certainement pas une bécasse, mais le symbole de la femme d’aujourd’hui, sérieuse et frivole à la fois !

03/2012

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Une vie de Pintade à Moscou

Saviez-vous qu'en russe, « pintade » se dit tsesarka, un mot qui a la même étymologie que « tsar » et « César » ? On n'en attendait pas moins des pintades moscovites, qui s’apprêtent à élire leur nouveau président en mars 2012 ! Elles s'appellent Macha, Natacha, Olga, ou encore Ksenia, leurs griffes sont affûtées, leur peau est mordorée même en plein hiver, et elles ont su transformer leurs talons de 12 cm en pic à glace sur les trottoirs verglacés. Leur seule devise ? Il faut que ça brille. Et que ça saute ! Les Moscovites sont pressées, pressées de rattraper des décennies de soviétisme, dans une ville devenue l'épicentre d'un nouveau monde. Celui des somptueuses créatures qui filent parfaire leur total look à Milan ou à Paris, histoire d'amadouer les physios des clubs branchés ou de trouver un mari. Mais aussi celui des femmes fortes, babouchkas, immigrées ou chefs d'entreprise, capables de s’imposer dans une société qui ne leur fait pas de cadeaux.   Découvrez des tranches de vie savoureuses, passant d'un cours de strip-plastika, à une banya surchauffée où l'on se fait fouetter avec des branches de bouleau pour goûter au « BDSM » local (Bouleau Détente Sueur Massage), d'une messe pascale à la visite d'un élevage de sangsues réputées pour soulager les hémorroïdes.   Une vie de Pintade à Moscou vous donnera toutes les clés pour savoir où acheter les meilleurs œufs de saumon et les malossols les plus croquants, dans quels restaurants savourer la « perestroïka culinaire », quels ateliers de mode, patinoires et rivières fréquentés, le cours des pots de vin et le dresscode des clubs les plus réputés tout comme les recettes des remèdes de babouchka, à commencer par la vodka qui, déclinée en grogs et en frictions, semble sauver autant de Russes qu’elle n’en tue.

02/2012

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Une vie de pintade à Bruxelles

Lire les Pintades, c'est un peu comme avoir une meilleure amie dans chaque ville ! En bonne Bruxelloise d'adoption, Elisabeth Clauss vous prend sous son aile pour vous faire découvrir une ville plus complexe qu'il n'y paraît. Les Bruxelloises ont tellement de visages, que peindre leur portrait revient à faire un puzzle : Belges francophones ou néerlandophones, cousines françaises, expatriées eurocrates, ou immigrées en quête d'une vie meilleure au grand carrefour de l'Europe. Pourtant, quand on les croise, on les reconnaît tout de suite. Elles sont ouvertes, drôles, généreuses. Elles sortent du bus pour hisser avec vous vos cabas de courses. Elles vous ouvrent leur carnet d'adresses quand vous débarquez et que vous ne connaissez personne.   Les Bruxelloises vivent à une 1 h 20 de Thalys de Paris, dans la capitale d'un pays devenu en quelques décennies le point de mire de l'Europe. En tirent-elles une gloire particulière ? Pas le moins du monde. Elles ont beau baigner dans l'avant-garde depuis toujours, elles ne se prennent pas pour les reines du poulailler. Des créateurs que la mode internationale s'arrache aux fritkots incontournables, des pubs irlandais aux restos libanais, du coiffeur de la Cour aux hammams traditionnels, des parcs envahis de pintadeaux dorlotés et de perruches vertes, en passant par les hauts lieux de la nuit si joyeuse et si gay, Une Vie de Pintade à Bruxelles guidera vos pas dans cette formidable basse-cour.

10/2012

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Une vie de pintade à Bruxelles

Ce sont de drôles d'oiseaux qui ne vivent qu'à une heure vingt en train de Paris. Belges francophones ou néerlandophones, cousines françaises, expatriées eurocrates ou immigrées en quête d'une vie meilleure. les Bruxelloises ont mille visages. Des créateurs que la mode internationale s'arrache aux fritkots incontournables, des pubs irlandais aux hammams traditionnel, en passant par les hauts lieux de la nuit, Elisabeth Clauss, journaliste française qui vit à Bruxelles depuis plus de dix ans, vous prend sous son aile pour vous faire découvrir une ville plus complexe qu'il n'y paraît. Découvrez ses conseils et ses bonnes adresses actualisées pour tirer le meilleur parti de la ville. Une Pintade n'est ni une poule ni une dinde et certainement pas une bécasse, mais le symbole de la femme d'aujourd'hui, sérieuse et frivole à la fois !

03/2014

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Une vie de Pintade à Berlin

Lire les Pintades, c’est un peu comme avoir une meilleure amie dans chaque ville ! En 8 chapitres désopilants, Une vie de Pintade à Berlin décode les modes de vie des Berlinoises et offre un guide pointu de leurs meilleures adresses. Ich bin eine Berlinerin ! Tel pourrait être le cri de ralliement des Pintades berlinoises. Féministes et indépendantes, rebelles et libertaires, elles portent leur ville chevillée au corps. Vivre sous le régime nazi, sous la pluie des bombes, puis sous l’ombre d’un mur presque aussi célèbre que la Grande Muraille de Chine, ça forge les caractères. Mais Berlin attire aussi celles à qui l’éternelle adolescence va bien au teint, venues de la Ruhr, de Bavière, d’Espagne ou de Colombie pour rejoindre la ville de tous les possibles. Elles sont DJettes, designers, actrices porno-lesbiennes ou mères de famille. Elles sont naturelles, sans fards, sans artifices. Elles aiment leur corps parce qu’il est fonctionnel et ce n’est pas un pet lâché en public ou quelques poils fusant des aisselles qui les effaroucheront. La mode est d’abord pratique pour elles, qui filent à fond sur leurs vélos dans les rues ou le long de la Spree. Et puis le verglas ne fait pas bon ménage avec les talons aiguilles ? les aiguilles, elles en réservent l’usage aux tatoueurs qui ornent leur peau de dessins dont la finesse n’a rien à envier aux tableaux d’Albrecht Dürer. Et qu’on ne vienne pas leur dire qu’à Berlin l’hiver est trop long : les cabines à UV et les saunas chauds bouillants sont là pour réchauffer les corps, les marchés de Noël pour réchauffer les cœurs, et pour se réchauffer les sangs, les Pintades berlinoises savent que dans leur capitale on peut faire la fête jusqu’au bout de la nuit, qu’elle soit noire ou qu’elle soit blanche.

03/2011

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BD tout public

Un automne à Beyrouth

De la trivialité des salles de gym ou des soirées de l'upper-class libanaise aux problématiques de la condition féminine, du harcèlement sexuel ou encore des tensions religieuses, Lisa Mandel réussit l'habile tour de force de nous dessiner un Liban aux multiples facettes. Le dénominateur commun de ces notes ? L'humour, évidemment. CHE

09/2018

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Récits de voyage

Un cafe à Beyrouth

Un café à Beyrouth est un vagabondage inédit au coeur d'une ville particulièrement attachante et d'une richesse - humaine, historique, culturelle - insoupçonnée : on y croise des chrétiens, des musulmans, des juifs, des Arméniens, des cireurs de chaussures, des petits vendeurs ambulants, des militaires avenants, des réfugiés syriens et irakiens, des travailleurs africains, des Libanais amoureux de leur pays et ardents défenseurs du patrimoine, des chauffeurs de bus improbables, des éleveurs de chevaux ; on y devine l'ombre du général de Gaulle, du futur résistant Missak Manouchian, de Lamartine, Barrès, Nerval, etc. ; on y contemple des pierres multiséculaires, une architecture traditionnelle en péril, une nature maltraitée mais luxuriante... Surtout, on y découvre une âme singulière, fière de ses racines mais pétrie de mille influences, qui se dévoile autour d'un café.

04/2018

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Littérature française

Un printemps à Beyrouth

" Une jeune française d'origine libanaise part découvrir Beyrouth, la ville mythique de ses origines. Une histoire apparemment banale qui commence comme un simple récit de voyage et qui peu à peu vous transporte dans un univers à la fois profond, intime et politique, conjuguant à merveille macrocosme et microcosme, ce à travers un récit concis, tout en impressions subtiles et pointillistes, où l'on partage l'évolution intérieure de la voyageuse en mutation. La violence et la mort, l'amour et la déliquescence de Beyrouth, la jonction entre le vécu du personnage et l'architecture galopante et destructrice de la ville en proie aux démons de la mondialisation opèrent à merveille. Assassinats et viols banalisés, turpitudes des femmes et des hommes faussement libérés du carcan religieux, Islamistes bornés et hypocrites, affairistes érotomanes, arbitraire, et danger permanent tout concourt à faire de ce périple un itinéraire initiatique aux antipodes de la carte postale ! Beyrouth devient ici symbole d'une décadence.

01/2012

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Policiers

Vengeance à Beyrouth

De 1965, année du premier SAS, "SAS à Istanbul", à sa disparition en octobre 2013 Gérard de Villiers, l'auteur de cette collection de livres d'espionnage, a écrit et publié 200 SAS. Le héros, Malko Linge, est un Prince Autrichien et agent de la CIA. Souvent accompagné de son fidèle majordome et garde du corps le redoutable Elko Chrisantem. Propriétaire du château de Liezen et fiancé à Alexandra, une blonde sulfureuse. Ces romans ont la particularité de mêler voyages exotiques et intrigues des services de renseignement. Un article de janvier 2013 paru dans The New York Times revient sur la longue et prolifique carrière de l'auteur et sur l'intérêt que portent les services secrets du monde entier à ses écrits. En effet, certains des événements décrits dans les aventures de Malko se sont étrangement reproduits, parfois presque à l'identique. Une référence en géopolitique.

07/2016

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Littérature francophone

Rififi à Beyrouth

Quel rapport existerait-il entre un investisseur libanais, financeur de mosquées, et l'explosion d'un cargo bourré de nitrate d'ammonium dans le port de Beyrouth ? Hanzo, correspondant pour les renseignements, a intercepté un mystérieux message et a ordre de se rendre sur place. Cependant, l'affaire stagne et il réclame le renfort de Vince, un ancien directeur de cabinet opportunément réincorporé dans l'armée après avoir été condamné pour violences sur sa maîtresse Shana. Sa personnalité toxique et ses méthodes perverses parviendront-elles à résoudre l'énigme ?

10/2022

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Policiers

Mort à Beyrouth

A la suite de la visite de Richard Nixon en Chine en 1972, les Chinois souhaitent acheter une trentaine d'avions longs-courriers Boeing 707 aux Etats-Unis. Ces derniers veulent un dispositif commercial discret. Les Américains vont vendre les avions à l'entreprise dirigée par Jezzine Khalil, important commerçant libanais, qui les revendra ensuite aux Chinois. Le KGB tente de faire avorter l'opération. Malko est envoyé au Liban pour protéger le commerçant. Katia revint dans la pièce où Malko reposait sur le ventre. Il sentit ses mains lui caresser les reins. Amoureusement. Soudain, il eut l'impression qu'elle lui avait versé un liquide glacé sur la fesse gauche. Il aperçut une longue aiguille enfoncée dans sa chair, prolongement d'une seringue remplie d'un liquide incolore. Avec une brutalité inouïe, Katia le frappa à la nuque. Etourdi, il perdit brusquement connaissance. Avec l'horrible pensée qu'il ne se réveillerait pas.

10/1989

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Romans d'espionnage

Duel à Beyrouth

Ronen, un agent limogé du Mossad, a disparu de la circulation après l'échec d'une tentative d'assassinat contre un dirigeant du Hezbollah responsable d'attentats-suicides en Israël. Sa femme - elle-même une ancienne des services secrets israéliens - contacte son ancien commandant, Gadi, pour retrouver Ronen et l'arrêter avant qu'il ne commette l'irréparable, pour lui et pour son pays. La course-poursuite entre les deux hommes va déboucher en un véritable dilemme moral. Aussi surprenant par son intensité psychologique que par l'immersion ultra réaliste dans le quotidien des membres du Mossad, Duel à Beyrouth nous fait pénétrer dans un monde très controversé mais mal connu. Un thriller implacable, mêlant espionnage et intrigue politique. Mishka Ben-David a été un agent du Mossad pendant une douzaine d'années avant de quitter la légendaire agence de renseignement et de devenir un romancier acclamé dans son pays et dans le monde anglo-saxon.

02/2023

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Littérature française

Eclat d'une vie. Beyrouth, 4 août 2020, 18h07

Beyrouth, le 4 août 2020 à 18h07. Une déflagration apocalyptique souffle la capitale libanaise, classée troisième explosion en termes de puissance après celle d'Hiroshima et de Nagasaki. Elle serait due à un incendie survenu dans le hangar #12 du port qui entreposait officieusement du nitrate d'ammonium depuis des années. Le bilan s'élève à plus de 220 morts et près de 7000 blessés, dont l'auteure fait partie. Plus d'un an après cette catastrophe humanitaire, justice n'a toujours pas été rendue. Ce livre est un témoignage de vie qui relate l'horreur de ce que vivent toujours les Libanais et lève le voile sur le "lent génocide" des habitants du pays du Cèdre - qui tonnait une des pires crises économique, politique et sanitaire jamais vues depuis 1850 - pris en otages par leur gouvernement depuis de longs mois. Ce livre, c'est aussi l'histoire pleine d'espoir d'une jeune femme qui survivra au drame et qui découvrira un éclat de vie parmi les éclats de verre qui parsèment son présent. Les faits, tout à fait réels, y sont un brin romancés.

11/2021

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Littérature francophone

Survivances. D'une Beyrouth assassinée à une France contaminée

"Le spectacle invraisemblable de la mort ne quittait pas l'esprit de ces victimes irascibles. Nora s'enferma dans un silence traumatisant en avouant qu'elle était bien dépressive. Comment oublier ces hommes et femmes qui couraient comme des fous, dans les rues jonchées de gravats, pieds nus ? Ils criaient à tue-tête, en cherchant des yeux et en interpellant des noms. Alors que les sirènes des ambulances, qui transportaient les blessés et les morts, hurlaient à travers une nuit épaisse de ténèbres (...) marquée par l'odeur de l'ignition des corps et des gaz (...) L'ambiance était lugubre et le silence déprimant. Comment en serait-il autrement et Salma ne savait plus comment et quand faire son deuil ? "

07/2021

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Beaux arts

Habitats abandonnés - Une histoire de Beyrouth

Depuis cent cinquante ans, Beyrouth connaît une succession de croissances débridées, de guerres, de crises économiques et de flux migratoires. C'est dans cet environnement qui, sans cesse, se peuple, se désagrège et se recompose que Gregory Buchakjian a consacré aux habitats abandonnés un projet artistique et une recherche. Englobant l'inventaire de 744 édifices, la collecte d'archives et de témoignages, la rédaction d'une thèse de doctorat et la réalisation de tableaux photographiques où des personnes se meuvent parmi des meubles défoncés et des monticules de déchets, la démarche qui constitue cet ouvrage propose de nouvelles lectures de la ville ainsi que des instruments pour se la réapproprier à une époque où elle est confrontée à diverses formes de violence.

09/2018

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Littérature française

Six jours à Beyrouth

Juin 1982 : un avion venant du Caire fait une escale à Beyrouth. A ce moment précis, la fermeture de l'aéroport est décrétée. Nous sommes à la veille d'une invasion israélienne, l'opération Galilée. Pendant six jours, les passagers de l'avion vont demeurer dans une ville en état de guerre, plongée dans les luttes intestines qui dévorent le Liban. Jean Coursenois, jeune archéologue davantage habitué aux ruines antiques que modernes, et Els, une jeune agronome belge, vont découvrir la guerre, l'amour et l'absurde. Absurdité éternelle qui aboutira devant les ruines du World Trade Center à New York.

10/2013

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Photographie

Beyrouth à coeur ouvert

Cet ouvrage n'a ni l'ambition ni la prétention d'être une réflexion raisonnée, encore moins de répondre à des considérations politiques, car l'heure et la primauté sont à l'émotion. Donner la parole à ceux qui font Beyrouth, qui sont son essence, ceux qui y vivent, qui la vivent et la rende vivante est la motivation première de ce livre. Ces hommes et femmes, jeunes ou moins jeunes, artistes, professeurs, hommes de foi, thérapeutes, tous dévoilent leurs émotions les plus essentielles. Leur fragilité et leur sincérité ne peuvent que nous toucher, car leurs paroles révèlent ce qu'il y a de plus humain en eux, et inévitablement en nous. A l'exception de trois textes, tous les témoignages ont été écrits en français. C'est dire la relation étroite que les libanais entretiennent avec la France et la langue française. Le 4 Août 2020, une terrible explosion est survenue à Beyrouth et a causé des dégâts inestimables. Le 4 Août est désormais un jour de deuil dont le monde entier se souviendra. Pourtant ce n'est pas seulement ce qu'on lira ici. Les libanais et les libanaises nous montrent encore une fois que le coeur et l'esprit ne peuvent être réduits au silence. C'est ce qui se lit à travers leurs écrits et c'est exactement cela qui nous lie à eux.

11/2020

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Littérature française

Six jours à Beyrouth

Juin 1982 : Un avion venant du Caire fait une escale à Beyrouth. A ce moment précis, la fermeture de l'aéroport est décrétée. Nous sommes à la veille d'une invasion israélienne, l'opération Galilée. Pendant six jours, les passagers de l'avion vont demeurer dans une ville en état de guerre, plongée dans les luttes intestines qui dévorent le Liban. Jean Coursenois, jeune archéologue davantage habitué aux ruines antiques que modernes, et Els, une jeune agronome belge, vont découvrir la guerre, l'amour et l'absurde. Absurdité éternelle qui aboutira devant les ruines du World Trade Center à New York.

12/2013

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Histoire internationale

Un balcon à Beyrouth précédé de Beyrouth ou la séparation. Edition revue et corrigée

«Je rassemble ici deux petits livres écrits à quelques années de distance : le premier en 1986, alors que le Liban était la proie d'une interminable guerre civile, et l'autre en 1994, lors de mon retour au Liban, après quelques années d'une étrange paix. Livres de l'exil et des retrouvailles ; livres hantés par l'enfance et par ce qui est aboli. C'est pourquoi, les relisant, je songe qu'ils appellent un autre livre sur mon enfance libanaise : livre rêvé depuis bien des années, mais auquel je sais que je ne pourrai me dérober infiniment, et grâce auquel je retrouverai peut-être ce que je croyais à jamais perdu.» Richard Millet.

05/2005

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Littérature française

Lettres de Beyrouth

Ces chroniques ont été écrites entre septembre et décembre 2011, dans le cadre du projet de résidences croisées mis en place par le TARMAC à Paris et les associations Assabil (les amis des bibliothèques publiques) et Kitabat (les ateliers d'écriture au Liban), avec le soutien financier de la Région Ile-de-France. Elles ont paru au fur et à mesure sur le blog "Paris-Beyrouth (Sonia Ristic)". Au départ, ce ne devait être qu'un clin d'oeil de l'auteure à l'attention de ses proches : quelques mots, quelques photos, histoire de rester en contact. Mais rapidement, les rencontres et les découvertes ont réveillé en elle le besoin d'en dire plus, de porter un regard personnel sur Beyrouth et le Liban d'aujourd'hui. Un regard d'autant plus subjectif que les histoires qui ont croisé la route de Sonia Ristic durant ces quatre mois n'ont cessé de résonner avec sa propre histoire et avec les autres lieux où elle a passé une partie de son enfance et de son adolescence.

03/2012

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BD tout public

Agatha de Beyrouth

Le livre est né d’une performance réalisée à Beyrouth en avril 2009 : en direct et en public, Jacques Jouet a écrit et Zeina Abirached illustré, durant 24 heures reparties en 3 jours, 24 épisodes du roman-feuilleton potentiellement infini Mek-Ouyes. Les deux auteurs ont mélé leurs univers : Agatha de Win’theuil, présidente du gouvernement du Monde-Mondes, devenant pour l’occasion Agatha de Beyrouth, va rencontrer deux des habitants du 38 rue Youssef Semaani : Choucri, le chauffeur de taxi, et Ernest Chalita, le professeur de Lettres. L’intrigue a pour cadre la Maison Jaune, haut lieu historique situé sur l’ancienne ligne de démarcation entre Beyrouth Est et Ouest. Texte et dessin se répondent dans ce livre au ton enlevé, où la cocasserie des situations domine, même si les cicatrices d’un ville martyrisée par la guerre affleurent.

05/2011

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Histoire internationale

Histoire de Beyrouth

Ville carrefour entre trois mondes Asie, Afrique et Europe, à la fois orientale et occidentalisée, poumon économique du pays, centre culturel majeur, vouée aux cauchemars de la guerre civile entre 1975 et 1990, la capitale du Liban, avec ses écrivains et ses artistes, son urbanisme et son architecture, est fascinante. Tout en restituant l'histoire plurielle et la diversité des visages de cette métropole régionale cosmopolite, ce livre inspiré se concentre sur ce qui a fait d'elle, depuis le XIXe siècle, l'un des premiers espaces de la modernité en terre arabe.

06/2012

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Autres éditeurs (A à E)

Le Nid de Pendo la Pintade

Dans la savane en Afrique, Pendo la pintade rentre à la maison. Arrivée, elle découvre qu'il y a un monstre dans son nid. Il a de gros yeux rouges et des dents très pointues. Le monstre refuse de sortir du nid. Apeurée, Pendo la pintade va chercher de l'aide auprès du singe, de l'éléphant, du lion... Vont-ils réussir à faire partir le monstre du nid ? Est-ce un vrai monstre ?

11/2021

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Romans policiers

L'inspecteur Dalil à Beyrouth

De retour a? Casablanca, l'inspecteur Dalil est envoye? d'urgence a? Beyrouth, pour enque?ter sur le meurtre d'une jeune chanteuse marocaine retrouve?e dans sa chambre d'ho?tel, la gorge tranche?e. Mais ce n'est la? qu'un alibi. Il est en re?alite? charge? d'une mission classe?e secret de?fense, capitale et bien plus dangereuse. Il s'agit de localiser des missiles iraniens de?tenus par le Hezbollah sur le sol libanais. Sur place, le contact de Dalil est la de?licieuse Nabila l'E?gyptienne, alias la Chatte, agent dormant des services marocains au Moyen-Orient. Toutefois, afin de mener sa mission a? bien en toute se?curite?, Dalil pre?fe?re embaucher comme guide le petit Rafik, un gamin de?brouillard et re?fugie? syrien. Mais l'enle?vement de Rafik par Abou Ja?afar – un autre pre?tendant aux missiles – va lourdement compliquer la donne. Une course contre la montre s' engage alors... L ' inspecteur Dalil s'en sortira-t-il vivant ?

09/2022

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Cuisine Afrique et Moyen-Orien

La cuisine libanaise. De Beyrouth à Paris

Le livre incontournable des amateurs d'une cuisine libanaise authentique La cuisine libanaise se caractérise par une variété unique de mets parfumés et réputés : mezzés, kebbés, houmous, falafels... Mais on connaît moins certains plats dont chaque famille garde le secret. Héritage en constante évolution, cette cuisine, en traversant la Méditerranée, se nourrit de rencontres et d'échanges. Andrée Maalouf et Karim Haïdar nous offrent ainsi 90 recettes essentielles, inédites ou reprises de leurs premiers ouvrages, reflet de cette cuisine généreuse et expressive et à la fois résolument contemporaine. Mouhammara, purée de poivrons rouges aux noix · Fatayers · Fatté de fèves aux épinards · Harra' osbo, lentilles au tamarin · Ma'loubé d'aubergines · Chiches-baraks · Kafta aux cerises · Agneau aux cinq épices · Kébbé de poisson, sauce tajine · Samké harra de Tripoli · Glace achta · Osmallié à la crème de lait et à la rose · Etc. Le 90 recettes de référence, savoureuses et faciles à réaliser Avec leurs précédents ouvrages (Cuisine libanaise d'hier et d'aujourd'hui, 2007, et Saveurs libanaises, miroir de la diversité, 2015), Andrée Maalouf et Karim Haïdar se sont imposés comme la nouvelle référence pour tous les amoureux d'une cuisine libanaise authentique résolument contemporaine. Andrée MAALOUF conjugue la tradition culinaire du Liban avec les goûts et les exigences d'aujourd'hui. Karim HAÏDAR, chef talentueux, est consultant spécialisé en cuisine libanaise. Après avoir ouvert de nombreux restaurants à travers le monde, il officie actuellement à Paris, dans son restaurant Sama et dans sa "boutique à manger" , Les mots et le ciel. Préface de Amin MAALOUF, de l'Académie française. Stylisme de Coralie Ferreira et Sabine Paris. Photos d'Aline Princet, Caroline Faccioli et Loïc Nicoloso.

11/2023

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Littérature étrangère

Récits de villes : d'Aden à Beyrouth

Beyrouth et Aden ont été ravagées par des conflits internes et externes : la première dans les guerres qui s'y sont succédé entre 1975 et 1990, la seconde dans la lutte fratricide de 1986, puis dans l'affrontement entre le Nord et le Sud du Yémen en 1994. Leur destin, radicalement transformé par la violence politique et communautaire, illustre de manière exemplaire le statut de la ville dans l'Orient arabe comme espace disputé. Les territoires urbains peuvent se changer en véritables champs de bataille ou faire l'objet de guerres plus silencieuses entre modes de vie concurrents, ce qui contribue dans les deux cas à reconfigurer les lieux et les centralités. Alliant coups de sonde historiques, réflexions théoriques et expériences du quotidien, Franck Mermier propose de reconsidérer la notion d'urbanité en la saisissant à travers les expressions culturelles de la ville. A l'urbain générique il substitue le citadin avec ses ancrages historiques et sociologiques différenciés. Ce faisant, il retrace à travers des lieux et des moments emblématiques son propre itinéraire d'anthropologue.

05/2015

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Littérature érotique et sentim

Beyrouth ne pardonne pas

Fabienne est une jeune Libanaise chrétienne, élevée par sa mère dans l'amour de la France. A telle enseigne qu'elle ira à Paris terminer ses études et se lancer dans la vie. Là, elle rencontre un homme, médecin de son état, dont elle tombe amoureuse. Amour partagé. Cet homme est, lui aussi, Libanais. Une surprise de taille attend Fabienne. Cependant d'un commun accord les deux amants, enfants de la guerre civile qui a ravagé leur patrie, décident de surmonter ensemble les grands clivages meurtriers, nés pour la plupart de religions exacerbées. Par malheur, leurs bonnes résolutions se heurtent à l'hostilité de leurs familles respectives. De toutes leurs forces, de tout leur amour, ils font face, main dans la main, illustrant cette belle pensée de Jacques de Bourbon-Busset, mise en exergue : "L'amour, c'est quand la différence ne sépare plus". Ils ont beau faire, les forces conservatrices familiales l'emporteront, renouvelant ainsi les grands drames de la guerre civile et, plus largement, posant avec une terrible franchise l'impossibilité d'accorder les âmes en même temps que les esprits. Y aura- t- il une dernière planche de salut pour le couple ? Beyrouth sera-t-elle à la hauteur de sa mission de capitale-message ?

05/2019

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Littérature française

Beyrouth Canicule

Années 70. Palestiniens et Israéliens se livrent une guerre sans merci : prise d'otages de Munich, coups d'éclats de Septembre Noir... A Paris, Kamel, étudiant algérien idéaliste et bon vivant, s'engage auprès de compatriotes militant pour la démocratie en Algérie. Comme eux, il se sent solidaire de la cause palestinienne. Aussi, lorsque le charismatique chef du mouvement l'investit d'une mission secrète au Liban, se voit-il incapable de refuser. Mais Kamel à Beyrouth, c'est un peu Candide au pays du Cèdre. La valise orange à double fond est bien trop voyante pour ne pas être repérée... Pris dans la tourmente d'un pays au bord de l'explosion, ballotté au gré de rencontres déconcertantes ou d'enjeux politiques qui le dépassent, Kamel vogue de galères en surprises. Quand la fiction se frotte à la réalité, les tribulations d'un Algérien à Beyrouth nous promènent dans les coulisses de l'Histoire.

04/2010