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Un Français sous l'Occupation. Chronique illustrée

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Histoire de France

Un Français sous l'Occupation. Chronique illustrée

Fondé sur le journal intime tenu sous l'Occupation par un habitant de la région parisienne, ce livre est une chronique incisive de la vie quotidienne des Français entre 1940 et 1945. Par une nouvelle approche, cet ouvrage vous propose de comprendre l'Histoire en lui redonnant vie par l'image ; des images fantasmées d'une époque lointaine mais encore présente grâce à des passionnés et des collectionneurs qui ont décidé de préserver objets et documents de cette période. Ce récit est illustré par un travail de mise en scène où les acteurs composent une tranche de vie devant le photographe, comme si celle-ci s'était déroulée il y a plus de soixante-dix-ans. Rationnement, pénuries, questions politiques et culturelles y sont abordées de façon inédite.

04/2017

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Histoire de France

La vie des Français sous l'Occupation

Ils sont plus de quarante millions en juin quarante lorsque les Allemands occupent la France. Et ce livre raconte leur vie quotidienne. La tentation était grande de se faire l'historien de ces millions d'anonymes. Pourquoi ne pas raconter non seulement les aventures sanglantes des Français sur les routes de l'exode, mais aussi leurs difficultés à se procurer leur pain quotidien, leurs ruses, leurs expéditions et leurs batailles dans les campagnes nourricières ? Pourquoi ne pas dire les ersatz, le faux tabac, le faux café, le faux savon, les faux témoins, les divertissements d'une époque qui n'a pas été " noire " pour tout le monde, mais aussi les souffrances des femmes de prisonniers de guerre, le martyre de tous ceux que la Gestapo traquait et attaquait ? Pourquoi ne pas évoquer les nuits d'alerte, les lendemains de bombardements, le climat de ces villes dont les rafles, le couvre-feu dépeuplent les rues, l'écoute de la radio anglaise dans l'odeur des rutabagas, la vie des maquisards pour qui le combat n'est qu'une brève lumière dans la suite des jours ternes et dangereux ? Très différent de tous les livres qui ont paru sur les années 1940-1944, La vie des Français sous l'Occupation éclaire d'un jour nouveau l'une des périodes les plus dramatiques et les plus controversées de l'histoire contemporaine.

11/2007

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Histoire de France

La vie des français sous l'Occupation

Ils sont plus de quarante millions en juin quarante lorsque les Allemands occupent la France. Ce livre raconte leur vie quotidienne. L'exode, les difficultés à se procurer le pain, les souffrances des femmes des prisonniers de guerre, le martyre de tous ceux que la Gestapo traque et arrête, la vie des maquisards mais aussi la collaboration, les persécutions des Juifs, les dénonciations.

10/2011

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Histoire de France

Industriels et banquiers français sous l'Occupation

L'ouverture des archives des années 1930 et 1940, en particulier les fonds français et allemands de l'instruction des procès des ministres de Vichy en Haute Cour, permet de répondre aujourd'hui formellement à la question que posait en 1999 l'ouvrage Industriels et banquiers sous l'Occupation. La collaboration économique avec le Reich et Vichy : la haute banque et la grande industrie furent-elles confrontées au vainqueur allemand brutalement installé à l'été 1940 ou accueillirent-elles avec empressement leur partenaire privilégié, pour amplifier une collaboration "continentale" et "européenne" établie de longue date ? L'hypothèse d'un lien organique entre la "collaboration économique" - ou la Collaboration tout court - d'avant-guerre et celle de l'Occupation reflète ce qu'Alexandre Jardin appelle dans sa préface "l'effarante réalité", celle qui pousse à "entrer en déni pour trouver l'existence plus respirable". La continuité des pratiques du grand capital financier entre Crise et Occupation est désormais démontrée : vente au Reich de tout ce qui pouvait être vendu, des matières premières aux produits fabriqués, fondation de cartels "européens" à direction allemande, cession des titres français - qualifiés de 1940 à 1944 d'"aryens" ou de "juifs" et associations de capitaux, avec éviction, depuis l'invasion, des "capitaux juifs". Les sources révèlent le rôle décisif joué par les grands lieutenants de la synarchie dans "l'état français" et dans l'économie, désormais exclusivement mise au service de la machine de guerre allemande : industriels et banquiers eux-mêmes, hauts fonctionnaires, permanents ou d'occasion, ils appliquèrent, avec l'aide de l'occupant, un plan drastique de hausse du profit, de concentration du capital et de baisse des salaires. Délégués à tous les ministères économiques, ils investirent aussi l'Intérieur, poste utile au combat contre les "indésirables" intérieurs, étrangers ou français, les ouvriers "meneurs" ou non, mais aussi les modestes concurrents économiques, juifs ou "aryens"Les archives désormais accessibles éclairent enfin les étapes du passage des élites financières de la Collaboration, souvent poursuivie jusqu'aux limites de l'été 1944, au ralliement général à la Pax Americana et au triomphe du statu quo socio-économique de la Libération. Si "effarants" qu'ils soient, ces fonds imposaient de refaire l'ouvrage de 1999. Sa nouvelle version est une obligation bienvenue, à l'heure où une nouvelle bourrasque systémique renoue avec l'ère de Crise et de guerre.

08/2013

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Sciences historiques

Vivre sous l'Occupation (1940-1945). Chroniques jurassiennes

Après le succès de son premier ouvrage "Jura Territoires de résistance", André Robert aborde cette fois-ci la vie quotidienne des jurassiens durant la seconde guerre mondiale.

11/2015

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Littérature française

Sous l'Occupation

"Mobilisé en 1939, je prêtais un grand intérêt à ce qui se passait autour de moi. Comme rien ne me plaisait plus que d'écrire, je résolus de le faire et, pendant cinq ans tous les soirs, je notai ce que j'avais appris et entendu dire autour de moi. Cela sans faire exception des situations et des personnes, interrogeant et écoutant aussi bien le simple soldat et le paysan que l'homme notoire. Tous les témoignages pouvaient présenter de l'intérêt, sans bien entendu avoir le même poids. Les propos des écrivains surtout m'intéressaient. Ils n'étaient pas concordants ; la plupart, cependant, hostiles à l'occupant, comme étaient les miens. Malgré tout je ne croyais pas à l'efficacité d'une résistance active. Les moyens dont pouvaient disposer les Français me paraissaient dérisoires par rapport à ceux dont disposaient les Allemands. J'admirais l'esprit de sacrifice de ceux qui, au péril de leur vie, faisaient sauter des wagons ou plus simplement distribuaient des tracts, mais il me semble que, même si j'avais eu plus de courage, je n'aurais pas été tenté de les imiter. Je croyais, comme mon homonyme Albert Grenier, que la victoire obtenue par les Allemands avec des machines changerait de camp avec d'autres machines plus puissantes aux mains des Américains." Jean Grenier.

03/2014

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Histoire de France

La Haute Couture française sous l'occupation

L'histoire de la Haute Couture française durant la période de l'Occupation demeure largement méconnue. Si le maintien de cette activité constitue un véritable défi pour les créateurs, qui doivent déployer des trésors d'ingéniosité pour faire face à la mainmise allemande, au manque de matières premières, et à une clientèle éprouvée, il constitue aussi un acte politique. Il s'agit en effet d'empêcher que la Haute Couture ne devienne un élément d'instrumentalisation du régime de Vichy. Car ce véritable patrimoine national, que les couturiers cherchent à tout prix à préserver, revêt avant tout une valeur de symbole : l'élégance à la française constitue un acte de défiance envers l'occupant, et représente l'espoir de préserver l'image de tout un pays. Un ouvrage riche et captivant, par une historienne spécialiste de la Haute Couture et de la période de l'Occupation.

01/2021

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Histoire de France

Ces excellents français. Une famille juive sous l'Occupation

A l'origine, une boîte. Retrouvée dans un tiroir familial, elle contient une centaine de cartes postales enfantines datées de la Seconde Guerre mondiale, d'apparence guillerettes, mais qui laissent entrevoir les déménagements, les séparations, la nourriture qui fait défaut, la peur, le bruit des armes. Puis une envie, un besoin irrépressible de remonter le temps pour recomposer la vie du petit Jean-Paul, de ses parents Lise et Poldi, de cette famille juive d'origine étrangère qui s'imaginait faire partie de ces "excellents Français" que chantait Maurice Chevalier en 1939. Avocate comme son père et son grand-père, héros de cette histoire, Anne Wachsmann mène durant plusieurs années une enquête minutieuse pour comprendre comment sa famille a réussi à survivre, comme tant d'autres familles juives françaises, aux persécutions du régime de Vichy et des nazis. Cette recherche, semée d'embûches et de fausses pistes, la porte de Strasbourg à Agen, de la Suisse à l'Allier, en passant par Auschwitz, Marseille ou Grenoble. Elle convoque les écrits de nombreux historiens et les témoignages d'écrivains sur la vie des Juifs sous l'Occupation (Georges Perec, Patrick Modiano, Anne Sinclair...), compulse les archives, enquête dans sa famille élargie. Avec une écriture précise, fluide et documentée, elle fait revivre le quotidien de cette famille qui a résisté aux lois antisémites avec l'aide de héros anonymes, grâce à une capacité d'adaptation insoupçonnée, à des choix de chaque instant, à une grande part de chance et, surtout, grâce a l'amour sans faille qui transparaît dans des cartes postales toujours légères et colorées échangées entre un père et son petit garçon durant ces années noires.

10/2020

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BD tout public

Dictionnaire illustré de la bande dessinée belge sous l'Occupation

S'il existe de nombreux ouvrages consacrés à l'étude de la bande dessinée, aucun ne s'est intéressé jusqu'à présent au cas spécifique du 9e art en Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant cette période présente de nombreux aspects passionnants et révèle un véritable "âge d'or", né de l'éclosion de formidables talents nationaux, appelés notamment à remplacer les séries importées des Etats-Unis et stoppées par la guerre. Les quelque 270 entrées de ce Dictionnaire présentent non seulement des auteurs - scénaristes et dessinateurs -, des oeuvres, des personnages, des éditeurs, des genres, mais également le difficile contexte politique, culturel et social de l'époque qui donne sa couleur à l'ensemble. On y croise aussi bien Hergé que M Antoine, J-M Charlier, F Dineur, J Doisy, J Dratz, A Fromenteau, F Funcken, Ch Gilbert, B Heuvelmans, E P Jacobs, Jijé, J Laudy, J Van Melkebeke, J Meuwissen, Mitacq, M Moniquet, A Peclers, Rob-Vel, Sirius, Tenas, M Tillieux ou W Vandersteen - et bien d'autres encore ! On y retrouve également, avec nostalgie, des séries et personnages comme Akkor, le roi de la planète ; Les Aventures de Benjamin ; Blondin et Cirage ; Bob ou l'enfant du rail ; Boulou et l'aventure ; Brick Bradford ; Christophe Colomb ; Le Crabe aux pinces d or ; Don Bosco ; L'Epervier bleu ; L'Etoile mystérieuse ; Gordon l'Intrépide ; Les Aventures de Jacquy et Marcou ; Marc, Hercule moderne ; Le Navire fantôme ; Niki Lapin ; Les Aventures de Poil-Poil, chien de réfugiés ; Quick et Flupke ; Le Rayon U ; Le Secret de la Licorne ; Sindbad le marin ; Sur la planète rouge ; Tatène et Tchantchès ; Tintin ; Tif et Tondu ; Le Trésor de Rackham le Rouge ; Trinet et Trinette dans l'Himalaya ; Jean Valhardi... Un intérêt tout particulier a aussi été accordé aux supports (journaux et magazines) et aux éditeurs : Aventures illustrées-Bimbo ; La Bonne Presse ; Bravo ! ; Casterman ; Collection Tommy ; Dupuis ; Feu Sacré ; Gordinne ; Le Journal de Spirou ; Nine ; La Nation belge ; Petits Belges ; De Rakker ; Le Soir ; Terre et Nation ou encore Wrill. Truffé d'anecdotes et richement illustré (plus de 240 vignettes), cet ouvrage rend hommage à une période et à des auteurs majeurs du 9e art.

04/2013

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témoignages personnels

Une jeunesse sous l'Occupation

" Je ne lui ai pas dit au revoir " . Ces simples mots restent comme une cicatrice indélébile pour Alice Mendelson, qui voit son père partir pour Drancy, le 17 septembre 1941. Elle a alors 16 ans. A l'aube de ses 98 ans, accompagnée de son ami l'historien Laurent Joly, Alice nous confie le récit de sa vie durant la Seconde Guerre mondiale en France, ce pays qui l'a vu naître et qu'elle aime tant, sa " terre promise " , où ses parents, d'origines polonaises, l'ont élevée. Alice grandit dans le 18ème arrondissement de Paris. Dans le salon de coiffure de ses parents ou le soir à la maison, elle les écoute refaire le monde avec leurs amis. Ils sont communistes, cultivés, mélomanes. Lorsque la guerre éclate, alors que la famille s'accroche à son quotidien, leur voisin coiffeur et concurrent les dénonce au commissariat général aux Questions juives. Le père d'Alice est déporté. Le salon de coiffure leur est confisqué. Alice et sa mère échappent de peu à la rafle du Vel d'Hiv, aidées par des voisines. Commence alors un long chemin semé d'embûches et de périls, mais aussi d'espoirs : passée en zone sud, Alice s'engage dans la Résistance. Après la Libération, sa mère, durement éprouvée par deux années de vie traquée, doit se battre pour obtenir justice et réparation. Alice deviendra une merveilleuse enseignante, mais aussi une conteuse et une poétesse. Aujourd'hui, portée par le désir impérieux de transmettre, avec son écriture gracieuse et libre, Alice Mendelson nous livre un témoignage essentiel sur la vie des Juifs sous l'Occupation.

05/2023

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Sciences historiques

Ma petite France. Chronique d'une ville ordinaire sous l'Occupation

En septembre 1939, la guerre vient bouleverser la vie des habitants de Sablé- sur-Sarthe. Cinq ans plus tard, deux balles sont tirées dans la nuque de "Papillon", un présumé collabo, par le chef FFI de cette petite ville de six mille habitants. Entre ces deux dates, c'est une France en réduction, vue du salon de coiffure familial, que nous raconte Pierre Péan, de la mobilisation à l'exode, de l'Occupation à la Libération : commerçants qui s'enrichissent au marché noir, prostituées du bordel local qui ne regimbent pas devant les nouveaux clients allemands, la résistance qui s'organise timidement. Ceux-là et d'autres traversent ce récit jusqu'à l'épuration, qui verra arrestations et règlements de compte, sous la direction du même commissaire de police qui obéissait aux ordres de Vichy. Pierre Péan fait revivre sa "petite France" grâce aux nombreux récits des derniers témoins et informations tirées des archives privées, départementales, nationales, ainsi que du Service historique de la Défense et des archives britanniques. En reconstruisant l'histoire de sa ville avec un fil rouge personnel, l'auteur nous livre une fresque inattendue de ces années tumultueuses, dont l'héritage se fait toujours sentir.

03/2017

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Histoire de France

Femmes sous l'occupation

Femmes sous l'Occupation n'est pas seulement une description du quotidien veule, frileux ou héroïque des femmes de 1940 à 1945. Bien sûr, Célia Bertin y inventorie cette " vie au féminin " dans ses aspects les plus modestes - de l'improbable quête du cuir pour ressemeler les chaussures à la confection de la soupe aux orties - comme les plus dramatiques - l'avortement, la collaboration, la Résistance. Le livre abonde ainsi en témoignages humbles ou prestigieux sur ces années de plomb, et se nourrit des études les plus fouillées. Mais Célia Bertin n'a pas sur cette époque le regard distancié de l'historienne : engagée dans la Résistance pour transmettre les messages clandestins, elle-même a connu la peur, les soudaines disparitions, les départs précipités. En même temps que la rigueur historique, la force d'une mémoire sensible et vivante.

03/1994

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Histoire de France

Lycéen sous l'Occupation

Bien des années sont passées et l'ancien lycéen résistant, devenu Docteur honoraire, Gérard Chatelier raconte son adolescence. En réalité. il s'agit de l'histoire de sa famille et de celle des enfants de son âge sous le joug nazi. Mais ses souvenirs dépassent le cadre familial ou scolaire pour devenir de précieux témoignages afin que les enfants de ses enfants. que ceux qui ont entendu parler ou vécu cette période, que les générations à venir puissent prendre conscience du prix à payer pour sauver la Liberté. En 1942, alors que les armées ennemies envahissent la zone libre du sud de la France, à Bordeaux au lycée Longchamps, des élèves. pour ne pas dire des gamins ou des drôles. fabriquent des pétards, des explosifs à partir de boîtes d'allumettes. Son père Philippe Chatelier, inquiet de ces jeux dangereux, finit par intégrer son fils dans son propre réseau de Résistance en tant qu'agent de liaison. Commence alors une longue période de privations, de peurs, de menaces, d'intimidations, d'inquiétudes. Il faut vivre dans la clandestinité sous une fausse identité, quitter Bordeaux et fuir dans les campagnes du Lot et de la Corrèze, pour éviter la Gestapo et son chef, l'horrible et terrifiant Poinsot. Le 29 août 1944. Bordeaux est libérée. Le lycéen, grâce à une dérogation, va pouvoir se présenter au Baccalauréat à la session d'octobre. Le 21 octobre, il apprend qu'il est reçu "à la grande fierté de son père". Le 8 mai 1945, Gérard Chatelier, alias Chabert puis Moreau, fête le même jour ses 19 printemps et la Victoire des Alliés. Les récits sincères et authentiques du Docteur Gérard Chatelier permettent de mieux comprendre les années noires de l'Occupation et de prendre conscience de l'importance de la lutte des "hommes de l'ombre".

05/2012

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Histoire de France

Monaco sous l'Occupation

Monaco ou l'histoire d'une petite monarchie, résumé de tous les événements de la Seconde Guerre mondiale. De 1937 à 1944, de la grève générale fomentée par les communistes jusqu'à la Libération de la principauté par ces mêmes communistes, Monaco a connu le pétainisme, l'occupation italienne puis l'occupation allemande. Le chef du gouvernement a progressivement pris le pouvoir dans un Etat dirigé par un grand vieillard, le prince Louis II, général de l'armée française. Le Laval local a transformé la principauté en vassal des Allemands, paradis fiscal quasi personnel de Goering par l'implantation de holdings appartenant aux Allemands ou à des collaborateurs des nazis. La résistance s'est organisée sous l'égide des communistes et des gaullistes pendant que s'épanouissait un fort courant fasciste composé de chemises noires qui paradaient dans les rues. C'est l'époque de la création par les nazis de Radio Monte-Carlo et l'investissement massif des collaborateurs des nazis en principauté. Une famille princière secouée par les événements et divisée entre Louis II et son petit-fils Rainier, le prince héritier, qui tentera de le renverser avec la résistance gaulliste pour sauver la principauté et s'engagera dans l'armée française, non sans avoir dénoncé le collaborationnisme de l'Etat.

12/2015

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Documentaires jeunesse

Journal d'un lycéen sous l'Occupation

Contient 10 fac-similés de documents d'époque.

04/2015

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Histoire de France

Deux filles sous la botte. Chronique d'une famille pendant l'occupation

"A partir de six cents lettres échangées entre Robert et Agneau pendant leurs quatre ans de fiançailles, celles moins nombreuses de Jean et Todie, grâce aussi nos excellentes mémoires, nous avons pu relater presque au jour le jour ce que fut notre vie pendant l'Occupation. Chaque mot de ce récit est vrai. Plus tard, certains faits se sont révélés inexacts, mais c'était la vérité du moment, ici, à Cassarat, dans la Double du Périgord. Nous jugeons que notre devoir est de laisser ce récit, parce que bientôt personne ne pourra plus dire : J'ai vu... j'y étais...". Geneviève CALLEROT.

09/2018

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Histoire de France

La vie des Français sous l'Occupation. 1940-1945

Les Français ? Ils sont plus de 40 millions en juin 1940 lorsque les Allemands occupent la France. Et ce livre raconte leur vie quotidienne. Au moment d'entamer de longues recherches, Henri Amouroux s'est aperçu lorsqu'il évoquait les années d'occupation, que ceux-là mêmes qui doutaient de l'opportunité d'un tel travail étaient très vite emportés par leurs souvenirs et qu'ils multipliaient alors les anecdotes. L'entreprise valait donc d'être tentée. Ce que les historiens ont fait pour les humbles contemporains de Jules César, de Louis XIV ou de Napoléon, pour ce peuple anonyme dont l'histoire, tout attachée aux rois et généraux, oublie souvent l'existence, Henri Amouroux l'a réalisé pour les acteurs encore vivants de l'une des périodes les plus dramatiques qui puisse s'imaginer. En effet, la tentation était grande de se faire l'historien de ces millions d'anonymes. Pourquoi ne pas raconter non seulement les aventures sanglantes des Français sur les routes de l'exode, mais aussi leurs difficultés à se procurer leur pain quotidien, leurs ruses, leurs expéditions et leurs batailles dans les campagnes nourricières ? Pourquoi ne pas dire les ersatz, le faux tabac, le faux café, le faux savon, les faux témoins, les divertissements d'une époque, qui n'a pas été " noire " pour tout le monde, mais aussi les souffrances des femmes des prisonniers de guerre, le martyre de tous ceux que la Gestapo traquait et attaquait ? Pourquoi ne pas évoquer les nuits d'alerte, les lendemains de bombardements, le climat de ces villes dont les rafles, le couvre-feu dépeuplent les rues, l'écoute de la radio anglaise dans l'odeur des rutabagas, la vie des maquisards, pour qui le combat n'est qu'une brève lumière dans la suite des jours ternes et dangereux ? Le livre d'Henri Amouroux est un livre neuf, car jamais pareil travail n'avait été mené avec autant d'application dans la recherche, autant d'aisance journalistique dans le récit. Très différent de tous les livres qui ont paru sur les années 1940-1944, La vie des Français sous l'Occupation complète les meilleurs et se révèle d'un intérêt passionnant pour ceux et celles qui vécurent sous l'Occupation... comme aussi pour leurs fils et leur petits fils.

11/2018

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Histoire de France

L'hécatombe des fous. La famine dans les hôpitaux psychiatriques français sous l'Occupation

Sous l'Occupation, 45 000 malades mentaux sont morts derrière les murs des hôpitaux psychiatriques français. Morts de faim et de froid. Ont-ils été exterminés par le régime de Vichy qui aurait fait siens les préceptes eugénistes d'un Alexis Carrel ? Les psychiatres ont-ils été complices de ce " génocide des fous " ? C'est ce que les militants d'un devoir de mémoire mal compris martèlent avec force depuis deux décennies. Pour en finir avec la polémique, une historienne a mené l'enquête. Des années de recherche dans les archives lui ont été nécessaires pour reconstituer le scénario dramatique qui a conduit à l'hécatombe et pour donner enfin une place dans la mémoire collective à des victimes " transparentes ". L'Hécatombe des fous a reçu le prix Jean Finot de l'Académie des sciences morales et politiques, le prix Pierre Simon Éthique et Société, la médaille d'or de la Société française d'histoire des hôpitaux et le prix de l'Évolution psychiatrique.

03/2009

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Histoire de France

L'Elysée sous l'Occupation

Abandonné par Albert Lebrun en juin 1940, apparemment vide, l'Elysée reste pourtant un lieu d'intrigues et de jeux de pouvoir pendant toute la durée de la guerre. Entre ses murs débarrassés des objets de valeur et du mobilier déménagés en lieu sûr, on voit défiler Pétain, Thorez, Laval, Darlan, Abetz, von Rundstedt... A la Libération, de Gaulle en restera éloigné et c'est Vincent Auriol qui y entrera à nouveau en 1947. Pour reconstituer cette histoire oubliée, il fallait repartir de fragments d'archives rescapées du désastre, de papiers et de journaux négligés et, surtout, de témoignages ensevelis depuis le naufrage ou inédits, parmi lesquels celui de l'immuable concierge de ces années de guerre. Dans le cartouche couleur : " Un récit vif, nerveux... qui regorge de portraits à l'eau-forte... " Valeurs actuelles " L'Elysée ressemble au château de Kafka. On y pense tout le temps, mais on ne s'y rend jamais. " Le Nouvel Observateur

03/2017

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Histoire de France

La Bretagne sous l'Occupation

A travers des éclairages, des portraits, des enquêtes, découvrez des figures et des faits marquants de la Seconde Guerre mondiale en Bretagne. Connaissez-vous l'histoire du Maquis de Saint-Marcel (le maquis le plus important de France !), l'itinéraire des grands résistants bretons (Jacques de Bollardière, Rol-Tanguy, Colonel Rémy...), ce que fut réellement le rôle des nationalistes bretons, l'étendue de la destruction des bombardements des villes, la terrible histoire des 60 déportés de Morlaix, la libération des poches de Lorient et de Saint-Nazaire... ? Voici une synthèse claire et pédagogique de cette période de notre histoire, avec ses zones d'ombres et ses faits de gloire. Ce livre est une réédition, enrichie et augmentée, d'un hors-série qui fut un best-seller du magazine Bretons.

11/2015

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Documentaires jeunesse

A Paris sous l'Occupation

1942. Depuis deux ans, les Allemands occupent Paris. Parce qu'elle est juive, Clara porte l'étoile jaune cousue sur sa jolie robe rouge. A l'école, dans la rue ou dans son immeuble rien n'est plus comme avant. Heureusement qu'elle peut compter sur Julien, son voisin et meilleur ami.

05/2014

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Vichy

La France sous l'Occupation

Découvrez avec émotion des photographies noir et blanc colorisées de la France occupée pendant la Seconde Guerre mondiale. L'histoire de la France sous l'Occupation est encore trop souvent perçue à travers le prisme déformant d'idées reçues. Cet ouvrage raconte la France des " années noires " au plus près de ce que le travail des historiens permet d'en savoir aujourd'hui. Il propose au lecteur un récit à la fois chronologique et thématique. A côté des événements et de leurs acteurs, une large place est accordée aux sujets concernant la vie quotidienne des Françaises et des Français, de la défaite de 1940 à la libération de 1944-1945 : exode des populations devant l'avancée des troupes allemandes, installation de la " puissance occupante ", ligne de démarcation, prisonniers de guerre, mode, marché noir, rafles de juifs et réactions qu'elles suscitent au sein de la population française, la déportation, l'organisation des premiers réseaux de résistance, etc. Pour le quatrième volume de la collection " La Seconde Guerre mondiale en couleur ", les photographies ont été fournies par l'agence iconographique franco-allemande AKG-images (Archiv für Kunst und Geschichte/Archive pour l'art et l'histoire) qui a procédé à une colorisation des images en noir et blanc. Loin de nuire à la compréhension de ce qui s'est passé en France entre 1940 et 1945, le procédé place le lecteur de plain-pied avec une époque qui, en raison de la distance et de la disparition des derniers témoins, lui est devenue étrangère.

10/2023

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occupation

Les femmes sous l’occupation

Isabelle Soulard nous fait revivre la vie quotidienne des Françaises durant la Seconde Guerre mondiale. De la Normandie à la Provence, de la Bretagne au Jura, des Hauts de France au Pays Basque, des Alpes au Poitou via l'Auvergne, elle nous livre de multiples témoignages, documents et récits.

09/2023

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Décoration

La mode sous l'Occupation

1940 : tétanisés par la défaite et l'Occupation, les Français commencent à manquer de tout. Des marchandises aussi usuelles que le fil disparaissent, et acheter un vêtement devient vite illusoire. Les femmes rivalisent d'ingéniosité et tirent parti de tout ce qui est récupérable. La haute couture, quant à elle, se maintient et se montre brillante, tandis que de nouvelles venues fréquentent ses collections : épouses de dignitaires allemands, femmes de collaborateurs et de profiteurs du marché noir.
Continuant d'éclairer certaines attitudes compromettantes, Dominique Veillon tire parti pour cette édition de poche des archives récemment ouvertes (par exemple celles de la préfecture de police) concernant les maisons de couture et s'appuie sur les travaux les plus neufs sur le sort des Juifs, qui étaient nombreux dans les petits ateliers de confection ou dans le secteur du cuir ou de la fourrure.

08/2014

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Histoire de France

Les patrons sous l'Occupation

Tout dirigeant d'une société de quelque importance, entre 1940 et 1944, était-il condamné à "travailler" pour l'Allemagne ? Pouvait-on rester patron et devenir résistant ? Comment s'est déroulée l'aryanisation des entreprises juives et quelles ont été les responsabilités françaises ? Quel rôle a joué le monde des affaires dans le marché noir ? Quelle a été son influence sur le gouvernement de Vichy ? L'épuration a-t-elle épargné la quasi-totalité des patrons ? Cet ouvrage unique en son genre raconte ce qu'ont fait, ou pas fait, sous l'Occupation, les dirigeants de Berliet ou de Ricard, de la Société générale, de Total ou encore des Galeries Lafayette. Riche en portraits hauts en couleur, balayant tous les secteurs d'activité, il permet de comprendre le fonctionnement des entreprises, de la finance et de l'économie durant cette période. A l'heure où la question du patriotisme économique fait de nouveau débat, cet ouvrage revient sur une période qui fut une épreuve de vérité et offre ainsi une vision inédite de l'Occupation.

03/2013

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Littérature française

New York sous l'occupation

2007 : Sacha, Zelda et Frédérick sont amis, trentenaires, bien mis et bien diplômés. Inséparables à Paris, ils décident de partir s'installer à New York, comme beaucoup pour chercher la réussite, mais surtout pour se sauver de l'ennui. Mais les dîners gargantuesques, les soirées décadentes dans les Hamptons, les errances ensoleillées à Central Park n'y suffisent pas. Vidée de son excentricité, la ville n'est plus que le décor de ce qu'elle fut et l'ennui guette à nouveau. Quand la fameuse crise des subprimes frappe l'Amérique et le Monde, Sacha, dandy trouble et séduisant, parait ne plus supporter son époque. Rattrapé par son passé, s'entourant de personnages anarchistes et violents, il s'éloigne peu à peu de ses deux amis et des gens, ces millions d'ouvriers en cols blancs de Manhattan suivistes et mécanisés, insensibles à l'enfer tiède.

08/2013

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Histoire de France

Conversations secrètes sous l'Occupation

De 1940 à 1944, alors que les Français vivent le pire, Vichy invente un outil diabolique : le Service des contrôles techniques, chargés de surveiller les Français à travers leurs correspondances et leurs communications téléphoniques. Rapidement, cet organe ultrasecret de surveillance sert à des fins policières : identifi er les dissidents, repérer les ennemis de l'Etat et faire la chasse aux juifs. 5 000 fonctionnaires tenus au secret travaillent dans l'ombre pour fournir quotidiennement aux dirigeants des rapports sur ce qui se dit et se trame. Des hommes aussi retors que redoutables – tels l'amiral Darlan ou René Bousquet – font de cette offi cine une " machine de guerre " très dangereuse pour ceux qui ont le malheur d'avoir été repérés, avec le risque d'être emprisonnés et envoyés dans les camps, d'où peu d'entre eux reviendront. Après de longues recherches aux Archives nationales, Antoine Lefébure dévoile aujourd'hui des milliers de lettres et d'échanges téléphoniques. Ces histoires où se mêlent témoignages bouleversants, banalités du quotidien et récits épiques révèlent une France occupée à la fois inconnue et au plus près de la vérité.

02/2018

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ouvrages généraux

La gendarmerie sous l'occupation

En 1994, le colonel Claude Cazals, fils de l'un des dix-huit gendarmes reconnus " Justes parmi les nations ", publiait La Gendarmerie sous l'Occupation. Pour la première fois depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, un militaire, devenu historien, rompait, dans un ouvrage documenté, avec l'image d'Epinal d'un corps " précocement et globalement résistant ". Des vérités, jusque-là considérées comme gênantes, étaient dites, sans que soit oublié, pour autant, l'engagement de nombreux gendarmes contre Vichy et contre l'occupant. Aujourd'hui, le magazine L'Essor de la Gendarmerie nationale et Kubik éditions rééditent cet ouvrage dans une version complète et corrigée, enrichie d'une chronologie et d'une importante préface inédite du professeur Jean-Noël Luc, historien de l'Arme, qui replace le livre de Claude Cazals dans l'évolution de la mémoire institutionnelle et dans l'historiographie.

10/2022

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De la Révolution à nos jours

A bicyclette sous l'Occupation

Traverse Paris à vélo... en 1942 ! Claude a 10 ans et vit à Paris pendant l'Occupation allemande. Les Parisiens se débrouillent comme ils peuvent car on manque de tout... Ils ont troqué leur automobile pour le vélo. Et chez les Bertin, le vélo est une affaire de famille : avant la guerre, le père de Claude était un coureur cycliste hors pair ! Ce matin, Claude et sa soeur prennent le tandem pour partir chez pépé et mémé se ravitailler à la campagne. Au cours de leur traversée de Paris, tu croiseras avec eux des files d'attente devant les magasins, des contrôles allemands, un jeune Juif caché chez le réparateur de cycles... et tu découvriras leur lien avec la Résistance ! Un album-aventure pour découvrir la vie sous l'Occupation à bord d'un véhicule emblématique de l'époque, qu'on utilise encore : la bicyclette. Un documentaire immersif alliant Histoire et véhicules, dès 7 ans !

04/2024

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Histoire de France

Tony, 1942. Un procès oublié sous l'Occupation

Il s'appelle Tony Bloncourt. A peine vingt ans, originaire d'Haïti, étudiant à la Sorbonne, il fait partie dès 1941, d'un petit groupe de six jeunes résistants de la région parisienne, âgés de 17 à 20 ans, impitoyablement traqué par la police française. Après leur arrestation, la justice militaire allemande a voulu frapper un grand coup : leur procès, ouvert au public et à la presse, s'est tenu dans le cadre exceptionnel de l'Assemblée nationale. Les six membres du groupe ont été fusillés le 9 mars 1942 à 16h45 au Mont-Valérien. Il s'appelle Georges Veber. Commissaire dirigeant la Brigade Spéciale de la préfecture de police de Paris, exemple même du fonctionnaire consciencieux et âme de chasseur. C'est lui qui a traqué ces jeunes gens et les a livrés à la Gestapo. Il s'appelle Paul Riche. Au moment où les six jeunes hommes sont jugés et fusillés, il prépare le tournage de son film Forces Occultes dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. Cinéaste collaborationniste, mais également violent chroniqueur antisémite d'Au Pilori, et bientôt agent français de la Gestapo. Soixante-dix ans après ce procès inouï à l'Assemblée nationale et l'exécution de ce groupe de jeunes résistants turbulents et d'origine étrangère, le journaliste Emmanuel Lemieux retrace cette histoire peu connue et dérangeante de notre histoire commune.

03/2012