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Contes et nouvelles

Dis-moi plus que des mots damour

Le corps, le coeur, le corps... et l'amour, cet élément au centre des relations humaines, depuis toujours recherché de tous. Il n'est pourtant pas facile d'écrire une bonne romance, qui plaise et qui parle de manière unanime, bien que l'amour semble parler à tous ! La romance, l'un des genres littéraires les moins étudiés, et paradoxalement l'un des plus populaires, tant chez les auteur. ice. s que les lecteur. ice. s. Et pour la seconde fois cette année, les Editions Edilivre ont lancé le défi, aux écrivains professionnels et amateurs, d'écrire avec leur plume bien plus que des mots d'amour, et ce, sous toutes leurs formes. Dans ce recueil, vous trouverez les treize nouvelles sélectionnées à la suite de notre concours, qui explorent le mieux les formes multiples et variées de l'amour et du désir. Chaque nouvelle est unique et nous parle d'un amour platonique, sensuel, érotique, à travers les âges... Des histoires d'amour qui ne manqueront pas de vous faire, vous aussi, rêver.

12/2021

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Littérature étrangère

Rien que la vie

C'est une sorte de journal de célibataire qu'Oreste Del Buono nous livre. Il ne s'est pas séparé de sa femme dans le sens juridique où on l'entend d'habitude, mais plutôt écarté d'elle. Cette mise à distance des contingences domestiques le rend absolument disponible à la vie en ce qu'elle a de plus ordinaire. Suite de notes donc au sens musical, olfactif et littéraire bien sûr. Suite de séquences rendant compte des événements minuscules et retentissants de la quotidienneté. Choses vues dans la rue, dans l'autobus, menus incidents, quiproquos, méprises, alertes surgissant des couches enfouies de la réalité. Ces notes ne sont jamais cruelles ; la bonté, la compassion, la bonne humeur bienveillante profondément les imprègnent. D'une absolue justesse, elles saisissent ce qui vibre, au centre de la cible, toujours. Oreste Del Buono a l'indulgence des attendris, le sourire de qui déloge la gravité sous le comique apparent, il a la politesse raffinée des modestes.

01/1992

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Littérature étrangère

Rien que la vie

Dans ce recueil de treize nouvelles, Alice Munro nous emporte avec ses personnages jusqu'aux moments charnières de leurs existences, où tout peut basculer : une mère perd la trace de son enfant, un soldat saute inopinément du train qui le ramène chez lui, une jeune professeur part enseigner dans un sanatorium reculé, une femme perdue se lie à un inconnu... Le hasard des rencontres, l'étrangeté des actes manqués, les coups funestes du destin : autant de lignes de force que Munro ausculte et nous restitue avec la grâce d'un "Tchekhov de notre temps". Pour la première fois, elle se confie également sur sa propre vie dans une ultime nouvelle. Alice Munro est, plus que jamais, l'écrivain de l'âme humaine.

10/2014

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Policiers

Le chien de minuit

Sur les toits de Los Angeles, des bandes s'affrontent pour la possession des espaces de béton qui surplombent le vide. Ils sont des dizaines là-haut, à vivre de rapines dans les appartements qu'ils atteignent en escaladant les façades. Ils se sont juré de ne plus jamais redescendre dans la rue. Seul le toit du 1224 Horton Street, occupé par un luxueux complexe de loisirs, demeure inaccessible ; il est défendu par Dogstone, terrible gardien qui n'hésite pas à précipiter les intrus dans le vide, et qu'on a surnommé le Chien de Minuit... Une remarquable évocation de l'enfer urbain dans l'Amérique d'aujourd'hui, couronnée par le Prix du Roman d'aventures 1994.

03/1995

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Histoire de France

Rue des salauds

Quand l'Histoire est au coin de la rue ! Les rues de Paris (et d'ailleurs) portent les noms des plus glorieux personnages de l'Histoire de France. Mais certaines d'entre-elles (et non des moindres) ont été attribuées à de bien tristes sires... Bugeaud (sanguinaire conquérant de l'Algérie), Albert de Mun (infatigable adversaire de la laïcité), Les ducs de Guise (organisateurs de la sanglante Saint-Barthélemy), Maurice Barrès (implacable accusateur du capitaine Dreyfus)... Et que dire de la face sombre des Richelieu, Etienne Marcel, Linné, Mazarine, Conti, Talleyrand, Solférino, Gallieni, Alexandre III et tant d'autres !

09/2013

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Littérature française

Rue des syriens

Wadi stationnait aux pieds du Christ-roi, tenant d'une main une valise fatiguée, de l'autre un journal avec lequel il tentait de se protéger de la férocité du soleil tropical. Tout autour s'agitaient marchandes de légumes, débardeurs, djobeurs poussant leurs charrettes à bras hétéroclites, chauffeurs de taxi-pays qui jargouinaient sans arrêt dans une langue pour lui incompréhensible. Il s'étonnait qu'ils fussent pour la plupart d'un noir d'ébène, hormis quelques visages couleur de miel. Soudain, un gamin rieur le tira par la manche : "La Syrie, tu vas fondre sur toi-même, oui ! Ha-ha-ha !" A la fin du XIXe siècle, des centaines de milliers d'habitants issus des pays du Levant, Syrie, Palestine, Liban et Jordanie, émigrèrent en Amérique du Sud et dans l'archipel des Antilles. Ils furent désignés sous le nom générique de "Syriens". Wadi est l'un d'eux. Quand il débarque à Fort-de-France dans les années 1920, le dépaysement est total. Il est à la recherche de son oncle Bachar, qui l'a précédé à la Martinique au début du siècle. Wadi a tout à construire dans ce nouveau pays où il va vivre de multiples aventures et croiser de nombreux personnages : Fanotte, la superbe et fantasque revendeuse, Bec-en-Or, le crieur de magasin, Ti Momo, le fier-à-bras amateur de combats de coqs, des maîtres en sorcellerie, un boutiquier chinois, un prêtre hindou, et bien d'autres encore, caractéristiques du melting-pot antillais... En célébrant l'épopée des Levantins à la Martinique, Rue des Syriens est aussi un grand roman sur l'intégration qui plaide pour une identité mosaïque.

04/2012

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Romans de terroir

Rue des nèfles

La famille Vernet, poussée par le mal du pays, regagne la terre lotoise avec leurs trois enfants. Simon, le chef de famille a été embauché à Figeac. Le 1er juillet 1965, les Vernet emménagent dans une vaste demeure, au cœur de la vieille cité, rue des Capucines. Mais des muses à cheveux blancs, les nèfles, enfermées dans une sérénité trompeuse, vivotent là. La bruyante joie de vivre des Vernet va fissurer les parois feutrées de ce cocon hors du monde. A leur corps défendant, les nèfles dévoileront les blessures de leurs renoncements et de leurs frustrations.

01/2014

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Littérature française

Rue des Archives

Depuis des années, j'enterrais ma mère. J'imaginais chaque détail de son agonie. Je tentais d'apprivoiser sa mort comme, dans mon enfance, j'apprivoisais son personnage. En tuant Candida, c'est ma honte que j'aurais voulu supprimer. Non pas la honte de: la honte tout court. J'ai toujours eu la honte, comme d'autres ont la gale. Quand la mort a frappé, j'ai aussitôt ressenti cette démangeaison. Bien pourtant ne s'est passé comme je l'avais prévu. Je m'étais longtemps raconté des histoires pour échapper à la nôtre. Naturellement, la vérité du récit a fini par me rattraper. En me rendant rue des Archives, je savais ce qui m'attendait. Une dernière fois, j'ai convoqué les témoins, interrogé les fantômes, suivi les pistes les plus improbables pour constater que l'énigme subsistait. Entière. Je n'ai pas cédé, en rédigeant ces pages, à un sentiment d'urgence, j'ai seulement désiré mettre un point final au texte qui, depuis ma naissance, s'écrit en moi.

03/1994

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Littérature française (poches)

Rue des rigoles

" Tu ferais mieux d'aller rue des Rigoles, il y a des Pompes beaucoup moins chères ! " Tel est le conseil donné à l'auteur par un copain, alors qu'il se met en devoir de préparer les obsèques de sa mère. Et c'est ainsi, entre le chagrin et l'éclat de rire, que les souvenirs surgissent. Des souvenirs qui ramènent Gérard Mordillat à l'après-guerre, dans ce Paris populaire du XXe arrondissement où il grandit entre un père employé à la SNCF et une mère venue d'outre-Atlantique, professeur d'anglais à l'école Berlitz. Un Paris où survit le souvenir des Communards, où, dans les trente cinémas de quartier qui se trouvent entre Belleville et Ménilmontant, les premiers baisers dans la pénombre se confondent avec l'éveil d'une passion pour le 7e art. Truculent, gouailleur, tendre, mélancolique, Gérard Mordillat compose un hymne à son enfance, qui ravira tous ceux qui ont aimé Robert Sabatier ou le Truffaut des Quatre cents coups.

11/2004

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Poésie

Rue des fleurs

"Les poèmes sont des fleurs, dit-on parfois. Ne parle-t-on de florilège ? Ce mot fait sourire. Il y va d'autre chose que d'un art des bouquets. Chaque poème est une éclosion de sens. La poésie fait éclore dans la langue la douleur, l'amour, l'angoisse, la beauté... , elle les fait apparaître, leur prête voix, les révèle... Et plus le poème reste proche de la sensation, de l'impression, puis de l'éclosion qui lui ont donné naissance, plus il affirme sa nécessité propre. Ecrire un poème, peut-être n'est-ce en définitive que cela, donner à assister au moment de la naissance, à l'éclosion même du sens, syllabe après syllabe. N'est-ce pas tout le contraire du discours qui livre le sens tout prêt ? Un poème est un organisme vivant. Il pousse sur le papier. Il anime le langage et ranime la curiosité. Il sort les mots de leur torpeur, il les réveille, il les fête. C'est cela, la rue des fleurs". Jean-Michel MaulpoixPause lyrique entre deux livres de prose, avec ce recueil de poèmes Jean-Michel Maulpoix renoue avec la poésie pure et le plaisir sensuel des mots.

02/2022

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Littérature française (poches)

Rue des Pâquerettes

1962. Un hiver terrible enserre les bidonvilles de Nanterre. La Seine est gelée. C'est donc cela la France, cette terre d'accueil dont son père lui a tant parlé ? Le froid partout, les regards en biais, les chantiers pour horizon - l'usine, au mieux ? A l'école des Pâquerettes, on doute qu'un petit Algérien de 10 ans, tout juste déraciné, puisse rattraper son retard et rêver mieux. C'est compter sans les livres, le cinéma du quartier et le pouvoir des mots...

09/2020

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Histoire des idées politiques

Vie des révolutionnaires

Vie des révolutionnaires / Victor Serge Date de l'édition originale : 1930 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

09/2021

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Albums 0-6 ans

Rue des voisins

Une rue, quatre voisins. Avec chacun une passion dévorante qui les enferme chez eux. Heureusement, un salon de thé nouvellement installé dans la rue va attirer leur curiositéâ-

10/2021

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Littérature française

Rue des artistes

A la fin du XIXe siècle, un jeune Américain, Gus Gardner, arrive à Paris pour réaliser son rêve : devenir marchand de couleurs. Il est alors en contact avec des artistes qui deviennent ses amis et va connaître avec eux une vie passionnante. Une jeune pastelliste, Apolline, lui fait connaître la peinture au féminin et l'entraîne dans des ateliers de peinture. Curieux de tout, il emmène ses amis à Florence pour découvrir les oeuvres d'art et rencontre un marchand de couleurs qui vend des pigments utilisés depuis le Moyen Age. Mais les matières précieuses comme le lapis-lazuli attirent la convoitise, et des magasins sont cambriolés. Gus veut élucider ces vols et part à Constantinople, source des approvisionnements, ville magique qui lui ouvre les portes de l'Orient. Hélas, son amie Apolline est gravement malade, elle s'éteint doucement. Bouleversé, il l'accompagnera jusqu'au bout, aidé par ses amis.

06/2023

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Littérature française (poches)

Rue des voleurs

C'est un jeune Marocain de Tanger, un garçon sans histoire, un musulman passable, juste trop avide de liberté et d'épanouissement, dans une société peu libertaire. Au lycée, il a appris quelques bribes d'espagnol, assez de français pour se gaver de Série Noire. Il attend l'âge adulte en lorgnant les seins de sa cousine Meryem. C'est avec elle qu'il va "fauter", une fois et une seule. On les surprend : les coups pleuvent, le voici à la rue, sans foi ni loi. Commence alors une dérive qui l'amènera à servir les textes - et les morts - de manières inattendues, à confronter ses cauchemars au réel, à tutoyer l'amour et les projets d'exil. Dans Rue des Voleurs, roman à vif et sur le vif, l'auteur de Zone retrouve son territoire hypersensible à l'heure du Printemps arabe et des révoltes indignées. Tandis que la Méditerranée s'embrase, l'Europe vacille. Il faut toute la jeunesse, toute la naïveté, toute l'énergie du jeune Tangérois pour traverser sans rebrousser chemin le champ de bataille. Parcours d'un combattant sans cause, Rue des Voleurs est porté par le rêve d'improbables apaisements, dans un avenir d'avance confisqué, qu'éclairent pourtant la compagnie des livres, l'amour de l'écrit et l'affirmation d'un humanisme arabe.

08/2014

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Littérature française

Rue des perplexes

Les " Classiques Chihab " est une collection consacrée aux oeuvres majeures de la littérature universelle. L'objectif principal de cette collection est d'ouvrir une fenêtre sur les livres d'hier, qui ont bercé l'apprentissage des belles lettres de générations entières à travers les siècles. Ces oeuvres ont traversé le temps et les frontières, ont été et continuent d'être de grands succès, et elles ont été l'objet d'intérêt au passé et au présent. Dans chaque volume de la collection on retrouve : une présentation, une biographie de l'auteur et l'oeuvre en texte intégral.

06/2013

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Littérature française (poches)

Rue des Degrés

La littérature est une arme. Qui la sert prend parfois le risque majeur : celui de perdre la vie. Dans la nouvelle qui ouvre le recueil, " La couleur du noir ", la fiction, sous la forme d'un manuscrit, met en jeu une page d'histoire peu connue, l'insurrection malgache de 1947 et dévoile du même coup l'ampleur d'une machinerie meurtrière. Le passé n'est jamais qu'un présent réactualisé. Qu'il s'agisse d'un policier, d'un douanier ou d'une fleuriste, du dessinateur Angelo di Marco ou du réalisateur William Wyler, les personnages de ces brefs récits voient un souvenir oublié ressurgir et changer le cours de leur vie.

03/2012

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Littérature française

Des Vues parallèles

Ce livre relate quatre témoignages sous forme d'histoires évoquant des événements paranormaux. On y retrouve la vie après la mort, fantômes et dames blanches, voyance ou malédiction à travers des histoires touchantes, émouvantes, vivantes et sincères. Marc, Thierry, Sabine, Katia ou Hugo sont des personnes comme vous et moi, des personnes que vous croisez au quotidien, qui ont vécu des histoires extraordinaires, des histoires surnaturelles. Vrai ou faux, rêve ou réalité, à vous de juger !

02/2009

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Littérature française

Rue des Feuillantines

Margot, graphologue, a décidé seule de louer un studio à Paris, rue des Feuillantines. Ce qui pourrait s'apparenter à une garçonnière reste sa bouffée d'oxygène. Pourtant, elle aime Antoine, son mari, mais aussi Alexis, son jeune amant, qui l'emeut et la touche corps et âme. Comment vivra-t-elle cette situation insolite, éprise de deux hommes dont elle ne peut se passer ? Cette "chambre à elle" proche du quartier de son enfance, sera-t-elle un coin secret pour panser ses blessures, une matrice où renaître et se révéler à elle-même ?

01/2019

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Lecture 6-9 ans

Rue des amours

Ma rue est toute grise. Mais moi, j'y vois des couleurs. ! Pourquoi s'appelle-t-elle Rue des Amours ? ! Personne ne sait pourquoi. Il doit y avoir un secret. Je le trouverai. Dans ce carnet, j'écrirai tout ce que je trouverai.

10/2016

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Littérature française

Rue des aveugles

A la mort de sa mère, Rose peut enfin reconstituer la fable de ses origines qu'on lui avait donnée pour vraie. Nous voilà projetés dans la France rurale des années cinquante. Dans un village de Bourgogne, un prêtre et une jeune fille s'éprennent l'un de l'autre. Sur fond de religiosité exacerbée, cette passion illicite s'ancre dans un climat de désir et de culpabilité. Jamais les amants n'avoueront à leur fille la vérité. Rose grandira dans cette culture du silence empreinte de mysticisme; l'interdit engendre la tension. L'auteur dresse là un portrait magnifique de la femme que fut sa mère : forte et autoritaire, souffrante et victime, dévote et passionnée. A travers les personnages de ce roman habité, se dessine l'image d'une société qui masque sa cruauté derrière les images saintes. Les secrets de famille, on le sait, laissent des traces souvent inaltérables.

05/2004

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Policiers

Rue des fantasques

"Les perles du collier, entraînées dans un sillon de sang et d'eau de pluie, englouties par la bouche d'égout, seront vomies dans le fleuve purificateur après un voyage dans les entrailles de la ville." Par une nuit pluvieuse, le commandant Farel, chef de groupe de la BRB, se penche sur le cadavre d'une femme tuée par balle et qui a apparemment fait le saut de l'ange depuis le 7ème étage d'un immeuble de la rue des Fantasques. En remontant La piste de ce qui semble être un contrat, Farel fait sortir du bois quelques personnages sulfureux dont une redoutable femme d'affaires, quelques uns de ses nombreux amants, plusieurs mafieux géorgiens et, entre autres, un ministre en exercice... Grand banditisme, arnaque à la taxe carbone, banques maltaises et réseaux criminels, qui tire les ficelles de tout ce beau monde ? Des comparses abattus, des serments trahis et une course poursuite dans le gigantesque réseau souterrain de la ville obligeront Farel à révéler au grand jour les dérives de ceux qui nous gouvernent.

02/2018

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Littérature française

Rue des rêves

Ce roman de formation décrit une quête d'identité intellectuelle, affective et spirituelle. L'amour, la folie, la littérature, le deuil et la joie de l'amitié tissent la vie d'un jeune normalien, agrégé de philosophie. Albin est un jeune homme tourmenté, exigeant et désireux de donner du sens à sa vie. Il entame sa quatrième année d'étude à l'Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud. Intéressé par la psychologie et la psychiatrie, il prépare une thèse sur le langage des malades mentaux. Au cours de ses recherches, Albin rencontre Pénélope, une patiente très séduisante, dont il tombera amoureux. Elle appartient à la communauté des gens du voyage. Leur histoire sera peu à peu troublée par sa rencontre avec Madleen, une jeune étudiante brillante. Ses tergiversations entre ces deux jeunes filles constituent le fil de l'intrigue. Le contexte est celui du monde universitaire dans les années 1980, avec ses enjeux théoriques. Sa quête spirituelle, qui a suivi le décès de sa mère, suscite interrogations et critiques chez Hervé, un camarade normalien, féru de littérature, incroyant et engagé à gauche. Leur amitié donne lieu à un échange libre et fécond sur les questions existentielles, artistiques et philosophiques. Albin évolue entre divers espaces chargés d'émotions et de souvenirs. L'évolution sociale du héros est fondamentale dans ce récit.

03/2017

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Histoire de France

Vie des martyrs

Les récits des médecins durant la Grande Guerre sont assez rares (on se souvient par exemple des Carnets de l'aspirant Laby, Pluriel, 2003, 4149 ex. GFK). Pourtant, en quatre ans, près de 5 millions de blessés déferleront sur les services de santé, à l'arrière-front. Duhamel, qui était médecin, a vécu "l'envers de l'enfer" et voulu, avec cette Vie des martyrs (1917), oeuvrer à la mémoire de ces hommes confrontés à la douleur, à la terreur de l'amputation, à l'agonie, mais aussi à la grâce. Son livre, qui offre des pages exceptionnelles sur Verdun, est le premier témoignage littéraire sur la Grande Guerre. Porté par l'éthique de Duhamel et son extraordinaire empathie, il raconte des figures lumineuses comme celle de Léglise, la bonté même, qui survivra en sacrifiant ses deux jambes ; ou l'agonie poignante de Mercier ; ou encore ce grand blessé qui supporte tout jusqu'au moment où lui pousse sur le nez un tout petit bouton... Livre des passages, il rappelle aussi, à chaque page, la force consolatrice de la parole littéraire. Un chef-d'oeuvre.

09/2015

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Littérature française

Rue des martyrs

Née d'un déni de grossesse et abandonnée par sa mère dans les premiers mois de sa vie, Nina peine à trouver un sens à son existence. Réservée, solitaire, névrosée, elle n'a qu'un ami : Hugo, solide et terrien, fidèle de- puis le lycée, le seul à connaitre son histoire. Mais il ignore que Nina mène une double vie. Une double vie qui pourrait la mener à sa perte. Par un concours de circonstances, Gaspard Delatour, un riche et brillant avocat d'affaires va entrer dans la danse. Et découvrir, de la pire des façons, la noirceur de Nina. Pourra-t-il la sauver ?

10/2020

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Policiers

Rue des rats

Là-bas, au bout de Paris, entre la Goutte-d'or et la Chapelle, près de Montmartre, la drogue est partout, les dealers sont en guerre. La nuit règne et les rats ont envahi les murs, les poubelles, les caniveaux. Des incendies impromptus se propagent, et les flics tombent sur des cadavres de toxicos atrocement mutilés. Max Mpétigo, juif camerounais au nom imprononçable et expert en risques industriels, regarde son quartier partir à la dérive. Une bavure policière met le feu aux poudres. Les humiliés se révoltent, et Max découvre que son ami Macdou, qui tient le restaurant le plus populaire de la rue Myrha, s'est mis dans une sale affaire... Journaliste au Nouvel Observateur, François Forestier signe un roman noir fourmillant de personnages hauts en couleur, au ton très original.

11/2006

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Petits classiques parascolaire

Le Der des ders

Paris, janvier 1920. L'ancien combattant Eugène Varlot, reconverti en détective privé, est contacté pour une mission par l'ancien " héros " du 296e régiment d'Infanterie, le colonel Fantin de Larsaudière. L'enquête, présentée à l'origine comme un banal constat d'adultère, va finalement mener aux mutineries de 1917 et au trafic de stocks américains d'après-guerre, se révélant de ce fait pleine de dangers... En adaptant fidèlement cette oeuvre de Didier Daeninckx, maître du roman noir, Tardi se délecte. D'une part idéologiquement, en revenant sur la dénonciation de la guerre ; d'autre part graphiquement, en dessinant magnifiquement Paris et ses banlieues au début du XXe siècle. L'étude de cette adaptation permet d'appréhender la richesse et la particularité de la bande dessinée, notamment au travers des notions d'ellipse, de suspense, de registre de tangue, de pastiche et de parodie. Elle permet aussi de découvrir certains aspects peu connus de la Première Guerre mondiale, comme la mutinerie des troupes russes en France. L'appareil pédagogique complet est suivi d'une interview exclusive de Didier Daeninckx et d'un lexique BD.

06/2010

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Littérature française

Le der des ders

Ces lettres écrites par un poilu de la grande guerre nous font le récit de son dernier combat. Ce soldat est âgé de 110 ans ! Il est le dernier vétéran de l'armée française encore en vie. La guerre qu'il nous narre ne se déroule pas sur un champ de bataille, mais dans une chambre d'hôpital ! Il est hospitalisé contre son gré. Les médecins ont pour mission de le garder en vie le plus longtemps possible. Objectif inavoué de cet acharnement : faire que le dernier poilu français survive au dernier vétéran allemand. Désormais, les deux nations ne confrontent plus leurs puissances militaires, mais leurs systèmes de santé. Ces lettres racontent de façon burlesque ce combat qu'il doit livrer seul contre la raison d'état. Non plus au péril de sa vie, mais au risque de voir lui échapper sa propre mort.

12/2022

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Théâtre

La der des ders

Manipulation, soumission ou incrédulité : la guerre comme en 14, d'un petit village du bord de Marne jusqu'aux tombeaux ouverts du front... " Ce que j'ai pu consommer de Bretons... " disait Nivelle sans la moindre émotion, oubliant un peu vite que dans la poitrine de chacun d'entre eux, battait un coeur d'homme, qui avait tout autant que le sien le droit de continuer de battre... A la veille du centenaire de cette grande boucherie de notre histoire nationale que fut la guerre de 1914-18, Alain Roué dénonce avec un humour grinçant la façon dont une fois de plus l'Etat s'est permis de consommer à souhait la vie de centaines de milliers d'hommes. C'est sous la forme d'une pièce en cinq tableaux que l'auteur nous livre cette " Der des ders ", qui donne à réfléchir sur ces mots de liberté, d'égalité et de fraternité dont notre république semble si fière. Un bel hommage aux poilus sacrifiés le plus souvent inutilement, par des officiers parfois incompétents, à la botte de politiciens trop souvent cyniques et carriéristes.

06/2014

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Littérature française

Maman les p'tits bateaux qui vont sur l'eau ont-ils des ailes ?

- Corbleu ! dit-elle, d'un seul mot, quand elle me vit dans cette posture catatonique, baignant dans une lueur éblouissante de 15 000 watts qui évoquait l'image pieuse de l'apparition du dieu Mazda à Thomas Edison. Et ma Mariette, bonne comme le bon pain, blême-déconfite par la situation incongrue, pensant que le démon devait tourbillonner là-dessous, de laisser échapper un autre cri tout universel de détresse suprême, ou autre. Elle, à lui : - Pour l'amour de Dieu, allez au diable ! . meugla-t-elle, d'un long mugissement, tout en exquise féminité exacerbée. La naïade baignait dans son jus. Comme quoi, dans la douce intimité de la maison chaude, des choses familières peuvent devenir étrangement inquiétantes.

02/2015