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Pour en finir avec la fabrique des garçons. Volume 2, Loisirs, sport, culture

Extraits

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Sociologie

Pour en finir avec la fabrique des garçons. Volume 2, Loisirs, sport, culture

Ce deuxième volume applique la réflexion de la fabrique des garçons aux activités organisées en périphérie de l'école. Celles-ci participent fortement à la construction des identités sexuées et à leur bicatégorisation, alignée le plus souvent sur les stéréotypes de genre. Le sport apparaît comme un temple du masculin, présentant l'homme comme l'être le plus fort, même si la place des femmes, minoritaire, n'a cessé de progresser, en particulier au sein de pratiques ludosportives plus mixtes. Dans le monde de la culture, plus que jamais dominé par les hommes, les pratiques féminines sont importantes mais se heurtent à des plafonds de verre, dans un contexte de minorisation des activités spécifiquement féminines. Les vacances et les loisirs permettent parfois une plus grande fluctuation des rôles de genre, même si les activités proposées reproduisent le plus souvent les stéréotypes de genre et la hiérarchisation qui en découlent. Quel pourrait être le rôle du sport, de la culture et des loisirs dans le renouvellement d'une réflexion sur la mixité et la coéducation des filles et des garçons ?

09/2014

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Sociologie

Pour en finir avec la fabrique des garçons. Volume 1, A l'école

Si conventions et chartes pour l'égalité des sexes se multiplient depuis presque trente ans avec plus ou moins de bonheur, peut-être est-ce parce que les filles demeurent les publics-cibles privilégiés de la volonté émancipatrice institutionnelle. Notre système scolaire semble avoir bien du mal à penser, en complémentarité et même en priorité, l'évolution des garçons... Tant que des mécanismes de séparation et de hiérarchisation des sexes oeuvreront au sein même de l'école, tant que les garçons seront confrontés à l'injonction paradoxale d'être dociles à l'institution tout en affirmant leur virilité, tant que nous resterons aveugles aux nouvelles formes d'entre-soi masculin, tant que l'école continuera à penser que tous les élèves sont hétérosexuels et conformes aux normes de genre, les choses auront du mal à évoluer... Quels leviers peuvent permettre un changement, profitable aussi bien aux filles qu'aux garçons, dans une école plus égalitaire ? Une école émancipatrice ne devrait-elle pas être, avant tout, une école accueillante à toutes les variations des rôles de genre qui ne sauraient se résumer à la bicatégorisation fille-garçon ?

10/2014

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Sociologie

Pour en finir avec la culture

A lire avant que la culture ne devienne vraiment un gros mot Le pamphlétaire bien connu, chroniqueur au Figaro et à Valeurs actuelles, Jean-Luc Jeener s'insurge contre la disparition de nos références culturelles et, plus encore, contre le glissement progressif vers une déligitimisation de la culture, soi-disant marque de privilège mais en fait seule réelle garantie d'émancipation.

01/2022

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Sports

Sports et Loisirs

Les sociétés occidentalisées ont fait des loisirs et des sports des référents et des modèles qui imprègnent toutes les sphères de la vie. Ces pratiques sont au croisement des grandes tendances politiques, économiques, sociales et culturelles de chaque époque. En faire l'histoire, c'est approcher l'essence même de chaque grand moment de l'Occident. Comment comprendre, en effet, l'avènement de la gymnastique au XIXe siècle sans prendre en considération la montée des Etats-nations ? Comment évaluer les divertissements à la cour de Louis XIV sans parler des fondements de l'absolutisme royal ? Que dire des tournois médiévaux si on ne prend pas la peine de les reconduire à l'idéal du combattant que les chevaliers incarnent dans cette société d'ordre ? Ou encore, comment analyser les Jeux olympiques antiques sans les rattacher à la culture du corps, à la médecine et à la philosophie qui se développent dans l'Antiquité ? Vouloir détacher ces pratiques des sociétés qui les fondent et les organisent est - à proprement parler - impossible. La société contemporaine invente les sports, mais sans aucune génération spontanée. Ainsi le sport doit-il beaucoup à cette vaste tranche chronologique qui va de la chute de l'Empire romain d'Occident à l'orée de la Révolution industrielle : on y relève des pratiques divertissantes et des formes d'exercices physiques auxquelles l'époque contemporaine a puisé. Cet ouvrage original revient, pour chaque époque, sur les manières d'être, de vivre et de penser qui furent autant d'acceptions différentes de ce que l'on appelle aujourd'hui "loisir" et "sport".

11/2016

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Humour

Pour en finir une bonne fois pour toutes avec la culture

Nat Ackerman est vautré sur son lit, concentré sur la lecture du Daily News. Surgissant de la fenêtre, un personnage sinistre fait une entrée théâtrale. La Mort (car c'est elle) n'est pas d'humeur à rigoler : elle s'est coincé le talon dans la gouttière et elle a un bon de commande à remplir. Histoire de se détendre, tous deux entament une partie de ginrummy qui pourrait bien les réconcilier.

03/2009

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Sports

Le sport fait mâle. La fabrique des filles et des garçons dans les cités

Dès le début des années 1980, dans un contexte marqué par des phénomènes de violences urbaines, les pouvoirs publics encouragent les actions de prévention et d'insertion par le sport à destination des jeunes garçons des quartiers populaires urbains. Considéré comme "naturellement" éducatif et pacificateur, le sport apparaît en effet comme un moyen de lutter contre cette nouvelle délinquance masculine. Les années 2000 marquent le début de la promotion de la pratique sportive des "filles des cités". Dans cet ouvrage, Carine Guérandel étudie les enjeux et s effets de l'engagement sportif des adolescents dans les quartiers populaires urbains, en portant une attention spécifique aux inégalités entre les sexes. En observant des contextes de pratique variés, et grâce à des entretiens avec des jeunes pratiquants et leurs encadrants, l'auteur revisite le mythe du sport intégrateur. Selon les situations, le sport renforce, normalise ou atténue les inégalités entre les filles et les garçons. S'il peut générer de la violence et de l'exclusion, il donne aussi la possibilité de vivre des expériences corporelles ou relationnelles différentes de ceIles du quotidien. L'ouvrage montre ainsi que pour penser l'égalité, il ne suffit pas de mettre ensemble des filles et des garçons, il faut organiser la mixité.

05/2016

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Psychologie, psychanalyse

Pour en finir avec la guerre des psys

La diversité des psys est devenue le prétexte d'une guerre de pouvoir et de conquête des marchés au nom d'intérêts corporatistes ou de convictions plus idéologiques que scientifiques. Plutôt que de débattre et voir ce qui les réunit, tous les coups sont bons, moins pour valoriser sa propre pratique ou ses résultats que pour dévaloriser l'autre, plus souvent par la voie de la calomnie que par l'analyse. Mais les psys feraient mieux de regarder ce qui se passe vraiment, et dont les réformes actuelles sont le signal. Dans leur ensemble, ils sont les derniers garants de l'autonomie du psychisme par rapport aux réalités sociales et biologiques. En face, domine la conception du monde des gestionnaires qui ont succédé aux politiques. C'est cette guerre de l'humanisme contre l'utilitarisme qu'ils devraient mener. Il y a urgence : cette guerre ne sert que ceux qui espèrent la disparition progressive des psys...

03/2010

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Sociologie

Les identités des couples interculturels. En finir vraiment avec la culture ?

Le nombre de couples interculturels ne cesse d'augmenter. C'est le cas notamment des contextes d'étude de cet ouvrage : la Finlande (Europe) et la Région administrative spéciale de Hong Kong (République populaire de Chine). Ces pays étant largement multilingues, la question du choix des langues est essentielle. Pour les couples de l'étude, c'est le recours à une langue autre que leur propre langue maternelle (une lingua franca) qui caractérise leur relation : l'anglais et le français. Quelles incidences cela a-t-il sur les identités des couples en question ? Qu'en est-il des "cultures" ? Partant du constat que la plupart des recherches sur ces couples se positionnent dans une démarche culturaliste (où la culture sert à expliquer et justifier les "problèmes" qu'ils rencontrent), ce livre prend au sérieux et confirme la critique adressée au concept de "culture" depuis des années par les chercheurs en sciences humaines et sociales en proposant d'en finir vraiment avec la culture. L'auteur suggère notamment de se concentrer sur l'inter- dans l'appellation interculturel et d'éviter qu'il soit phagocyté par le culturel à travers une démarche constructiviste et dialogique des identités.

09/2011

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Actualité et médias

Pour en finir avec la droite

A quoi sert une droite qui ne croit plus à la nation, qui n'est pas capable de promouvoir la liberté d'entreprendre et que la peur de paraître "ringarde" conduit à renier ses valeurs l'une après l'autre ? Intimidée par le "politiquement correct" , engluée dans le piège du Front national, inapte à assurer l'héritage gaulliste, pauvres en hommes, faibles en idées, chétive en volonté : l'état de la droite justifie-t-il l'acharnement thérapeutique des Diafoirus d'appareil ? Ou faut-il que cette droite périsse pour que se reconstitue une famille politique qui offre une alternative au pays ?

10/1998

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Actualité et médias

Pour en finir avec la liberté

Une des plumes du Figaro Magazine et de Valeurs actuelles, Jean-Luc Jeener est un des pamphlétaires les plus brillants de sa génération. Il s'insurge ici contre la dérive de nos sociétés qui cherchent à prévenir tout risque, à aseptiser la vie pour la prolonger indéfiniment et à dicter aux citoyens leur conduite par une série d'interdits et d'obligations. La crise sanitaire est un révélateur profond de nos dérives : déresponsabilisation des politiques qui s'abritent derrière les experts, démission de l'Eglise qui accepte une eucharistie cathodique, inaudibilité de toute voix discordante et résurgence de la délation de son prochain, qui serait oublieux du confinement, de son masque, de se faire tester... En fait, le virus ne fait que rendre plus saillante une évolution inquiétante plus profonde illustrée par de nombreuses dérives dont nous donnerons ici deux exemples. D'une part les lois mémorielles édictent une pensée officielle au lieu de permettre à la vérité de sortir vainqueur du débat et poussent les sceptiques vers le complotisme. D'autre part le principe de précaution est érigé en impératif absolu, muselant nombre d'initiatives de recherches et d'innovations. Dans un cas comme dans l'autre, c'est l'essence même de la démocratie, ancrée dans le débat et le respect de l'initiative de chacun, qui est menacée.

01/2021

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Philosophie

Pour en finir avec Dieu

Richard Dawkins, professeur à Oxford et spécialiste mondialement connu de l'évolution, analyse dans ce livre l'" hypothèse Dieu " avec les mêmes outils rationnels et le même scepticisme que n'importe quelle autre. II s'attache donc à faire la démonstration de la " probabilité extrêmement faible de son existence ". Comprendre le monde du vivant, apprécier son extrême richesse expliquée avec une " élégance irrésistible " par la sélection naturelle de Darwin, voilà qui, montre Dawkins, devrait permettre d'abandonner toutes les formes de superstition, à commencer par le créationnisme.

02/2009

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Beaux arts

Pour en finir avec la nature morte

Ce livre revisite de fond en comble le genre de la nature morte comme lieu idéal du dialogue entre le vivant et le non-vivant, entre nous et les choses, entre présent et passé. Il invite à repenser l'histoire et la géographie de la représentation des choses : il remonte à la Préhistoire et ouvre des frontières sur d'autres contrées que l'Europe et les Etats-Unis. Il établit des correspondances entre les arts contemporains et les arts anciens en montrant de quelle manière les choses représentées par les artistes sont un bon observatoire des sensibilités. Cet essai est aussi une histoire de la tension entre l'abondance et son contraire, entre l'être et l'avoir depuis que l'on accumule des vivres, des outils, des armes, des proies, des vêtements, des parures, des choses désirables. Il est fondé sur l'observation des oeuvres d'art des peintres, sculpteurs, photographes et cinéastes (anonymes, Piraïkos, Mu Qi, Aertsen, Spoerri, Gupta, Tati, Tarkovski...) et sur la pensée des savants (Philostrate, Marx, Weber, Sterling, Barthes, Latour, Appadurai...) - et est traversé par l'esprit des poètes et des écrivains (Montaigne, Deubel, Baudelaire, Hugo, Michaux, Ponge, Perec...).

11/2020

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Actualité et médias

Pour en finir avec la France éternelle

" Il y a des gens qui vous parlent de la langue française et se targuent de ne pas savoir prononcer un nom qui commence par K. Cette vision rétrograde de la France et de la culture me ferait rire si je n'étais chatouilleux du blaze. La Nation, je ne connais que ça, je suis né dans ce coin-là, en fils d'une histoire française, celle d'une famille d'immigrés juifs. La nationalité n'est pas une affaire de mottes de terre, et, moins encore... la littérature ! Côté langue, on me pardonnera de préférer Queneau et Perec, Hugo et Aragon, aux éternels écrivains de terroir, qui vous vendent de la nostalgie à la façon des charcutiers industriels. Tout comme d'autres, en politique, n'ont de cesse d'évoquer les splendeurs du patriotisme républicain et de sa bonne vieille école, en oubliant, au passage, ce que les charniers doivent aux certitudes tricolores. Mais pourquoi chante-t-on toujours cette France figée et conservatrice, quand notre littérature est peuplée de héros espagnols et de bagnards en rupture de ban, quand les plus beaux vers contemporains s'accrochent aux yeux d'une juive russe - Elsa ? A force de pleurer notre fameuse exception française, on ne sait plus ce qui, en ce pays, pourrait être, vraiment, exceptionnel. " G.K.

02/2001

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Histoire de France

Pour en finir avec la repentance coloniale

Après celle de la guerre d'Algérie, une nouvelle génération d'anticolonialistes s'est levée, qui mène combat pour dénoncer le péché capital que nous devons tous expier: notre passé colonial, à nous Français. Battons notre coulpe, car la liste de nos crimes est longue ! Nous avons pressuré les colonies pour nourrir notre prospérité, les laissant exsangues à l'heure de leur indépendance; nous avons fait venir les "indigènes" au lendemain des deux guerres mondiales pour reconstruire la France, quitte à les sommer de s'en aller quand nous n'avions plus besoin d'eux; surtout, nous avons bâti cet empire colonial dans le sang et les larmes, puisque la colonisation a été rien moins qu'une entreprise de génocide : Jules Ferry, c'était, déjà, Hitler !. Contrevérités, billevesées, bricolage... voilà en quoi consiste le réquisitoire des Repentants, que l'auteur de ce livre a entrepris de démonter, à l'aide des bons vieux outils de l'historien - les sources, les chiffres, le contexte. Pas pour se faire le chantre de la colonisation, mais pour en finir avec la repentance, avant qu'elle transforme notre Histoire en un album bien commode à feuilleter, où s'affrontent les gentils et les méchants

03/2008

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Violence

En finir avec la culture du viol. Edition revue et augmentée

Les violences sexuelles envers les femmes n'apparaissent pas spontanément. Elles ne font pas partie de la "nature humaine" ni ne sont le résultat d'incontrôlables pulsions masculines. Elles ont des causes sociales - impunité des agresseurs, idées reçues sur la sexualité, inégalités structurelles - qui forment ce que l'on appelle une "culture du viol". Cela va de remarques apparemment anodines qui culpabilisent les victimes à un traitement trop fréquent des viols comme des délits plutôt que comme des crimes devant les tribunaux ; de formules pour excuser les agresseurs à une remise en cause systématique de la parole des femmes qui dénoncent des agressions. En France, chaque année, environ 94 000 femmes sont victimes de viol ou de tentative de viol. Et les viols ne représentent que la partie émergée d'un iceberg : celui des violences sexuelles, à la maison, au travail ou dans la rue. Or ces violences ont des conséquences graves : elles minent la confiance et limitent la liberté par la peur qu'elles instaurent. Elles constituent une atteinte aux droits et à la dignité des personnes et consolident la domination masculine. Mais cette situation n'est pas une fatalité. C'est pourquoi il est important d'identifier les éléments culturels qui servent de justification et de terreau à ces actes, afin de proposer des pistes qui permettront d'y mettre fin.

04/2021

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Sociologie

Pour en finir avec le conflit des sexes

La question du genre masculin/féminin ne cesse de diviser. Entre passions et incompréhensions, il demeure difficile de comprendre les rapports entre les hommes et les femmes, en dépit des évolutions culturelles et sociétales modernes. Nous avions cru pouvoir enfin enterrer la hache de guerre, que c'était fini, mais aux détours d'une réflexion amicale, d'une relation amoureuse ou d'un de ces micro-événements qui maillent notre quotidien, nous sommes renvoyés dans les rôles assignés à notre sexe d'appartenance. Et si les frontières s'étaient juste déplacées ? Les Martiens et les Vénusiennes restent en haut de l'affiche et hantent les têtes de gondoles tandis que les universitaires tentent péniblement de faire entendre sur la scène médiatique leur docte musique composée sur l'infinie variation des relations entre les sexes. Pourquoi sommes-nous quotidiennement confrontés à un affrontement inopérant entre sexes et genre ? Pourquoi en dépit des indéniables avancées juridiques et politiques des gouvernements successifs, des prises de conscience de la société civile, de la multiplication des discours de vulgarisation, avons-nous le sentiment de ne jamais en avoir fini avec les rigidités, les conflits ou les normes archaïques qui régissent les rapports femmes-hommes ? Tenter autre chose ! Vivre une féconde altérité ? Fred et Camille, les acteurs modernes de ce livre, jouent librement avec les conventions et identités de sexe. Ils sont complexes, homme ou femme, parfois l'un et l'autre. Ils enquêtent sur les différentes scènes sociales (couple, espace public, politique, médias, culture...), braconnent sur les terres inhospitalières de l'appartenance sexuée, débusquent les espaces de conflits en arpentant les lieux communs, s'essaient au métissage du genre. Leur ambition ? Offrir le plaisir d'un débat libre, constructif, dédramatisé.

01/2011

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Pédagogie

Sport ? culture ? education

Tous les enfants, y compris les " potentiels décrocheurs scolaires ou relationnels " sont de " potentiels créatifs " susceptibles de contribuer à l'émergence des " cerveaux créateurs " dont la société a besoin pour relever les défis du 21e siècle. Face aux réseaux " dits sociaux " qui, avec leur flot d'informations aussi envoûtantes qu'inutiles, éloignent les enfants de " l'envie d'apprendre ", la mise en synergie du sport et de la culture, en amont du temps scolaire, et en symbiose avec l'école, est devenue une nécessité. Une mise en synergie, dont la destruction de quelques certitudes éducatives au moment du Covid a permis l'émergence, au sein d'une démarche de " Déconstruction-Utopie-Reconstruction ".

01/2024

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Histoire et Philosophiesophie

Pour en finir avec le paranormal

Apparitions de fantômes et d'objets volants non identifiés, enlèvements par des extraterrestres, expériences de mort imminente... Ces phénomènes fascinants sont aujourd'hui qualifiés de "paranormaux". Michel Leurquin et Jean-Michel Abrassart sont passionnés depuis longtemps par l'étrange et se réclament de la zététique, une branche qui étudie les phénomènes paranormaux de manière scientifique. A la manière de Dana Scully dans "X-Files", ils expliquent ce qui est prétendument "inexplicable". Les auteurs nous présentent une vingtaine de faits paranormaux et l'état des recherches scientifiques sur ces sujets. Découvrez, entre autres,... comment Elsie et Frances, deux jeunes Anglaises, parvinrent à convaincre leur famille que des fées avaient élu domicile dans leur jardin et comment Arthur Conan Doyle lui-même fut impliqué dans la supercherie ; les liens étroits entre la fiction et la réalité qui transformèrent "Amityville", lieu de crime, en véritable lieu hanté et inhabitable ; la terrible Légende du Slender Man, qui "poussa" deux adolescentes à poignarder une de leur camarade et la laisser pour morte dans un bois ; la manière dont les détectives extralucides firent fortune au sortir de la guerre ; la façon dont les prédictions de Nostradamus furent interprétées et même inventées de toutes pièces !

08/2018

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Musique, danse

Pour en finir avec le "classique"

Comment pouvons-nous classer des musiques très différentes comme celles de Bach, Mozart ou Boulez dans la même catégorie ? Pourquoi utilisons-nous un terme à la fois si commun et si flou pour décrire cette musique ? Malgré le bouleversement des modes d'écoute lié aux nouvelles technologies, ce concept de musique "classique" reste figé. Comment envisager cette musique différemment ? Avec pédagogie et perspicacité, l'auteur de cet ouvrage décortique la notion de "musique classique" . Il la remet en question par une approche sémantique, historique, sociologique et esthétique. A travers des comparaisons avec d'autres genres de musique et d'autres arts, l'auteur s'interroge sur ce concept et propose de le dépasser.

06/2019

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Faits de société

Pour en finir avec les dealers

Aujourd'hui, en France, on tue pour quelques euros. Le marché du cannabis génère plusieurs milliards d'euros de chiffre d'affaires. L'argent facile dans un monde en crise, attire des jeunes prêts à tuer... Comment en sommes-nous arrivés à cette folie ?Après trente années d'abandon du politique dans les banlieues, Stéphane Gatignon, maire de Sevran, et Serge Supersac, ancien flic de terrain, donnent les raisons de ce chaos. Rester dans la logique actuelle, c'est s'acheminer vers une véritable guerre des gangs. Pour en finir avec les dealers, il faut sortir de la prohibition. La délinquance surmédiatisée, les enjeux de santé publique et d'économie, doivent inciter à agir avant qu'il ne soit trop tard.

04/2011

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Philosophie

Pour en finir avec l'irresponsabilité

L'irresponsabilité est au coeur de tous les débats et les vagues d'attentats meurtriers qui endeuillent l'Europe font surgir l'urgence de fonder une responsabilité authentique, susceptible de donner un sens à tous les verdicts et toutes les condamnations, faute de quoi il serait hypocrite de se plaindre du taux de récidive comme du sentiment grandissant d'impunité. Assumer les sources religieuses de la responsabilité, éclaircir les polémiques contemporaines sur l'amour et le mariage, sur l'écologie, l'éducation, comprendre les insuffisances idéologiques actuelles pour retrouver le sens du pardon, la noblesse perdue du respect et de la dignité, telles sont les pistes proposées par André Guigot, pour qui l'espoir renaîtra par l'esprit de responsabilité. Accessible par son style vivant, et exigeant sur le fond, cet essai engagé bouscule les préjugés et donne de quoi penser et résister. André Guigot est professeur à Nantes et essayiste. Il est l'auteur du très remarqué Pour en finir avec le "bonheur" , mais aussi de Qui pense quoi ? (Bayard), Sartre, liberté et histoire (Vrin) et du Petit dictionnaire de l'amour (Milan). Il anime de nombreux débats et conférences. Ses travaux portent sur la philosophie contemporaine, le renouveau du spiritualisme et les exigences d'une éthique propre à notre temps.

05/2016

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Histoire internationale

Pour en finir avec l'Allemagne

La victoire de Gerhard Schröder - suivie de la constitution d'un gouvernement " rouge-vert " (rose-vert serait plus exact) - est venue nous mettre brutalement sous le nez des réalités que nous cachait la massive et débonnaire silhouette de son prédécesseur Helmut Kohl. L'Allemagne n'est décidément pas ce pays " sûr de lui-même et dominateur " à quoi le résument nos inusables clichés, mais au contraire une nation qui doute d'elle-même et du monde, le mot est encore assez faible. Nous croyons que tout réussit aux Allemands. Qu'ils travaillent bien plus que nous. Qu'ils sont encore parfois hantés par de très suspectes nostalgies. Qu'ils ignorent la crise et ses peurs. Que leur amitié pour nous est, au mieux, condescendante. Et nous avons tout faux ! Il y a pour les Français un mystère allemand à plusieurs inconnues. Des inconnues qui tiennent il est vrai, bien souvent, à notre ignorance persistante à l'égard du plus grand voisin et principal partenaire de la France en Europe. C'est bien pourquoi il est grand temps d'en finir avec l'Allemagne. Celle, du moins, que nous jugeons mal, par excès ou par défaut, et qui est au cœur des fantasmes français bien plus que des réalités politiques, économiques et culturelles d'aujourd'hui. Et d'en refaire ce qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être : un (grand) pays comme les autres.

10/1998

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Littérature française

Pour en finir avec mon sofa

"Dans Sofa, je n'ai pas pu garder les vrais prénoms car si je l'avais fait il y aurait un seul prénom . Tous les personnages s'appelleraient Hélèna. Ce ne serait pas facile pour s'y reconnaître. La fille qui hérite des problèmes de sa mère c'est moi. La mère qui ne peut pas s'empêcher d'emmerder sa progéniture c'est moi aussi. Le petit ami qui adore jouer au ping-pong c'est encore moi. Le type qui collectionne des petits bidules en plastique c'est toujours moi et l'ami d'enfance qui raconte les vieilles histoires c'est moi, moi et moi. J'ai donc dû inventer des prénoms".

03/2018

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Théâtre

Pour en finir avec le théâtre ?

Le théâtre est un verbe qui devient chair, un comédien qui devient personnage, un moment habité par les spectateurs, une catharsis citoyenne, un apprentissage de la complexité et de la finesse. Or notre théâtre n'est aujourd'hui le plus souvent que spectacle désincarné et sans âme, tristes pitreries, one-man shows et autres ersatz de théâtre. Et ceux qui s'obstinent à faire du vrai théâtre sombrent parfois dans la course au spectaculaire, dans l'édifiant, dans l'aridité, oubliant que c'est l'humain qui doit être au coeur du théâtre. Depuis l'Antiquité, sans théâtre la Cité se meurt, la démocratie s'assèche, les pires instincts se déchaînent. Dans une France divisée, pourvu que les pouvoirs publics lui donnent les moyens d'exister, le théâtre peut contribuer à notre salut collectif.

03/2017

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Affirmation de soi

Pour en finir avec nos peurs

Cher Monsieur, De coeur et d'âme, je vous dis merci de nous offrir la possibilité de lire ce long texte de M. Eric Ancelet " pour en finir avec nos peurs... " Merci d'avoir sollicité Monsieur Ancelet de reprendre la plume tout récemment, merci à Monsieur Ancelet pour les informations si précieuses que j'ai découvertes et merci à vous de nous l'offrir gratuitement. Ce texte m'a profondément touchée, recadrant si clairement ce que notre société vit actuellement. Ma souveraineté s'est renforcée et mon appartenance à une très longue histoire aussi. Je vous remercie. Je vous souhaite de beaux moments de vie Amicalement Catherine Praplan. Récemment, j'ai lu le livre de M. Ancelet " Pour en finir avec Pasteur ", quel livre !! Et quel bel être pour nous transmettre tout cela.

05/2021

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Autres collections (9 à 12 ans

Pour en finir avec le Groc

Pour fuir son abruti de beau-père, Eole, onze ans, décide de passer le plus de temps possible hors de chez lui, avec son grand-père. A ses côtés, il découvre toute une bande de vieux, surprenants et rebelles, qui l'incitent à assumer son désir le plus secret : celui d'en finir avec le Croc. Le Croc ? Le gros con ! Ne plus se laisser faire, lutter pour gagner sa liberté, prendre son destin en main, voilà le grand défi d'Eole.

05/2021

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sociologie du genre

Pour en finir avec le féminisme

Comment un couple vit-il le féminisme ? Un homme et une femme de culture et de générations distinctes que la vie et la foi ont unis nous livrent le passionnant dialogue de leurs pensées. Deux textes croisés qui se répondent. Deux visions du monde qui achoppent l'une sur l'autre mais aussi bâtissent l'une avec l'autre. Tout en estimant que le combat du féminisme est un des plus beaux de notre siècle et que, comme un parcours à bicyclette, il ne saurait s'arrêter sans chuter, les auteurs s'inquiètent de certains de ses excès et de ses dérives. Défendant aussi bien la galanterie à la française que le droit de se faire importuner ou la complicité et la complémentarité entre les sexes, les auteurs militent pour un féminisme à la française, qui nous éviterait la montée de la méfiance et de l'enfermement, la judiciarisation des rapports sociaux et la permanente injonction faite aux femmes d'être des wonder women, mères parfaites et travailleuses accomplies. Le féminisme doit également inclure les hommes sans lesquels le combat pour l'égalité ne saurait être gagné. Egalité ne veut cependant pas dire identité et chercher à "dégenrer" la société est une ineptie. De même l'émancipation du patriarcat ne saurait se confondre avec un prosélitisme pour l'exclusion des hommes de la vie des femmes.

07/2024

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Sociologie

La fabrique des garçons. Sanctions et genre au collège

80% des élèves punis au collège sont des garçons. L’ouvrage de Sylvie Ayral montre que les punitions ont un effet pervers. Elles consacrent les garçons dans une identité masculine caricaturale, renforçant les conduites qu’elles prétendent corriger : le défi, la transgression, les comportements sexistes, homophobes et violents. Le livre explore toutes les facettes de cette hypothèse en interrogeant les règlements intérieurs, les registres de sanctions et en donnant la parole aux élèves et aux adultes qui les encadrent. Aux antipodes de la tolérance zéro et du tout répressif, l’auteur plaide pour une éducation non sexiste, une mixité non ségrégative et la formation des personnels éducatifs au genre. Ces propositions apparaissent comme une urgence si l’on veut comprendre et traiter les rapports de domination et la violence qui empoisonnent le quotidien des élèves et des enseignants.

03/2011

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Sciences historiques

La fabrique des garçons. L'éducation des garçons de 1820 à aujourd'hui

Voici le complément indispensable à «La Fabrique des Filles» pour comprendre l'histoire du genre. Car dans les désormais fréquents débats sur le genre on parle beaucoup du « formatage » des filles, plus rarement de celui des garçons. Une des meilleures historiennes du genre, Anne-Marie Sohn, présente ici l'évolution de l'éducation des garçons depuis 150 ans.

10/2015

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Critique littéraire

Pour en finir avec la langue de Shakespeare

C'est une épidémie ! L'anglais est partout. La langue de ceux qui ont fait brûler Jeanne d'Arc, exilé Napoléon à Sainte-Hélène, emmerdé souverainement De Gaulle, a non seulement gagné la planète mais s'impose aujourd'hui résolument dans notre douce France. Beaucoup s'en félicitent au nom du pragmatisme et de l'efficacité. Comment en est-on arrivé là ? La langue, pourtant, ce n'est pas rien ! C'est l'âme d'un peuple, son essence, son identité, son ciment, ce qui lui donne sa personnalité, ce qui marque sa différence... L'anglais, ce n'est pas seulement une langue mais ce qu'elle véhicule comme références, système de valeurs et vision du monde qui entre en contradiction avec la construction très particulière qu'a été la France.

03/2014