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Tigre & Cie, Amelia Hepworth, Ying-Chen Chen

Extraits

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Imagiers, premiers dictionnair

La nature

La collection propose quatre beaux imagiers tout carton avec des illustrations en noir et blanc aux contrastes très forts grâce aux fonds noirs ou blancs des pages et aux couleurs fluos. Le trait de l'illustratrice contribue grandement à la parfaite discrimination visuelle.

03/2022

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Imagiers, premiers dictionnair

Les Bébés animaux

La collection propose quatre beaux imagiers tout carton avec des illustrations en noir et blanc aux contrastes très forts grâce aux fonds noirs ou blancs des pages et aux couleurs fluos. Le trait de l'illustratrice contribue grandement à la parfaite discrimination visuelle.

03/2022

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Imagiers, premiers dictionnair

La Ferme

La collection propose quatre beaux imagiers tout carton avec des illustrations en noir et blanc aux contrastes très forts grâce aux fonds noirs ou blancs des pages et aux couleurs fluos. Le trait de l'illustratrice contribue grandement à la parfaite discrimination visuelle.

03/2022

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Bouddhisme

Cheu King

"Le Livre des Odes", connu également sous le nom de "Le Classique des vers", s'est d'abord appelé les Poèmes, ou les Trois Cents Poèmes puisqu'il compte trois cents cinq poèmes. Ce recueil est une anthologie rassemblant des textes qui vont du xie au ve siècle av. J. -C. , provenant de la Plaine centrale (les royaumes occupant le nord et le sud de la vallée du Fleuve Jaune), et est l'un des rares textes de l'Antiquité chinoise à avoir survécu à la destruction des livres opérée par l'empereur Qin Shi Huangdi après son accession au pouvoir en 221 av. J. -C. On y trouve les plus anciens exemples de la poésie chinoise. Composition : Le Classique des vers contient 305 poèmes répartis en quatre catégories : Les chansons populaires (poèmes 1 à 160), classées en fonction de leur origine, et provenant de quinze royaumes différents. Les odes mineures (poèmes 161 à 234). Les odes majeures (poèmes 235 à 265). Les odes religieuses (poèmes 266 à 305). Quatre sont du royaume Lu, Etat d'où provient l'anthologie. Cinq viennent du royaume de Song. Plusieurs propositions ont été faites pour expliquer la répartition des poèmes en quatre parties. Le classement peut être thématique : c'est bien le cas pour les première et quatrième parties. Il a pu aussi être fait en fonction des occasions où les poèmes étaient chantés : chansons populaires chantées par le peuple lors de fêtes, odes majeures lors de cérémonies de cour, odes religieuses dans les temples. Une autre hypothèse est que le classement est fonction des différents styles de musique sur lesquels les poèmes étaient chantés.

07/2022

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Réalistes, contemporains

Lateef. Afghan chez les Cohen

Le long périple de Lateef, adolescent afghan qui tente de rejoindre Londres au péril de sa vie et qui se retrouve à Paris, hébergé par une famille juive.

05/2023

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Littérature française

Chez le chef du village

A l'heure où il devient de plus en plus difficile de tenir ses promesses, et surtout de sauvegarder un secret datant de dix-sept ans pour fidéliser une amitié datant de plusieurs années ; un enfant albinos né dans une société où il n'est pas le bienvenu d'après la tradition du milieu qui considère ce genre d'enfant comme étant source de malheur et de sorcellerie. Deux amis sont sur le point de mettre fin à leur alliance, celle de garder leur secret au nom du pouvoir...

10/2023

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Flammarion - Père Castor

Un bébé chez Monsieur Chien

C'est le grand jour : un bébé arrive chez Monsieur Chien. Découverte, partage, amitié, c'est une belle aventure qui commence !

09/2022

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Beaux arts

Barbara Hepworth

Barbara Hepworth (1903-1975) est l'une des plus grandes femmes sculpteurs du XXe siècle. Elle fait partie de ces artistes (Arp, Calder, Gabo, Mondrian...) qui, au lendemain de la Première Guerre mondiale, ont su réinventer l'art entre abstraction et figuration, dans une démarche humaniste et universelle de profond renouvellement des formes. En étroite collaboration avec la Tate, le musée Rodin invite à une (re)découverte inédite de la brillante carrière de cette artiste singulière qui a inventé une poétique des plus originales, proche de l'art abstrait mais fortement inspirée par la nature. Du marbre au bronze en passant par le plâtre ou le bois, Barbara Hepworth a toujours su varier matières et textures avec une inspiration fertile. Peintures, dessins et gravures, évocation de l'atelier, documents et photographies d'archives illustrent l'univers sensible et fascinant de l'artiste, véritable alchimie entre paysage, monde intérieur et matériau.

10/2019

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Littérature française

Espèces

Ainsi, le problème essentiel de ma vie est résolu. En devenant un chat, je ne suis plus jamais seule. Ou encore, la solitude et moi sommes devenues une même chose. J'ai trouvé tout ce que je cherchais : la grandeur humaine, l'espace disponible, non seulement les rues sont à ma disposition, mais je peux aussi me promener sur une immense quantité de toits, le repos, et surtout mon amour inconditionnel envers A. Vivre ici est possible grâce à la diminution considérable de mon champ de vision et de ma taille, qui empêchent la perception des détails désagréables de la race de mon maître. Je ne vois plus de contradictions, de failles dans leurs raisonnements et leurs penchants dangereux, je ne perçois plus leur gourmandise, leur dieu qui les fait s'entretuer. Je me souviens encore de tout cela, mais ma mémoire est de moins en moins précise. Avec A. je peux maintenant pratiquer l'attachement dans la séparation, croire à l'absolu dans l'incertitude, avoir confiance en un merveilleux avenir, en consumant sans merci les instants présents. Nous sommes enfin devenus contemporains. Je peux maintenant relier tout cela que mon intelligence d'antan n'arrivait point à assembler.

09/2010

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Littérature française

La lenteur des montagnes

De nombreuses oeuvres littéraires ont voulu cerner, ces dernières années, la difficulté de la situation de l'immigrant, qui doit embrasser une nouvelle culture sans jamais parvenir à oublier tout à fait celle dont il est issu. Ce livre pose une question encore bien plus profonde et complexe. Comment un immigrant peut-il rendre compte de ce choix auprès de ses enfants ? Si l'adulte a choisi son nouveau pays, l'enfant, lui, n'a rien choisi. Qu'est-ce qui peut alors racheter l'immense douleur de se retrouver sans racines ? Sous forme d'une longue lettre adressée à son fils, la romancière Ying Chen signe ici un livre bouleversant d'intelligence et de sensibilité. Comment lui parler de son héritage chinois quand elle a elle-même choisi le Canada pour pays et la langue française comme lieu de déploiement de son imaginaire ? Comment lui parler de Lao-Tseu, s'il ne lui est accessible qu'à travers une traduction dans une langue occidentale ? Comment lui parler des livres quand les images règnent sur le monde dans lequel il vit ? ?? ?? ?? ?? 2

11/2014

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Littérature française

La rive est loin

Une femme sans nom, est mariée à un archéologue A. Le couple a vécu un terrible tremblement de terre qui a fait disparaître leur ville. Ils ont recueilli un enfant qui un jour a disparu. Elle s’est transformée en chatte, pour observer son mari qui l’a trompée et elle est revenue au foyer sous forme humaine. A., atteint d’une tumeur au cerveau, va mourir. L’auteur s’interroge sur son rapport à cet homme qui collectionne des squelettes dans sa cave, traces de ses fouilles archéologiques. Elle réfléchit à son rapport amoureux qui s’est délité, à son rôle de mère qu’elle juge raté, artificiel, à ses relations avec ses voisins et à la vie sociale. À la destruction et à la reconstruction de la ville (comme le Pudong de Shanghaï) qui n’est toutefois pas nommé. Elle réfléchit aussi à sa propre psychologie de femme mariée rétive, asociale et jalouse. À son rapport à ses propres livres. Ying Chen a avec le réalisme une relation très étrange. De sa vie mouvementée d’ancienne maoïste ayant choisi l’exil (d’abord au Québec, puis en Colombie britannique), elle n’évoque que ce qui est susceptible d’être raconté métaphoriquement. Mais on en voit la trace dans un admirable chapitre, où elle doit rendre compte aux dieux de la montagne de sa vie et de son deuil à venir. Elle évoque, également, de loin, ses démêlés avec « le village », probable réminiscence de sa vie chinoise.

02/2013

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Littérature française

Un enfant à ma porte

"L'enfant dormait par terre, juste derrière la grille, à la manière d'une grenouille, les membres bien repliés sous son corps frêle, une joue appuyée contre le sol, le derrière légèrement levé en l'air. Il devait avoir cinq ou six ans. Je me suis penchée pour sentir son souffle. Je trouvais sa respiration forte et bruyante. La ville était calme. La pâtisserie d'en face n'était pas encore ouverte. J'entendais cependant des pas au tournant de la rue. Pour aller au marché, on préférait passer par ici. J'ai attendu le retour du silence. J'ai jeté un coup d'oeil rapide vers les fenêtres donnant sur la rue. Elles étaient toutes fermées. Je n'ai pas eu beaucoup de temps pour réfléchir. L'enfant est arrivé devant notre porte, apparemment sans que personne ne soit au courant. Je comprenais qu'il était à laisser ou à prendre, maintenant." Un couple reçoit mystérieusement un enfant, sorte de démon qui renverse toutes les valeurs habituelles de la famille et de la vie bourgeoise. Dans ce curieux apologue, Ying Chen fait le procès du sentimentalisme et des conventions sociales, mais pour exprimer paradoxalement l'amour et aborder des aspects essentiels de la littérature.

04/2009

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Littérature française

Rayonnements

Avec cette manière si personnelle d'évoquer des destins en faisant dialoguer les vivants et les morts, Ying Chen raconte ici merveilleusement la vie d'une illustre femme de science par la voix de sa fille, devenue à dix-huit ans son assistante sur les champs de bataille et, par la suite, dans son laboratoire. Comment ne pas penser à Marie Curie et à sa fille Irène dans cette remémoration d'outre-tombe qui fait revivre la destinée de ces deux scientifiques ainsi que d'autres membres tout aussi illustres de cette famille, leurs aléas dans l'histoire et aussi leurs combats.

10/2020

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Littérature française

Querelle d'un squelette avec son double

Un séisme a eu lieu. Des décombres sort une voix impérieuse, celle d'une jeune mère agonisante qui s'adresse à son double, une autre jeune femme qui, sur l'autre rive, lutte contre la folie, en préparant une soirée, en l'honneur de son mari. Entre la victime et la femme délirante, un dialogue muet s'instaure sans jamais dessiner les limites de la raison, du rêve, du temps, de l'espace. On est dans une zone intérieure, celle de la mort annoncée et des repères quotidiens qui s'effondrent. Et pourtant les deux femmes, l'une qui meurt et l'autre qui, " monstrueusement maigre ", se laisse dépérir, appartiennent toutes les deux à la vie réelle. Elles se sont croisées dans une pâtisserie qui devient le seul endroit vivant du monde. Deux faces d'une même angoisse, elles se font l'une à l'autre un procès sans merci. Ayant raté le début, je dois bégayer toute ma vie. Ce n'est pas une vie. Je suis obligée de me contenter d'un à-peu-près jusqu'à la fin. Celle-ci ne sera pas loin si vous continuez à vous fermer les oreilles. En tout cas, j'aurais préféré une fin plus nette, plus paisible. Alors je me reprends. Sachez que je suis presque vous, c'est-à-dire une ombre de votre écrasante personne, une représentation, une fragile doublure, un rêve ou une métaphore, on pensera ce qu'on voudra. Je crois qu'en ce temps-ci il n'y a pas un être à part moi qui vous soit plus intimement lié, un esprit qui soit plus compatible avec vous.

08/2003

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Littérature française

Quatre mille marches. Un rêve chinois

Très souvent interrogée sur les raisons qui l'ont fait changer de culture, de pays, de langue, Ying Chen s'exprime librement sur ses choix et sur les hasards qui ont marqué son parcours personnel. Née à Shanghai et transplantée tout d'abord à Montréal, puis à Vancouver, elle revient dans sa ville natale et décrit les transformations d'une mégalopole qu'elle a connue en pleine révolution culturelle. Son œuvre se démarque de tout folklore, de toute " chinoiserie ", comme elle le dit ironiquement. Dans des lettres ouvertes à ses enfants qui n'ont pas connu son pays et à un ami resté en Chine, elle donne son point de vue sur l'universalisme. " je deviens une feuille solitaire qui rêve de se replanter ailleurs. Mes ancêtres disaient que les feuilles mortes devaient rejoindre leurs racines. Mais je me refuse à un sort aussi naturel et aussi banal. Par un coup de vent capricieux, je me suis laissé emporter jusqu'en Occident. je me glisse dans une autre langue et espère y renaître. " L'ensemble du recueil peut être lu comme un manifeste pour la littérature pure.

03/2004

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Littérature française

Le champ dans la mer

" Mon père et moi, l'un après l'autre, sommes morts dans le jardin de V. La circonstance de notre fin reste une énigme. Mais ce n'est rien. Tout ne peut pas se savoir. Tout s'oublie. Mon mari A., qui est pourtant un archéologue, ne voudra rien croire de tout cela. Et puis je reviens. Peut-être pas au même endroit. Je suis et ne suis pas tout à fait. Ce n'est pas grave non plus. Je n'ai qu'à faire un peu attention quand je dors. Dans le sommeil seulement, parfois je redeviens squelette. La maîtresse d'école affirmait que le temps est un mince courant qui s'écoule en sens unique. Voilà la cause de mon désarroi. Je suis devant la mer où tant de courants se confondent. Pour peu que je me concentre ou qu'on me frappe à la tête, la mer devient un champ, et du champ au jardin de V , il n'existe qu'un pas, qu'un instant... " Y. C.

02/2002

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Littérature française

Le Mangeur

" L'état de mon père devenait chaque jour plus inquiétant. La maladie - faute d'autres mots - résolument progressait. Mais cela ne m'avait pas ébranlée dans ma quiétude de fille unique, sûre d'être la plus belle et la seule, aimée telle que j'étais, en entier, sans condition ni rivalité, n'ayant aucun soupçon de trahison, hésitation, calculs ou ressentiment. D'être aimée simplement, comme une femme pouvait l'être par un homme, comme un enfant pouvait l'être par un parent, comme un être vivant pouvait l'être par un autre être vivant quelle que soit leur espèce, à un extrême degré. " Le père de la narratrice, un peintre de renom, est atteint d'une maladie génétique mortelle et, avant de mourir, il devient boulimique. Sa fille, très inhibée par sa présence, pense même renoncer à toute relation sentimentale et sexuelle. Elle évoque son amitié pour un compagnon avec lequel elle est tentée d'avoir une liaison. Puis sa décision de vivre avec A., un archéologue. Une nuit est au centre du livre, où elle attend A. qui finit par la rejoindre. De livre en livre, Ying Chéri poursuit une sorte de monologue intérieur situé dans un monde imaginaire, abstrait, douloureux, hanté par le deuil, le silence, le rêve.

02/2006

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Littérature française (poches)

L'ingratitude

" Je brûlais d'envie de voir maman souffrir à la vue de mon cadavre. Souffrir jusqu'à vomir son sang. Une douleur inconsolable. La vie coulerait entre ses doigts et sa descendance lui échapperait. Mon corps commençant à pourrir par ces journées chaudes, ses gènes cesseraient de circuler dans mes veines, se perdraient au fond de la terre uniforme. Elle n'aurait plus d'enfant. Sa fille unique s'envolerait loin d'elle ainsi qu'un coup de vent mortel croise un arbre en le secouant, mais sans s'arrêter, impitoyable. " (extrait). En Chine, une jeune fille cherche à défaire par le suicide les liens étouffants qui l'unissent à sa mère. Elle veut ainsi échapper à l'étau social, au désespoir d'une vie sans issue, à l'amour même. Le roman s'ouvre et se referme sur les premiers instants de la mort, alors que l'âme flotte encore au-dessus du corps. Impitoyable, d'une lucidité sans faille, " L'Ingratitude " interroge les rapports mère-fille sous la lumière crue de l'amour et de la haine conjugués.

11/1999

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Littérature française

Immobile

Elle vit ici et maintenant avec son mari A., l'archéologue, mais elle dit venir d'ailleurs, d'un autre temps. Elle prétend qu'elle n'a pas toujours porté ces jupes courtes, vécu en femme moderne, dans une société dont les lois lui sont étrangères. Elle répète qu'elle a, bien des siècles plus tôt, été chanteuse d'opéra avant d'être élue par un prince qui l'a conduite en son palais, épousée, et dotée d'un esclave dont elle s'est éprise. Face au scepticisme puis à l'irritation de l'archéologue, la jeune femme s'efforce de s'en tenir à son rôle d'épouse modèle, alors que ne cesse de la hanter la mémoire d'un destin antérieur dont elle devra décider s'il doit compromettre à jamais l'existence présente. Dans la lignée de son précédent roman, L'Ingratitude, Ying Chen enracine ce nouveau livre dans la question des rapports affectifs conçus sous le signe de la domination et de la dépendance. D'époque en époque et d'existence en existence, se poursuit en vain la quête de l'impossible bonheur. Récit d'une double vie ou célébration des vies antérieures, Immobile veut mettre l'écriture à l'épreuve de la question du temps dont il s'agit ici de déplacer les bornes. A travers la symbolique de la réincarnation, Ying Chen désigne en effet sur le mode d'une fiction ambitieuse le caractère répétitif de l'histoire, l'immuabilité de la nature humaine pour mieux dénoncer les illusions de la modernité récusée comme ultime fantasme.

08/1998

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Critique

Interculturalité et intermédialité chez les auteurs francophones chinois

Dans le domaine des littératures francophones, on peut dénombrer actuellement une vingtaine d'auteurs chinois francophones : Chen Jitong, Sheng Cheng, Zhou Qinli, François Cheng, Gao Xingjian, Shen Dali, Ya Ding, Dai Sijie, Ying Chen, Wei Wei, Shan Sa, et Ling Xi, etc. Ces écrivains circulent dans différentes cultures, utilisent deux langues, et, par conséquent, leurs écritures mélangent une couleur chinoise avec une couleur occidentale. A travers leurs expériences, nous remarquons que certains d'entre eux ont développé une double pratique artistique, en accord avec leur identité culturelle désormais duelle. Ils construisent ainsi non seulement un pont entre deux langues et deux cultures, mais aussi un pont entre différents médias ou supports artistiques (romanesque et cinématographique ou pictural). Comment s'est développée la littérature francophone chinoise ? Et comment appréhender l'écriture romanesque et la pratique artistique des auteurs francophones chinois ? Centré sur des auteurs francophones chinois et leurs ouvres, notre travail formule une hypothèse sur l'articulation entre interculturalité et intermédialité au sein de la francophonie chinoise.

03/2021

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Réincarnation

Le cycle des réincarnations. L'oeuvre transmigrante de Ying Chen

Cette étude propose une analyse de sept romans de l'écrivaine québécoise d'origine chinoise, Ying Chen, qui composent "le cycle des réincarnations" . Au coeur de cette oeuvre couve une poétique d'auteur que la lecture attentive de chaque roman tente de percer à travers son écriture "transmigrante" .

03/2021

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Guides gastronomiques

Top chef. 45 recettes à faire chez soi

45 recettes accessibles et astucieuses pour tous les amateurs de cuisine. Le livre est composé de 4 grandes parties : -Les plats végétariens -Les poissons -Les viandes -Les desserts

11/2021

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Lecture 9-12 ans

Vétérinaire Tome 3 : Chez les tigres

Invitée par sa tante vétérinaire à aider les soigneurs d'un parc animalier pendant ses vacances, Olympe se familiarise avec les félins. La tâche est rude : il faut nettoyer les cages, préparer la nourriture, renseigner les visiteurs... Alors elle demande à son ami Tanguy de la rejoindre. Quand Zhao le bébé tigre blanc disparaît, tous deux mènent l'enquête.

09/2018

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Religions orientales

Yin Yang

"Yin-Yang" est le nom donné en chinois au fonctionnement de tout le vivant. Cette unité changeante, ce mouvement incessant, cette danse de tout l'univers se dit en un seul mot. Or, en français comme dans toutes les langues occidentales, "Yin" et "Yang" sont deux mots. Voilà où commence le quiproquo. Avec le talent narratif et pédagogique qui a fait le succès de ses nombreux livres, Cyrille Javary nous introduit dans l'esprit chinois à travers cette clé essentielle : "Yin" n'est pas plus une entité que "Yang" , ils n'ont pas d'existence propre. Car l'hiver n'est pas "l'hiver" , mais ce qui deviendra l'été, avant de redevenir hiver... Chacun est le futur et le passé de l'autre, sans qu'on puisse leur attribuer une substance, une quelconque fixité. S'il heurte toutes nos habitudes de pensée, ce genre d'énoncés peut nous conduire à une compréhension plus subtile du monde, et nous aider à mieux aborder les problèmes que nous rencontrons. Ainsi que l'écrit Danielle Elisseeff dans sa postface, " cet ouvrage opère une petite révolution. Tout se passe comme s'il parvenait à déplacer le curseur de nos perceptions et de nos émotions. ". . A travers mille exemples concrets, l'auteur nous entraîne dans un passionnant voyage dans le temps, jusqu'à l'aube du néolithique...

01/2023

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Imagiers, premiers dictionnair

Toi & Moi

La collection propose quatre beaux imagiers tout carton avec des illustrations en noir et blanc aux contrastes très forts grâce aux fonds noirs ou blancs des pages et aux couleurs fluos. Le trait de l'illustratrice contribue grandement à la parfaite discrimination visuelle.

03/2022

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Romans graphiques

Che. Une vie révolutionnaire

7 juillet 1953, un jeune médecin tout juste diplômé fait ses adieux à sa mère sur le quai de la gare de Buenos Aires. Ernesto Guevara part pour un voyage qui changera son destin. Deux ans plus tard, au Mexique, il croise la route d'un révolutionnaire cubain, Fidel Castro. Et le voilà embarqué, de nuit, un soir de novembre 1956, sur un bateau de fortune qui le mène à Cuba. Là-bas, dans ce pays qui n'est pourtant pas le sien, Guevara construira sa légende et deviendra le Che : guérillero, comandante, tombeur de la dictature, défenseur du peuple, implacable chef révolutionnaire et ennemi juré de l'impérialisme américain. Mêlant le remarquable travail d'investigation de Jon Lee Anderson au dessin d'exception de José Hernández, ce roman graphique fait apparaître Che Guevara dans toute sa complexité. Un portrait intime et sans concession de cet idéaliste passionné, véritable icône du xxe siècle.

03/2023

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Théâtre

King du ring

En un seul souffle issu de celui qui profère, Rémi Checchetto donne vie à un combattant de son propre destin. Il livre le portrait d’un homme dont on peut croire qu’il s’agit de Mohamed Ali, le boxeur adulé et controversé. Et nous voyons et entendons cet homme dire ce qu’est la douleur, comment il reçoit des coups et en donne, comment il fréquente régulièrement la mort, comment et pourquoi il danse comme un papillon, frappe comme une guêpe. Dire aussi comment il est nécessaire de secouer le monde, de mettre l’air KO, d’être noir, d’être le King. Mohamed Ali est le prétexte de ce texte, c’est soit-disant Mohamed Ali qui dit, soit disant Rémi Checchetto qui transcrit. On peut également penser que Rémi Checchetto est le nègre blanc de Mohamed Ali.

05/2010

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Agriculture

De l'allaitement chez le chien et le chat

De l'allaitement chez le chien et le chat / M. Ducourneau Date de l'édition originale : 1900 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2021

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Ethnologie

Les paysans de Mancang. Chronique d'un village taiwanais

Après que le régime communiste eut fermé les campagnes du continent aux observations des anthropologues, la paysannerie chinoise est restée longtemps méconnue, objet de tous les clichés à défaut d'études de terrain approfondies. Entre-temps, les villages de Taiwan fournissaient un champ d'analyse privilégié pour les ethnologues désireux de poursuivre leurs recherches sur les us et coutumes des paysans chinois. La vie quotidienne, observée dans un de ces villages en 1979-1980 et décrite dans la présente monographie, permet, toutes proportions gardées, de mieux comprendre les évolutions en cours dans les campagnes maintenant décollectivisées de la province chinoise du Fujian qui, de l'autre côté du détroit, partagent avec les paysans de Taiwan la même langue et la même culture. La chronique ainsi proposée s'est efforcée de laisser la parole aux villageois, de décrire concrètement leur comportement dans la vie de tous les jours, en famille, aux champs aussi bien que dans les fêtes familiales ou religieuses. Et c'est une société dure au travail, âpre au gain qui transparaît, finalement peu différente en cela d'autres paysanneries du monde. Ce qui semble la différencier, à Taiwan comme sur le continent, c'est cette propension des paysans chinois, relevée de longue date, à construire leurs relations, à tisser des réseaux particuliers de parents et d'amis, au travers d'échanges multiples et codifiés. Cette " sociabilité médiate " est ainsi le ciment de ce monde villageois, fondement de stratégies individuelles pouvant servir à des fins d'enrichissement personnel comme de simple prestige.

09/2003

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Littérature française

Là où les tigres sont chez eux

Eléazard von Wogau, héros inquiet de cette incroyable forêt d'histoires, est correspondant de presse au fin fond du Nordeste brésilien. On lui adresse un jour un fascinant manuscrit, biographie inédite d'un célèbre jésuite de l'époque baroque. Commence alors une enquête à travers les savoirs et les fables qui n'est pas sans incidences sur sa vie privée. Comme si l'extraordinaire plongée dans l'univers d'Athanase Kircher se répercutait à travers les aventures croisées d'autres personnages, tels Elaine, archéologue en mission improbable dans la jungle du Mato Grosso, Moéma, étudiante à la dérive, ou bien Nelson, jeune gamin infirme des favelas de Pirambû qui hume le plomb fondu de la vengeance. Nous sommes au Brésil, dans le pays des démesures. Nous sommes aussi dans la terra incognita d'un roman monstre, dont chaque partie s'ouvre sur un chapitre de la biographie de Kircher, " le maître des cent arts ", ancêtre de l'égyptologie et de la volcanologie, inventeur du microscope ou de la lanterne magique. On songe au réalisme magique des Borges et Cortazar, à Italo Calvino ou Umberto Ecco, ou encore à Potocki et son Manuscrit trouvé à Saragosse, sans jamais épuiser la réjouissante singularité de ce roman palimpseste qui joue à merveille des mises en abyme et des vertiges spéculaires.