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Mort de Peine

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Littérature française

Mort de Peine

Au Tribunal, c'est un coup de tonnerre : le célèbre bâtonnier Florens est mort. Calme et discret, le juge Carrouge n'a pas le temps de s'épancher. Dans une lettre posthume, le vieil avocat le somme de prononcer son éloge funèbre. Sans doute pour l'inspirer, il lui fait remettre trois mystérieuses enveloppes. Rechignant à cette écorne à la tradition, le juge se penche tout de même sur les papiers de celui qui était devenu son ami. Il lit, et relit. Mais alors il perd pied. Qui était vraiment ce grand amateur de whisky ? A travers cette histoire sombre, presque une farce d'outre-tombe, l'auteur nous plonge dans une réflexion sur le sens de la vie, les relations humaines et la vraie valeur des hommes.

11/2022

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Droit

De la peine de mort. 2e édition

De la peine de mort (Seconde édition) / par Adolphe Garnier,... Date de l'édition originale : 1829 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2020

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Sciences politiques

Essai sur la peine de mort

Essai sur la peine de mort ... par Hilaire-François Barret,... Date de l'édition originale : 1821 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

10/2020

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Droit

Discours sur la peine de mort

Discours sur la peine de mort , par le citoyen Antoine Magnien,... Date de l'édition originale : 1793 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

07/2020

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Sciences politiques

Libres réflexions sur la peine de mort

On présente aujourd'hui l'abolition de la peine de mort comme un progrès majeur de civilisation. En est-il vraiment ainsi ? S'inscrivant en faux contre la vulgate ambiante, Jean-Louis Harouel propose une autre lecture, iconoclaste et originale. Il montre que, contrairement aux apparences - et à ce que bien des gens croient sincèrement -, la phobie de la peine de mort qui caractérise aujourd'hui l'Europe occidentale ne procède pas du Tu ne tueras pas de la Bible, mais est un des effets d'une religion séculière ayant pris le relais du communisme comme projet universel de salut terrestre : ce que l'auteur appelle "la religion des droits de l'homme" . Or celle-ci est la continuatrice de vieilles hérésies oubliées qui manifestaient une grande désinvolture à l'égard de la vie des innocents, tout en professant un amour préférentiel envers les criminels, considérés comme d'innocentes victimes. Là se trouve la source de l'humanitarisme anti-pénal qui a fait triompher l'abolition de la peine de mort, laquelle, même très peu appliquée, constituait la clé de voûte d'un système pénal fondé sur l'idée de responsabilité. Au lieu de quoi, la suppression de la peine capitale a frayé la voie à une perversion de la justice - l'imposture de la perpétuité de vingt ans ! - au profit des criminels et au détriment de la sécurité des innocents. Jean-Louis Harouel, agrégé de droit, professeur émérite de l'université Panthéon-Assas (Paris II), a publié une vingtaine de livres, dont les plus récents étudient l'influence du facteur religieux sur les accomplissements des sociétés humaines : Le Vrai Génie du christianisme (2012) ; Revenir à la nation (2014), Les Droits de l'homme contre le peuple (Desclée de Brouwer, 2016) et Droite-Gauche : ce n'est pas fini (Desclée de Brouwer, 2017).

11/2019

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Histoire du droit

La peine de mort. Histoire et abolition

"En vertu de quel droit les hommes peuvent-ils se permettre de tuer leurs semblables ? " disait le marquis Cesare Beccaria, posant dès 1764 la question essentielle, ignorée jusqu'alors. Deux auteurs, l'un historien, l'autre avocat, se penchent sur l'histoire de la peine capitale en France, des Mérovingiens à nos jours. Un voyage passionnant et illustré, qui décrit l'évolution de la peine suprême au fil des siècles. Droit naturel et nécessaire pour les uns, barbarie ou "crime légal" pour les autres. De grands noms sont évoqués, rappelant combien ils se sont engagés au cours des deux derniers siècles : Rousseau, Voltaire, Robespierre, Lamartine, Hugo, Barrès, Jaurès, Camus et bien sûr Robert Badinter qui, en tant qu'avocat, puis comme Garde des Sceaux, est parvenu, en dépit d'une opinion publique défavorable, à faire voter l'abolition totale de la peine de mort en 1981.

10/2021

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Critique littéraire

Albert Camus contre la peine de mort

Publié à l'occasion du trentenaire de l'abolition de la peine de mort (loi du 10 octobre 1981), ce recueil rassemble pour la première fois l'intégralité des textes d'Albert Camus sur le sujet. Il contient par ailleurs quelques textes inédits (principalement des lettres, personnelles ou collectives). La pensée du Prix Nobel 1957 a joué un grand rôle, à l'instar de celle de Victor Hugo au XIXe siècle, dans le combat abolitionniste : donner à lire l'ensemble des textes au travers desquels Albert Camus s'éleva contre la peine de mort signifie mettre en lumière un pan méconnu de la pensée intime et de l'activisme de l'auteur. Si Camus publie en 1957 ses "Réflexions sur la guillotine", bientôt incluses dans l'ouvrage collectif Réflexions sur la peine capitale, cet essai célèbre s'accompagne en effet d'une constellation d'écrits qui interrogent, analysent et dénoncent l'illégitimité du couperet. Documents inédits, lettres envoyées à titre privé, extraits de carnets, d'allocutions, d'écrits fictionnels et journalistiques connus se répondent ici pour révéler, dans sa complexité et sa profondeur, la préoccupation d'une vie : "sauver les corps". Ces textes d'invention et d'intervention retracent une conviction abolitionniste ébranlée à la Libération, mais qui n'en traverse pas moins résolument les plus sombres événements du XXe siècle : la dictature franquiste, la Seconde Guerre mondiale, la guerre civile grecque et ses suites, les répressions perpétrées en Europe de l'Est sous l'égide du stalinisme, la guerre d'Algérie, etc. Camus ne se détourne d'aucune des questions pressantes de son temps, qu'elles soient politiques, historiques ou humaines. L'ouvrage se termine par un court essai d'Eve Morisi sur la peine de mort dans les romans de Camus.

10/2011

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Romans policiers

Le mort de la pleine lune

Ile de La Réunion – Octobre 2014, Rodi est retrouvé, les mains et les pieds attachés, dans l'embouchure de la rivière des Roches, haut lieu de la pêche à la bichique. Huit années auparavant, sa compagne Amishi s'est suicidée. Accompagnez le lieutenant Franck Law dans l'est de l'île, à la recherche de l'assassin. Faites connaissance avec : Marcellin Mangalou, père de la victime et riche pêcheur ; Dounia et Sulayman Patel, les parents d'Amishi, toujours hantés par le suicide de leur fille unique ; Madame Sidonie, guérisseuse, spirite et exorciste ; Laurentin Hoarau, le premier et l'inconsolable ex-fiancé d'Amishi ; Jeannette, veuve et mère malheureuse de Laurentin ; Nazir, touriste malgache et volcanologue amateur ; Deborah, la précieuse compagne du lieutenant ; Thierry et Max, les bras droits de Franck Law. Jalousie ? Vengeance ? Pratiques et croyances occultes ? Toutes les (fausses) pistes sont à suivre.

02/2021

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Droit

Contre la peine de mort. Ecrits 1970-2006

" A ce moment de mon existence déjà longue, me retournant vers ce qui fut un combat passionné, je mesure le chemin parcouru vers l'abolition universelle. Mais, tant qu'on fusillera, qu'on empoisonnera, qu'on décapitera, qu'on lapidera, qu'on pendra, qu'on suppliciera dans ce monde il n'y aura pas de répit pour tous ceux qui croient que la vie est, pour l'humanité tout entière, la valeur suprême, et qu'il ne peut y avoir de justice qui tue. Le jour viendra où il n'y aura plus, sur la surface de cette terre, de condamné à mort au nom de la justice. Je ne verrai pas ce jour-là. Mais ma conviction est absolue : la peine de mort est vouée à disparaître de ce monde plus tôt que les sceptiques, les nostalgiques ou les amateurs de supplices le pensent. " R. B.

08/2006

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Philosophie du droit

Contre la peine de mort. Ecrits 1970-2006

Né à Paris en 1928, avocat et professeur de droit, Robert Badinter a défendu des causes célèbres, comme le procès de Patrick Henry. Parallèlement, il milite pour les droits de l’Homme et adhère au Parti socialiste en 1971. À son arrivée au pouvoir, François Mitterrand le nomme Garde des Sceaux. En tant que ministre de la Justice, il fait voter, le 9 octobre 1981, la loi abolissant la peine de mort. On lui doit également des mesures telles que l’abrogation du délit d’homosexualité, la suppression de la Cour de sûreté de l’État et des tribunaux permanents des forces armées, les droits des victimes et l’amélioration de la condition carcérale. Président du Conseil constitutionnel de 1986 à 1995, il préside la commission d’arbitrage de la CEE sur la paix dans l’ex-Yougoslavie. Depuis 1995, il est sénateur des Hauts-de-Seine. Robert Badinter est l’auteur de nombreux ouvrages historiques et politiques.

01/2008

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Théâtre

La Reine morte

C'est pendant la guerre, avec la création de La Reine morte, que Montherlant, célèbre depuis une vingtaine d'années déjà pour ses romans et ses essais, se fait connaître sur la scène française. Persuadé que la tragédie est l'une des clefs pour déchiffrer l'énigme des agissements humains et des rapports entre les êtres, Montherlant ressuscite avec La Reine morte la grande tragédie, mêlant conflits politiques et affrontements familiaux, dressant pour l'éternité dans une lutte à mort le fils contre le père. On connaît l'argument : un roi, très malade, fait tuer la femme, Dona Inès, que son fils Don Pedro a épousée secrètement. Il meurt devant le cadavre de " la reine morte ".

05/2006

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Littérature étrangère

Une mort qui en vaut la peine

Après Le Diable, tout le temps, couronné par de nombreux prix, Donald Ray Pollock revient avec une fresque grinçante à l'humour très noir. 1917. Quelque part entre la Géorgie et l'Alabama. Le vieux Jewett, veuf et récemment exproprié de sa ferme, mène une existence de misère avec ses fils Cane, Cob et Chimney, à qui il promet le paradis en échange de leur labeur. A sa mort, inspirés par le héros d'un roman à quatre sous, les trois frères enfourchent leurs chevaux, décidés à troquer leur condition d'ouvriers agricoles contre celle de braqueurs de banque. Mais rien ne se passe comme prévu et ils se retrouvent avec toute la région lancée à leurs trousses. Et si la belle vie à laquelle ils aspiraient tant se révélait pire que l'enfer auquel ils viennent d'échapper ? Fidèle au sens du grotesque sudiste de Flannery O'Connor, avec une bonne dose de violence à la Sam Peckinpah mâtiné de Tarantino, cette odyssée sauvage confirme le talent hors norme de Donald Ray Pollock.

09/2016

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Policiers

La reine des morts

Que venait faire sœur Camille dans la chapelle désaffectée de l'abbaye de Graystones, au milieu de la nuit ? Sur la pierre glacée, aux côtés de son corps sans vie, gît une autre nonne à l'agonie : une sanglante tragédie peu familière en ces lieux consacrés... Faut-il y voir la main d'un adorateur du Malin ? Ou bien chercher plus profondément dans le passé des victimes ? Celui de la novice, Camille, semble en effet receler plus d'un secret... Dépêchées sur place, l'inspecteur _fane Rizzoli et celle que la police de Boston a surnommée " La Reine des Morts ", la légiste Maura Isles, contemplent le carnage. L'une et l'autre se plongent à corps perdu dans l'enquête. Et quand apparaît dans le tableau une morte sans visage, une piste sulfureuse aux parfums de l'Inde lointaine, cette affaire de femmes prend vite une tournure bien peu catholique...

06/2009

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Philosophie

Séminaire la peine de mort. Tome 1, 1999-2000

Le présent volume édite la première des deux années du séminaire que Jacques Derrida consacra au sujet de la peine de mort (en 1999-2000 et 2000-2001). Présenté intégralement dans le cadre du programme "Philosophie et épistémologie" à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, à Paris, ce séminaire a aussi fait l'objet d'un enseignement aux Etats-Unis. Il précède immédiatement celui consacré à "La bête et le souverain" (2001-2003), déjà publié. Il relève de l'ensemble commencé en 1997-1998 sous le titre "Le parjure et le pardon", qui appartient lui-même à un ensemble plus long, "Questions de responsabilité", initié en 1989 et finalisé en 2003 avec la dernière année d'enseignement de Jacques Derrida. Voici le résumé qu'en donnait Jacques Derrida dans l'Annuaire de l'EHESS 1999-2000 : "La problématique engagée sous ce titre "Le parjure et le pardon" au cours des deux années passées nous a conduits à privilégier cette fois la grande question de la peine de mort. C'était nécessaire au moins dans la mesure où la peine dite capitale met en jeu, dans l'imminence d'une sanction irréversible, avec ce qui paraît tenu pour l'impardonnable, les concepts de souveraineté (de l'Etat ou du chef d'Etat - droit de vie et de mort sur le citoyen), de droit de grâce, etc. Nous avons étudié la peine de mort, de façon au moins préliminaire, aussi bien à partir de grands exemples paradigmatiques (Socrate, Jésus, Hallâj, Jeanne d'Arc) que de textes canoniques, de la Bible à Camus ou à Badinter, en passant par Beccaria, Locke, Kant, Hugo - à qui nous avons consacré de nombreuses séances -, Genet, etc., et surtout de textes juridiques d'après la Seconde Guerre mondiale. Un grand nombre de conventions internationales recommandent en effet la fin des châtiments cruels et des tortures, dont la peine de mort, sans jamais en faire obligation aux Etats dont la souveraineté devait être respectée. Nous nous sommes intéressés aux mouvements abolitionnistes, à leur logique et à leur rhétorique, et surtout aux Etats-Unis dont l'histoire récente, voire très actuelle, a requis de nombreuses analyses - notamment depuis la décision de la Cour suprême qui, en 1972, jugea inconstitutionnelle l'application de la peine de mort ("cruel and unusual punishment"), jusqu'à la reprise amplifiée et spectaculaire des exécutions depuis 1977, etc. Nous avons accordé beaucoup d'attention à l'exception des Etats-Unis. Trois concepts problématiques ont dominé notre questionnement à travers les textes et les exemples étudiés : la souveraineté, l'exception et la cruauté. Autre question conductrice : pourquoi l'abolitionnisme ou la condamnation de la peine de mort, dans son principe même, n'ont-ils (presque) jamais, à ce jour, trouvé une place proprement philosophique dans l'architectonique d'un grand discours philosophique en tant que tel ? Comment interpréter ce fait hautement signifiant ?"

10/2012

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Poésie

Vie, mort, morts symboliques

Ancien déporté d'Auschwitz, Isaac, philosophe de métier, s'installe dans un petit village ignorant qu'il est composé d'ex-résistants et collaborateurs dans la Deuxième Guerre mondiale. Trahi par le numéro gravé dans son bras, il est, à son insu, à l'origine du retour des "vieux démons" entre les habitants... A la demande du professeur de l'école et du maire, il accepte de témoigner de son vécu dans le camp de la mort et de répondre aux questions des élèves et des adultes. Malgré les hostilités qu'il suscite autour de lui, il devient, grâce à son expérience et son savoir, le personnage central des lieux. Dès son arrivée, en parlant de la vie, de la mort et des morts symboliques, il ne cesse de répandre l'esprit de tolérance et de fraternité. Pour lui, les "morts symboliques" représentent la pierre angulaire du développement de l'humain. Sans elles, ce dernier resterait fixé à "l'animalité" .

05/2022

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Littérature française (poches)

Fort comme la mort

Avec le temps, on a oublié le phénoménal succès de " Fort comme la mort ", cinquième roman de Maupassant, publié en feuilleton, puis en livre, en 1889, tandis que les Parisiens se préparaient à découvrir l'Exposition universelle et à inaugurer la tour Eiffel...Le dossier historique et littéraire qui accompagne cette édition montre en quoi ce récit vaut le détour : roman mondain, récit d'un amour impossible, livre entrecroisant les perspectives de l'art et de la vie à travers le destin d'un héros peintre, il appelle le mythe de Faust, la philosophie de Schopenhauer ou encore de nombreux échos chez D'Annunzio ou Zola. Œuvres et références dont on trouvera ici de larges extraits.

04/1993

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Religion

La vengeance du sang. Peine de mort et sacrifice humain

Ce livre questionne nos valeurs et nos convictions profondes tout en nous invitant à jeter un regard neuf sur les événements dramatiques qui meublent l'actualité. Les auteurs y démontrent les liens qui existent entre les origines religiologiques de la peine de mort dans le sacrifice humain, la pratique de la vengeance du sang et la notion juridique de la peine de mort. S'inspirant des théories sur l'origine de la violence de René Girard, Nelson Tardif explique d'abord comment et pourquoi le criminel " démonisé " devient un bouc émissaire destiné à drainer symboliquement la violence hors de l'enceinte de la société. Cette vision est présente de façon particulièrement radicale dans les différents fondamentalismes contemporains. Pour sa part, Aldina da Silva pose un regard éclairé sur la peine de mort dans la Bible en remettant en question les prises de position favorables à cette pratique qui s'appuient sur des arguments religieux. Selon elle, le Nouveau Testament nous demande même de vaincre la violence par le choix chrétien, souvent paradoxal, de l'amour et de la foi en l'humain. Dans le dernier chapitre, Jean-Marc Gauthier montre comment le Dieu de Jésus, en relevant celui-ci de la mort, s'inscrit résolument comme un Dieu pour la vie. Le regard théologique qu'il porte sur la crucifixion de Jésus mène à une conclusion à la fois touchante et convaincante en faveur de la vie et de la foi en l'humain quel qu'il soit. Bref, un sujet difficile abordé avec intelligence et sensibilité dans un livre qui engage la réflexion, la responsabilité et l'humanité de chacun et chacune de nous.

04/2006

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Petits classiques parascolaire

Claude Gueux et autres textes contre la peine de mort

Le 7 novembre 1831, un certain Claude Gueux, emprisonné pour un petit larcin, tue le directeur de sa prison. Il est condamné à mort et guillotiné en juin 1832. Le fait divers, relayé par la presse, inspire Victor Hugo. L'auteur du Dernier Jour d'un condamné s'empare de l'histoire de cet homme ordinaire que la souffrance et le désespoir ont transformé en meurtrier. Réquisitoire contre la peine de mort et plaidoyer pour l'éducation du peuple, cette nouvelle met en scène avec brutalité une société sclérosée, une justice inique et l'Etat indifférent qui ont poussé un individu honnête à commettre un crime. Claude Gueux est suivi d'autres textes contre la peine de mort, dont la Préface au Dernier Jour d'un condamné et le Discours à l'Assemblée constituante du 15 septembre 1848. Objets d'étude : La fiction pour interroger le réel ; Informer, s'informer, déformer. Dossier pédagogique spécial nouveaux programmes. Prolongements : Claude Gueux, téléfilm d'Olivier Schatzky ; la peine de mort aujourd'hui.

08/2017

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Policiers

Lie de mort. Une enquête du juge Pline

Le juge Pline sur les traces d'un tueur en série en bord de Loire

01/2021

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Policiers

Le vestiaire de la reine morte

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, en Bretagne, dans une ambiance de légendes celtiques et de superstitions, une adolescente solitaire découvre qu'un culte ancestral est à l'origine de nombreux assassinats perpétrés dans le voisinage. Marion passe chaque été ses vacances à Bregannog, un village coupé du monde, où une partie de la population vit encore dans la stricte observance des croyances implantées par les druides. Un village étrange, qui, jadis, n'était peuplé que de brigands, de pillards et de naufrageurs. Cette complicité dans le crime lie les autochtones à la manière d'un serment de chevalerie : qui n'a jamais versé le sang n'a pas sa place à Bregannog ! Marion, trop curieuse et désoeuvrée, va mettre au jour des secrets qui la dépassent, jettent le doute sur sa propre famille, et ne tarderont pas à faire d'elle la cible de toutes les haines. Le jeu d'enfant tourne au cauchemar.

03/2010

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Poésie

Le mot à mort

Le poème, ici et par la suite, malaxe les mots au lieu de les exposer : il en projette l'une contre l'autre les syllabes, et ce sont cassures en cascades et bataclan d'impressions toujours fusant à perte de sens. On y perd sa petite logique dans des " pitre pâtre part paître à part " avant de trouver " l'accès à l'excès " et de régler les soubresauts de sa langue sur des saccades qui, à force de vous secouer, font sens : un sens décapé de toutes les vieilles contraintes.... Peu de pages sont nécessaires pour réussir et imposer une Révolution. Celle qu'Alain Joule, ici, mène jusqu'au bout ne proclame rien : elle défait des chaînes demeurées invisibles et pousse les mots à l'union libre du sens et de la sonorité... Extraits de la préface de Bernard Noël Par-delà " les sens " Le Mot à Mort est un acte d'Amour. La mort qui est la fin du processus de vie se place dès lors qu'elle s'effectue au début d'un autre processus, celui de la mutation par laquelle les cellules en décomposition vont nourrir la terre pour permettre l'avènement de nouvelles vies. Extrait de l'avant-propos d'Alain Joule

01/2016

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Santé, diététique, beauté

Plus fort que la mort

Louis va mourir d'un cancer, Matie sait qu'elle lui survivra. Les deux amants (mari et femme) entament un dialogue d'une rare intensité dans leur combat pour la vie - qu'ils mènent, avec la complicité du Dr Lévi, contre toute raison et tout espoir. A la fois témoignage et récit sur ces trois années de lutte contre la maladie, Plus fort que la mort est essentiellement une histoire d'amour. Retour sur l'enfance de Louis, pages de journal de Marie, lettres de l'un à l'autre pendant l'hospitalisation - la manière dont on est traité (ou maltraité) quand on est gravement malade, par les soignants, la famille, les amis fait partie de ce qui est ici mis crûment en lumière -, comment la maladie les a éprouvés, ce qu'elle a détruit, ce qu'elle leur a appris. La profondeur spirituelle du couple, l'un citant volontiers les Lettres à Lucilius de Sénèque pour s'exprimer, l'autre l'évangile de Marc, la qualité de l'écriture et la lucidité de chacun sonnent juste et entraînent le lecteur dans une réflexion qui donne toute sa valeur à la vie et à l'amour.

03/2006

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Petits classiques parascolaire

La peine de mort. De Voltaire à Badinter, Edition revue et corrigée

" Tout condamné à mort aura la tête tranchée. " Ainsi en décide le nouveau Code pénal adopté par les révolutionnaires en 1791. La guillotine a alors de beaux jours devant elle et fonctionnera en France pendant près de deux siècles, jusqu'à l'abolition, en octobre 1981, de la peine de mort. Les adversaires de la peine capitale luttent pourtant depuis le XVIIIe siècle. Et si le combat a été gagné en France, ils savent qu'ailleurs dans le monde on exécute encore les condamnés.

11/2007

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Policiers

Les enquêtes de Pipa Tome 2 : Mort(phine) suspecte

Cette édition est un format large 14.8x21, couverture brillante. ALERTE Cosy crime ! Second volet des aventures de notre enquêtrice de charme, Pippa, après "CASINO FATAL" ! Le docteur Olivia Owen est retrouvée morte dans une salle de repos de l'hôpital. Phil et Pippa, les inséparables enquêteurs et amis d'enfance, parviendront-ils à découvrir la vérité ? Pippa est une jeune femme pétillante et plantureuse, accessoirement aide-soignante le jour, et qui ne peut s'empêcher de jouer les détectives le soir. Lorsque l'une des médecins de l'hôpital où elle travaille est retrouvée sans vie, elle est tout naturellement sollicitée par le lieutenant, Phil, pour résoudre l'énigme. Mais cette fois, il n'y a aucune trace, aucun indice. Et puis, la jeune femme est perturbée par un détail, et par le fait que tout se soit déroulé dans un environnement trop familier pour elle. Comment va-t-elle surmonter ces difficultés ?

10/2020

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Littérature française

Plus fort que la mort. Mystère

Au début, il y a les racines. Aux noms et dates effacés : en Europe de l'Est, un cimetière des oubliés - baptisé "l'Eternité" - attend ses promeneurs. Un jour, une idylle prend corps au chevet des morts. Pour Eva et Dan, le cimetière devient un jardin, sinon un Eden. La suite ? Tout le monde la connaît : un profond sommeil doit descendre sur l'homme, une nuée de voix sur la femme. Et la chair est refermée à sa place.

02/2017

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Littérature française (poches)

Le socle de la statue suivi de Le réalisme dans la peine de mort

Auguste Villiers de L'Isle-Adam (1838-1889) admirait Poe et Baudelaire. Il était donc familier de l'irréel. Il a su allier "les deux modes en secret correspondants du rêve et du rire" (Mallarmé). Il prônait le recours à l'imaginaire pour retrouver un passé bienheureux, celui d'avant la captivité de son "moi" dans un monde quotidien perverti. Son oeuvre la plus célèbre aujourd'hui est les Contes cruels (1883), auxquels il faut ajouter L'Eve future (1886). Le Socle de la statue fut publié la première fois en 1882 sous le titre La Maison Gambade, père et fils. Le réalisme dans la peine de mort fut publié dans Le Figaro du 18 novembre 1885 puis repris dans le livre Chez les Passants (Fantaisies, Pamphlets et Souvenirs).

12/2015

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Droit

Introduction au monde de l'exécution des peines. De la peine à son exécution

La révélation de crimes ou de récidives spectaculaires soulève depuis des lustres des débats passionnels et passionnés. La curiosité, la peur, la compassion ou le besoin de vengeance que suscitent ces événements engendrent fréquemment des discussions sur la pertinence de la réponse pénale ainsi que sur l'efficience de son exécution. Mais que veut-on de la peine, que peut-on en obtenir et que sait-on précisément de son exécution et de ses conséquences ? L'extravagance des attentes face à la sanction mérite une réponse plus approfondie que des opinions fondées sur les seules émotions ou croyances. Cet ouvrage a pour intention de préciser le débat actuel et de proposer au lecteur une vision globale et raisonnée du monde de l'exécution des peines et de ce qui l'a fait aboutir à son état contemporain. Il suggère quelques clés de compréhension de ce domaine complexe, nourri de symboles et de concepts parfois contradictoires et nécessitant une constante pesée de valeurs, et il propose des solutions et principes d'exécution fondés sur les bonnes pratiques du moment. Comme le domaine qu'il décrit, ce précis de pénologie est interdisciplinaire. Il profite des apports de nombreuses disciplines. Il s'adresse à la fois aux étudiants intéressés par le domaine pénal, aux multiples intervenants de l'exécution des peines et au public désireux de mieux comprendre les rapports qui relient la société à la peine et la peine à la société.

09/2019

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Violence

La peine de mort n'a jamais été abolie. Dits et écrits de prison

L'Etat français aurait aboli la peine de mort le 9 octobre 1981. En réalité, la guillotine a été remplacée par des peines infinies qui tuent à petit feu. Des dizaines de personnes meurent chaque année derrière les murs. Violence des surveillants, manque de soin, désespoir... Depuis 40 ans, des prisonniers prennent la parole et dénoncent la mascarade de l'abolition : "Nous, prisonniers qui vivons dans le ventre de la bête carcérale, nous adressons cette supplique à ceux qui, réunis, fêterons l'anniversaire. Les prisons actuelles sont des mouroirs. ". . Joyeux anniversaire ?

09/2021

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Littérature française

Remise de peine

Dans ce récit aux contours autobiographiques, le narrateur, Patoche, évoque son enfance chez des amies de ses parents, pendant que sa mère court les scènes de théâtre dans toute l'Europe et que son père s'est fait chercheur d'or en Amérique du Sud. Le regard enfantin et naïf du narrateur dessine des existences adultes troubles, faites de mystères et de clandestinité. Remise de peine est imprégné des thèmes chers à Patrick Modiano : la quête paternelle et la mélancolie des errances parisiennes.

01/1988

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Littérature française

Filles de peine

Martine retrace son parcours de vie. Elle cherche a? explorer la ligne?e de femmes et de me?res, qui l'ont pre?ce?de?e, afin de lever le voile sur quarante anne?es de frustration et de me?prise. Eleve?e par ses parents, mais he?berge?e dans une " maison d'enfants " a? caracte?re social, elle y a puisé toute la richesse d'une fratrie d'exception qui va pourtant l'e?branler dans ses certitudes. Obstine?e, elle va tenter de construire sa famille et chercher a? comprendre la trame de sa vie ainsi que sa que?te re?currente d'identite?. Pour enfin accéder à la femme qu'elle souhaite devenir, Martine parviendra-t-elle a? de?nouer ce que d'autres avant elle ont tisse? ?

11/2021