Recherche

Jean Mabire

Extraits

ActuaLitté

Critique littéraire

Entretien avec Jean Mabire, conteur des guerres et de la mer

Jean Mabire fut un journaliste et un écrivain, mais aussi un soldat et un militant. En 1995, Francis Bergeron a réalisé une interview fleuve de l'auteur de la fameuse trilogie sur l'histoire des SS français, auteur également de livres cultes pour toute une génération : Commando de chasse, Drieu parmi nous, Les Paras perdus. Le texte de cette rencontre était resté inédit pendant près de 20 ans. Pourtant cet entretien constitue l'amorce passionnante d'une autobiographie, un retour en arrière, qui éclaire toute l'oeuvre de celui que Didier Patte, président du Mouvement normand, et beaucoup de ses amis appelaient affectueusement Mait'Jean ; il nous aide à comprendre ce que celui-ci nous a apporté. C'est le "chantre de tous les braves", comme l'explique l'historien Eric Lefèvre, et coauteur de certains de ses livres. "Il voulait célébrer la grande aventure, les prouesses guerrières, sous n'importe quel drapeau." Jean Mabire est aussi le chantre des aventures maritimes. Et, sur les pas de La Varende, un passionné de sa Normandie. "Nous ne changerons pas le monde, il ne faut pas se faire d'illusion, mais le monde ne nous changera pas." Auteur de plus d'une centaine de livres, dont certains eurent un énorme succès de vente, et de milliers d'articles, préfaces et participations à des ouvrages collectifs, Jean Mabire restera enfin comme l'une des figures majeures du politiquement incorrect des années 60 à l'an 2000. Ses essais et ses ouvrages d'histoire contemporaine sont d'ores et déjà recherchés, collectionnés, réédités, gages de la pérennité d'une vision historique, de l'influence de celui qui fut et restera un conteur et un transmetteur de premier plan, mais aussi et peut-être d'abord un maître à vivre.

01/2015

ActuaLitté

Histoire internationale

La Waffen SS

Qui pourrait comprendre aujourd'hui cette remarque de Dominique Venner, ancien directeur de la collection "Corps d'élite" : "Le corps d'élite vit en marge du commun. Il n'est pas seulement capable de bravoure et d'efficacité supérieure. Il est la caste sacerdotale de la guerre. Il en sublime les vertus, en assume l'honneur, en célèbre les rites". Et cet admirateur d'Ernst Jünger ajoutait : "Le soldat du corps d'élite est un initié. Il a subi les épreuves qui font de lui un autre homme. Il a découvert le secret de l'Ordre. Il est dépositaire du Graal. Un Graal masculin." Cette "inactualité significative" justifiait à elle seule la réédition du célèbre livre de Jean Mabire qu'il signa toujours du nom d'Henri Landemer. Georges H. Stein, en 1971, avait publié un livre d'une érudition toute universitaire. Le principal restait peut-être dans l'ombre, à savoir que sur le million d'hommes et même davantage qui servirent sous la tête de mort, plus de la moitié n'étaient pas des citoyens allemands... On n'avait pas vu pareille situation depuis Napoléon et sa Grande Armée aux multiples contingents étrangers. Présentes sur tous les fronts de 1939 à 1945 (à l'exception de l'Afrique du Nord), les unités de la Waffen SS firent preuve d'une grande combativité, essentiellement sur le front de l'Est, à partir de 1943. Au fil du temps, et surtout à partir de la fin de l'année 1942, elle intégra des troupes de toutes origines ; ces unités non allemandes furent largement majoritaires à partir de 1944, avec près de 700 000 hommes sur un total de près d'un million de membres de la Waffen SS pendant toute la durée du conflit. Son aventure militaire n'a jamais cessé de provoquer la fascination comme l'hostilité depuis plus d'un demi-siècle. Lors du procès de Nuremberg, aucun membre de la Waffen SS ne figure parmi les vingt-quatre accusés du premier procès de Nuremberg, ni parmi les suivants et aucune action judiciaire ne fut menée contre la Waffen SS en tant que telle ou contre ses principaux dirigeants.

01/2019

ActuaLitté

Histoire internationale

Panzers Marsch ! Sepp Dietrich, le dernier lansquenet

A la fin de la IIe Guerre mondiale, un général de 53 ans commande la 6e armée blindée allemande. Il ne porte ni particule ni monocle, n'est pas prussien, mais souabe, et n'est sorti d'aucune école militaire : c'est sur le terrain qu'il a gagné tous ses grades et toutes ses décorations. Sepp Dietrich est alors SS Oberstgruppenführer, ce qui correspond à général d'armée dans la Wehrmacht : il est titulaire de la croix de chevalier de la croix de fer à feuilles de chênes, glaives et brillants, dont il n'y a eu que 27 titulaires, vivants ou morts. Ce grand spécialiste de la guerre des blindés avait auparavant servi, durant la 1re Guerre mondiale, comme sous-officier dans la première unité de "Panzersturmwagen", engagée en 1918 sur le front de France. Rentré vaincu en Bavière, il participe à l'aventure des corps francs. Dans les rangs du Freikorps "Oberland", il combattra en Haute-Silésie contre les Polonais. Après la guerre, il exerce tous les métiers : policier, employé de bureau, douanier, garde du corps. Il participe au putsch national-socialiste de 1923 et rejoint à la fin des années 1920 l'Ordre noir SS qui se veut, au sein de la SA, une unité d'élite de "soldats politiques". Quand Adolf Hitler est nommé chancelier du Reich par le maréchal Hindenburg, l'ancien adjudant Dietrich commande sa garde du corps : la Leibstandarte SS Adolf Hitler. Régiment, puis brigade, puis division, puis corps d'armée, cette unité spéciale combat sur tous les fronts : en Pologne, Hollande, France, Grèce et Ukraine. Sepp Dietrich obtient qu'elle intègre dans ses rangs un régiment blindé pour constituer une Panzerdivision. L'ancien sous-officier de char d'assaut mène alors ses panzers au feu en Russie, en Normandie, dans les Ardennes et en Hongrie. Considéré par ses pairs comme un lansquenet des temps modernes pour sa détermination au combat, il passera après 1945 dix années en prison. Il meurt en 1966.

12/2015

ActuaLitté

Histoire de France

Commando de chasse

Un livre original dans l'oeuvre de Jean Mabire dans la mesure où il fut, lors de la guerre d'Algérie, un officier parachutiste à la tête d'un de ces fameux commandos de chasse qui livrèrent une guerre difficile, mais efficace, aux katibas de l'ALN bien mises à mal par le plan "Challe". Le thème principal reste la superposition bien typée de profils d'officiers de l'Armée française dessinés dans leurs attitudes, leurs motivations et leurs réflexions sur le conflit, la guerre, la nature humaine. L'auteur exalte l'honneur, la fidélité et la mort héroïque sans sectarisme : les activistes du FLN ont souvent plus grâce à ses yeux que les vieux officiers grassouillets et paresseux qui faisaient la guerre entre les murs d'une caserne. Le tout, bien qu'épique, n'étant pas non plus dénué d'humour, Commando de chasse est sans doute le livre qui résume le mieux la vie et l'oeuvre de l'auteur… A ceux des commandos de chasse : "On a comparé les commandos de chasse à des "têtes chercheuses". Je n'aime pas cette comparaison technique, car, justement, vous n'êtes pas des machines. Vous êtes des hommes au sens plein et noble du terme. C'est là que réside votre efficacité et votre force. Si vous avez du souffle, du muscle, un oeil perçant, une riposte prompte et foudroyante, vous êtes aussi un élément de contact humain avec les populations de cette province. Vous rassurez ces hommes et ces femmes terrorisés par les bandes rebelles et vous ramenez l'espoir dans leur coeur. Vous créez dans les djebels les plus reculés, pour le fellagha, un élément d'insécurité ; pour la population, un élément de confiance. Jeunes soldats de Métropole et jeunes Musulmans au coude à coude dans les commandos de chasse, et dans un même élan, vous faites partie de notre chance, de la vraie chance de notre Patrie. Vous êtes des jeunes hommes purs et droits. Je suis content de ce que vous avez déjà fait, je vous demande de nouveaux efforts, je vous en demanderai encore. Je sais que vous avez la Foi tranquille de ceux qui se battent pour un idéal juste et grand et que nous parviendrons tous ensemble à la Victoire" (Général d'armée aérienne Challe, commandant en chef).

05/2018

ActuaLitté

Histoire de France

La division Charlemagne. Les combats des SS français en Poméranie

A l'automne 1944, les Alliés sont arrivés aux frontières du Reich, dont la défaite s'avère de jour en jour plus inéluctable. Pourtant, au camp de Wildflecken, près de Fulda, dans la Rhôn, plus de sept mille Français endossent l'uniforme allemand et prêtent serment à Adolf Hitler, d'être "fidèles et braves jusqu'à la mort". Venus de la Légion des Volontaires français contre le bolchevisme, de la Brigade d'assaut SS n° 7 Frankreich, ils sont, sur l'ordre personnel de Heinrich Himmler, regroupés dans une seule unité française, la 33e Waffen-Grenadier-Division der SS Charlemagne. En trois mois, ces hommes aux origines, aux mobiles et aux caractères les plus divers, sont entraînés au combat selon les méthodes impitoyables de la SS. A la mi-février 1945, ils sont lancés sur le front de Poméranie, que les Russes viennent de crever dans une ruée irrésistible, de la Vistule à l'Oder. La division Charlemagne sera engagée au point le plus exposé, sans appui, sans équipement, sans matériel, sans réserves. Le premier combat se soldera par cinq cents morts et mille disparus en un seul engagement. Reformés à Neustettin et dirigés sur Belgard, les SS français participeront aux combats désespérés pour Körlin et pour Kolberg. La division Charlemagne, ayant à sa tête le général Puaud, sera presque entièrement anéantie le 5 mars 1945 dans la plaine de Belgard. Seul, un bataillon de marche réussira à franchir les lignes russes et à rejoindre Swinemünde sur la mer Baltique. Des sept mille hommes de la division Charlemagne, il ne reste, au 21 mars 1945, que sept cents combattants. Neuf sur dix des hommes qui avaient rejoint ses rangs à Wildflecken sont morts, blessés ou prisonniers. Les survivants mourront à Berlin, dans la dernière semaine de la bataille pour la capitale.

04/2017

ActuaLitté

Sciences historiques

La brigade Frankreich

Eté 1943. Au moment où les forces du Reich reculent sur tous les fronts, la Waffen SS, jusqu'ici réservée aux seuls volontaires germaniques, ouvre ses rangs aux Français. Dans un geste de défi, quelques centaines de garçons acceptent de servir sous l'insigne à tête de mort des troupes de choc nazies. Ils formeront la brigade d'assaut SS n°7, appelée Frankreich. Deux ans ont été nécessaires à Jean Mabire pour retrouver les survivants de cette tragique aventure. Ancien officier en Algérie - où il dit avoir appris que seuls des guerriers peuvent juger des soldats -, il donne la première vision objective d'une page d'histoire qui jusqu'à présent n'a inspiré que des romans passionnés ou des témoignages engagés. Quelles raisons pouvaient bien pousser, en 1943, de jeunes Français à croire dans le rêve fou de l'Europe hitlérienne ? Par quels procédés parvenait-on à transformer ces adolescents en une impitoyable troupe d'assaut ? Quels étaient les combats désespérés qui attendaient ces soldats perdus sur un front de l'Est où ils n'arriveront qu'en pleine débâcle allemande, au moment où l'Armée rouge déferle sur l'Europe centrale ? S'appuyant sur une documentation d'une rigueur exceptionnelle, maniant avec maîtrise une écriture particulièrement brillante, se méfiant du romantisme guerrier ou des parti pris politiques, mobilisant sa propre expérience d'officier de commando, Jean Mabire donne de la guerre des SS français à l'Est une image hallucinante.

02/2016

ActuaLitté

Critique littéraire

Driant Danrit

Parmi les figures admirées de longue date auxquelles Jean Mabire redonna vie le temps d'un livre, avec tout l'enthousiasme communicatif qui le caractérisait, il manquait un nom. Un nom, ou plutôt deux : Emile Driant, aussi connu sous le pseudonyme anagramme de Capitaine Danrit. Officier – il fut tué au combat aux premières heures de la bataille de Verdun, le 22 février 1916 – et romancier visionnaire, surnommé «le Jules Verne militaire» de son vivant (avec l'assentiment de ce dernier, s'il vous plaît !), Driant était un homme taillé sur mesure pour la machine à écrire de Jean Mabire. Considérable à tous les points de vue, l'oeuvre de Driant jalonne la longue carrière d'écrivain de Jean Mabire. Driant/Danrit avait, sinon tout prévu (La Guerre fatale entre la France et l'Angleterre n'eut jamais lieu), tout imaginé, des guerres modernes du XXe siècle (les trois tomes de La Guerre de demain : La Guerre de forteresse, La Guerre en rase campagne, La Guerre en ballons) aux luttes des races et des reliions (L'Invasion noire, L'Invasion jaune). Ni la montée en puissance des Etats-Unis, ni la modernisation à marche forcée du Japon n'échappèrent à sa sagacité. Driant termina d'écrire son dernier roman, La Guerre souterraine, dans les tranchées du bois des Caures en 1915. Jean Mabire nous laisse un tapuscrit complet, qui démêle l'écheveau d'une bibliographie prolifique, rendue confuse par la propension de Driant à écrire des romans fleuve, comprenant plusieurs tomes, eux-mêmes scindés en autant de volumes que de sous-parties. Une clarification bienvenue pour les collectionneurs. Le titre du livre, Driant Danrit, frappant, concis, est aussi de lui.

03/2015

ActuaLitté

ouvrages généraux

La division Nordland. Les volontaires Scandinaves sur le front de l’Est 1941-1945

Des milliers de Norvégiens et de Danois, quelques centaines de Suisses, des dizaines de Suédois et même quelques Britanniques ont combattu dans les rangs de la division Nordland, créée au printemps 1943 sur le modèle de la division Wiking qui luttait en Ukraine depuis le début de la guerre sur le front de l'Est et dont l'auteur a évoqué précédemment l'aventure dans deux autres livres. Cette division Nordland, placée sous les ordres d'un général autrichien, le Brigadeführer Fritz von Scholz, que ses hommes aiment à appeler le vieux Fritz, est dirigée en plein hiver sur le front de Leningrad, face à la poche soviétique d'Orianenbaum, qui résiste depuis 1941 à tous les assauts. Cette fois, ce sont les Russes qui reprennent l'offensive et vont repousser les envahisseurs jusque dans les pays baltes. Les volontaires germaniques se battent à Narva pendant des mois avant de tenter d'établir un front défensif en Estonie, en compagnie des volontaires hollandais, flamands et wallons de la Waffen SS. Malgré le renfort des unités mobilisées en hâte parmi les Estoniens et les Lettons, ils doivent faire retraite jusqu'en Courlande, la vieille terre des chevaliers teutoniques. Au début de l'année 1945, la division Nordland se trouve alors arrachée à l'encerclement et transportée par mer en Poméranie où va échouer la dernière contre-offensive allemande à la fin de l'hiver. Il ne reste plus aux quelques centaines de survivants à bout de forces que de gagner Berlin où ils vont livrer un ultime combat sans espoir, en compagnie de quelques Espagnols et d'un bataillon de marche de volontaires français de la division Charlemagne. Le destin des SS scandinaves trouve finalement son accomplissement dans l'atmosphère du crépuscule des dieux de la capitale du Reich, qui n'est plus que le tombeau de leurs illusions.

06/2023

ActuaLitté

Entre deux guerres

Röhm, l'homme qui inventa Hitler

Le capitaine Ernst Röhm, un Bavarois de Munich, ancien combattant de Verdun, a 31 ans quand il regagne son pays natal en novembre 1918. Blessé et défiguré au visage, rempli d'amertume et de rage par la défaite, c'est en soldat désespéré qu'il se lance dans l'aventure des corps-francs et des complots. Restant dans la coulisse, il propulse sur la scène politique un obscur caporal autrichien nommé Adolf Hitler. Il "invente" de toutes pièces celui qui deviendra un jour le Führer et déclenchera la Seconde Guerre mondiale. Dans son sillage, Röhm recrute et organise une véritable armée privée, la "Sturmabteilung" ou Section d'Assaut. Hitler définissait ainsi ces "soldats politiques" : "A partir de maintenant, le maître de la rue doit être le national-socialiste, comme il doit être un jour le maître de l'Etat". Ils sont 3 000 en 1923, 30 000 en 1925, 300 000 en 1931 et 3 millions en 1933. Après la prise du pouvoir le 30 janvier 1933, détesté par Goering, Bormann et la très conservatrice Reichswehr (qui réprouve aussi son homosexualité), Ernst Röhm devient pour Hitler un rival, après avoir été l'un de ses rares amis. Röhm considère, lui, que le Führer a trahi l'idéal socialiste du NSDAP et appelle de ses voeux une "Deuxième Révolution" . Le chef d'état-major de la SA est assassiné au cours de la Nuit des Longs Couteaux, le 30 juin 1934, sur les bords du lac Tegern. Journaliste, écrivain, historien, Jean Mabire (1927-2006), a écrit plus d'une centaine d'ouvrages consacrés à la Deuxième Guerre mondiale, aux aventuriers politiques et explorateurs, au Nord, au paganisme, à sa patrie normande, à la littérature, à la politique, à la mer... Tous ceux qui l'ont connu gardent de lui le souvenir enchanteur d'un passeur et d'un éveilleur.

03/2023

ActuaLitté

Sciences politiques

Maire célibataire

D'André Santini, on connaît les bons mots et le franc-parler. On connaît le maire, celui qui a fait de sa ville une référence en termes d'architecture et de modernité. Après quarante années de vie publique, il n'avoue qu'une passion véritable : Issy-les-Moulineaux. Maire célibataire : choix de vie ou choix de ville ? Les deux sans doute. Enfant de la guerre, issu d'une famille modeste, sans réseau mais non sans volonté, André Santini s'est construit dans l'effort et dans l'adversité. Sans jamais oublier d'où il venait. Une indépendance d'esprit cher payée mais une liberté de ton souvent appréciée. Rien n'échappe donc à sa gourmandise intellectuelle et à sa "boulimie fonctionnelle". La truculence, oui, l'indolence, jamais. Enfance corse, études parisiennes, engagement politique, destin municipal, humeurs et humour, écologie, architecture, tropisme asiatique, nouvelles technologies, religion, moeurs, amour... André Santini est un homme complexe et pudique. Mais il ne se dérobe pas aux questions de Mireille Dumas. Anecdotes et confidences ponctuent cette longue conversation menée notamment à Serriera, le village maternel, dans le golfe de Porto. En Corse. Forcément

01/2019

ActuaLitté

Documentaires jeunesse

Le maire

"Mes p'tites questions - Le Maire", un thème d'actualité, abordé en deuxième cycle en enseignement moral et civique. 16 questions d'enfants et autant de réponses illustrées pour répondre clairement et simplement à leurs interrogations : C'est quoi, le rôle du maire ? Est-ce que maire et président, c'est pareil ? La mairie, c'est la maison du maire ? Comment on devient maire ? Pourquoi le maire porte une écharpe ? Maire, c'est un métier ? C'est le maire qui marie les amoureux ? Est-ce que le maire a beaucoup de travail ? Comment le maire fait pour se décider ? Qui travaille à la mairie ? C'est le maire qui décide pour l'école ? La piscine, c'est la mairie aussi qui s'en occupe ? Combien il y a de communes en France ? C'est quoi, des villes jumelles ? C'est quoi, le conseil des enfants ? Il y a autant de femmes que d'hommes maires ?

03/2020

ActuaLitté

Littérature française

Jean-Jean

Jean-Jean, par Albert Brasseur et Frantz Jourdain,... Date de l'édition originale : 1886 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2020

ActuaLitté

Histoire des idées politiques

Jean Lecanuet maire de Rouen. Un homme d'Etat en son territoire (1953-1993)

Biographie de Jean Lecanuet, ancien maire centriste de Rouen (1968-1993). Principale figure du centrisme français de l'après-guerre, Jean Lecanuet domina la vie politique rouennaise pendant plusieurs décennies. Son enracinement local et son expérience de la gestion municipale vont lui permettre d'écraser la vie politique locale, et permettre ainsi au centrisme démocrate sociale de jouer le rôle majeur face à des formations politiques dont l'implantation électorale était pourtant plus ancienne (républicains indépendants, communistes, socialistes...). Ce tour de force permet à Lecanuet d'imposer ses idéaux dans la ville aux cents clochers, ceux d'une démocratie humaniste, sociale et européenne, qu'il n'avait pas réussi à imposer lors de la présidentielle de 1965. Ainsi, avec sa liste municipale Mieux Vivre à Rouen, le "roi Jean" s'évertuera à faire de Rouen une ville moderne, mêlant bâti ancien et nouveau, la tournant vers l'an 2000 et l'Europe qui se dessinait. Même si les Rouennais n'ont pas toujours compris les choix politiques de leur maire, lequel imposa une stratégie basée sur une alliance durable avec les forces politiques de droite ; celle-ci n'avait qu'un but dans son esprit : préserver Rouen alors que le constat de l'impossibilité d'un centrisme autonome au niveau local se dressa rapidement, reflétant les tendances politiques nationales basées sur le rapport droite-gauche. Les notions de pouvoir et de territoire ont ici toute leur importance pour un homme politique qui n'aura pas suivi le cursus honorum classique de la République française...

08/2021

ActuaLitté

Policiers

Marseille sur maire

Rannou dit " le Breton ", lieutenant un brin taciturne, et Théo alias " Mach-Sept ", slameur invétéré en rupture d'embrouilles, stagiaire à l'Evêché de Marseille, forment un tandem atypique à la poursuite d'un sériai killer, " le tueur aux liasses ". Mais ce jour-là, la routine se dérègle salement lorsque le maire de la ville, Raymonde Charles, est sauvagement assassinée par des tueurs à moto... La DST, les RG, la mafia et les flics de tous bords se jettent sur l'affaire comme la vérole sur le bas-clergé. Tout le monde est sur le pont et curieusement, même le ministre de l'Intérieur Ange Pascali s'y colle. Tous suivent l'enquête de près, d'un peu trop près peut-être... Comme dirait Théo, " Pas besoin d'avoir fait St Cyr sur Mer pour deviner que les ennuis, les vrais ennuis, les gros ennuis vont débarquer sans prévenir ". Après un premier roman très remarqué, Serge Yves Ruquet enfonce ici le clou avec une délectation jubilatoire... " Syr a de la plume ! Intrigue ciselée, dialogues pimentés, style élégant, humour à fleur de mots et pour ne rien gâter, l'histoire est crédible, très crédible, ce qui fait froid dans le dos ".

10/2007

ActuaLitté

Littérature française

Monsieur le maire

Lorsqu'il est élu maire du village qui l'a vu naître, dans les Ardennes, Paul jubile : il va agir concrètement et auprès des siens. Quinze ans plus tard, le "terrain" et un drame personnel l'ont usé. Sa vie bascule. Il est reconnu coupable d'un meurtre et condamné à vingt ans de prison ferme. Comment a-t-il pu en arriver là? Sur le chemin qui le mène vers sa cellule, Paul se souvient, de son idéalisme avant la désillusion, d'une existence d'homme de plus en plus fragile. Critique du monde politique à la française, Monsieur le maire retrace avec force et réalisme l'histoire si ordinaire et pourtant essentielle de ces citoyennes et citoyens qui vouent leur vie à leur commune.

01/2020

ActuaLitté

Littérature française

Tranches de Maire

Avec le recul d'une douzaine d'années, Jacky Rocher témoigne de sa fonction de Maire d'une commune rurale sur les hauts plateaux du Velay durant trois mandats. Le récit privilégie la forme du documentaire-fiction, préférant des évocations volontairement décalées à des descriptions exhaustives ou chronologiques. Par touches successives, il emprunte à l'histoire et à la sociologie, se lit comme un recueil de nouvelles et se joue de la mémoire autobiographique. Si la réalité s'en trouve probablement travestie, la tonalité vise à donner du relief aux évocations, aux chroniques et aux personnages. Tranches de Maire s'inspire d'anecdotes vécues qui restent fortuites. Fruits autant de l'imaginaire que de moments réels, à la manière des légendes, ces histoires décrivent un monde appartenant à la fois au passé et à l'avenir. La narration convoque des instants cocasses ou pathétiques, incroyables ou dramatiques, touchants ou désabusés. Ces "tranches de vie" d'un maire en milieu rural mettent en scène les habitants d'un territoire en profonde mutation à la charnière des XXe et XXIe siècles.

01/2021

ActuaLitté

Littérature française

Un maire idéaliste

Aujourd'hui comme hier, être maire d'une commune rurale n'est pas une sinécure. Vital Dulac l'apprend à ses dépens, lui qui vient d'être élu maire de Saint-Pierre presque malgré lui. Conseillé par son mentor, le sénateur Maisonneuve, le jeune prof d'histoire va mettre tout son coeur dans la gestion de sa commune. On partage ses soucis, ses joies et... ses aventures amoureuses. Peu à peu la bourgade sort de sa léthargie. Les élections législatives approchent. Avec l'appui du sénateur, Vital peut rêver d'une belle carrière de député. Pourtant, il s'interroge. Doit-il sacrifier sa vie personnelle et sentimentale sur l'autel de la politique ?

03/2014

ActuaLitté

Littérature française

Une mauvaise maire

La vie quotidienne dans une mairie de gauche et de banlieue au temps de Chirac est un mélange d'affaires courantes et de situations cocasses. Marie Basmati, qui n'est pas indienne, est madame la maire. Dans " sa " ville et dans son bureau, elle vit pleinement ses convictions et ses amours. Suivons-la, quelques jours durant. Un scandale rôde.

08/2007

ActuaLitté

Sciences politiques

Mémoires de maire

Premier maire de gauche de l'histoire de Metz, Dominique Gros dresse le bilan de ses deux mandats, de 2008 à 2020, tout en nous faisant vivre l'exercice quotidien d'un pouvoir réel, livrant à la postérité locale sa vision d'une période de transformation.

01/2022

ActuaLitté

Sciences historiques

La République à visage humain. Jean-François Ricord, maire de Grasse, conventionnel, représentant en mission

La République à visage humain retrace l'itinéraire politique du grassois Jean-François Ricord, maire de Grasse en 1791-1792, élu à la Convention en 1792, représentant en mission près l'armée d'Italie avec Robespierre jeune, puis dans le Var et les Alpes-Maritimes en 1793-1794. Contrairement aux deux autres révolutionnaires célèbres à Grasse, Jean-Joseph Mougins de Roquefort et Maximin Isnard, Ricord est peu connu de ses compatriotes, lesquels, lorsqu'ils en parlent, le traitent volontiers de "terroriste" . Pourtant, au cours de ses différents mandats, on le voit toujours soucieux d'établir une continuité entre anciens et nouveaux responsables locaux, particulièrement après la reconquête de Toulon révolté contre les Montagnards. Mais cette attitude ne l'empêchera pas d'être suspect, en tant qu'ami des Robespierre, aux yeux des Thermidoriens. Cet ancien "missionnaire de la République" selon l'heureuse expression de Michel Biard, reste en effet attaché à la Convention de l'an II qui a lutté contre les ennemis de cette République, tant à l'intérieur du pays qu'à l'extérieur. C'est pourquoi il figure parmi les "derniers Montagnards" poursuivis après les journées révolutionnaires de Prairial. C'est pourquoi il fait partie des quelques anciens députés montagnards qui participent à la Conspiration des Egaux en 1796. C'est pourquoi enfin, malgré un ralliement affiché à l'Empire et à Bonaparte, l'ancien compagnon du siège de Toulon, Ricord se manifeste en républicain convaincu jusqu'à faire partie de la conspiration du général Malet de 1808 contre Napoléon. In fine, la vie de Ricord illustre le parcours de ces démocrates qui, nés avant la Révolution et fortement marqués par la philosophie du XVIIIe siècle, restent fidèles, à travers tous les régimes qui les proscrivent, à l'idéal républicain qui les anime.

11/2019

ActuaLitté

Théâtre

JEAN

Plus encore qu'une pièce de théâtre, Jean est un jeu présenté dans un lieu fictif par des comédiens qui eux-mêmes jouent à se nommer Jean, Pierre ou Chérie, transformant ainsi le texte en un univers de sons, bruits, silences. Si l'on ne tient pas compte de cet univers particulier, la lecture du texte devient pratiquement impossible : il n'est pas question d'y trouver une histoire à raconter, mais uniquement le support d'une action. "L'acte théâtral ne peut pas être n'importe quoi, mais dans n'importe quoi il peut prendre son prétexte", écrit Jean Genet. Le "n'importe quoi", c'est ici la cour d'un immeuble misérable où vivent Jean, sa femme, son père et ses voisins. L'apparente banalité soudain se brise : par amour, Jean jette sa femme dans la cage de l'escalier, trahit son meilleur ami, se débarrasse de son père puis d'une jeune fille, pour se retrouver ensuite encore un peu plus seul, comme si rien n'avait eu lieu. Mais tout cela n'est qu'une possibilité de fiction : les comédiens l'interprètent en simulant le rire et les cris, la mort ou l'amour, car en fait le théâtre n'est qu'apparence : rien ne se passe, mais tout peut arriver grâce aux intervalles entre les mots et les silences, donnant ainsi naissance à une signification capable de rendre visible ce qui ne l'est pas.

11/1967

ActuaLitté

Littérature française

Jean

Jean vient de mourir. Devant le crématorium, Mathieu, l'ami, Sophie, l'amour ; et Jean qui parle encore à travers eux. Dans ce récit court et dense où se mêlent les temps (enfance, adolescence, maturité), les voix (dans la tête de qui sommes-nous, qui écrit, qui devons-nous croire ?) le lecteur, sans que cela ne soit jamais dit, est confronté aux questions les plus fondamentales, les plus intimes. Jean - tel un Rimbaud du XXIème siècle - a tout vu, tout connu, tout rencontré, la gloire et la vanité de la gloire, l'amour et l'amitié, la tentation du départ et l'impossible ailleurs. A travers trois personnages, Frédéric Cosmeur - dont c'est le premier récit publié - parvient à concentrer avec l'évidence de la poésie l'essentiel de la quête éternelle de l'humain, ce " bleu fondamental recherché en pure perte, mais non en vain " .

05/2001

ActuaLitté

Policiers

Un maire à abattre

Le cadavre nu de César Ibanez, ancien maire de Pyriac-sur-Aude a été retrouvé, ligoté sur un tronc surplombant la rivière. L’homme a été énucléé et a eu les mains tranchées. S’agit-il d’un crime rituel perpétré par une ancienne secte démoniaque dont les membres, plusieurs années auparavant, ont profané le cimetière du village?? Sur les conseils de l’adjudant-chef de gendarmerie de la brigade de recherche de Limoux, la commandant Adeline Mercier assistée du jeune lieutenant Masson, oriente d’abord son enquête vers ces anciens lucifériens qui, aujourd’hui, sont devenus des fonctionnaires territoriaux sans histoire. Mais très vite, elle s’aperçoit qu’il faut plutôt éplucher le passé louche de la victime durant la guerre 40/45. Le meurtrier peut être un ancien partisan du maquis de Picaussel à moins que ce ne soit une meurtrière qui s’est vengée d’avoir été tondue à la libération duvillage par le F.F.I. de la 25e heure, César Ibanez….

04/2009

ActuaLitté

Sciences politiques

Maire de l'ombre

3Etre maire, bien souvent, est une activité professionnelle à part entière, ou presque. La France compte bon nombre de communes de moins de 50 habitants, dans lesquelles la fonction de maire est soit une obligation afin de faire survivre le village, soit une vocation. Grâce à cet ouvrage, j'ai tenu à partager avec le lecteur les différents témoignages que j'ai eu l'occasion de recueillir afin de mieux comprendre ce qu'est " être maire d'un petit village.

06/2022

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Le maire de Casterbridge

A la suite d’une violente dispute, Michael Henchard a commis l’irréparable. Sous l’emprise de l’alcool et de la colère, ce jeune ouvrier agricole a vendu à un marin de passage sa femme Susan et leur fille. Le lendemain, dégrisé, Michael mesure l’étendue du désastre... Dix-huit années passent, le temps d’une rédemption. Michael, devenu un prospère marchand de grains, est élu maire de Casterbridge. Chacun admire la sobriété de cet homme que tous croient veuf. Mais le hasard place sur sa route une certaine Lucetta, avec qui il noue une relation... Pour éviter le déshonneur, la jeune femme n’a d’autre choix que d’épouser son amant. C’est le moment que choisissent, pour surgir du passé, la femme et la fille de Michael. Qui s’enfonce dans une vie de mensonge et de subterfuges dont pourrait profiter son associé, Donald Farfrae... Inspiré de faits réels, mais aussi de sa jeunesse à Dorchester, ce roman aux accents de tragédie (1886) est l’un de ceux que Thomas Hardy, attaché à ses personnages, remania sa vie durant.

ActuaLitté

Littérature étrangère

Un maire en sursis

Igor Louchtchenko, maire d’une grande ville qui pourrait bien être Moscou, vit en concubinage avec Aliona Sabourova, la femme la plus riche de Russie. Heureux de sa réussite, il l’est jusqu’au jour où, six mois après son élection, il décide de supprimer une grande partie des kiosques commerciaux de la ville pour des raisons sanitaires et esthétiques. La date de fermeture doit coïncider avec l’ouverture d’un hypermarché construit par son épouse. Tout irait bien si, ayant décidé de construire un hypermarché concurrent, l’entrepreneur Piotr Kozine, propriétaire d’une grande partie de ces kiosques très rentables, ne tentait pas de résister. Entre les deux s’engage une lutte pour les parts de marché. Sabourova est une adversaire rusée : elle parvient à faire bloquer le chantier pour non-respect de normes sanitaires… La guerre est immédiatement déclarée. Campagne de calomnies, meurtres et procès, tout est bon pour faire tomber le maire. L’avocat Artiom Pavlov réussira-t-il à empêcher ce véritable assassinat politique ? Toute la question est là, et la réponse donnée par l’auteur n’est guère rassurante.   Deuxième roman d’Astakhov, Incitation au meurtre éclaire de nombreuses affaires qui ont défrayé la chronique moscovite et révèle un monde dont même les spécialistes étrangers de la politique intérieure russe ne soupçonnent pas tous les dessous. Le personnage principal du roman, Igor Louchtchenko, est ainsi inspiré de l’ancien maire de Volgograd, Evgueni Ichtchenko, qu’Astakhov a eu l’occasion de défendre avec succès devant la justice. Mais Louchtchenko évoque aussi par beaucoup d’aspects, y compris son nom, le maire de Moscou, Iouri Loujkov, limogé en septembre dernier par un président Medvedev qui disait « n’avoir plus confiance en lui ».

06/2011

ActuaLitté

Littérature française

Jean-Luc et Jean-Claude

Dans le café de ce petit bourg où Jean-Luc et Jean-Claude ont la permission, tous les jeudis, de venir boire un verre (sans alcool), les choses prennent ce jour un tour inhabituel. D'abord, il y a ce jeune gars aux cheveux si blonds, il émerveille les deux amis parce qu'il vient d'Abbeville. Et puis demain c'est vendredi, le jour des soins redoutés par Jean-Luc qui sent en lui quelque chose gronder. Peut-être un écho de la tempête qui vient de balayer tout le canton, mettant en danger les phoques de la baie et pour lesquels Jean-Claude se fait tant de souci. Il suffira d'un rien, un billet de loto qu'on refuse de valider à Jean-Claude, pour que tout se dérègle.

08/2022

ActuaLitté

Littérature française

Les trois demoiselles du père Maire ; Le Centenaire de Jean-Jacques ; L'Ecole du dimanche. (Trilogie genevoise)

C'est entre 1909 et 1911 que Louis Dumur publie ce qu'on a l'habitude de nommer sa "trilogie genevoise", à savoir trois romans respectivement intitulés Les Trois Demoiselles du père Maire, Le Centenaire de Jean-Jacques et L'École du dimanche. Le lecteur y suit, plusieurs années durant, les aventures du jeune Nicolas Pécolas, héros et narrateur, élève du collège Calvin à la fin de la décennie 1870. Autour de ce garçon des Rues-Basses gravitent des personnages tantôt rassurants (la mère Maire, le cousin Gobernard), tantôt inquiétants (le pasteur Babel, la tante Bobette). Il y est naturellement question d'amour (le jeune Nicolas tombant amoureux d'Eglantine, la propre nièce du pasteur) et de religion. La critique contre toute forme d'hypocrisie religieuse est d'ailleurs ce qui ressort, non sans un humour parfois caustique, des trois romans, et en particulier du dernier, L'Ecole du dimanche. Que Dumur ait dû se défendre des nombreuses attaques dont il fut l'objet, allant jusqu'à publier un opuscule intitulé Les enfants et la religion n'est pas pour surprendre : l'écrivain défend en effet, au travers de personnages qui empruntent leur discours à la Profession de foi du vicaire savoyard voire – horresco referens – à Voltaire, une forme assumée d'agnosticisme. Mais ce qui l'emporte surtout, c'est la fraîcheur des scènes décrites, qui nous replongent dans l'atmosphère des rues basses, à Genève, il y a quelque cent quarante ans. Une fraîcheur non dénuée d'humour, et toujours empreinte d'un optimisme qui ne s'émoussera, une fois la trilogie parue, qu'au son des canons de la Grande Guerre.

04/2018

ActuaLitté

Littérature française

« Jean le Retrouvé ». Jean-François Caracci dit « Jean le Retrouvé »

Jean-François Caracci de par sa naissance est lié à la Maison royale de Roumanie. Royaume de Roumanie est le rêve d'un Prince de sang de voir le Royaume de ses ancêtres renaître. Jean-François Caracci souhaite que la Roumanie redevienne puissante et prospère en tant que Monarchie restaurée et ce livre explique sa vision. Royaume de Roumanie est l'Idéal de Jean le Retrouvé.

10/2016

ActuaLitté

Littérature française

Oh Bonne Maire ! Récit électoral

"Je suis scribe de Marseille dans ce récit baroque, qui la diffracte en inspecteur fureteur, en poètes incontrôlables ou non-humains multiples. C'est un récit pour en appeler à notre capacité d'habitants là, expression de l'article premier de notre constitution : "La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale". Et rappeler que voter, ca peut etre jubilatoire ! " Christine Breton.

02/2020