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Le chant de mon père

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BD tout public

Le chant de mon père

Nous vivons dans une jolie maison traditionnelle que mon père avait construite de ses propres mains.

01/2012

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Littérature japonaise

Abandonner un chat. Souvenirs de mon père

Une plongée superbement illustrée dans l'enfance de Murakami et dans l'histoire du Japon. Quand Murakami avait cinq ou six ans, lui et son père sont partis en vélo abandonner un chat sur la plage. Pourquoi ne pas le garder, que se sont-ils dits, était-ce un moment triste, tout cela, Murakami ne s'en souvient plus. Ce dont il se souvient en revanche, c'est que quand lui et son père sont rentrés à la maison, le chat était là. Et que sur le visage de son père, il y avait de la surprise, de l'admiration et du soulagement. C'est là un des souvenirs que Murakami partage sur ce père qu'il a si mal connu. Un homme que les différentes guerres avaient changé, qui chaque matin honorait ses morts, qui avait dû renoncer à ses ambitions mais a composé des haïkus jusqu'à la fin de sa vie ; un homme, aussi, qui n'a jamais compris les aspirations de son fils. Et à travers son père, c'est bien lui-même que Murakami questionne...

05/2023

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Littérature étrangère

Mon père et ma mère

C'est l'été 1938 en Europe centrale. Et comme chaque année ils sont là, sur la rive, en villégiature. Il y a Rosa Klein, qui lit dans les lignes de la main. Mais peut-on se fier à ses prédictions ? Et Karl Koenig, l'écrivain. Pourquoi fréquente-t-il les autres vacanciers au lieu de consacrer toute son énergie au roman qu'il est en train d'écrire ? Qui sont vraiment " l'homme à la jambe coupée " et la jeune femme amoureuse que tous les Juifs appellent par l'initiale de son prénom ? Et le père et la mère d'Erwin, l'enfant si sensible à l'anxiété de ceux qui l'entourent ? Dans ce roman magistral publié quelques années avant sa mort, Aharon Appelfeld tisse les questions intimes, littéraires et métaphysiques qui l'ont accompagné toute sa vie. Sous sa plume, ces dernières vacances avant la guerre sont le moment où l'humanité se dévoile dans ses nuances les plus infimes, à l'approche de la catastrophe que tous redoutent sans parvenir à l'envisager.

10/2020

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Littérature française

Le chant de la mère

Comptoir de Bafata, fin des années 1920. Mati vit dans les cases indigènes. Elle a eu deux filles, Jacinta et Sónia, d'un Portugais nommé Basilio, gérant de la maison de commerce de Govéa. Celui-ci veut envoyer ses enfants au Portugal, mais sans leur mère. Mati s'enfuit alors avec ses filles à Kolda, dans la colonie française du Sénégal. Passent les années de la Grande Guerre et sa détresse. Jacinta et Sónia sont devenues de ravissantes jeunes filles. A Bansang, en Gambie anglaise, Jacinta devient la compagne de Sofiane, un commerçant libanais beaucoup plus âgé qu'elle. Après cinq années de romance, Sofiane trouve une maîtresse. Meurtrie, Jacinta quitte la Gambie, et part dans le cadre nouveau de Ziguinchor, au Sénégal français, et passera d'amant en amant. Sónia, de son côté, tombe amoureuse de Louis, un Français. Ils vivent pendant cinq ans une passion, avant de s'envoler pour la France, à Neuves-Maisons, en face des hauts-fourneaux où la métisse connaît le froid, la solitude et le déracinement, et tombe dans la dépression. Trois ans plus tard, elle rentre en Afrique avec ses enfants, guettée par la folie. Né à Paris en 1957, René Rivière fut professeur de lycée à Dakar, titulaire d'un doctorat en géographie. Le chant de la mère est son premier roman, inspiré d'une histoire vraie.

04/2019

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Poches Littérature internation

Ma mère la terre, mon père le ciel

Huit mille ans avant notre ère, les glaces recouvrent la plus grande partie de la planète. Dans les îles Aléoutiennes, où pêcheurs et chasseurs affrontent la menace continuelle de la faim, naît la jeune Chagak, promise dès l'enfance à Traqueur de phoques, l'un des plus valeureux jeunes hommes de la tribu. Le massacre des siens par une horde de nomades va bouleverser son destin. Elle doit s'enfuir, seule dans un monde hostile, emmenant son petit frère de quatre mois. Sa vie sera dominée par l'appel de la vengeance... Cette épopée envoûtante, servie par une remarquable documentation, nous entraîne dans les commencements de l'humanité, au cœur d'un monde hanté par la violence, la peur, l'obsession de survivre, l'amour.

04/1999

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Littérature française

Mon père, ma mère, mes tremblements de terre

"Est-ce que, sur la table de chirurgie, mon père ressent le chaud, le froid ? Allez savoir. Dans la salle d'attente, ma mère porte sa chemise saharienne et le soleil blanc tape doucement sur les fenêtres. L'air est doux. Un air qui n'a rien à voir avec la mort, les drames. Ici, ce n'est pas un drame. C'est autre chose qui se passe." Dans cette salle, Charlie, quinze ans, patiente avec sa mère. Bientôt, son père sortira du bloc. Elle s'appellera Alice. Durant ce temps suspendu, Charlie se souvient des deux dernières années d'une vie de famille terrassée. Deux années de métamorphose, d'émoi et de rejet, de grands doutes et de petites euphories. Deux années sismiques que Charlie cherche à comprendre à jamais. Tandis que les longues minutes s'écoulent, nerveuses, avant l'arrivée d'Alice, Charlie raconte la transition de son père. Sans rien cacher de ce parcours plus monumental qu'un voyage dans l'espace, depuis le jour de Pâques où son père s'est révélée. Où, pour Charlie, la terre s'est mise à trembler. Julien Dufresne-Lamy signe un cinquième roman doux et audacieux, profondément juste, sur la transidentité et la famille. La bouleversante histoire d'amour d'un clan uni qui apprend le courage d'être soi.

08/2020

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Littérature française

Mon père, ma mère et Sheila

C'est l'album d'une famille, issue d'un milieu populaire, avec ses codes, ses tabous, ses complexes, son ignorance, ses contentieux, dans les années 70 et 80. Le narrateur y raconte son enfance solitaire au milieu des turbulences. Pour son entourage, il a des goûts bizarres, des attitudes gênantes, des manières qui provoquent la colère de son père et la désolation de sa mère. Il dessine des robes et coiffe les poupées de sa soeur. Il fait son possible pour ne pas ajouter au malaise. Pour s'échapper, il colle son oreille à son mange-disque. Regarde les émissions de variétés scintillantes... Et admire une célèbre chanteuse dont il aime les robes à paillettes, les refrains joyeux. Il voudrait être elle. Il voudrait être ailleurs. Un premier roman tout en sensibilité sur fond de nostalgie douce amère et d'humour salutaire.

08/2017

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Littérature étrangère

Portrait-robot. Ma mère/Mon père

Résumé de portrait robot mon père : " L'homme que je connaissais ou croyais connaître n'était qu'une part de cet autre que personne ne connaissait. " Comment aimer un père apolitique ", l'écrivain Eberhard Meckel (1907-1969), finalement complice de l'idéologie nazie ? En exécutant sans faillir le portrait d'un être au fil du temps désemparé qui, entre romantisme, idéalisme et catholicisme, fut incapable d'assumer ses contradictions, Christoph Meckel pose aussi la question de l'héritage des pères aux fils après la chute du Troisième Reich. Publiés pour la première fois en diptyque tel que l'imaginait son auteur à l'origine, ces deux récits, écrits à vingt ans d'intervalle, radiographient l'univers intime de l'Allemagne d'hier et le séisme mental auquel son peuple dut faire face. Résumé de portrait robot ma mère : " Je n'ai pas aimé ma mère. " Phrase tabou d'un fils qui déplore la froideur bourgeoise d'une mère au protestantisme prussien. Christoph Meckel dit son manque dans une langue sèche et cassante, reflet de celle qui était sans tendresse ni amour ; une femme prude, égoïste et arrogante dont la violence larvée le conduisit au désenchantement absolu. Publiés pour la première fois en diptyque tel que l'imaginait son auteur à l'origine, ces deux récits, écrits à vingt ans d'intervalle, radiographient l'univers intime de l'Allemagne d'hier et le séisme mental auquel son peuple dut faire face.

01/2011

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Petits classiques parascolaire

Le corps de mon père. Suivi de Autobiographie de ma mère

Le corps de mon père et Autobiographie de ma mère ou deux récits autobiographiques d'enfance et d'adolescence.Michel Onfray se rappelle sa jeunesse et raconte son père et sa mère, avec honnêteté et amour. Le récit de ces deux vies est aussi celui de la sienne, inextricablement.L'édition Classiques & Cie collègeSoigneusement annoté, le texte des deux récits est associé à un dossier illustré, qui comprend :- un guide de lecture, avec de repères, un parcours de l'oeuvre en 7 étapes, un groupement de documents sur la figure du père,- une enquête documentaire : " La famille dans tous ses états ".L'auteurMichel Onfray est né en 1959. Docteur en philosophie, il a enseigné vingt ans en lycée, avant de fonder en 2002 l'Université populaire de Caen, conçue pour permettre un accès au savoir à tous, sans condition d'âge ou de diplôme. Parmi ses ouvrages, traduits en plus de vingt langues, beaucoup de philosophie, mais aussi, sous forme de préambules ou de postfaces, de courts récits autobiographiques tels Le Corps de mon père ou Autobiographie de ma mère.

02/2012

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Autres éditeurs (A à E)

Le chant de mon papa

Petit Bleuet entame son premier long voyage et pose plein de questions à son Papa : vont-ils nager longtemps ? Arrivera-t-il à suivre ? Il est aussi très intrigué par le monde qui se trouve sous lui, un monde magique où il s'enfonce... jusqu'à ce que seules les ténèbres l'entourent. Mais si Petit Bleuet se tait et écoute, arrivera-t-il à entendre le chant de son papa et à regagner la surface ?

06/2022

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Autres collections (6 à 9 ans)

Mon pitbull, mon père et moi

Carl a 12 ans (bientôt 13 ! ) et déjà, sa vie l'épuise. La raison ? Son père, super écolo, antisystème et adepte de la récup'. Sauver la planète et vivre simplement, d'accord. Mais faire les poubelles des supermarchés pour éviter le gaspillage et acheter ses vêtements dans des vide-greniers ? Non merci ! Et puis, que diraient ses camarades de classe s'ils découvraient qu'il vit dans une caravane et que son papa élève deux cochons, des poules et un pit bull balafré ? Alors le jour où il trouve une brochure d'éducation canine dans le paquet de croquettes de son chien, Carl a une idée : et s'il utilisait les conseils de ce guide pour reprogrammer son père ?

09/2022

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Littérature française (poches)

Le père de nos pères

D'où venons-nous ? Après l'infiniment petit (trilogie des " Fourmis "), après le mystère de la mort (" Les Thanatonautes "), Bernard Werber s'intéresse à une nouvelle frontière de notre savoir : les origines de l'humanité. Pourquoi y a-t-il des hommes sur Terre ? Pourquoi sont-ils intelligents et Pourquoi sont-ils conscients ? Nous nous retrouvons ainsi plongés il y a 3 millions d'années dans la savane africaine à suivre au jour le jour les aventures du premier humain, le fameux chaînon manquant, Adam, le... Père de nos pères. En parallèle, de nos jours, tous ceux qui ont découvert la véritable nature de cet être primordial ont de sérieux problèmes. Quel est ce secret que personne ne veut voir en face. Lucrèce Nemrod, reporter aussi tenace qu'espiègle, accompagnée de son complice Isidore Katzenberg, ancien journaliste scientifique désabusé, se lance intrépidement dans l'enquête. De Paris à la Tanzanie commence une course poursuite haletante où l'on rencontre un club de savants passionnés, une charcutière industrielle, une star du X et quelques primates qui se posent de drôles de questions. Suspense, humour, science, aventure... La révélation qui nous attend au terme de ce thriller paléontologique pourrait bien changer notre vision du monde.

03/2000

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Littérature française (poches)

Le livre de mon père et de ma mère. Mémorial I

Il demeure dans les replis de notre chair des vestiges de toute notre histoire et de toute l'histoire du monde. Rien ne se perd dans la nature et encore moins dans la nature de l'homme. Sous l'effet de certains traitements appropriés, qui sait si la mémoire d'Adam ou de quelqu'une de nos mères dont il reste en nous nécessairement trace ne s'éveillerait pas ? Au moins, de tout ce que nous avons vécu personnellement depuis notre naissance et même avant, qui représente un passé plus récent, plus immédiat, rien n'est mort tout à fait et si nous nous en donnions la peine. grâce à une lente éducation et à l'aide de pièges, encore à inventer. pourquoi ne serait-il pas permis de ressusciter, une à une, la suite de nos sensations, de nos expériences ?

09/2010

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Littérature française

Le silence de mon père

"Je ne sais pas qui est mon père. Je suis face à un reflet qui danse et tremble sur l'eau. Je tente de le capturer, je plonge la main, mais il se dérobe comme les bribes d'un rêve au matin. Il est pourtant là, si près. Insaisissable. Mon père, cet inconnu." C'est l'histoire d'un père enfermé dans le silence. De sa fille qui part à la recherche de l'homme qu'il fut. C'est une enquête intime menée comme un polar, un voyage dans les secrets de famille, les exils et la mémoire, de la banlieue du Mans aux ruelles de Hanoi. Un récit, un roman-quête en forme de puzzle, drôle et nostalgique à la fois.

03/2016

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Romans historiques

Le Bois de mon père

Au soir de sa vie, Hélène marche dans les pas de ses 20 ans et entraîne sa nièce dans les méandres de l'été 1944 et des années de guerre : la défaite, l'armistice, la collaboration, la Résistance, l'épuration... Soixante-dix ans plus tard, sa mémoire ne se satisfait pas de l' "Histoire" officielle qui classe les bons d'un côté et les méchants de l'autre : qui sont les héros ? Qui sont les salauds ? Restent les questions, les tabous et, enfoui au coeur des bois de Sousceyrac, le mystère d'une vie qu'elle tente de reconstituer parce que mémoire, vérité et paix ne font qu'un. Avec tact et précision, par petites touches mais sans concession, Régine Laprade nous donne à voir de cette période troublée une facette bien différente, fort éloignée de l'Histoire désormais officielle et de ses "devoirs de mémoire" souvent si sélectifs. Un roman politiquement incorrect, une parole longtemps retenue et enfin libérée.

10/2013

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Littérature française

Le Nom de mon père

Un roman historique puissant sur le déracinement et la reconstruction par l'amour après la guerre du Liban dans les années 1980. Bassam Al Jallil a 19 ans en juillet 2006, lorsqu'éclatent les bombardements au Liban. Pour le jeune homme et les siens, le temps se fige, la mort s'abat partout. Six ans plus tard, Camille voyage en Italie avec une amie. A Naples, elle rencontre Bassam et est aussi fascinée par lui qu'il l'est par elle. C'est là, loin de ses terres d'origine, que le jeune homme essaie tant bien que mal de survivre au traumatisme qui l'a frappé. Sa rencontre avec Camille bouleverse son fragile quotidien, organisé entre les services à la pizzeria Giulia et les appels vidéo avec sa tante, Rabab, et ses cousins, Assem et Hicham, tous trois restés au Liban. Dès que Camille rentre en France, ils continuent de se découvrir à distance, jusqu'à ce que Bassam change de comportement : en arrêt de travail à la suite d'une blessure et invité au Liban pour le mariage de son cousin, le jeune homme appréhende de renouer avec les traumatismes de son passé et a soudain bien trop de temps libre pour fuir ses pensées. Lorsque Camille revient à Naples pour le voir, les deux jeunes gens remuent le passé douloureux, pour tenter de se construire ensemble. Seize ans après le conflit isréalo-libanais de 2006, l'autrice rend un hommage puissant à ses origines, au courage et à la résilience du peuple libanais.

06/2022

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Policiers

Le prix de mon père

Légionnaire, ouvrier en Andalousie, camionneur au Mexique, dealer au Maroc, à trente-huit ans, Ismael a déjà vécu plusieurs vies. Traqué par la police marocaine, il est contraint de revenir dans son pays basque natal. A bilbao, il se lance dans une nouvelle carrière. Celle de maître chanteur. Sa victime : son ami d'enfance Julen, qui a réussi en falsifiant ses diplômes. Ismael, lui, rate tout. C'est même sa spécialité. Sous la plume de Willy Uribe, le pays basque prend une allure surréelle et désenchantée, et les rues sombres de Bilbao ne sont pas loin de celles des romans de Goodis. Le prix de mon Père a été couronné "meilleur premier roman noir" à la semana negra de Gijon.

06/2012

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Littérature française

Le château de mon père

" Vous ne la vendrez pas ! C'est compris ? Tant que je serais vivant, vous n'y toucherais pas ". Ces paroles qui nous tétanisèrent, mon père les prononça autour du grand-couscous, rituel familiale dominicale que nous célébrons chez nos parents. Cet être sublime, affaibli par l'âge, ces souvenirs confisqués par cette maladie qui fait perde la mémoire, était devenu l'ombre de lui-même. La simple évocation de la possibilité d'évincer sa maison construite au Maroc, il y a longtemps, lui redonna la force de rugir ! Pourquoi autant attachement à une vieille bâtisse située à trois mille kilomètres ? Ce jour-là je compris que cette maison tenait dans le coeur de mon père une place aussi importante qu'un de ces enfants ! Pour découvrir le lien entre mon père et ce nouveau membre de la famille, j'ai dû me replonger dans les méandres de l'histoire. Celle de mon enfance, de mon père mais aussi de la France et du Maroc...Recherches pleines de surprises et d'émotions.

09/2023

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Littérature française

Le garçon de mon père

Le récit s'ouvre un dimanche de septembre 2019, un dimanche où le père "concret et nébuleux à la fois" d'Emmanuelle Lambert, se prépare à mourir d'un cancer de l'ampoule, un organe situé à la tête du pancréas. Et pourtant, ce livre est un livre de vie. C'est que, par une douce ironie des mots, il est à l'image de ce personnage de père à la "chaleur explosive" : "rétif à toute forme de rêverie fatiguée, car dans la fatigue se glisse un effritement possible, une voie pour la douleur et le doute". Le duo du livre-tombeau et du père illumine tout sur son passage. Il n'y a pas de gris ici, mais les couleurs éclatantes du souvenir, du mange-disques seventies aux yeux de Dalida. Poignant et solaire, émouvant et lumineux, mélancolique sans le poids du pathos, familial et universel, le récit d'une fille raconte le père : mais le père aurait peut-être voulu un garçon. A l'hyperactif soixante-huitard, au Dieu imprévisible de l'enfance, à l'ex-enfant triste qui joue jusqu'au bout de sa vie y compris en abordant aux rivages de la fin, répond une fille, qui se construit comme une femme.

08/2021

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Littérature française

Le départ de mon père

Un pays sur la rive de la Méditerranée. La justice est boiteuse. Le népotisme et le mépris gangrènent jusqu'aux plus hautes sphères de l'Etat. De toutes parts, les institutions craquent, et telles des peaux lépreuses, elles tombent au sol, noires et desséchées. L'effet ravageur des religions prospère sur ces terreaux. A bout de souffle, l'Etat vacille puis se déchire. Partout dans le pays, la mort frappe. Anya, enseignante dans une école primaire, part à la recherche de son père disparu de leur village depuis le jour où un massacre a été commis par les islamistes armés. A-t-il été assassiné à cause de ses écrits d'homme de lettres engagé ou s'adonne-t-il réellement à l'ivresse et à la débauche dans la taverne du Temple Rouge ? Déterminée à élucider ce mystère, la jeune femme s'engage alors sur les chemins de la lutte armée, de l'amour puis de la détention dans un camp d'extrémistes religieux. Sillonnant villes et villages, elle découvrira les ravages de l'islamisme sur les gens et les biens, ainsi que la faim, la soif, la traite et l'exploitation sexuelle des femmes.

09/2020

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Seinen/Homme

Le journal de mon père

Le décès de son père contraint Yoichi Yamashita à retourner dans sa ville natale après de longues années. Lors d'une veillée funèbre arrosée, son enfance refait surface : cet après-midi de printemps passé à jouer sur le plancher du salon de coiffure de son père, l'incendie qui a ravagé la ville et sa maison familiale, le divorce de ses parents... Au fil des confidences et des souvenirs partagés par ses proches, Yoichi redécouvre celui qu'il a toujours vu comme un père absent et froid.

11/2021

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Littérature française

Le pays de mon père

En crise d'identité après une série de drames personnels, un jeune banlieusard décide de revenir dans son pays d'origine afin de prendre un nouveau départ. Ignorant absolument tout de ce qu'il qualifiait lui-même de "pays de son père", il se retrouve confronté à la dure réalité algéroise de la fin des années 90. Dans une société encore marquée par les violences islamistes, il essaie tant bien que mal de trouver sa place et de donner un nouveau sens à sa vie.

08/2020

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Littérature française

Le cinéma de mon père

1940-1950 : un jeune garçon traverse en la vivant une période où le cinéma n'était pas numérique, où les vedettes toujours bien coiffées, couvertes de strass, de paillettes, évoluaient dans un monde qui faisait rêver un moment en cette période noire. Vedettes rencontrées lors de tournages, figurants en mal de devenir... L'auteur assiste son père dans ses tournées de projection de films dans les salles communales et paroissiales de campagne, cinéma plein de surprises, de joies, d'émotion... Cinéma disparu aujourd'hui de nos campagnes, cinéma drôle, émouvant avec une pointe de nostalgie !

11/2010

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Littérature française

Le fusil de mon père

Je m'appelle Azad Shero Selim. Je suis le petit-fils de Selim Malay. Mon grand-père avait beaucoup d'humour. Il disait qu'il était né kurde, sur une terre libre. Puis les Ottomans sont arrivés et ils ont dit à mon grand-père: Tu es ottoman, et il est devenu ottoman. À la chute de l'Empire ottoman, il est devenu turc. Les Turcs sont partis, il est redevenu kurde dans le royaume de Cheikh Mahmoud, le roi des Kurdes. Puis les Anglais sont arrivés, alors mon grand-père est devenu sujet de Sa Gracieuse Majesté, il a même appris quelques mots d'anglais. Les Anglais ont inventé l'Irak, mon grand-père est devenu irakien, mais il n'a jamais compris l'énigme de ce nouveau mot: Irak, et jusqu'à son dernier souffle, il n'a jamais été fier d'être irakien; son fils, mon père, Shero Selim Malay, non plus. Mais moi, Azad, j'étais encore un gamin. "

02/2004

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Littérature française

Le figuier de mon père

Portrait haut en couleur d'une communauté discrète, dure au mal, travailleuse et solidaire, ces mémoires sont un hommage de l'auteur aux siens, à ses parents surtout, réfugiés en France au début des années 1920, après avoir perdu dans le génocide arménien de 1915 presque toute leur parentèle. Sa mère, Mayrig, femme au grand cœur, petite silhouette tout de noir vêtue, animée d'une douceur et d'une énergie hors pair, qui lui a inculqué le sens de l'effort et la valeur du travail. Son père, aussi, Hayrig, qui, ayant connu l'horreur des geôles turques, n'en a pas moins gardé sa joie de vivre et sa capacité d'émerveillement. Personnage biblique tout droit sorti d'un conte oriental, débordant de sagesse, ce père traverse le livre en posant sur sa famille un regard lucide et tendre, commentant les us et coutumes de cette terre d'asile, la France. Véritable hymne à l'amour filial, mais aussi roman d'apprentissage qui retrace la réussite du jeune Vartan devenu officier de Marine puis inventeur, cet ouvrage truculent nous donne une belle leçon d'optimisme.

01/2006

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Poches Littérature internation

Le livre de mon père

Petit-fils de paysans d'une haute vallée de Suisse alémanique, Kart, né au début du siècle, se prend de passion pour la langue et la littérature françaises. Dans l'effervescence intellectuelle et politique de l'entre-deux-guerres, il goûte à la vie de bohème, mais surtout il entame une vie de véritable homme de lettres. Travailleur forcené, il traduira en allemand plus d'une centaine d'ouvrages français, aussi bien classiques que contemporains. Jusqu'à sa mort, il organise lectures et conférences, collabore à des revues, se charge d'éditions, côtoie les auteurs qui seront bientôt célèbres. Mais, pour autant, ce passionné n'oublie pas de vivre avec la même générosité. L'homme de lettres est aussi homme et citoyen, de sorte que ce portrait, à la fois drôle et émouvant, est aussi le miroir d'une époque. Un précédent roman, L'homme que ma mère a aimé, inspiré par la vie de sa mère, comportait ce que l'auteur appelle lui-même " une tonitruante lacune ", désormais comblée ici par l'évocation romanesque de la vie de son père.

11/2007

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Littérature française

Le târ de mon père

À la mort de mon père, j'ai reçu le târ qu'on se transmet dans ma famille de génération en génération. L'instrument m'a résisté, refusant de libérer les accords mystiques qui font la gloire des musiciens d'Iran. Sous mes doigts, il ne semblait plus qu'un morceau de bois sans sève. Etais-je maudit ? Quel crime devais-je donc expier ? A moins que ce ne fût le târ qui portât un secret trop lourd pour vibrer comme autrefois. J'ai brûlé ses cordes et je suis parti trouver le luthier d'Ardabil. Mais changer les cordes d'un târ, c'est changer son âme. Et celle du musicien qui le possède. Je ne reviendrai jamais d'Ardabil.

08/2007

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Littérature française

Le peuple de mon père

Il faut écrire. Jamais mon père n'en formulait aussi clairement l'injonction, mais c'était ce que je ressentais à ses côtés. Il me demandait toujours si j'étais en train d'écrire comme on prend des nouvelles d'un proche. Dans son enfance tourmentée, alors qu'il se plaignait de l'ennui, son propre père lui avait sévèrement répliqué : " Tu t'ennuies ? Tu n'as qu'à avoir une vie intérieure ! Alors tu ne t'ennuieras jamais... " Et mon père a obéi. Au-delà sans doute de ce que mon grand-père envisageait ; jusqu'à consacrer à cette vie intérieure des milliers d'heures et des centaines de pages, et jusqu'à me transmettre à sa façon ce qui demeure le plus beau cadeau que j'aie reçu de lui. Yaël Pachet est entre autres l'auteur de On est bien, on a peur (Verticales, 2002) et de Mes établissements (Verticales, 2004).

08/2019

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Littérature française

Le numéro de mon père

"C'est quoi, le numéro sur ton bras ? — C'est le numéro du coffre-fort." J'avais cinq ans, et lui, il avait vingt ans après Auschwitz. Enfant d'un rescapé de la Shoah, le narrateur s'engage, à quinze ans, dans le sionisme. C'est alors sa propre voie qu'il va tracer, en Israël et en Afrique où le conduisent ses activités professionnelles. Cependant, il vit toujours au travers de l'héritage du "numéro" : la lucidité de son père, mais aussi sa froideur, son scepticisme, et ses sentences définitives sur les femmes. Après avoir été parachutiste dans l'armée israélienne, il découvre Lomé, Accra, Abidjan... pour des expériences humaines, passant des coups d'Etat aux coups d'amour. Seule sa fille le rattache à la vie et l'empêche de se faire mercenaire. Loin des siens, il cultive le mal d'être. Dans un style simple et incisif, l'auteur nous fait entrer dès les premières lignes dans l'existence riche et mouvementée de ce jeune homme juif né dans l'immédiat après-guerre.

09/2020

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Littérature étrangère

Le livre de mon père

Petit-fils de paysans d'une haute vallée de Suisse alémanique, Karl, né au début du siècle, se prend de passion pour la langue et la littérature françaises. Dans l'effervescence intellectuelle et politique de l'entre-deux-guerres, il goûte à la vie de bohème, mais surtout il entame, sans forfanterie ni mondanité aucune, une vie de véritable homme de lettres. Travailleur forcené, il traduira en allemand plus d'une centaine d'ouvrages français, depuis les classiques jusqu'aux contemporains. Jusqu'à sa mort, il organise lectures et conférences, collabore à des revues, se charge d'éditions, côtoie les auteurs qui seront bientôt célèbres. Mais, pour autant, ce passionné n'oublie pas de vivre, avec la même générosité sans calcul. L'homme de lettres est aussi homme et citoyen, de sorte que ce portrait, à la fois drôle et émouvant, est aussi le miroir d'une époque.

03/2006