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Célestin Coomlan Avocan

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Aventure

Lucky Luke Tome 29 : L'amnésie des Dalton. Opé l'été BD 2022

Les Dalton creusent un tunnel pour s'évader mais Averell tient le plan à l'envers de sorte qu'ils se retrouvent dans la cellule de leur voisin Burns. Là ils entendent la discussion du gardien et de l'avocat de Burns. Ce dernier annonce à Burns qu'en raison de son amnésie, due au rocher qu'il avait reçu sur la tête, il est libéré. Les Dalton retournent alors dans leur cellule et Joe explique à ses frères qu'ils doivent faire semblant d'être amnésiques. Ils font alors sauter la prison à la dynamite et les pierres qu'ils reçoivent alors sur la tête leur servent de prétexte pour prétendre qu'ils sont amnésiques et c'est ainsi qu'ils sont libérés sous la bonne garde de L. L. qui est chargé de leur faire retrouver la mémoire. Rantanplan également est devenu amnésique et se prend alors pour un chat. L. L. , muni d'un mandat du gouverneur amène alors les Dalton dans une banque espérant qu'ainsi les Dalton retrouveront la mémoire, mais ceux-ci ne bougent pas. Le lendemain L. L. donne son revolver, déchargé à Joe pensant qu'en manipulant cet engin il se souviendra de sa vie antérieur. Seulement Joe avait caché une balle dans ses vêtements et tire sur L. L. c'est à ce moment que Rantanplan qui se prend toujours pour un chat fait tomber Joe qui rate sa cible. L. L. essaie alors par tous les moyen de leur faire revenir la mémoire. Pour Joe il pose son revolver devant lui, pour Averell il remplit les armoires de vivres, il va même jusqu'à attaquer une diligence avec eux, mais rien n'y fait. C'est Jack qui craque le premier car il vole les couvert du restaurant. L. L. le découvre et le ligote. L. L. leur fait alors mettre des troncs d'arbres à travers les rails pour attaquer le train. Les frères Dalton doivent détrousser les passagers pour ensuite leur rendre l butin. Quand ils ont rendu les objets il manque le portefeuille du gouverneur, c'est William qui l'avait gardé. Le deuxième frère est donc démasqué et L. L. le ligote également. L. L. leur fait alors la surprise d'aller rendre visite à leur mère qui est heureuse de retrouver son chérie Averell. Les Dalton expliquent le problème à leur mère et elle conseille à L. L. d'aller attaquer la banque de keepsake City car c'est là que leur père leur avait appris les rudiments du métier. L. L. , comme d'habitude tend au banquier la lettre du gouverneur expliquant le pourquoi de sa démarche, seulement Mme Dalton a remplacé la lettre du gouverneur par une autre disant qu'il était un bandit et qu'il allait tuer les otages. Le banquier appelle alors le shérif qui met L. L. en prison et libère les Dalton. Les Dalton, invité à la réception du maire oblige celui-ci à démissionner pour complicité avec le bandit L. L. et le maire se trouve en prison avec L. L. Le shérif avertit Washington de l'arrestation de L. L. Les Dalton organisent alors le procès de L. L. pour le condamner à mort. C'est Averell qui sera l'avocat de L. L. et le jury se compose de gens pas très recommandables. Joe, président du tribunal condamne L. L. à mort mais c'est Averell à qui L. L. a eu le temps d'expliquer sa plaidoirie, et qui, tout fier de son rôle, gaffe en déclarant que c'est les frères Dalton les responsables de cette machination. Joe risque de faire une crise et se jette sur Averell. L. L. en profite pour désarmer les frères Dalton et de dissiper les doutes. Les Dalton se retrouvent en prison en train de casser les cailloux et dans sa colère Joe fait tomber une pierre sur la tête de Rantanplan qui retrouve la mémoire.

06/2022

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Faits de société

La réparation volontaire

Corinne Tanay perd sa fille Emilie en 1994, dans des circonstances qui bouleversent toute la France. Emilie a neuf ans, elle est belle, vive, joueuse : elle s'effondre ce jour-là, empoisonnée au cyanure qu'une main a versé dans son flacon d'antibiotique, la Josacine. Terrassée par le deuil, sa mère découvre la dureté du système judiciaire français mais aussi la folie médiatique. Depuis cette date, elle n'a cessé de se battre, d'écrire, de tenir dans la vie. Elle travaille sans relâche sur le deuil, aidée par de belles personnes, comme son premier avocat Roger Merle, mais aussi soutenue et transformée par les lectures, les voyages - et par les pensées pour sa fille. Le temps passe : après douze ans derrière les barreaux, Jean-Marc Deperrois sort de prison et refait sa vie, lui qui n'a cessé de clamer son innocence. Corinne Tanay, elle, entame une démarche dite de " réparation volontaire ", très rare en France et novatrice. Epaulée par un psychiatre et criminologue réputé, elle décide de partir à la rencontre de Deperrois, et d'avoir de longs entretiens avec lui. Mais comment se parler, et avec quels mots ? Peut-on se saluer ? Et même se serrer la main ? Y a-t-il un chemin d'humanité possible entre ces deux êtres, que la mort et la vie ont liés de façon atroce et irréductible ? Corinne Tanay raconte : Emilie, son mari, son fils, né plus tard, son chemin moral et spirituel, leur combat pour continuer à vivre, ces heures à parler avec celui qui fut condamné, la question de la vérité et du temps. Un projet d'une rare intensité, plein d'intelligence et d'espoir. Une leçon.

11/2019

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Droit

Empreintes d'histoire, 50 chroniques historiques, judiciaires, drôles et tragiques

Tel est le message rédigé par l'ancien bâtonnier de l'Ordre des avocats de Paris, fidèle lecteur du Journal Spécial des Sociétés lorsqu'il a appris que le tome 2 d'Empreintes d'histoire allait révéler cinquante nouvelles chroniques d'Etienne Madranges. Celui-ci, avocat, ancien magistrat, qui a longtemps enseigné, qui a dirigé une administration centrale et présidé des associations nationales et des institutions internationales, voyage beaucoup et prend des milliers de photos dans les lieux historiques qu'il aime faire découvrir dans ses ouvrages ou lors de ses nombreuses conférences. Le succès rencontré par la publication des cinquante premières chroniques ne pouvait qu'inciter à la publication de ce second tome. Vous y découvrirez des anecdotes inconnues, y apprendrez notamment que le mouchoir rouge de Cholet était blanc à l'origine, que Jeanne d'Arc a ressuscité un enfant mort-né, que le cardinal de Rohan a fait réaliser un louis d'or avec Louis XVI portant deux cornes sur le front, qu'il y a une ville où la Bâtonnière n'a jamais été avocate, qu'un fils de procureur est devenu roi de deux Etats étrangers, qu'un loup surveille à Paris la cour des Invalides, que Racine a dénoncé la tribunalite, que Lavoisier a brûlé des diamants, que Louis XIV a épousé la fille d'un brigand, que la tour Eiffel a été vendue deux fois, que le legs du peintre Caillebotte a été en partie refusé par l'Etat, que les brigades du Tigre avaient bien du mal à suivre les bandits en auto, que Mirabeau était un redoutable séducteur, que Buffon était en procès avec un Baboin, et qu'un roi de France était surnommé Louis des Huîtres. Des histoires multiples, parfois incroyables, mais vraies, à déguster, un livre à savourer !

10/2019

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Poésie

Silence, Chavée, tu m'ennuies. 1031 aphorismes

La légende d'Achille Chavée ou le désormais légendaire Achille Chavée. Tout qui, dans sa généalogie possède un aïeul ou un ancêtre qui vécut dans la région du Centre au milieu du vingtième siècle a une anecdote à raconter à propos d'Achille Chavée, quitte à ce qu'elle frise la caricature... Que ce soit l'ombre titubante rejoignant son logis au terme d'une soirée arrosée ou le rebelle affectant des airs dédaigneux à l'égard de certains de ses contemporains ou l'avocat des causes impossibles adoptant parfois des attitudes jugées désinvoltes... Nombreuses sont les légendes qui circulent encore aujourd'hui au sujet du poète louviérois. L'homme ne laissait pas insensible. C'est dans ses différences que ceux qui l'ont détesté et ceux qui l'ont aimé sont allé chercher les causes de leur détestation ou de leur admiration. Rebelle, on l'a dit, mais aussi libre-penseur, agitateur, anarchiste ou communiste et même stalinien, bien loin de la pensée conventionnelle de son époque, l'homme était de tous les combats contre l'oppression et les oppresseurs, Chavée mourut alors que la reconnaissance de son talent poignait à l'horizon : André Miguel sortait le recueil qui lui était consacré dans la célèbre collection "Poète d'aujourd'hui" chez Seghers alors qu'il vivait ses derniers instants. 50 ans après son décès, nous avons voulu mettre en lumière une partie bien spécifique du travail d'Achille Chavée , ses aphorismes. Longtemps dans l'ombre de sa poésie, son art de manier la phrase fulgurante de force et de brièveté mérite qu'on s'y attarde. Le grand public tonnait une dizaine de ses sentences, mais au-delà de ces "classiques", nombreuses sont les productions aphoristiques que l'on peut désormais, grâce à cet ouvrage, savourer sans modération.

06/2019

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Histoire de France

Jacques Soustelle. L'ami d'Israël

"Les voisins d'Israël proclament ouvertement leur volonté d'anéantir ce jeune Etat qui subit le boycott et le blocus. Des fanatiques assassinent sur son sol et l'ONU fait semblant de ne rien voir. Lorsqu'elle émet un blâme, c'est contre Israël, coupable de se défendre" . Jacques Soustelle, percevant déjà l'antisémitisme derrière l'antisionisme, a écrit ces lignes en 1958, alors qu'il était président de l'Alliance France-Israël. Ces lignes, nous pourrions les croire écrites aujourd'hui. Il n'en est rien. Quittant l'Algérie en 1956, l'ancien gouverneur général revient en métropole. Aux Algérois venus en masse l'accompagner au port, Soustelle promet de continuer à se battre pour eux. Il le fera, et tentera de faire vivre son projet d'intégration. Mais il se battra aussi pour Israël, pour ce peuple qui s'est enraciné dans une terre travaillée de ses mains pour la première fois depuis deux millénaires. Jusqu'au bout, Jacques Soustelle défendra le droit à exister d'Israël. Il le fera à la tribune de l'Assemblée nationale, jusqu'en 1978, dans la presse et lors de toutes les occasions qu'il saura saisir. "Les recherches approfondies et étayées d'Alain Herbeth, les multiples révélations qu'il nous offre dans ce livre riche en détails humains inédits, permettent de mesurer de manière encore plus précise les liens affectifs et politiques qui unirent Jacques Soustelle et le mouvement sioniste, avant de se traduire en une amitié fidèle et sans faille à l'égard de l'Etat d'Israël et de son peuple, dont il (ce protestant cévenol) fut l'ardent défenseur jusqu'à sa mort". Charles Benfredj, avocat honoraire et ami de Jacques Soustelle.

01/2020

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Littérature française

Souvenirs de la Belle Epoque

Quand Madeleine Yeatman (1873-1955) a rédigé ces pages, elle cherchait à revivre les années heureuses d'une vie privilégiée. Née à Boulogne-sur-Mer où son père dirigeait la Banque Adam fondée par l'arrière-grand-père, elle restitue sa vie de petite fille choyée au sein d'une famille cultivée, décrivant la Côte d'Opale avec tendresse et amusement. Très tôt, elle vit les mois d'hiver à Paris avec ses parents, fréquentant les salons littéraires, artistiques et musicaux de la Belle Epoque. Tandis que sa mère s'intéresse aux peintres admis au Salon, son père visite les galeries présentant les artistes novateurs et invite Renoir à passer un mois chez lui, à Boulogne, pour faire les portraits de ses deux plus jeunes filles, dont le sien (illustration de couverture). Ayant épousé Léon Yeatman, fils d'un journaliste américain exilé à Paris, avocat, fort apprécié dans les salons les plus courus et déjà certain du génie de son ami Marcel Proust, elle rejoint le petit cercle entourant l'écrivain. Celui-ci s'invite volontiers chez eux en voisin, en pleine nuit, pour de longues conversations. Chez Mme de Caillavet, elle se lie avec Anatole France, assiste à la récitation par Anna de Noailles de son Hymne au soleil en présence de Jaurès qui ne dédaignait pas de fréquenter la bonne société. Elle invite Reynaldo Hahn à chanter chez elle ses mélodies, demande à son amie Marie Laurencin de faire le portrait de sa fille Sylvie. Avec drôlerie, d'une plume alerte, lucide et indulgente à la fois, elle brosse des portraits libres, souvent agrémentées d'anecdotes amusantes, des personnalités fréquentées pendant ces brillantes années. Ces souvenirs nous restituent le mode de vie disparu d'une société encore présente aujourd'hui par ses écrits, ses oeuvres, ses pensées et qui n'a pas cessé de faire rêver.

12/2018

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Sociologie

L'économie des singularités

Et si notre savoir nous aveuglait sur la réalité marchande ? Lorsque nous cherchons un bon roman, un bon film, vin, restaurant, médecin ou avocat, nous ne doutons pas que ces pratiques familières et répétées ne relèvent d'une connaissance sérieuse. Et, cependant, ces produits culturels, ces services professionnels personnalisés et, plus généralement, tous ces produits ici assimilés à des singularités, caractérisés par la valeur symbolique et par l'incertitude sur la qualité, restent étrangement indéterminés. Leur marché conserve tout son mystère. Telle est l'origine de l'économie des singularités. Comme système d'analyse, elle est organisée autour de deux principes généraux qu'impose le particularisme des marchés des singularités. D'une part, la nécessaire intervention, pour que l'échange puisse se former, des dispositifs de connaissance : les appellations, labels, marques, stars, marketing et promotion, critiques, prix littéraires ou cinématographiques, best-sellers, hit-parades ainsi que les réseaux. D'autre part, la primauté de la concurrence par les qualités sur la concurrence par les prix. La démarche s'oppose si frontalement à l'orthodoxie économique qu'elle appelle l'épreuve du réel. De là, des études concrètes qui portent aussi bien sur les dispositifs de connaissance, comme les guides (Michelin, Hachette, Parker), le Top 50 ou les réseaux, que sur les marchés : ceux des grands vins, par exemple, des films, des disques de variétés, des avocats et des médecins, des cours particuliers, des biens de luxe. L'économie des singularités ouvre ainsi la voie à une connaissance nouvelle. Elle rejoint aussi une des grandes inquiétudes anthropologiques du temps associée aux menaces qui pèseraient sur les singularités. Mais, loin du fantasme, elle dispose des outils d'analyse pour prendre la mesure de la réalité de cette évolution, la rendre intelligible et, par là, la soumettre à l'action humaine.

03/2007

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Religion

Saint Yves de Tréguier. Patron des Bretons, des avocats, magistrats, juristes et universitaires

Patron des Bretons, des avocats, magistrats, juristes et universitaires Le pardon de saint Yves, qui se déroule chaque année le troisième dimanche du mois de mai en souvenir de sa mort le 19 mai 1303, rassemble à Tréguier (Cötes d'Armor) plusieurs milliers de pèlerins. Vêtus de leurs robes, les avocats, magistrats, professeurs de droit et autres juristes, venant toujours plus nombreux de toutes les régions de France et de l'étranger, y participent pour fêter et honorer leur saint patron. Mais que savons-nous de la vie de saint Yves ? Si celui-ci n'a pas eu, à l'instar de saint Martin de Tours, son Sulpice Sévère, en revanche, les écrits du procès de canonisation (dont l'inquisition a débuté en 1330) sont parvenus avec bonheur jusqu'à nous. Toutefois, ils ne mettent en lumière que l'oeuvre chrétienne du prestigieux Trégorrois. Aussi, ce n'est qu'indirectement qu'apparaissent les rôles joués par Yves durant sa vie, en qualité d'étudiant, d'official (juge ecclésiastique) et d'avocat des pauvres. La Vita d'Yves de Tréguier s'est déroulée au siècle du roi Saint Louis, celui des dernières croisades, de l'émergence des ordres mendiants, du développement des universités françaises, du triomphe de l'Eglise détentrice d'un pouvoir spirituel omniprésent, souvent prompt à rivaliser avec le pouvoir temporel. L'auteur engage une discussion (disputatio), parfois sans complaisance,tout en ne remettant pas en cause les immenses vertus du grand saint breton, devenu à juste titre le saint patron de tous les juristes. Saint Yves de Tréguier appartient aujourd'hui au riche patrimoine historique, culturel et spirituel de la Bretagne. Passeur de mémoire et de traditions, François Christian Semur entend contribuer à la pérennité des valeurs de justice et de fraternité léguées par le parangon des avocats, magistrats et hommes de loi.

11/2019

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Littérature française

L'empreinte du lézard

Un col enneigé, une jument abandonnée, trois lettres inscrites sur un rocher qui indiquent la piste d'une communauté hippie aussi introuvable que légendaire. Le jeune héros, Wha, ne sait pas encore qu'il sera bientôt leur passeur et le témoin de la chute de cette utopie réalisée. Embarqué dans cette épopée un peu par hasard, il demeure à part, hanté par la figure magique de Lélia, amour perdu et fantomatique. L'action se déroule quelque part dans le sud de la France mais peu importe, c'est le destin d'une génération qui pensait pouvoir changer le monde qui est relatée ici dans un style flamboyant. On y croise Syd Barret, une comtesse en rupture de ban, un avocat soutenant la fraction armée rouge, un mulet magnifique du nom de Charko, un toxicomane Corse, Francis Cabrel, une prostituée nihiliste au cour gros, des américains de retour du Vietnam et adeptes du sabre khmer et même une amoureuse irlandaise. C'est toute la caravane des années hippies qui défile pour notre plus grand plaisir, d'autant que Philippe Assié parvient à ne jamais tomber dans le cliché et offre ici un roman truculent aussi personnel que grandiose, habité d'un souffle rare dans la littérature française.""Voilà le livre français que l'on esperait depuis longtemps : la verve de Céline dans la profondeur des paysages de Jim Harrison et vous avez une idée de ce western space-spaghetti que ne renierais pas les frères Coen !!"" - Librairie Voyages au bout de la nuit""Comme la nature anarchique et flamboyante, ses phrases s'organisent selon leurs propres règles, leurs propres rythmes sans déroger un seul instant à l'exigence littéraire la plus vive.

05/2011

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Littérature étrangère

Le Justicier

Vivian Winter, avocat londonien, jeune, riche, séduisant, est retrouvé mort dans sa cuisine, transpercé de seize coups de couteau. Sa mère, lady Winter, charge son meilleur ami de mener une enquête parallèle à celle de la police. En se fondant sur les indices de deux documents, le testament du défunt et la liste des meurtriers qu'il a défendus au cours des dernières années et qui ont pour point commun d'avoir assailli sexuellement et tué des femmes enceintes, le narrateur se lance dans une série d'investigations de plus en plus déconcertantes. Il est sur le point de renoncer à sa mission - dont lady Winter a d'ailleurs voulu le décharger très tôt - mais s'obstine, poussé par les doutes et les réticences des enquêteurs officiels. Sa théorie, tantôt étayée et tantôt ébranlée par le psychiatre qui a eu à connaître de plusieurs de ces cas, le conduit à rencontrer les proches de ces meurtriers ou de leurs victimes, et le lecteur se voit offrir un champ très vaste où risquer ses propres conclusions. L'énigme se résoudra au prix de deux morts supplémentaires, mais nous n'en sommes déjà plus à les compter. Il ne faudrait pas insister beaucoup auprès de l'auteur pour lui faire admettre qu'il partage nombre des curiosités, des raisonnements et des réactions du narrateur. Presque tous les ouvrages de Julian Gloag offrent une trame d'enquête policière, même ceux où l'analyse psychologique domine de beaucoup la recherche d'une solution satisfaisante aux yeux de la justice. C'est toujours un plaisir pour le lecteur quand le mystère de l'intrigue sert de support à une ouvre littérairement riche et accomplie. Le cas n'est pas si courant.

03/1987

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Littérature française

L'école du ciel

" Peins ma fille, peins... Le jour commençait à baisser quand elle s'était enfin arrachée d'une ancienne fièvre. Une grande toile en était sortie, comme elle n'en peindrait jamais plus, avait-elle aussitôt compris. Une simple bâtisse dans l'herbe rase d'un vert cru, une bergerie, peut-être, tombée du ciel comme un météore... " Ainsi peint Aimée Castain, bergère de Haute-Provence. La montagne est dans le paysage. La mer nappe l'horizon, invisible, brumeuse, à soixante kilomètres. Et partout, la tendre sauvagerie des collines, les oliviers, les bories, la tentation de la couleur. Saisir sur la toile la beauté du monde. Son mari Paul ne comprend pas bien cette passion nouvelle, mais Aimée s'y donne, entièrement, tout en surveillant son troupeau. Peu à peu, son talent franchit la vallée, les amateurs achètent ses toiles, les journalistes écrivent sur le prodige. Une candeur de touche, un talent singulier, comme offert, par l'insaisissable : l'école du ciel, peut-être... La narratrice et son compagnon, Daniel, avocat, cherchent comment fuir Paris et Marseille, la vie épuisante, éclatée. Dans un village de Haute-Provence, une maison leur apparaît, comme offerte elle aussi, par l'invisible. Elle sera leur point d'ancrage. Chaque matin est une promesse nouvelle. Puis Daniel s'enflamme pour l'oeuvre d'une artiste oubliée, une fille de métayers, née pendant la Grande Guerre, une simple bergère. La maison qu'ils viennent d'acheter fut la sienne. Un talent magnifique et méconnu aurait-il vécu entre ces murs ? Elisabeth Barillé nous entraîne à la rencontre d'Aimée Castain et nous livre le roman de la liberté, avec grâce et un sens unique des images : échapper à son histoire, traverser l'enfance, accomplir son destin.

03/2020

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Religion

Des menhirs a internet. la nouvelle évangélisation

Hervé Marie Catta est né au pays des menhirs. Devenu avocat à Paris, il abandonne le Barreau pour devenir un évangélisateur laïc : après avoir rejoint Pierre Goursat et Martine Laffitte, fondateurs de l'Emmanuel, il étudie la théologie et le droit de l'Eglise. Il participe comme journaliste à la création du magazine Il est vivant ! et est chargé des relations extérieures de la communauté Emmanuel. Il a commencé à évangéliser dans la rue à Paris en 1974. Voyages et circonstances l'amènent à se confronter à des cultures nouvelles, du Japon à l'Amérique des Andes, de la Sibérie à l'Afrique centrale. En 1979 il expose l'évangélisation entreprise par la communauté Emmanuel au pape Jean-Paul II, qui confirme cette mission. Aujourd'hui, fort des nombreuses expériences de l'Emmanuel, H. M Catta se livre à l'évangélisation du monde par Internet, en 15 langues, touchant 700 000 personnes par an dans plus de cent pays. Des menhirs à internet, la nouvelle évangélisation est une réflexion charpentée, à partir de faits et d'expériences, sur les moyens de parler à ceux qui ne croient pas et qui pourtant cherchent Dieu. Pour H. M. Catta, un athée est celui qui n'a pas encore trouvé les raisons de l'espérance, et Jésus veut sauver tout homme. S'adressant non seulement aux non-croyants et aux athées, mais aussi à tous les baptisés, ce livre répond à leurs questions, les questions de l'homme, et confronte les difficultés à croire à travers diverses cultures : celle de la rue à- Paris, celle des Russes post-communistes ou celle des Chinois. C'est une ouverture prospective à ce que peut être la "nouvelle évangélisation".

07/2011

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Droit

Cyberdroit. Le droit à l'épreuve de l'internet, Edition 2020-2021

Internet lance des défis sans cesse renouvelés à l'ensemble des domaines du droit. Alors que le dispositif national de protection des données à caractère personnel s'articule désormais d'une part sur le RGPD, d'autre part sur la loi Informatique et libertés modifiée, quelles sont les règles de collecte, d'exploitation et de conservation des données personnelles ? Quelles sont les nouvelles obligations du responsable de traitement ? Les droits de la personne sont-ils mieux protégés ? Comment s'exerce son droit à l'oubli, à la portabilité ou encore à la maitrise de ses données post-mortem ? Comment l'employeur peut-il garantir le respect de la vie privée de remployé qui utilise ses propres équipements informatiques dans son activité professionnelle ? Comment doit-il organiser la procédure de signalement d'alerte ? Comment les règles de transparence et de loyauté applicables au commerce en ligne s'harmonisent-elles avec les dispositions européennes protectrices du consommateur en ligne ? Quelle place et quel cadre juridique accorder au paiement en bitcoins ? Comment appréhender la blockchain ? Comment concilier l'accès libre et gratuit aux données publiques (open data) prévu par la loi pour une République numérique avec les droits de propriété intellectuelle ? Quelles sont les obligations spécifiques du chef d'entreprise, en matière d'archivage, de chiffrement ou encore de déchiffrement ? Comment lutter plus efficacement contre la cybercriminalité et le cyberterrorisme ? Fallait-il faire sortir de la loi du 29 juillet 18811e délit d'apologie du terrorisme ? Faut-il faire du racisme et de l'antisémitisme des infractions de droit commun ? Comment donner aux autorités le pouvoir d'enquêter sur le cyberespace dans le respect des droits et libertés individuelles ? Internaute ou non, citoyen, parent, mineur, consommateur, créateur de site, employé, chef d'entreprise, chargé d'une mission d'intérêt général, avocat ou magistrat, le lecteur trouvera dans cette huitième édition beaucoup de réponses.

02/2020

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Sociologie

La société d'exposition. Désir et désobéissance à l'ère numérique

Bernard E. Harcourt propose une critique puissante de notre nouvelle transparence virtuelle. Il livre une analyse de ce que les technologies big data font à nos vies, et de la manière dont elles s'y introduisent, et révèle l'ampleur de notre renoncement, volontaire, à la liberté - jusqu'à l'acceptation de toutes les dérives sécuritaires. Ces atteintes à nos libertés sont flagrantes ; pourtant, nous ne semblons pas nous en soucier. Exploitant notre désir sans fin d'avoir accès à tout, tout le temps, les géants d'Internet dressent un portrait de notre propre intimité, collectent des millions de données sur nos activités, nos centres d'intérêt et nos relations, tandis que les agences de renseignement les croisent aux milliards de communications qu'elles enregistrent chaque jour. Nous continuons cependant, et malgré notre connaissance de l'instrumentalisation de ces données, de publier nos photos de familles, nos humeurs et nos pensées. Nous donnons en caisse, en même temps que notre carte bleue, nos adresses email et postale. D'où vient le sentiment de fatalité à l'égard de cette transgression du public et du privé ? Ce livre montre d'une manière saisissante comment les nouvelles technologies exploitent notre désir illimité d'accéder à tout, tout le temps et sans attendre - au risque de la surveillance généralisée. Et invite à la désobéissance et à la résistance. Professeur de droit à Columbia University où il dirige le Center for Contemporary Critical Thought, Bernard E. Harcourt est aussi directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales et avocat de condamnés à mort dans l'Etat d'Alabama. Il a établi l'édition des deux cours de Foucault donnés au Collège de France, dont Théories et institutions pénales et La Société punitive. Il est par ailleurs l'auteur, en français, L'illusion de l'ordre.

01/2020

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Critique littéraire

Céline. Paria et génie

Des rampes de Courbevoie en bord de Seine jusqu'à la froidure de l'exil danois, Céline (1894-1961) va se fabriquer une vie étincelante. Dans son histoire personnelle comme dans ses livres. Ce n'est pas par hasard que les critiques littéraires ont affirmé avec conviction que les deux plus grands auteurs français du vingtième siècle s'appellent Proust et Céline. Médiocre médecin généraliste, Louis Destouches prend le prénom de sa grand-mère bien aimée, Céline, comme pseudonyme. Marié en Bretagne et rapidement divorcé, il livre en 1932 son chef-d'oeuvre Voyage au bout de la nuit, une révolution dans la forme et dans les cris. Il le dédicacera au seul amour de sa vie, la danseuse américaine Elizabeth Craig. Son deuxième grand livre, Mort à crédit, n'a pas le succès espéré sauf auprès de ceux qui adorent les fulgurantes envolées lyriques de Céline, les amoureux de son style qui va populariser l'écriture, la rendre percutante. Ce n'est pas de l'argot mais une invention permanente des mots et des phrases. Même dans les abominables pamphlets qui vont suivre comme Bagatelles pour un massacre, l'éblouissant talent de Céline fait oublier son antisémitisme radical et misérable. Céline carbure à la haine mais revient au roman avec l'époustouflante trilogie allemande : D'un château l'autre, Nord et Rigodon. Homme à femmes, il termine pourtant sa vie avec une pénélope fidèle, Lucette Almansor, dans sa retraite de Meudon. Il échappera à une probable et sévère condamnation, grâce à son avocat et à l'inculture de ses juges. On pourra suivre ce parcours démentiel à travers le regard et les très belles illustrations de Philippe Lorin, remarquable observateur des visages de Céline. Paria ou génie ? Aux lecteurs de choisir.

09/2016

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Histoire internationale

Dix-sept ans dans le couloir de la mort

Richard Michael Rossi a été reconnu coupable de meurtre en 1983. " Défendu " par un avocat commis d'office, il a été condamné à la peine capitale par la Cour de l'Arizona. Depuis dix-sept ans dans le couloir de la mort, il attend la date de son exécution. Son témoignage, documenté, précis, sobre mais percutant, dresse un tableau complet des conditions de vie matérielles et psychologiques imposées aux condamnés à mort dans les prisons de haute sécurité américaines. Richard Michael Rossi nous livre également ses réflexions sur des sujets difficiles : dans quelles conditions la justice se rend-elle aux Etats-Unis ? de quel droit contraint-on les condamnés aux travaux forcés ? la répression et la vengeance sont-ils un moyen d'assainir la société ? peut-on appeler " volontaires " les prisonniers qui, dans un tel environnement, craquent et, abandonnant leurs recours en justice, demandent " volontairement " à être exécutés ? Enfin, peu de gens savent comment se déroulent exactement les exécutions et les souffrances trop souvent infligées par ces " châtiments cruels et dégradants ". " Pour décrire cet abîme pénitentiaire où la superpuissance du monde, la plus grande démocratie précipite les condamnés à mort produits en chaîne par un système judiciaire aliéné, il fallait un témoin. Pas un romancier de génie. Simplement une voix qui nous dise comment on traite des hommes au cœur de l'Amérique profonde, dans les cellules des quartiers de la mort. C'est elle qui résonne dans ce livre. Il y a des ouvrages qui nous entraînent avec eux dans une sorte de gouffre toujours plus profond, toujours plus noir. Ainsi en est-il de ce récit-là. Voici un livre à mettre entre toutes les mains " (Robert Badinter).

05/2001

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Théâtre - Pièces

Lacenaire, votre émission du soir

VITALINE FAUVERGUE (tout en confiant son manteau et son écharpe à la servante) : J'arrive de la Conciergerie ! J'ai assisté à une lecture de poésie... Ah ! quel talent ! Quelle érudition ! Non seulement l'homme est bien fait de sa personne mais en outre... il parle bien. Saviez-vous qu'il avait fait ses classes au collège de Lyon avec Edgar Quinet ? AGATHE RENOUILLET : Vraiment ? VITALINE : Et ce n'est pas tout : il était sur les mêmes bancs que l'avocat Belloc et le préfet Jayr qui ont été saisis de son affaire ! Si ce n'est pas un hasard... Ah, s'il n'avait ce funeste destin au bout de sa route, je me serais arrangée pour que tu aies ta chance de le rencontrer... AGATHE (soupir désabusé) : Tu es bien pressée de me voir convoler... avec n'importe qui. GUSTAVE (outré) : Ma chère Vitaline, je vous rappelle que cet homme n'est qu'un petit criminel ambitieux, qui n'a pas hésité à faire couler le sang et à boire à la santé de sa victime. VITALINE (frivole) : On croirait vous entendre parler des Massaï ! GUSTAVE : J'ai ouï dire que les Massaï avaient du coeur, bien plus en tout cas que ce Monsieur Lacenaire qui fait le fanfaron et raconte qu'il tue un homme comme il boit un verre de vin ! VITALINE (se servant à manger) : Ces paroles ont été extirpées de leur contexte, voire inventées par des gens qui voudraient le montrer sous un jour peu reluisant ! Cet homme est, je puis vous l'assurer, un homme de grande classe. Las, il a joué de malheur et si son père n'avait pas fait faillite comme il se plaît à le raconter, il serait aujourd'hui de ces gentilshommes dont on loue la prose, les vers et la galanterie.

02/2021

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Policiers

Absences

Amanda O’Toole, soixante-quinze ans, a été retrouvée morte à son domicile, amputée des quatre doigts de la main droite. La police soupçonne la voisine et amie d’Amanda, le docteur Jennifer White – chirurgien orthopédiste à la retraite – d’être l’auteur de ce meurtre. Mais Jennifer est atteinte de la maladie d’Alzheimer et ne sait pas elle-même si elle est coupable. Elle partageait une relation extrêmement intime avec Amanda, même si ces deux femmes énergiques et orgueilleuses avaient été aussi par moments des adversaires redoutables. Amanda entendait parfois régir la vie de son amie et, sous prétexte d’honnêteté, dévoiler certains secrets qui auraient dû rester enfouis, relatifs notamment au mari de Jennifer, James, avocat retors, décédé depuis peu. Sans enfant et marraine de Fiona, la fille de Jennifer, Amanda instaurait une rivalité et un rapport de forces constant avec son amie, plus brillante, plus gâtée qu’elle par la vie. C’est la voix de Jennifer qui raconte cette amitié complexe et sa vie passée, de façon fragmentée, par des bribes, des souvenirs, des conversations, ou encore par le biais d’un journal qu’elle tient pour tenter de combattre la détérioration de son esprit et où ses enfants et amis sont amenés à témoigner de temps à autre. Ils émergent également de ce brouillard de la conscience, tour à tour confuse et lucide, de Jennifer : Amanda, bien sûr, Fiona, mais aussi Mark, le fils de Jennifer, ambigu comme son père, ou encore Magdalena, la garde-malade dévouée mais qui a des secrets, elle aussi. Jennifer White finira-t-elle par retrouver dans sa mémoire malade des révélations sur le meurtre d’Amanda ? Est-ce elle qui l’a tuée et lui a ainsi mutilé la main ? Pour quelle raison ? Face à une personnalité aussi imprévisible et tourmentée, la vérité ne peut être simple.

03/2013

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Lexiques, dictionnaires

Les notions-cadres dans la loi

''Etat d'urgence'', ''Intérêt personnel /Intérêt commun'', ''Intérêt supérieur de l'enfant'', ''Situation sanitaire /Risque sanitaire'', ''Etat d'urgence sanitaire /Bonnes pratiques'' : Il s'agit là de notions-cadres très présentes dans la loi. Ce livre s'attache en particulier à analyser la place qu'elles y occupent. La notion-cadre s'avère être un facteur d'économie législative. Par son caractère synthétique, elle dispense le législateur de détailler : - un catalogue de faits - une multiplicité de cas - une kyrielle de situations - une série de prescriptions. C'est dire l'intérêt de les connaître et de les employer, notamment dans : - la recherche et l'emploi du mot (légalement et/ou juridiquement) juste - la bonne compréhension et l'utilisation du style législatif et/ou réglementaire - plus généralement, la maîtrise du langage juridique. Les exemples de notions-cadres sont puisés dans les codes civil, de commerce, de la consommation, de l'environnement, et de la santé publique principalement, et sont présentés ici par ordre alphabétique dans la ou les dispositions légales qui les portent. Dans la lignée de ses précédents ouvrages qui s'attachaient à étudier successivement la place du verbe-clé puis de l'adverbe dans la loi, l'auteur livre ici une analyse de l'emploi de la notion-cadre dans le texte de loi. Un ouvrage utile à l'étudiant en droit - du lycée au doctorat - qui s'initie au style légal, ainsi qu'au praticien, et plus généralement à toute personne désireuse de visiter l'univers passionnant de la lettre et de l'esprit de la loi. Serge Balian est docteur en droit, diplômé de l'Université de Paris II. Il a exercé la profession d'avocat au Barreau de Paris (1978-1998). Il se consacre à présent à un travail de recherche portant plus particulièrement sur la terminologie juridique.

07/2023

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Actualité médiatique France

Sécurité intérieure. Anciennes menaces et nouveaux risques

Sécurité intérieure s'inscrit dans l'actualité en évoquant d'abord les questions traditionnelles de la sécurité des Français. Quelle stratégie de sécurité publique adopter pour endiguer la délinquance qui pèse sur la vie de nos concitoyens ? Comment gérer les manifestations dérapant vers des épisodes violents sans remettre en cause les principes du maintien de l'ordre républicain protégeant les libertés et l'intégrité physique de tous ? Faut-il développer sans limites la collecte, le fichage et le stockage des données personnelles (y compris médicales et biologiques) pour faciliter la lutte de la Police judiciaire contre le crime ? Bref, quelles sont les valeurs, les finalités et les moyens qui doivent servir une action efficace des forces de l'ordre républicaines au XXIe siècle ? Sécurité intérieure aborde aussi les nouveaux problèmes posés par le terrorisme depuis vingt ans et par la cybercriminalité plus récemment. Sécurité intérieure veut apporter une réponse mêlant à la fois le fruit de l'expérience et l'étude comparative internationale. Pierre Joxe raconte enfin sans détour le quotidien d'un ministère qui ne dort jamais, les coulisses des grandes crises de sécurité, les rapports entretenus avec le président François Mitterrand et l'imprévu et l'extraordinaire qui le disputent à la routine trompeuse d'une administration aux rouages bien huilés. Pierre Joxe nous fait bénéficier de son expérience ministérielle de la sécurité en ayant été plusieurs années ministre de l'Intérieur (1984-86 et 1988-91) puis ministre de la Défense (1991-93) après avoir été député, et avant de présider la Cour des comptes. Il siégea ensuite neuf ans au Conseil constitutionnel. Magistrat retraité, il devint avocat - bénévolement - pour mineurs traduits en justice. Avec la collaboration de Laurent Huberson

09/2021

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XXe siècle

L'aura des Justes

Né sous l'occupation allemande, Norbert Fontenoy est avocat pénaliste. Ancien sympathisant de mouvements antisémites d'extrême droite, il apprend par une lettre posthume, que celle qu'il avait toujours cru être sa mère l'avait adopté afin de le protéger. Il est en réalité le fils de juifs recueillis en 1942 par un couple de "Justes" . Son idéologie raciste d'extrême droite s'effondre alors d'un coup. Savoir si celle qui l'a mis au monde vit toujours, la retrouver devient la condition de sa survie intime. Cet ouvrage romancé ramène à une réalité qui a marqué l'Histoire d'un peuple et plonge le lecteur au coeur d'une compréhension humaine de grande sensibilité. Qui sont les Justes ? On nomme "Justes parmi les Nations" , des femmes et des hommes, de toutes origines et de toutes conditions, mêmes anonymes, qui ont sauvé des personnes juives des persécutions antisémites et des camps d'extermination, bravant les risques encourus. L'auteur, né en 1935, fut homme d'affaires, diplômé d'HEC, et s'est investi dans les activités professionnelles et commerciales internationales. Admirateur de Kipling et de Gandhi, cet infatigable créatif est un fin observateur de la société, qui vit à Fontainebleau. D'origine vaudoise, il est auteur de nombre d'articles dans des revues suisses, et de plusieurs ouvrages, dont notamment Le Livre de l'Immortel (1999), Petits Crimes à la Grande Loge (2015), outre d'autres ouvrages en préparation. Il aime à plonger dans la vie des réseaux souterrains de notre société. Avec L'Ordre mondial (2023), c'est un coup de Maître qu'il convient de mettre à son actif. Ici il plonge au coeur d'une réalité tragique et d'un marqueur sociétal qui met en évidence des valeurs fortes : l'Aura des Justes.

09/2023

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Economie

L'anarchie libérale. Pour une nouvelle gouvernance de l'entreprise

Le capitalisme est en crise. Il ne s'agit plus de turbulences. Cristallisée par la faillite d'Enron, cette crise de confiance touche au plus profond du système libéral de production et d'organisation des pouvoirs ; elle ravage les marchés et les entreprises en sacrifiant massivement les emplois et la richesse des nations. Régulations inadaptées, acteurs disqualifiés, dirigeants d'entreprises et gouvernants désemparés : comment réformer ce capitalisme transformé en un mode généralisé d'anarchie libérale, pour produire demain plus et mieux de croissance et d'emplois ? Quelles nouvelles règles du jeu pour faire que ce monde tourne plus rond, avec des pouvoirs et des contré pouvoirs efficaces ? Aldo Cardoso a été nommé le 4 avril 2002 à la présidence mondiale d'Andersen Worldwide, cabinet mondial d'audit et de conseil rayé de la carte économique en quelques mois par l'affaire Enron. Il a organisé la transition des savoir-faire d'Andersen vers de nouvelles structures. Aujourd'hui, il dresse un constat des dysfonctionnements du système actuel, met en évidence les déterminants de la crise, explique, pose des questions : Que faire pour aller vers une bonne gouvernance d'entreprise ? Comment définir des règles, une éthique, des lois, de nouveaux comportements pour les entreprises et leurs dirigeants ? Peut-on dépasser la performance financière à court terme et créer les conditions d'une croissance durable ? Avocat des ruptures et des réformes nécessaires, Aldo Cardoso propose solutions et pistes de réflexion en affirmant une conviction forte : chacun doit démontrer dans son action que la liberté d'entreprendre, de bâtir et de créer des richesses dans un capitalisme régulé n'est en rien contradictoire avec le bien public. Le retour de la confiance est à ce prix.

05/2003

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Thrillers

Les Dernières Pages

Une enquête passionnante à travers l'histoire de la France et de l'Algérie. Paris, le 17 octobre 1961. Tout juste débarqué d'Angleterre, le jeune Nigel Dalby assiste à une scène d'horreur dans le quartier Saint-Michel. Une manifestation pacifique de musulmans algériens défilant pour une " Algérie algérienne " est sévèrement réprimée par la police du préfet Papon. Plus de deux cent manifestants sont tués, jetés dans la Seine ou abattus par balle. Le bilan officiel parlera de trois morts. Quelques années plus tard, toujours traumatisé par ce spectacle tragique, Nigel travaille avec sa fiancée Harriet à Tativille, immense studio de tournage imaginé par Jacques Tati pour le tournage de Playtime. Là, il fait la connaissance de deux jeunes Algériens, décidés à venger les martyrs du 17 octobre. Après une mystérieuse opération, Harriet disparaît et Nigel gagne l'Algérie nouvellement indépendante, où il s'installe comme libraire. 2020, dans un cottage du Hampshire. Suzette Dalby, la fille de Nigel, rend visite à Stephen, le frère d'Harriet. Plus de vingt ans après l'assassinat de son père durant la guerre civile algérienne, elle vient de recevoir un étrange manuscrit, censé être la confession de Nigel, explicitant, entre autres, la disparition d'Harriet. Mais un cabinet d'avocat suisse est prêt à lui verser une forte somme d'argent si elle prétend que c'est un faux. Dans ce livre envoûtant à l'épaisseur romanesque exceptionnelle, Robert Goddard revient à son thème de prédilection : l'enchevêtrement intime entre l'Histoire et les secrets de familles. Avec une intrigue toujours aussi palpitante, aux multiples coups de théâtre, il prend cette fois pour cadre près de cinquante ans de rapports franco-algériens et nous offre sans conteste l'un de ses plus grands romans.

10/2023

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Avocats

Les grandes plaidoiries des ténors du barreau. Quand les mots peuvent tout changer, Edition revue et augmentée

Ils s'appellent Badinter, Dupont-Moretti, Halimi, Leclerc, Lombard, Szpiner, Malka, Lemaire, Mignard, Soulez Lariviére, Saint-Pierre, Bourdon, Kiejman... Leurs noms claquent dans les prétoires. "Plaider, c'est partir au combat" disent ces orfèvres des joutes oratoires. Crimes historiques (Pétain, Barbie, Papon), erreurs judiciaires (Outreau, Dils, Seznec), combats de société (affaire du sang contaminé, drame des bébés congelés), énigmes criminelles (affaire Grégory, procès Agnelet, dossier Ranucci), scandales financiers ou politiques (Kerviel, Villepin, emplois fictifs, Bettencourt) ou dossiers de terrorisme (Colonna, Charlie Hebdo, Carlos, islamistes radicaux), les grands procès façonnent l'histoire de notre pays. Ils sont un fantastique miroir de notre société. Lors des audiences, la procédure est orale, les débats ne sont presque jamais enregistrés et les mots s'envolent. L'auteur, chroniqueur judiciaire durant vingt ans, a pu, grâce à ses notes d'audiences et à ses recherches, reconstituer les plaidoyers vibrants des plus grands ténors du barreau. Adapté au théâtre dans la pièce à succès "PLAIDOIRIES", ce livre a fait l'objet d'une réédition revue et augmentée en 2020. Il présente désormais la plaidoirie de Francis Szpiner dans le procès des attentats de Toulouse, celle de Femand Labori dans l'affaire Dreyfus, le plaidoyer de François Lafforgue contre Monsanto, celui de Félix Molteni pour le droit d'asile, ou l'intervention d'Eric Morain aux côtés des victimes de pédophiles, et, enfin, le monument d'éloquence de Jules Senard, l'avocat de Gustave Flaubert, accusé "d'outrage aux bonnes moeurs" pour Madame Bovary. Dans cette toute nouvelle version de 2023, il propose la plaidoirie d'Anne Bouillon, avocate de Stéphanie, victime de viol, et celle de Louis Cofflard, contre un projet pétrolier de Total en Ouganda et en Tanzanie.

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Littérature française

La légende de l'assassin

"Je m'appelle Apollinaire, j'ai soixante-dix ans, un diabète, du cholestérol, et je fais de l'hypertension. Ce tableau clinique généreux pourrait surprendre, si je ne m'empressais d'ajouter qu'il ne m'empêche pas aussi de m'offrir, de temps à autre, quelques plaisirs, ceux-là même qu'un vieillard sous les tropiques ne se refuse pas, même avec un risque d'AVC suspendu au-dessus de sa tête. Je ne sais ce qui me pousse à l'avouer, sinon le désir de nouer un pacte de vérité dès l'entrée de ce récit qui couvre trois journées de ma vie." Pendant trois jours, Apollinaire cherche à comprendre l'affaire la plus emblématique qu'il ait perdue. Son client, KA, avait été accusé d'un crime atroce. Il avait pris les proportions de la légende : KA était devenu le criminel le plus honni, le plus médiatisé du jeune Etat de Tibrava. Le pays tout juste indépendant, mené d'une main de fer par un dictateur soucieux de l'ordre publique, avait rendu un jugement sans appel. KA avait été condamné à mort sans qu'Apollinaire ne puisse rien tenter. Trop jeune, trop inexpérimenté, commis d'office, un peu lâche aussi, il n'avait pas su comprendre le crime et la sentence. Apollinaire ne veut pas prendre sa retraite sans comprendre ce crime qui le hante. Il s'engage alors sur un chemin tortueux. Il cherche la Justice. Il cherche surtout le souvenir du jeune avocat qu'il était et qui n'avait pas pu ou pas voulu se battre pour elle. Le portrait d'un homme seul et d'un pays qui joue avec les mots, les mythes et les légendes.

03/2015

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Historiens

L'origine de l'Homme. Edouard Lartet (1801-1871) de la révolution du singe à Cro-Magnon

Aujourd'hui, nous savons que l'âge de la terre se compte en milliards d'années et celui des hominidés en millions. Mais, au début du XIXe siècle, l'idée même d'une émergence très ancienne de l'humain paraît une hérésie. Au détour des années 1820, Edouard Lartet, jeune avocat stagiaire à Paris, se passionne pour quelques animaux fossiles trouvés dans sa terre gersoise. L'archéologie en est alors à ses débuts. En 1834, il envoie sa première communication au Muséum de Paris. Porté par ses découvertes, Lartet abandonnera le droit pour consacrer le restant de ses jours à rechercher l'existence de l'homme fossile. L'avènement de l'origine ancienne de l'homme est une révolution scientifique, culturelle, morale et psychique dans laquelle Edouard Lartet a joué un rôle majeur. La notion même de préhistoire, d'une humanité antédiluvienne, heurte préjugés, dogmes et acquis. Lartet subi des oppositions et censures, mais poursuit inlassablement ses fouilles. Servi par un caractère tenace et une chance insolente, son parcours est jalonné de découvertes extraordinaires : le premier singe fossile européen, à Sansan dans le Gers ; les premiers outils validés en grotte, à Aurignac, en Haute-Garonne ; puis les premières oeuvres d'art préhistoriques et, enfin, une sépulture maintenant connue de tous, celle de Cro-Magnon aux Eyzies en Dordogne. En quarante ans d'une intense activité scientifique, Edouard Lartet croise tout ce que la France, mais aussi l'Angleterre, compte de paléontologues, avec lesquels il débat sans relâche. Des illustrations, encarts et courtes fictions animent l'ouvrage, formant une vaste fresque d'un siècle passionnant, entre vie parisienne et monde rural, entre monarchie, empire et république, entre croyance et raison, entre mythe d'Adam et réalité de Cro-Magnon.

06/2021

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Généralités

Henry de Castries (1850-1927). Du faubourg Saint-Germain au Maroc, un aristocrate islamophile en République

Tour à tour officier de bureau arabe dans le Sud-Ouest oranais de 1875 à 1882, conseiller général en Maine-et-Loire de 1884 à 1914, colonel d'un régiment de la territoriale sur le front en 1914, conseiller historique du gouvernement chérifien après-guerre au Maroc, Henry de Castries (1850-1927) échappe à toute catégorisation simpliste. Aristocrate, il le fut par son maintien en société, mais il devint arabophile au Maghreb, recueillit la parole des gens sous la tente bédouine en ethnographe accompli et suivit au plus près la pratique du culte des saints dans le Sud marocain. Monarchiste, il fut un ardent partisan de l'expansion coloniale de la France, précipitant le ralliement des siens à la République. Catholique intransigeant en surface, il devint en son for intérieur un croyant abrahamique pratiquant un monothéisme traversant les confessions, sous l'influence de l'islam. Conseiller général, il se détacha du camp de l'ordre établi et fut l'avocat discret, mais tenace, des sans voix, des exclus. Grâce au fonds Dampierre, aux Archives nationales, on peut examiner Castries sous toutes ses facettes et arracher l'homme aux stéréotypes. Malgré ces marqueurs puissants que sont l'appartenance à la plus haute aristocratie, au catholicisme de combat et à l'habitus colonial, il se distingua par une manière de servir en tant qu'officier et conseiller général et par sa manière d'écouter les gens les plus démunis et de les aider, comme par son attention extrême à ses informateurs " indigènes " qui sont toujours, dans sa quête du savoir, des collaborateurs de plain-pied. Aussi c'est sous un double angle de vue que cette biographie a été composée : un pied dans l'histoire socio-politique de la IIIe République et, au prix d'un pas de côté, l'autre pied dans l'histoire des gens ordinaires.

06/2021

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Cuisine

La cuisine vegan de Mérida. Menus élégants et audacieux d'une cuisine rebelle

La tradition des repas conviviaux, réunissant famille et amis, a considérablement évolué au cours des dernières années. La popularité croissante des clubs gastronomiques et de: repas à thème expriment un souhait grandissant de faire sortie les repas "maison" des sentiers battus. Les cuisines temporaires et les dîners secrets (dont les adresses sont jalousement gardées) remodèlent eux aussi la coutume des repas au restaurant. Mais comment les vegans trouvent-ils leur compte dans ce joyeux renouveau gastronomique? La cuisine vegan de Mérida est un recueil de recettes vegans originales et délicieuses tirées de l'imagination et du talent de Mérida Anderson, cheffe des VSS (Vegan Secret Supper), un club gastronomique qu'elle a animé à Vancouver, Montréal et New York. Aux VSS, Mérida a créé de fantastiques plats vegans qui démontrent que les produits d'origine animale sont loin d'être indispensables à la préparation de menus sophistiqués et souvent spectaculaires. En insistant sur la planification des repas et sur l'emploi de produits de saison, elle offre aujourd'hui aux lecteurs tous les outils nécessaires à l'élaboration de plats sains et somptueux, à partager sans façon entre amis, en tête-à-tête romantique ou lors d'un repas de fête regroupant vingt personnes. Les recettes de ce livre haut en couleurs comprennent parmi tant d'autres la bisque de pois cassés à la crème coco et menthe, le chou-fleur en friture légère au taboulé de quinoa rouge, les galettes de patate douce et de noix à la réduction de betteraves rouges et au vinaigre balsamique, sans oublies le cake au chocolat à la glace menthe - avocat. Le monde culinaire unique de Mérida et ses savoureuses idées inspirerons sans aucun doute vos propres dîners secrets vegans.

06/2014

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Roman d'amour, roman sentiment

Bodyguard. Un amour interdit

Qui aurait pu prédire que la vie de Julia tournerait comme ça : mariée à David, un avocat en lice pour devenir le procureur général de l'Etat de New York, et contrainte de mettre un terme à sa carrière de chanteuse pour vivre dans l'ombre constante de son époux ? Piégée dans une relation sans amour, les choses ne vont pas s'améliorer pour la jeune femme, puisque le jour où David reçoit une lettre anonyme menaçant la vie de sa femme, il engage Wayne Jones, un garde du corps et ancien Navy SEAL, pour veiller à la sécurité de Julia. Cette dernière se voit alors forcée de quitter la ville pour une durée indéterminée, et de cohabiter avec un parfait inconnu. Cependant, même coupés du monde extérieur, la jeune femme et son garde du corps vont vite se rendre compte que la distance ne suffit pas à garantir leur sécurité, et que quelque chose de bien plus dangereux qu'une tentative de chantage à l'encontre du futur procureur se prépare. Wayne Jones réussira-t-il à faire ce pour quoi il a été engagé, sans succomber au charme de Julia ? Le Navy SEAL est-il réellement celui qu'il prétend être ? Toute cette affaire est-elle à prendre à la légère, ou bien s'agit-il d'une cruelle machination parfaitement bien orchestrée ? Et si la jeune femme n'était plus jamais à l'abri, et que cette histoire reflétait quelque chose de bien plus sombre ? Et si rien ni personne n'était en mesure d'empêcher ce qui est censé arriver ? Julia va alors se rendre compte que tout ce qu'elle croyait, toute sa vie, n'était en réalité qu'un mensonge.

11/2021

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Suspense romantique

Samedi soir au Clair de Lune - Deauville

Nous rêvons tous, en secret, de conquérir quelque chose ou quelqu’un. Mais jusqu’où ce désir peut-il nous mener ? Deauville et ses environs, de nos jours. Lycéennes au sein d’un établissement select de la côte normande, Clara et son amie Camille évoluent dans un environnement privilégié, sans histoires… C’est, en tout cas, ce qu’elles croient, car rumeurs, harcèlement et jalousies infiltrent leur quotidien sans que Clara, sous l’emprise de l’insaisissable Maxence, n’y prête attention. Pourtant, lorsque Camille disparaît, la vie de la jeune fille bascule. En quête de vérité, prête à tout pour retrouver son amie d’enfance, Clara entraîne dans son sillage Arthur, qui en pince pour leur camarade disparue, et son complice Léo. A mesure que chacun sort de l'ombre et que les sentiments se dévoilent, le mystère se fait plus opaque, les interrogations émergent. Nolan, l’élève atypique passionné par les fourmis, en sait-il plus qu’il ne le prétend ? Monsieur Lebreton, leur jeune et charmant professeur de philosophie, serait-il impliqué ? Et quel lien existe-t-il entre cette obscure disparition et la jolie Belinda, secrétaire au service d’un redoutable avocat d’affaires de Deauville ? Dans cette course contre la montre, où chaque minute compte, Clara va découvrir que nul n’est vraiment celui qu’il prétend être et que certaines vérités gagneraient à rester cachées… pour le bien de tous.

01/2022