Recherche

Médailles, plaquettes, bijoux, camées

Extraits

ActuaLitté

Lecture 9-12 ans

Taddeuz, mémoires d'un jeune homme de 13 ans Tome 1 : Taddeuz et le collier aztèque

Taddeuz a treize ans. A sa majorité, il succédera à sa maman, la regrettée grande reine du Tadjasthan. Auparavant il poursuit ses études sur une île au nord de l'Ecosse, dans un pensionnat dont la spécialité est de former de futurs dirigeants, en les envoyant par groupes de six en mission à l'étranger. C'est ainsi qu'ils apprennent, sur le terrain, les matières fondamentales, le travail en équipe, et la réalité de la vie en société. Une première mission de 90 jours conduit Taddeuz et ses amis au Mexique, avec leurs kalongs, à la recherche d'un très ancien collier aztèque composé d'un métal aux propriétés exceptionnelles dont la formule a été perdue. Poursuivi par d'horribles tueurs à la solde d'un dangereux et puissant collectionneur avide de s'accaparer le précieux bijou, Taddeuz va découvrir qu'il possède un don très particulier grâce auquel il pourra sauver ses cinq camarades de classe, en particulier sa très chère amie Altaïr, et retrouver la trace de la parure disparue. Au cours de cette mission, tous auront été confrontés à des situations si incroyables qu'à son retour, Taddeuz décidera, malgré le désaccord de son père le régent, d'en faire le récit en publiant ses mémoires. Les cahiers des Mémoires de Taddeuz ont été transcrits par Marie-Françoise Chevallier Le Page.

04/2018

ActuaLitté

Littérature française

Perdre la tête

Rome, hôpital San Camillo Forlanini, printemps 2015. Cloué jambe en l'air sur un lit médicalisé, celui qui prétend s'appeler Wallace tente de comprendre : l'amour lui aurait-il tourné la tête, au risque de la perdre, littéralement ? Il revoit Giulia, sa maîtresse, tâchant de le rappeler à l'ordre de l'amour dans la lumière trop vive de la via Appia Antica avant d'extirper de son sac un petit revolver, qu'il a d'abord pris pour un jouet, en vérité, ou "une sorte d'accessoire de théâtre, un briquet de salon, peut-être, un bijou nacré, élégant, forcément élégant aux yeux de Wallace, comme tout ce que touche Giulia, tout ce qu'elle porte, tout ce qu'elle respire, Giulia"... Quel rapport avec les fantasmes délirants que la jeune femme prête à son mari paraplégique ? Avec les nouvelles mafias romaines qui détournent l'aide aux réfugiés ? Et avec la Chine, grands dieux ? Quel rapport Wallace entretient-il avec la Chine à son insu ? Bertrand Leclair nous entraîne dans une histoire haletante, toute en rebondissements multiples, digressions, faux-semblants et chausse-trappes. Le vrai et le faux se mêlent pour donner un roman jubilatoire et enlevé qui mélange les genres et ressemble à l'Italie, dans toute sa diversité : drôle, romantique, tendre et burlesque à la fois.

08/2017

ActuaLitté

Religion

Raconter l'amour. Sept paraboles de miséricorde

Le Samaritain a fait preuve de miséricorde, l'enfant prodigue en a bénéficié, le riche n'en avait aucune pour le pauvre Lazare et le publicain demandait humblement celle de Dieu. Quatre paraboles de Luc – lues durant l'année C (2015-2016) – et même une cinquième en conclusion, celle du figuier stérile pour lequel le vigneron demande une patience miséricordieuse. A chaque fois, un petit bijou de commentaire évangélique, sous la plume bien connue d'Enzo Bianchi. Jésus était un inventeur de paraboles, et nous y trouvons sa créativité, son intelligence, son talent poétique. Les paraboles sont des récits où la bonne nouvelle est révélée au moyen d'images et non par des concepts ou des sentences. Ces paraboles sont à la fois une interpellation adressée à l'homme, croyant ou non, et un portrait de Dieu. "Jésus avait recours aux paraboles pour amener ses auditeurs d'une certaine façon de voir et de penser à une autre, d'une mentalité à une autre, du très répandu et anonyme "tout le monde fait ça, tout le monde pense ça", à une autre façon de penser et de faire, celle de Dieu. Avec les paraboles, il "entend libérer les auditeurs de préjugés bien enracinés, en un mot, transformer leur âme et leur existence"" (extraits de l'introduction). Une méditation sur Dieu, le miséricordieux, une invitation à aimer comme lui.

05/2016

ActuaLitté

Littérature française

Le jour où ma mère m'a tout raconté

Le portrait d'une femme en lutte avec une existence qui la brise Il pleut sur Montfavet ce jour-là. Il pleut sur la voiture dans laquelle Lili, révoltée, malheureuse, se sent étouffer. Devant elle, les grilles d'un hôpital psychiatrique. Son mari, Hector, prétend que c'est pour elle la seule solution. Hector que tout le monde admire, adule, Hector qui sait quoi penser et infliger aux autres. Pour Lili, la vie bascule. Derrière les murs, cependant, il y a des êtres merveilleux, étonnants, attachants. Antonin, notamment ; ou encore le Mage. Derrière les murs, surtout, il y a les pages nécessaires d'un journal intime, qui ramènent Lili à ses secrets, à ses douleurs et à son village natal de Corse, où tout se sait et tout se tait. Ce premier roman de Philippa Motte s'impose comme un hymne à la transmission. A propos de l'autrice Philippa Motte est formatrice et consultante spécialisée sur les thématiques de la santé mentale et du handicap psychique au travail. Le jour où ma mère m'a tout raconté est son premier roman. " Philippa Motte est une pionnière. " Le Monde " Un texte très puissant qui évoque la condition d'une femme, des femmes. " France bleu RCFM " Un bijou de tendresse et de subtilité". Gérard Collar, Librairie de La Griffe noire

03/2023

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Les âmes et les enfants d'abord

A Venise, une femme rencontre celle qui n'a plus de corps, plus de face : la mendiante. Son âme engloutie par quelque chose de plus noir encore que les eaux de la Sérénissime : l'indifférence. L'une tient la main d'un enfant, l'autre tend la sienne vers un ciel aveugle. Il y a celle debout ; il y a celle à genoux. Immobiles toutes deux. La misère est à exacte hauteur des enfants. On vit avec. Avant même qu'ils ne sachent lire et écrire, ce que nous offrons à ceux que nous élevons, c'est la pauvreté à hauteur de leurs yeux. A bonne hauteur... elle ne le sera jamais. Le chemin de l'école redevient une cour des miracles où chaque enfant laisse un peu de son innocence. Pour grandir, il lui faudra d'abord regarder le malheur dans les yeux. Tout comme ses parents, il s'y habituera vite, et arrivera le moment où la misère le dépassera. Elle est où l'humanité ? L'inhumanité est sous nos fenêtres, on peut ne pas la regarder en face, elle nous saute à la gueule. La réalité que contiennent ces pages, nous la croisons à chaque coin de rue. Un récit qui nous happe, un bijou qui brille de feux sombres et c'est une force qui nous entoure. Elle est là l'humanité.

01/2016

ActuaLitté

Littérature anglo-saxonne

Demoiselles aux moyens modestes

Un classique de la littérature écossaise du XXe siècle indisponible depuis des décennies à redécouvrir. Une guerre vient de s'achever, un monde a disparu. Nous sommes à Londres, en 1945, époque où, à quelques exceptions près, tous les gens bien sont pauvres... C'est le cas, entre autres, des héroïnes du roman de Muriel Spark, jeunes pensionnaires du club May de Teck, une fondation royale accueillant des " demoiselles aux moyens modestes ". Toutes font des prodiges pour joindre les deux bouts en ces temps de disette ; toutes - ou presque - s'intéressent aux hommes. Leur quotidien somme toute assez insouciant semble pouvoir se prolonger indéfiniment, mais, comme la guerre et le monde d'avant, il va brusquement prendre fin - sur une tragédie. Paru en 1963, ce roman de Muriel Spark, l'une des plus grandes écrivaines écossaises du XXe siècle, est un petit bijou de causticité, dans la même veine que Les Belles Années de Mademoiselle Brodie. " Dans la vie, Muriel Spark était un peu devin, un peu médium, un peu sorcière... et bien sûr elle l'était plus encore en tant qu'auteur. Au fil d'une conversation, on l'entendait répondre à ce qui n'était pas encore dit, à ce qu'à part soi l'on pensait, à ce que l'on aurait souhaité garder caché. " Chirstine Jordis

03/2022

ActuaLitté

Littérature portugaise

Un jour j'irai à Sagres

A la fois roman d'action et roman d'un flux de conscience, ce récit, de forme autobiographique et qui s'inscrit dans la tradition des romans d'apprentissage, est un voyage dans un Portugal de la deuxième moitié du XIXe siècle mêlant inextricablement réel et imaginaire. Le narrateur, Mateus, y retrace son existence marquée par un traumatisme affectif initial. En quête désespérée d'un amour perdu d'avance, il est passionné par l'histoire portugaise et l'identification chimérique qu'elle permet avec les grands mythes de la mémoire collective. Une action structurée autour de trois lieux : le village pauvre de la province du Minho, à l'extrême nord du pays où il a passé son enfance auprès de son grand-père ; Lisbonne où il se confronte aux modes de vie de la grande ville ; Sagres, dans l'Algarve, destination mythique qui hante ses rêves depuis l'enfance, cité située entre l'Afrique et l'Europe, à l'extrême pointe du Portugal et du continent européen, choisie par l'Infant Henrique (Henri le Navigateur) pour y fonder une école navale et en faire la base de départ des expéditions qui permettront la constitution de l'empire mondial portugais. Le récit est nourri par la récurrence de plusieurs thèmes : la nature, le lien profond avec les animaux, les besoins d'amour et de sexe(s), avec leurs rituels primitifs et leurs délicatesses, le bonheur et le malheur de vivre et de mourir dans une société où le salut est individuel et le naufrage social. Le roman est aussi un hymne à la langue portugaise et à la création littéraire, dont la référence héroïque est Camões, le grand poète-barde-prophète épique des Lusiades, héritier d'Homère et de Virgile, inventeur de la mythologie des expéditions portugaises et de ses héros. " Tout triste rebelle que je suis, j'attribue des formes informes aux miettes de pain éparpillées sur la table. Alors que j'apprécie les produits de la terre, il n'y en a pas beaucoup chez moi, je me nourris pour ainsi dire de petites bricoles. Pourtant sans eux, je ne serais pas ici, sur cette colline de Lisbonne, une des sept existantes, que je parcours en m'appuyant aux murs pour ne pas tomber. Après avoir quitté les terres de mon grand-père et m'être établi à Lisbonne, à Sagres, et puis dans le monde, c'est ici que je suis revenu. Qui suis-je sans les ruines des villes humaines et sans les bribes de mon existence ? Qui suis-je sans ces histoires, mes décombres ? Je vis avec une parcimonieuse économie. Les pièces de monnaie que j'ai dans la poche nourrissent à peine mes rêves. Les restes d'un travail presque esclave, des voyages où jadis nous autres Portugais nous étions passés maîtres. "

05/2022

ActuaLitté

Littérature érotique et sentim

Idylle en Grèce. La rose indomptable ; La maîtresse du milliardaire grec ; L'orgueil de Zander Volakis

Sa mission était pourtant simple : s'introduire au gala organisé par Xante Rossi, récupérer le bijou qui lui avait été dérobé, puis prendre la fuite. Aussi Karin ne s'attendait-elle pas à ce que Xante la retrouve ! Le voilà qui se dresse face à elle, furieux. Très vite, Karin comprend pourtant qu'il ne portera pas plainte. L'angoisse se mêle aussitôt à son soulagement : quelle contrepartie peut bien attendre cet homme qu'elle devine impitoyable ? Lorsqu'elle pénètre dans le bureau de Zak Constantinides, Emma sent son coeur s'emballer. Mais, quand elle comprend pourquoi celui-ci l'a convoquée, son trouble se transforme en colère. Son patron a en effet décidé de la muter à New York ! Révoltée, Emma n'a pourtant guère le choix et accepte son nouveau poste. Tout en se jurant de garder ses distances avec celui qui a le pouvoir de briser sa carrière... comme de l'envoûter d'un seul regard. Lorsqu'il découvre le visage de la femme engagée pour le débarrasser de son image de play-boy, Zander Volakis sent une colère noire l'envahir. Car celle-ci n'est autre que Lauranne O'Neill. Celle qui, cinq ans plus tôt, l'a séduit puis trahi de la pire des façons. Mais aujourd'hui, pour conclure une importante affaire, il doit à tout prix restaurer son image. Alors, c'est décidé : il collaborera avec Lauranne, pour mieux se venger d'elle ensuite...

07/2019

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Le triomphe de l'oeuf

Sherwood Anderson déploie tout son talent de conteur dans ce recueil de vingt-neuf nouvelles sélectionnées dans ses oeuvres complètes et parfaitement représentatives de son univers. Observateur hors pair de la vie sociale, il pénètre avec clairvoyance et précision jusqu'au tréfonds de l'âme de ses personnages. Ces courts récits racontent souvent, sans tabous ni détails superflus, le quotidien d'hommes et de femmes issus de milieux défavorisés, à la psychologie complexe et torturée, des personnages en quête d'accomplissement dont le désir n'est jamais assouvi.
Les nouvelles possèdent également un côté plus lumineux : l'auteur évoque sa propre vie de vagabond, son désir d'ailleurs et de voyages, cette perception aiguisée que l'on développe quand on est étranger dans une ville ou un pays. La plupart ont d'ailleurs une forte dimension autobiographique et beaucoup sont écrites à la première personne. Bien que le recueil se caractérise par une forte unité stylistique, chaque nouvelle est différente des autres et se déguste doucement, de Telle une reine qui parle d'une femme qui a connu beaucoup d'hommes mais a compté d'une manière particulière dans la vie de chacun, au Triomphe du moderne, dont le protagoniste est un peintre raté qui écrit une lettre extraordinaire à sa vieille tante malade et se retrouve désigné héritier de sa fortune par la simple puissance de ses mots...
Un petit bijou d'humanité.

01/2021

ActuaLitté

Littérature étrangère

Wilson tête d'oeuf. Suivi de Les Jumeaux extraordinaires

"A Tous égards, Roxy était aussi blanche que n'importe qui, mais ce seizième de noir prenait le pas sur les quinze autres parts et faisait d'elle une Négresse. Une esclave et donc, de fait, vendable. Son enfant, malgré les trente et une parts de blanc qu'il portait en lui, était également esclave et donc, par simple présupposé de la loi et de la coutume, un Nègre. Il avait les yeux bleus et des boucles couleur de lin à l'image de son compagnon blanc. Néanmoins, pour aussi peu qu'il fût en commerce avec eux, même le père de l'enfant blanc était capable de la distinguer l'un de l'autre — par le truchement de leurs vêtements : le bébé blanc arborait une douce mousseline tout en ruches et un collier en corail tandis que l'autre ne portait aucun bijou, juste vêtu d'une chemise grossière en toile d'étoupe de lin qui lui descendait à peine aux genoux." Avec Wilson Tête d'oeuf, roman qui met en scène l'échange entre un fils d'esclave et le fils de son maître, Mark Twain reprend le thème de la ségrégation raciale, déjà présent dans Les Aventures de Huckleberry Finn, à l'aune d'un nihilisme radical. Sous couvert d'une farce, il montre l'impossibilité pour tout Américain, quelle que soit sa couleur de peau, de sortir d'une culture imprégnée de racisme. Ce roman est accompagné de gravures de Sarah d'Haeyer.

01/2021

ActuaLitté

Littérature française

Le Collier de Nina K.

" Mon collier a une histoire extraordinaire ", se plaisait à dire Nina Kandinsky, la veuve du célèbre peintre, avant d'être assassinée dans son chalet de Gstaad, en Suisse... Un bijou au passé fabuleux, M. Michel en connaît un, lui aussi, celui que son père avait possédé un temps, lorsqu'ils vivaient à Pondichéry. Un sublime collier de diamants et de rubis birmans, objet de toutes les convoitises mais source de malheur. Or ce joyau, que M. Michel n'avait pas revu depuis son enfance, réapparaît soudain dans son petit atelier d'orfèvrerie du XV' arrondissement, à Paris. Hanté par les funestes légendes du passé, il n'a alors qu'une idée en tête, s'en débarrasser au plus vite. Dès lors, la vie calme et bien rangée de M. Michel bascule, et ce célibataire solitaire est entraîné malgré lui aux quatre coins de la capitale, entre le Paris des artistes, des bourgeois et des commerçants, et le quartier de la nuit, Pigalle, où il rencontrera l'amour. Mais échappera-t-il à la malédiction du collier ? Une chose est sûre, les morts mystérieuses et les assassinats ne vont pas tarder à se multiplier... et certains pourraient bien chercher à revendre le collier à une certaine Nina K. Dans une écriture subtile et avec un art manifeste du suspense, Yves Aubin livre une comédie savoureuse mêlant fiction et réalité, intrigues et coups de théâtre jubilatoires sur fond de légendes indiennes.

05/2006

ActuaLitté

Science-fiction

Dragon Blood Tome 1 : Le sang du dragon

"Un petit bijou d'imagination riche en coups de théâtre, à l'univers aussi inventif qu'intelligemment construit. Un superbe roman". Mark Lawrence A travers les vastes territoires contrôlés par le Syndicat Négociant d'Archefer, rien n'est plus prisé que le sang des dracs, donnant d'immenses pouvoirs à de rares élus. Mais les lignées de dracs s'affaiblissent et l'équilibre du monde est menacé. On raconte que seuls les pouvoirs du drac-Argent, plus puissants que tous les autres, pourraient le rétablir. Afin de débusquer cette créature légendaire, le Protectorat enrôle Claydon Torcreek, un voleur aux facultés secrètes. Pour sa mission en territoire ennemi, il recevra l'aide d'une vénéneuse espionne et d'un intrépide officier, lors d'un tumultueux périple aux confins des mers. Tous trois devront lutter contre le déclin de l'empire... ou disparaître avec lui. "Ce monde fascinant, gouverné par des empires et soumis au marché noir du sang de dragon offre un cadre de choix à l'épopée de Ryan, qui fait preuve une fois encore d'un imparable sens du rythme et d'une maîtrise narrative de chaque instant". Locus "Un ouvrage qui foisonne de personnages mémorables et d'action trépidante... J'ai adoré". Django Wexler, auteur des Mille Noms "Ryan parvient à mêler Fantasy, récit d'espionnage et aventure maritime aux accents steampunk avec une grâce qui laisse pantois". Publishers Weekly

06/2018

ActuaLitté

Roman d'amour, roman sentiment

Crime Boss

A l'Académie Hillcrest, des rumeurs couraient sur ma coloc', Brooke Bennett. Amusante, extravertie, elle ne parlait jamais de sa famille. Jamais. Je ne lui posais pas de questions, je me contentais des photos de ses frères sur son mur. Parmi eux, Kai. Le plus hypnotique. Le plus séduisant. Le plus sombre. Ses yeux et son visage hantaient mes rêves. Et puis j'ai compris. Les Bennett n'étaient pas qu'une énième famille riche, c'était une des plus puissantes familles mafieuses du pays. Un jour, tout a basculé : le frère aîné de Brooke et son père sont morts, et Kai a pris la tête de la famille. Il est devenu le Boss. C'était il y a quatorze ans. Depuis peu, la disparition de Brooke fait la une des journaux. Et aujourd'hui, Kai Bennett m'a kidnappée... Il veut des réponses, et sait qui je suis. Je dois m'échapper, je sais qui il est vraiment. Le temps presse... Amour, haine, mensonges, faux-semblants et rebondissements. Intégrez la famille Bennett, et croisez le regard sombre de Kai dans cette romance à suspense étourdissante. Un petit bijou ! Avis 5 étoiles goodreads "Ce roman, c'est le grand 8 des émotions du début jusqu'à la fin. Et il a tout ce qu'il faut : suspense et passion". "Ce roman mériterait 100 étoiles ! Je l'ai adoré, je ne pouvais plus le lâcher ! "

01/2023

ActuaLitté

Coloriage, gommettes et autoco

Les pierres précieuses

A la découverte des pierres précieuses, ces minéraux parfois millénaires des profondeurs de la Terre Les minéraux sont présents tout autour de nous. Les roches sont un mélange de minéraux. Certains de ces mélanges sont très communs, et d'autres beaucoup plus rares. Ce sont eux qui forment les pierres précieuses, grâce aux mouvements et à la fusion sous la croûte terrestre. Certaines pierres précieuses étaient déjà connues il y a 7 000 ans. A l'époque, il fallait les chercher sur le flanc d'une roche, et les trier à la main. Aujourd'hui, les pierres précieuses sont récoltées dans des mines industrielles ou artisanales. Chaque pierre est classée en fonction de ses qualités. Ensuite, elle peut être taillée et devenir un bijou grâce au sertissage. Certaines pierres sont des trésors chargés d'histoire ! Un livre documentaire interactif et ludique sur les pierres précieuses Une mine d'or pour apprendre le vocabulaire du thème et tout savoir sur ces cailloux qui fascinent les enfants. Un petit documentaire ludique et interactif qui permet d'en connaître plus sur la thématique en collant et en s'amusant... L'enfant apprend en positionnant des stickers aux bons endroits. Un format pratique, léger et facilement transportable, avec des autocollants Une quarantaine d'autocollants à coller dans un livre qui s'emporte partout, et à tout petit prix. Parfait pour occuper les enfants dans les transports, en vacances ou le week-end !

09/2023

ActuaLitté

Littérature française

La Faculté des Idées Noires. La Faculté des Idées Noires

Avoir eu une enfance déprimante dans un village minier ne lui a pas suffi. Pat Poe veut toucher le fond, connaître les affres du doute et du désespoir, explorer la face obscure de l'humanité. Ne lui reste donc qu'une seule option : aller directement à la FIN, autrement dit la Faculté des Idées Noires, cette prestigieuse institution dans laquelle des étudiants en provenance des quatre coins du pays peuvent littéralement se vautrer dans le malheur. Jusqu'à l'issue fatale, dans le meilleur des cas. Mais s'il y a bien une chose à laquelle Pat Poe ne s'attendait pas, c'était de vivre une véritable aventure digne des plus grands héros, lui qui cherchait seulement un endroit où se lamenter en paix. Disons-le, jamais cadavre exquis n'aura si bien porté son nom ! Car non seulement cette oeuvre collective, écrite à vingt-six mains et dans les règles de l'art, est de la plus exquise noirceur, mais qui plus est, elle foisonne de cadavres en tout genre, des plus déjantés aux plus inquiétants. Le tout illustré avec brio par Francis Malvesin et servi dans une ambiance lugubre en diable. Amateurs d'humour noir et de littératures atypiques, ce petit bijou de causticité est fait pour vous ! 13 auteurs : Sarigan, Marge Nantel, Paladine Saint-Hilaire, Sylvie Arnoux, Bruno Pochesci, Gwen Geddes, Louise Roullier, Emmanuel Quentin, Thomas Fouchault, Luce Basseterre, Arnauld Pontier, Aurélie Mendonça et Nicolas Le Breton.

10/2021

ActuaLitté

Littérature française

L'odyssée de Jean Malak

En 2004, dans le cadre d'un programme mené par le National Geographic en Méditerranée, Jean Malak et ses amis, Abdel Latif et Majid, eux aussi étudiants en archéologie à l'université américaine de Beyrouth, se soumettent à un test ADN pour connaître leurs origines. Ils sont tous les trois de confession différente et le résultat des tests va encore élargir le fossé. D'autant que l'amitié entre Abdel Latif et Majid est compromise par des différends d'ordre politique et personnel... Grâce à la belle Chams, chercheuse en médecine, Jean obtient, à l'été, un poste de volontaire sur un site de fouilles dans sa ville natale, Byblos, le berceau de l'alphabet. La directrice, Eléni, archéologue crétoise, d'abord distante, se rapproche peu à peu du jeune homme. Ensemble, ils ne tardent pas à découvrir une bague en or, source d'une grande inquiétude pour Jean : Eléni pourrait se servit du bijou pour remettre en cause l'histoire de la Phénicie. Jean en est presque inconsolable... Cette découverte est bientôt balayée par le souffle de l'Histoire. Le 14 février 2005, à Beyrouth, l'ex-Premier ministre Rafic Hariri est assassiné lors d'un attentat. Face à la violence, Jean et ses amis découvrent que le passé ne fait pas toujours l'histoire et qu'ils devront désormais affronter leur destin en restant fidèles à leurs racines. C'est le début, pour Jean Malak, d'une nouvelle odyssée...

11/2018

ActuaLitté

Science-fiction

A l'heure où je succombe

Ils pensaient passer quelques jours loin du monde et des ennuis, mais ils vont devoir faire face au passé... et à bien plus. Apparitions inquiétantes, disparitions inexpliquées et phénomènes étranges vont les pousser à revoir leurs certitudes. Peu à peu, la forêt se referme sur eux, jusqu'à délivrer son terrible secret... Entre nostalgie et angoisse, un retour aux sources qui s'avère bien plus dangereux qu'il n'y paraît. Initialement paru sous le titre "La seconde mort de Camille Millien" (éditions Le Panier d'Orties, 2009) puis au sein du recueil " Le destin des morts " (éditions Lokomodo, 2012), "A l'heure où je succombe" vous entraînera au coeur du Morvan légendaire et mystérieux. Terre des druides et des brumes, des non-dits et des taiseux, des vivants et des morts... Ne dit-on pas, à son sujet, qu'il ne vient de ces terres-là "ni bon vent, ni bonnes gens" ? Voici venu le temps de le vérifier. Jean-Pierre Favard, Prix Masterton 2018 pour son roman "La nuit de la Vouivre" (éditions La Clef d'Argent, 2017) aime à mêler Histoire et fiction, réalité et imaginaire. Ce roman ne fait pas exception à la règle. "Entre légendes locales, souvenirs douloureux et événements mystérieux, l'auteur nous entraîne dans un récit passionnant. Autant le savoir, une fois que vous l'aurez commencé, vous ne pourrez plus le lâcher ! C'est un véritable bijou !" (Phenixweb)

05/2018

ActuaLitté

Sociologie

La monnaie. Histoire et psychologie économique

Ce livre explore l'histoire de la monnaie et expose à travers l'oeuvre de Gabriel Tarde, sa définition, sa nature, son pouvoir, ainsi que les effets psychologiques du règne de la monnaie. "L'avènement de la monnaie a enrichi le coeur humain de sentiments nouveaux et de vices nouveaux. Nous lui devons l'orgueil financier, la béatitude spéciale du milliardaire appuyé sur son portefeuille, comme l'orgueil d'un capitaine se fonde sur son armée. Ce que le guerrier antique dit à sa lance et à son bouclier, dans une épigramme grecque : "Grâce à vous, je suis libre, j'ai des loisirs sans fin, je me fais servir par des esclaves" , le riche moderne peut le dire a son coffre fort. Le culte de l'or, cette passion qui a quelque chose de religieux par le caractère vaste et vague, indéterminé et illimité, des perspectives de bonheur que son objet lui fait entrevoir, est une fibre importante de l'âme humaine. Le plaisir d'économiser, de gagner de l'argent, est un enivrement tout spécial qui n'a rien de commun avec le simple avantage de recevoir un bien déterminé, un bijou, un meuble, un livre. Autre chose est le plaisir de manger un bon fruit, autre chose la satisfaction intime et profonde de sentir sa santé se fortifier. Il y a de l'un à l'autre la différence de l'actuel au virtuel, j'allais dire du fini à l'infini. ". .

03/2023

ActuaLitté

12 ans et +

Le dernier chant

Grenade, Espagne, 1491. Isabel de Cardosa va avoir quinze ans. Fille d'un médecin très en vue à la cour royale, elle sera bientôt en âge de se marier et est promise à un avenir radieux. Ses parents ont d'ailleurs toujours voulu son bien. Or les voilà qui insistent soudain pour qu'elle se fiance avec Luis de Carrera, un jeune homme grossier, violent, voire cruel. Pour marquer cet engagement, ils commandent un bijou précieux : une alouette d'or dans une cage d'argent. Mais cette union suffirait-elle à protéger Isabel et à assurer sa situation ? En Espagne à cette époque, l'Inquisition traque les Juifs et les conversos, ceux qui se sont convertis récemment au christianisme. Sous la conduite de l'effroyable Torquemada, les officiers catholiques emprisonnent des gens, brûlent des livres, sèment la terreur. Isabel comprend que la cage risque de se refermer sur elle et sur sa famille. Comment y échapper ? Confrontées à la violence et au racisme (Le pantin), à l'exil (Si loin de chez soi), les jeunes héroïnes des romans d'Eva Wiseman ne baissent jamais les bras. Il en va de même pour Isabel, la jeune héroïne du Dernier chant, prise dans les tourments de l'Inquisition dans l'Espagne du XVe siècle. Des personnages féminins optimistes qui ressemblent beaucoup à Eva Wiseman, qui, à douze ans, a fui la Hongrie pour le Canada avec sa famille.

04/2015

ActuaLitté

Littérature anglo-saxonne

La maison Golden

#SalmanRushdie – Le jour de l'investiture de Barack Obama, un énigmatique millionnaire venu d'un lointain Orient prend ses quartiers dans le bijou architectural des "Jardins", une communauté préservée nichée au coeur de Greenwich Village, à New York. Flanqué d'une jeune maîtresse russe, la sulfureuse Vasilisa, Néron Golden est accompagné de ses trois fils adultes, aussi brillants que névrosés : Petronius, dit Petya, l'agoraphobe génie de l'informatique, Lucius Apuleius, dit Apu, l'artiste mystique, et Dionysos, dit D., l'indéfini sexuel.

Parmi les demeures qui ceignent les Jardins se trouve celle de René Unterlinden, jeune cinéaste putatif, traumatisé par la récente disparition de ses parents dans un accident. Quand les Golden emménagent, René, comprenant que ces fascinants nouveaux voisins seront son remède et sa muse, fait leur connaissance, devient leur familier et calque l'écriture du scénario de son film sur les événements qui secouent cette maisonnée dont bien des secrets, passés, présents et futurs, lui échappent encore. Le passé ? C'est l'Inde que Néron Golden a fuie mais qui va les rattraper, lui et les siens. Le présent, ce sont les huit années du mandat Obama, l'Amérique des grandes espérances de 2008 et leur progressive dégradation, tandis qu'en embuscade un Joker aux cheveux teints s'apprête à accéder au pouvoir... L'avenir, c'est celui, obscur, d'un monde contemporain livré au doute, mais dont l'éblouissante imagination de Salman Rushdie transcende les peurs, les rêves et les égarements.

08/2018

ActuaLitté

Lecture 6-9 ans

La scène aux ados. Tome 1

Les 15 volumes disponibles de La scène aux ados regroupent une centaine de pièces originales d'environ 30 minutes, jouables notamment par des groupes d'adolescents et de jeunes adultes. Ils favorisent aussi le plaisir de lire le théâtre à l'école. Certaines pièces (convenant à tous les comédiens et publics) ont par ailleurs, adaptées ou non, fait l'objet de créations amateures et professionnelles. Le présent volume vous propose : La chorale (Jean-Paul Alègre) – La répétition générale d'une chorale ; personne n'y met beaucoup de bonne volonté. Entre Alain qui descend dans la salle saluer ses parents, Gavroche qui dort sur un canapé dans les coulisses et Inès qui a largué Benoît pour Claudius... pas facile d'être une jeune chef ! Le rapport des enfants sur l'état du monde (Stanislas Cotton) – Quand les enfants se mettent à parler du monde qui les entoure, les adultes en prennent pour leur compte. Lucilfée, Mélibée, Alcidias, Siméon et leurs compagnons mettent pourtant tous les espoirs dans ce rapport s'il en est fait bon usage. Ca vous dit ? (Eric Durnez) – Tatiana et Michaël, deux adolescents jusque-là sans problème, ont décidé de ne plus parler. Parents, enseignants, psychologues, amis essaient désespérément de les faire parler mais les deux jeunes restent plongés dans leur mutisme... pire : ils font des émules. Par les temps qui courent (Sylvain Levey) – Une succession de monologues et dialogues sur les petits et gros problèmes vécus au quotidien par les jeunes... et les adultes. Traitées avec humour et émotion, ces courtes scènes devront être intégrées dans une dramaturgie originale à inventer. La dégradation des communs (Pierre Lorquet) – Les Colombes et les Natifs vivent respectivement dans les tours et dans les premières maisons du quartier. La tension est à son comble entre les deux gangs lorsque Edouard, pyromane sorti de prison, entreprend de se venger. La romance de Neige et Alexandre changera-t-elle le cours des choses ? Rue des Oubliettes (Francis Parisot) – Gontran, qui a fait une grosse bêtise, rend visite au "marchand de souvenirs" qui échange un mauvais souvenir contre un bon. Une aubaine... mais chaque médaille a son revers et le mauvais côté de l'échange ne tarde pas à apparaître.

11/2019

ActuaLitté

Théâtre

L'ACCENT GRAVE ET L'ACCENT AIGU, POEMES 1976-1983. Formeries, Comme ceci comme cela, Les tours de Trébizonde

Mon théâtre secret Le lieu où je me retire à part moi (quand je m'absente en société et qu'on me cherche, je suis là) est un théâtre en plein vent peuplé d'une multitude, d'où sortent, comme l'écume au bout des vagues, le murmure entrecoupé de la parole, les cris, les rires, les remous, les tempêtes, le contrecoup des secousses planétaires et les splendeurs irritées de la musique. Ce théâtre, que je parcours secrètement depuis mes plus jeunes années sans en atteindre les frontières, a deux faces inséparables mais opposées, bref un "endroit" et un "envers", pareils à ceux d'une médaille ou d'un miroir. De ce côté-ci, voyez comme il imite, à la perfection, l'inébranlable majesté des monuments : il semble que je puisse compter toutes les pierres, caresser de mes mains le glacis du marbre, les fractures des colonnes, la porosité du travertin... Mais, attendez : si je fais le tour du décor (quelques pas me suffisent), alors, de l'autre côté de ces apparences pesantes, de ces voûtes et de ces murailles, mon regard tout à coup n'aperçoit plus que des structures fragiles, des bâtis provisoires et partout, dans les courants d'air et la pénombre poussiéreuse, auprès des câbles électriques entrelacés et des planches mal jointes, la toile rude et pauvre, clouée sur des châssis légers. Telle est la loi de mon théâtre : à l'endroit, les villes et les paysages, la terre et le ciel, tout est peint, simulé à merveille. A l'envers, l'artisan de ce monde illusoire est soudain démasqué, car son ouvre, si ingénieuse soit-elle, révèle, par transparence, la misère des matériaux qui lui ont servi à édifier ses innombrables "trompe-l'oeil" . (Souvent je l'ai vu qui gémissait, le pinceau à la main, mêlant ses larmes à des couleurs joyeuses.) Pourtant, bien que je sois dans la confidence, je ne saurais dire où est le Vrai, car l'envers et l'endroit sont tous deux les enfants du réel, énigme qui me cerne de toutes parts pour m'enchanter et pour me perdre.

10/1986

ActuaLitté

Communication - Médias

Les nouvelles routes de notre servitude. Aliénation, normalisation, soumission

Internet, les réseaux sociaux et la multitude d'applications disponibles ont radicalement bouleversé notre rapport au réel. Nous sommes comme envoûtés par les promesses qu'ils portent et les possibilités infinies qu'ils ouvrent ; mais aussi sous leur dépendance, tant ces dispositifs se sont immiscés dans notre quotidien. Sur ce monde nouveau, beaucoup a été dit et écrit, tour à tour pour s'en émerveiller, s'en émouvoir ou s'en inquiéter. Cet essai propose une autre voie : le propos n'est pas de dénigrer la révolution numérique que nous vivons - aussi capitale que l'a été hier la Révolution industrielle- ni le progrès technique, manifestation du génie humain, mais de questionner la multiplication des contrôles que ces nouvelles technologies imposent déjà à nos vies, dans tous ses aspects, à notre insu souvent, de la part des Etats comme des géants de la Tech. Miroir du nombrilisme individuel et refuge des revendications communautaires, internet alimente les fractures sociales tout en promouvant un conformisme normalisateur sous la contrainte de minorités galvanisées par des calculs algorithmiques qui les persuade d'incarner la nouvelle doxa. Prenons garde de ne pas " offrir au peuple en masse l'holocauste du peuple en détail " (Benjamin Constant). Quand l'outil de connaissance devient outil de surveillance et de contrôle, quand on veut faire des valeurs (propres à chaque individu ou chaque groupe) des normes (règles que tous doivent respecter), la pensée et la pratique totalitaires ne sont pas loin. Car même ce qui nous est présenté comme le recours à la dépendance aux Big Tech, à savoir la prise en charge par la puissance publique, est un risque majeur pour nos libertés, comme le montre la dérive chinoise longuement développée ici : deux faces de la même médaille de la sujétion (pile l'Etat gagne, face l'internaute perd). Ce sont ces nouvelles routes de la servitude volontaire que dévoile ici l'auteur en trois parties : aliénation, normalisation, soumission. Parce que la liberté est le bien le plus précieux, surtout pour ceux qui en sont privés, c'est pour la défendre et la restaurer que ce livre a été écrit. Comme le disait Victor Hugo " Sauvons la liberté, elle s'occupera du reste ! " .

11/2022

ActuaLitté

Correspondance

Lettres à Milton Hindus (1947-1949)

"Je ne crée rien à vrai dire - Je nettoye une sorte de médaille cachée, une statue enfouie dans la glaise - Tout existe déjà c'est mon impression - Lorsque tout est bien nettoyé, propre, net - alors le livre est fini. Le ménage est fait - On sculpte, il faut seulement nettoyer, déblayer autour - faire venir au jour crû - avoir la force c'est une question de force - forcer le rêve dans la réalité - une question ménagère - De soi, de ses propres plans il ne vient que des bêtises - Tout est fait hors de soi - dans les ondes je pense - Aucune vanité en tout ceci - C'est un labeur bien ouvrier - ouvrier dans les ondes". "Comment se fait-il que Céline, après quelques lettres amorçant cette correspondance, se livre en 1947 et 1948, avec finesse et précision, sur l'intimité de son travail stylistique, à un inconnu de la veille, Milton Hindus ? Nulle part ailleurs, avant les Entretiens avec le Professeur Y, nous ne rencontrons avec autant d'explications métaphoriques, soumise à des variations d'une rare beauté, un aussi magistral cours de littérature de la part de Céline. Bien entendu, Hindus étant juif et américain, il est un atout précieux dans le cercle restreint des soutiens de l'écrivain en exil, et Céline ne peut manquer de chercher à en tirer profit. Cela ne suffit pas cependant à expliquer le ton constamment confiant et patient sur lequel il répond, pendant plus d'un an, à son correspondant, ni surtout les remarquables confessions de l'artiste au travail. Confiance, patience et confession qui ne résisteront pas à la visite de Milton Hindus à l'exilé : le jeune universitaire, après avoir rendu tant de bons offices, dont le principal est d'avoir été à l'origine de cette correspondance, retourne sa veste en même temps qu'il regagne les Etats-Unis et quitte le domaine de la littérature pour écrire un terrible pamphlet, sous forme d'impressions de voyage au Danemark. Cette édition, qui compte 97 lettres (dont 13 partiellement ou totalement inconnues) et de nombreux documents inédits, donne des rapports entre Céline et Hindus une image neuve". Jean Paul Louis.

02/2012

ActuaLitté

Littérature française

Les loups de Marvejols

Un Noël blanc au cour du mystérieux Gévaudan, ce n'est pas forcément une fête tranquille !Une famille bourgeoise, un foyer de jeunes délinquants comme voisins et un parc de loups à proximité... Ingrédients inhabituels, voire incongrus, d'une histoire de Noël pas comme les autres ! Un enfant à l'imagination galopante fasciné par les loups, un adolescent venu des banlieues qui brûlent. Leur rencontre, explosive... Et voici le récit d'une cavale éperdue de deux enfants rêveurs ! Mais c'est aussi le choc de leurs espoirs contre le monde implacable des adultes, l'incommunicabilité des êtres que tout sépare, même les mots, et le regard incisif sur des personnages à l'apparence trompeuse qui se révèlent dans leur vérité face au drame. La question se pose : qui sont véritablement les Loups de Marvejols ?Avec son cinquième roman, Monique Le Dantec nous transporte dans un merveilleux voyage initiatique aux allures de course folleEXTRAIT- Promis, nous irons voir les loups de Marvejols !Disant cela, Marion se tourna vers son fils, le gratifiant d'un beau sourire. Quand elle souriait, ce qui lui arrivait rarement depuis quelque temps, ses yeux s'étiraient vers les tempes, se fendaient sous son front large et lisse et devenaient une fenêtre qui s'ouvrait sur la nuit. Son regard sombre laissa passer une lueur d'étincelante et de coléreuse intensité, mais adoucie, tandis qu'elle s'adressait à Mattéo. S'orientant ensuite vers l'homme qui conduisait à ses côtés, il reprit son aspect habituel, âpre et obstiné. A PROPOS DE L'AUTEURMonique Le Dantec, membre de l'Académie ARTS-SCIENCES-LETTRES (médaille Argent 2013), est née en 1945 à Paris, berceau de sa famille depuis plusieurs générations. C'est d'ailleurs dans la capitale que ses premiers romans prennent leur source. Mais c'est vers 1995 qu'elle s'installe réellement dans l'écriture. Si elle privilégie les intrigues où le fantastique se mêle au quotidien, où l'imaginaire fait la part belle au futur et à l'anticipation, elle sait aussi, pour certaines ouvres, rester dans l'air du temps, et s'appuyer sur un simple fait divers pour le transformer en un thriller inquiétant.

06/2014

ActuaLitté

Religion

Histoire des filles de la charité XVIIe-XVIIIe siècle. La rue pour cloître

    Les Filles de la Charité sont aujourd’hui la principale congrégation féminine hospitalière et enseignante avec vingt mille sœurs dans près de cent pays. Des clairs-obscurs de la photographie des années 1950 aux jubilatoires cornettes au vent des 2 CV de Louis de Funès, de la piété chatoyante des deux millions de fidèles qui défilent chaque année dans la chapelle de la médaille miraculeuse rue du Bac aux iconoclastes défilés de mode qui réinventent leur coiffe, qui ne connaît les célèbres sœurs de Saint-Vincent-de-Paul ?    Leur histoire n’a pourtant jamais été écrite. L’ouverture des archives privées de la Compagnie, croisées avec les archives publiques, a enfin permis d’y remédier.    Fruit d’un travail de plusieurs années, ce premier volume court de la fondation par Vincent de Paul et Louise de Marillac d’une confrérie de bonnes filles au service des pauvres, nourrie par la spiritualité de l’imitation de Jésus-Christ propre à l’« École française », à la suppression des sœurs par la Révolution. Au croisement de l’histoire des femmes et de l’histoire religieuse, cette étude montre combien les Filles de la Charité contribuent à la reconnaissance d’un statut inédit et ambigu dans la société post-tridentine : ni religieuses ni mariées, mais « séculières ». Assurément, la Compagnie a offert un cadre favorable à bien des femmes trempées pour des destins hors normes, conduisant de petites paysannes à la Cour, des cœurs intrépides en Pologne, des âmes généreuses au « martyre de la charité » dans des villes décimées par la peste.    À l’heure du 350e anniversaire de la mort des fondateurs (1660), cet ouvrage permet de redécouvrir la figure méconnue de Louise de Marillac et met en lumière une œuvre constamment replacée dans son contexte religieux, social et politique. Essai d’histoire totale d’une congrégation religieuse, il éclaire ainsi l’histoire de l’ancienne France, de ses splendeurs aussi bien que de ses misères.    Matthieu Brejon de Lavergnée est agrégé et docteur en histoire. Ancien pensionnaire de la Fondation Thiers, il s’attache à une histoire de la philanthropie en Europe.

04/2011

ActuaLitté

Musique, danse

Chronique des Rolling Stones

Janvier 1963 : Charlie Watts rejoint Mick Jagger, Brian Jones, Keith Richards et Bill Wyman. Mars : les Rolling Stones sont engagés au Crawdaddy de Richmond. 7 juin 1963 : ils sortent leur premier single, Corne On et I Want To Be Loved. La plus passionnante saga musicale du XXe siècle peut commencer. Depuis un demi-siècle, les Rolling Stones enchaînent les albums et les concerts, et font monter le taux d'adrénaline de millions de fans à travers le monde. Ils surfent sur les modes, en créent d'autres, puis s'en détachent pour mieux s'en moquer. "Ceux qui ont mal grandi" ont aujourd'hui été élevés au rang d'institution. Ils sont l'avers et le revers d'une médaille ciselée dans le rock. Depuis un demi-siècle, ils sont les acteurs d'un monde qu'ils ont largement contribué à façonner. Il y a une musique Rolling Stones. Une attitude Rolling Stones. Un univers Rolling Stones. Chronique des Rolling Stones célèbre le plus grand groupe de l'histoire du rock. Depuis la naissance de Brian Jones en 1942, celle de Mick Jagger et de Keith Richards en 1943, jusqu'au concert surprise du Trabendo à Paris et aux grands-messes de Londres et de Newark en décembre 2012, cet ouvrage retrace les événements les plus marquants du parcours des Stones. On plonge au coeur de la création avec un focus sur les albums mythiques Beggars Banquet, Sticky Fingers et Exile On Main Street, au coeur du mystère avec la mort de Brian Jones, au coeur du scandale avec les procès à répétition de Keith, Mick et Brian, au coeur de la démesure avec les tournées "STP" (1972) et "A Bigger Bang" (2005-2007). Dans le même temps, Chronique des Rolling Stones fait revivre l'extraordinaire épopée de la musique rock ; des Beatles à Bob Dylan, de Pink Floyd à Jimi Hendrix, mais encore l'esprit d'avant-garde qui a régné pendant cette décennie. Cinéma, mode, design, c'est d'un retour flamboyant à l'âge d'or de l'explosion pop qu'il s'agit. Chronique des Rolling Stones ou le mythe Rolling Stones.

06/2013

ActuaLitté

Beaux arts

Emile Guillaume (1867-1954). Le sculpteur de la 3e République

Sculpteur célèbre et reconnu, titulaire de nombreuses récompenses, souvent encensé par la critique, parfois éreinté par ses adversaires, Emile GUILLAUME participa avec passion à la vie artistique, intellectuelle et politique de la Troisième république. Au travers de son œuvre, il célébra ses artistes, ses poètes, ses grandes figures politiques et ses grands évènements. Il en partagea aussi les heures de gloire, les joies, les épreuves, les illusions et les désillusions jusqu’au naufrage final de 1940. C’est donc à une promenade dans le passé à laquelle vous convie l’auteur, à la rencontre d’évènements ou de personnages souvent oubliés, mais oh combien étonnants ! Au fil des pages, le lecteur verra toute une époque ressusciter. Il partira à la rencontre de Mlle Guilly d’HERMEMONT, créatrice de la Canne blanche, de François MERCIER, l’industriel philanthrope, ou du surprenant marquis de Chaumont-Quitry, héros de deux guerres. Il revivra la fin tragique du poète Catulle MENDES ou des marins du Pluviôse, la vie mouvementée de la statue de la Délivrance, le combat d’Emile GUILLAUME en faveur de la réconciliation européenne. Enfin, le lecteur suivra les pas du sculpteur en Tunisie, en Grande-Bretagne, en Hongrie, et au Brésil où il participa à la décoration du Palacio das Laranreijas à Rio de Janeiro considéré comme le Versailles brésilien. Elève de l’Ecole supérieure des Arts décoratifs puis des Beaux-Arts, Emile GUILLAUME participa à trente-six reprises au Salon des Artistes français dont il reçut la médaille d’Or en 1924. Grand prix de l’Exposition internationale des Arts décoratifs de Paris en 1925, il est considéré comme «le plus grand sculpteur français contemporain» par la presse anglo-saxonne qui lui consacra de nombreux articles. Entre 1890 et 1940, il réalisa plus d’une centaine d’œuvres dont les plus célèbres sont la statue de la Délivrance ainsi que les monuments d’hommage à son ami Aristide BRIAND. Partisan de la réconciliation des nations européennes après l’hécatombe de la Première guerre mondiale, Emile GUILLAUME fut aussi un grand humaniste et un féministe avant l’heure. Aujourd’hui, grâce à cette biographie, son œuvre retrouve toute sa modernité et son actualité.

10/2020

ActuaLitté

Photographie

Helmut Newton. Magnifier le désastre

On reconnaît immédiatement une photographie d'Helmut Newton. Comme s'il avait inventé un monde, le sien, à nul autre pareil, et une écriture photographique singulière, totalement maîtrisée, apollinienne, presque froide. Et, de Newton, l'imaginaire collectif a retenu une iconographie triomphante, solaire, faite de femmes en gloire, athlétiques, puissantes et désirantes, d'un érotisme glacé, de piscines californiennes à la David Hockney, de palaces fastueux, de fourrures et de bijoux. Bref, le monde des riches. Mais on sait moins le versant obscur, dionysiaque de l'oeuvre : la satire des riches et des puissants, l'élaboration d'un érotisme des ténèbres, où se jouent rituels SM, minerves, prothèses, enserrements du corps, et qui ouvre l'apollinisme apparent des images à la blessure dionysiaque. Jusqu'à la mise en scène des " doubles " à l'inquiétante étrangeté freudienne, des " écorchés ", des vrais-faux cadavres, des meurtres. Jusqu'à la cruelle lucidité, enfin, de son regard sur le vieillissement des corps - y compris le sien, qui fut confronté à la maladie. Surtout, et d'autant plus qu'il en a très peu parlé et s'est toujours refusé à en faire son fonds de commerce, on ignore que le jeune Helmut est d'abord un Juif berlinois rescapé de l'extermination nazie, dont la vie a sans cesse rejoué la figure mythique du Juif errant et qui trouva dans Paris, sa ville d'élection, le lieu où s'enraciner enfin, après Singapour, l'Australie, Londres et Los Angeles. Et c'est précisément à l'aune de cette judéité, jamais revendiquée comme telle mais douloureuse, que l'auteur a voulu réexaminer le corpus newtonien : en témoignent ces corps de femmes puissantes qui s'avèrent la réplique du corps aryen glorifié par le nazisme, le fétichisme des uniformes, du cuir et des casques, la présence obsédante des chiens, ou encore les portraits de Léni Riefensthal, l'égérie du Troisième Reich. Mais, de ce désastre " germanique ", Newton n'aura jamais fait la plainte amère ou rageuse : il a choisi, tout au contraire, de le magnifier. Premier essai consacré à l'oeuvre du photographe Helmut Newton.

09/2019

ActuaLitté

Histoire de France

La Suède & Les Lumières. Lettres de France d'un ambassadeur à son Roi

Gustav Philip, comte de Creutz (1731-1785), a 35 ans lorsqu'il est nommé ambassadeur de Suède en France par le futur Gustave III de Suède. Il occupera cette fonction pendant dix- sept ans, se dépensant, et dépensant, sans compter pour mener à bien sa mission et représenter dignement son roi. Poète réputé, diplomate habile, honnête homme épris d'art et de musique, il devient rapidement une personnalité fort appréciée, une de celles qui "donnent le ton" et que l'on reçoit partout. Il fréquente les salons à la mode, connaît fort bien les philosophes, est très lié avec le cercle de Choiseul et courtise Madame du Barry, ce qui lui attire l'estime de Louis XV. Il tient table ouverte en son hôtel de Bonnac, joue aux échecs avec Marie-Antoinette et c'est lui qui présente le séduisant Axel von Fersen à la jeune reine. De son ambassade, le comte de Creutz laisse une correspondance en français aussi importante en qualité qu'en volume. Ces lettres, adressées en premier lieu à Gustave III mais aussi à Cari Fredrik et à Ulric Scheffer, retracent avec verve et minutie dix-sept an-nées de la petite et de la grande Histoire, des intrigues de Versailles à la guerre d'Indépendance américaine. Tout naturellement, la mission diplomatique de Creutz occupe dans cette correspondance une place importante, mais aussi la culture et les moeurs françaises. Gustave III, francophile passionné, souhaite être tenu informé de tout ce qui se déroule à la cour de France, dans les salons et dans la république des Lettres. Si Creutz dresse des portraits remarquables de la famille royale et de la Cour, il ne laisse rien non plus ignorer à son roi des questions protocolaires, des détails parisiens, des caprices de la mode. Il exécute de même avec zèle les mille et une tâches que Gustave III lui confie. Il envoie en Suède des tableaux, des tapis, des meubles, des gravures, de l'argenterie, des bijoux, des caisses de vin ou encore les nouveautés littéraires. Creutz donne ainsi de la culture française et des relations franco-suédoises une image tout à la fois complexe et vivante. Sa correspondance fait de lui le témoin irremplaçable de l'Ancien Régime.

01/2012