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La nuit mexicaine

Extraits

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Policiers

La Nuit rouge

Jean-François Coatmeur est l'un des rares romanciers français qui puisse être comparé aux grands auteurs américains de thrillers. Un style vigoureux et concis, un sujet captivant, un rythme rapide, un suspense constant sont les atouts majeurs de l'ouvrage qu'il signe aujourd'hui. L'action de La Nuit rouge se déroule à Brest, dont l'auteur recrée l'atmosphère avec un étonnant brio. L'assassinat d'un étudiant est le point de départ d'une intrigue où vont s'affronter des aristocrates décadents, de jeunes intellectuels et des tueurs qui ont pignon sur rue. Tout cela est mené tambour battant et avec une force peu banale par un professionnel dont le palmarès est prestigieux : Grand Prix de littérature policière (Les Sirènes de Minuit) et Prix Mystère de la critique (La Bavure).

02/1984

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Littérature française (poches)

Ouvert la nuit

Tout ce qui s'était passé à Paris pendant mes années d'absence confirmait la révolution des moeurs amorcée en 1917. Une génération revenait de la guerre, écourée d'hier, curieuse de demain, de ceux qui sauraient l'expliquer à elle-même, lui révéler le monde nouveau, lui faire l'inventaire géographique de son logis, la planète.

12/1987

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Littérature française (poches)

La Longue nuit

Indestructible Sibilla ! Vers 1980, si longtemps après leurs jours de gloire, son amant repose sur un catafalque, dans une villa au bord du lac de côme. C'était le Commandant, un des plus grotesques hiérarques du fascisme mussolinien. Sous les yeux d'un journaliste, toute une nuit, elle fait revivre va mettre en scène, l'épopée sinistre et bouffonne, l'ascension et la chute, la gloriole et la peur, des pantins à la chemise noire. Victime triomphante, Sibilla fait défiler un inoubliable cortège : le méhariste, l'apoplectique, la Diva, le grand acteur, l'aumônier nazi, le roi en exil, l'éditeur castriste, l'infirmière helvétique. Aussi énorme et caricatural qu'un film de Fellini.

04/1990

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Littérature étrangère

MarÂia la nuit

Les hommes demeurent souvent étrangers aux territoires amoureux des femmes. Quand Antonio rencontre Maristella, il ne peut imaginer jusqu'où la liberté de cette jeune femme peut l'entraîner, vers quelles souffrances, quelles violences il pourra dériver face à la sensualité si naturelle qui caractérise cette Latino-Américaine aussi belle qu'imprévisible. Et pourtant il la suivra, l'espace de quelques mois, comme si sa situation sociale alors instable l'autorisait à quelques fantaisies, quelques interrogations, telle une avancée dans l'irrationnel, l'incontrôlable. Maristella aime, totalement et sans notion de choix, de préférence ou d'engagement. La changer serait la perdre et Antonio, l'intellectuel, l'universitaire ambitieux, ne pourra échapper à l'éternel dilemme : reprendre les rênes de sa vie, imposer ses règles, sa jalousie et voir disparaître celle pour qui la liberté ne peut être altérée - ou donner aux territoires amoureux leur juste valeur, tendant inévitablement à la démesure.

07/1998

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Littérature française

La longue nuit

Oui, la science avait été dite. Elle avait fait fi des émotions, des supplications du patient : "Docteur, faites que je revoie, car j'ai une femme jeune et des enfants en bas âge. Ils ont besoin de moi pour les accompagner dans la vie". Mais rien n'y fit, la décision divine avait été prise et relayée par la science : Moutoufa ne verrait plus. Il ne verrait plus les différents visages de la nature, les fleurs et leurs belles couleurs, la verdure, le soleil levant et le soleil couchant, l'arc-en-ciel, la mer, les montagnes... ni vous, pâles étoiles, messagères lointaines au sein du firmament, ni toi, belle Lune, qui le faisait tant rêver au coeur des nuits d'été... ni toi, Soleil, déployant ta terreur et tes bienfaits sur la nature et les hommes. Il ne verrait plus le visage joyeux d'un enfant qui rit ni celui de ses enfants, comme les différents visages de l'innocence, du bonheur. Il ne verrait plus les yeux de l'aimée ni de sa mère. Il ne verrait plus l'élégance naturelle de nos femmes ni leur démarche significative. Ha ! A présent, tout le monde était beau pour lui, pourvu qu'il y ait le coeur dans le geste et dans la parole. L'espace lui était fermé, le temps inexistant...

11/2017

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Beaux arts

La nuit sexuelle

Quand on sonde le fond de son cœur dans le silence de la nuit on a honte de l'indigence des images que nous nous sommes formées sur la joie. Je n'étais pas là la nuit où j'ai été conçu. Une image manque dans l'âme. On appelle cette image qui manque " l'origine ". Nous cherchons cette image inexistante derrière tout ce qu'on voit. Je cherche à faire un pas de plus vers la source de l'effroi que les hommes ressentent quand ils songent à ce qu'ils furent avant que leur corps projette une ombre dans ce monde. Si derrière la fascination, il y a l'image qui manque, derrière l'image qui manque, il y a encore quelque chose : la nuit. Il y a trois nuits. Avant la naissance ce fut la nuit. C'est la nuit utérine. Une fois nés, au terme de chaque jour, c'est la nuit terrestre. Nous tombons de sommeil au sein d'elle. Comme le trou de la fascination absorbe, l'obscurité astrale engloutit et nous rêvons en elle. Et si c'est par la nuit qui est en nous, interne, que nous nous parlons, c'est dans la nuit externe, quotidienne, qui semble à nos yeux venir du ciel, que nous nous touchons. Enfin, après la mort, l'âme se décompose dans une troisième sorte de nuit. La nuit qui régnait à l'intérieur du corps se décompose à son tour dans un effacement que nous ne pouvons anticiper. Cette nuit n'a plus aucun sens pour s'aborder. C'est la nuit infernale. Ainsi y a-t-il une nuit totalement sensorielle qui précède l'opposition astrale du jour et de la nuit. Nous procédons de cette poche d'ombre. L'humanité transporta cette poche d'ombre avec elle, où elle se reproduisit, où elle rêva, où elle peignit. Elle pénétra irrésistiblement dans les grottes obscures où elle tourna son visage vers des écrans blancs de calcite sur lesquels des images involontaires surgissaient et se mouvaient par la projection de la flamme d'un flambeau. Des millénaires passent: Elles continuent de défiler dans des salles étranges, édifiées dans le sous-sol des villes, où la ténèbre n'est plus divine mais produite artificiellement. Pascal Quignard.

09/2007

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Romans historiques

La nuit italienne

Rome, 1924. Dans une Italie mise au pas par Mussolini. Giulia, treize ans, se heurte à une adolescence fasciste, " pli " qu'elle refuse de prendre. Sensible à la peinture, à la littérature, rebelle à toute autorité, elle se met dans des situations impossibles que goûte peu son entourage. Quelques années plus tard, évoluant dans le milieu de l'art dominé par la singulière Margherita Sarfatti, maîtresse du Duce, son impulsivité et son irrespect de la hiérarchie lui joueront des tours. Déchirée entre son amour pour un peintre antifasciste et son irrépressible attraction pour le puissant ministre Italo Balbo, dans un climat propice aux pires excès, la jeune femme sera confrontée aux plus terribles figures de ce temps. Avec une liberté de ton et un humour qui n'ôtent rien à la force des faits historiques, ce roman nous plonge dans les coulisses du pouvoir de la Rome des années 1930 : celle de la bohème artistique, mais aussi de la propagande et des chemises noires, des bains de foule et de la guerre d'Ethiopie, alors que se précise sur l'Europe la menace de l'Allemagne nazie...

04/2006

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Littérature française

Betty, la nuit

La vraie vie de Betty commence le jour où son mari la quitte. Jusqu'alors, elle jouait les épouses dévouées dans l'ombre d'un respectable notable de province. Désormais, tout s'ouvre à elle... en même temps que tout s'effondre. En arrivant à Paris, Betty, assoiffée de liens et de nouveaux repères, s'enfonce dans une nuit inconnue et dangereuse. Récit glaçant et émouvant d'une descente aux enfers, Betty, la nuit raconte, à la manière d'un suspense, l'engrenage psychique d'une femme que la solitude et le divorce mènent aux confins de la folie. L'écriture tendue de la scénariste et réalisatrice Marina de Van donne à ce roman sombre la dimension d'une expérience intérieure troublante.

02/2018

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Littérature française

Dissiper la nuit

Le chagrin est souvent bruyant. Il y a aussi des chagrins discrets. C'est le chagrin des anonymes, celui des destins minuscules. Léone et Félix ont perdu leur fils unique à la guerre. Sans rien comprendre à leur drame intime, Louis, leur petit-neveu, les regarde vivre. Indifférent, voire un peu goguenard... jusqu'au jour où il découvre des lettres. Entre nostalgie et humour, le parcours initiatique d'un jeune garçon confronté à la douleur des autres.

04/2018

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Littérature française

La nuit introuvable

Nathan Weiss vient d'avoir quarante ans lorsqu'il reçoit un appel d'une inconnue : sa mère Marthe souhaite le revoir en urgence. Cette mère, voilà quatre ans, depuis le décès de son père, qu'il s'efforce de l'oublier. Ce n'est pas un hasard s'il s'est expatrié jusqu'en Slovénie. Il va pourtant obéir et revenir à Paris. Sa mère a changé : elle est atteinte d'Alzheimer et ne le reconnaît presque plus. Nathan apprend alors que Marthe a confié huit lettres à sa voisine, avec pour instruction de les lui remettre selon un calendrier précis. Il se sent manipulé par ce jeu qui va toutefois l'intriguer dès l'ouverture de la première enveloppe. Ces textes d'une mère à son fils, d'une poignante sincérité, vont éclairer Nathan sur la jeunesse de Marthe, le couple qu'elle formait avec son mari Jacques, la difficulté qu'elle avait à aimer ce fils envers qui elle était si froide. Tandis qu'il découvre ce testament familial, Nathan se débat avec ses amours impossibles, sa solitude, ses fuites. Et si la résolution de ses propres empêchements de vivre se trouvait dans les lettres que Marthe a semées pour tenter de réparer le passé? Dans ce premier roman, d'une écriture sensible et poétique, Gabrielle Tuloup décrit l'émouvant chassé-croisé de deux êtres qui tentent de se retrouver avant que la nuit recouvre leur mémoire.

02/2018

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Littérature française

La nuit sauve

Pour solder la fin des cours, au début de l'été 1988, dans une vallée reculée du Québec, des adolescents se sont donné rendez-vous à la lisière d'un champ de maïs. Un feu de joie, du rock à plein volume et plusieurs motos garées près de la ferme voisine. Avec intensité, Hélène Frédérick profite de cette nuit blanche pour faire un portrait libre de cette jeunesse à travers les regards alternés de Fred - l'exclu écorché vif -, de Mathieu - le playboy contrarié -, et de Julie - la mélancolique jouisseuse. Leurs corps tournoient entre deux âges, se perdent dans la pénombre, se jalousent de loin, s'attisent de plus près, mais on pressent qu'un drame va se produire. De cette rage de vivre, restera l'éclat persistant de quelques "étoiles filantes" à qui ce roman est dédié.

02/2019

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Littérature française

Vers la nuit

"Céline. Parler de lui ? Tout a été dit ou presque sur l'écrivain. Qu'on l'aime ou qu'on le déteste, il est là. Incontestable, même lorsqu'il est contesté. Parler pour lui ? Fendre le masque marmoréen du monument, tenter de regarder l'homme derrière, de capter un filet de voix mourante ? Non, il ne s'agit ni de parler pour lui ou comme lui, mais de parler avec lui. Foin du marbre, de la grande statue dont l'ombre elle-même est si immense qu'elle écrase tout. Chair à chair, pour une fois. Se glisser dans les interstices, chercher à les remplir comme le ferait un ami venu le visiter en toute humilité, l'ami fût-il anonyme. Rester au chevet du malade, auquel le temps paraît bien court – et une éternité, pourtant. Nauséabond, soit. Jusqu'à l'os, parfois. Propre sur lui, rarement. Probe, à sa façon, certainement, vulnérable toujours : Céline, tel qu'en lui-même, tel que je le vois, dans sa nuit, la dernière." Isabelle Bunisset.

01/2016

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Théâtre

Soudain la nuit

Les heures glissent sur moi. Je dors dans des hôtels aux abords des aéroports. Le soleil ne se couche jamais. J'ai traversé la terre. Planté cent drapeaux. Conquis des partenaires locaux. Sans armes. Les armes restent en Europe, dans un coffre-fort au siège de la maison-mère : un miroir et une épée. Ma voix est douce et précise. J'évite les mots négatifs. Je regarde les gens en face. Après la signature, j'assiste à des danses traditionnelles. J'arrache des cœurs en voie de développement. Je vends de l'espoir. Au Sud surtout. Un dealer est un dealer. Le produit est accessoire. Que l'Esprit soit avec vous. J'ai entendu la voix qui annonçait la descente et j'ai senti un poids m'entraînant vers le sol.

06/2015

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Essais généraux

Osons la nuit

Une ode à la nuit noire, mieux la ressentir pour mieux la préserver. Ballet nutritif des chauves-souris, chant nuptial des grands ducs, perspective vertigineuse de la voûte céleste, bioluminescence des créatures des abysses... C'est un spectacle tourbillonnant de vie qui se déroule dans les coulisses de la nuit, ce moment sacré, propice aux principales activités de la faune sauvage : accouplement, chasse, pollinisation... La nuit n'est pas le monde des humains ! Pour capter sa magie, il faut savoir faire preuve de patience, mettre ses cinq sens en éveil et, surtout, laisser place à l'obscurité. Car, si notre peur du noir nous incite à tout illuminer, la pénombre demeure une condition vitale à l'équilibre fragile des écosystèmes et à notre propre santé. Zoologiste suédois de renommée internationale, Johan Eklöf nous invite avec passion et onirisme à nous réconcilier avec l'obscurité. Sous sa plume, la nuit s'enchante et nous dévoile toute sa beauté et sa poésie. A la croisée de la biologie, de la philosophie et de l'écologie, ce récit nous ouvre grand les portes d'un monde fascinant. Il ne tient qu'à nous de le découvrir, de le comprendre et de le ressentir, pour mieux le protéger. Une vulgarisation scientifique immersive, qui nous apprend à combiner notre besoin de lumière avec le besoin vital d'obscurité de la nature. Oser vivre l'obscurité pour mieux préserver le vivant.

10/2022

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Littérature française

Disperser la nuit

"? Le camouflage sera parfait. Ils n'y verront que du feu. Personne ne se doutera que derrière la silhouette anodine d'un promeneur, je tenterai bientôt de voler des âmes pour sauver la mienne. ? " Ainsi s'ouvre Disperser la nuit, tandis que le narrateur commence, avec son seul appareil photo, une bien étrange quête de lui-même et du monde. Au coeur de celle-ci émerge l'ombre discrète et mystérieuse du Surgün Photo Club. Une association, conduite et fréquentée par des immigrés, où l'on explore, au fil d'expériences variées, les pouvoirs de l'image et de l'action photographique. 5 destins se déploient alors entre exil et survie, entre roman de formation et quête mystique, au gré desquels, à chaque fois, la photographie vient jouer un rôle singulier.

03/2022

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Littérature française

Après la nuit

Jacques est l'un de celles et ceux, hommes, femmes, urbains, ruraux, black, blanc, beur ou autre, désignés parfois sous le vocable de déclassés sociaux. Lui habite une ville non identifiée située au nord de la Loire, un lieu qu'il ne nomme jamais autrement que "Grand Nord" . Il entreprend de raconter les derniers mois de son existence à sa nouvelle compagne. L'hiver précédent, la vie de ce quadragénaire solitaire et sans le sou basculait lors d'une étrange nuit. Fuir ce "Grand Nord" , partir pour ne pas sombrer... Jacques peut-il croire au mythe du voyage rédempteur ? Road trip et satire sociale, "Après la nuit" est aussi une ode au sensible, à l'échange, à l'esprit d'aventure, de solidarité, de lutte, à la Terre, au vivant et à l'humanisme.

02/2023

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Théâtre

Passer la nuit

Depuis un événement tragique qui l'a rendue orpheline, Alice vit chez sa tante. Elle a une cousine du même âge, Coline, à qui elle pourrait se confier, mais Alice ne se confie à personne. Certains mots en sa présence sont interdits ; elle prend des douches plusieurs fois par jour ; elle a des crises d'eczéma ; elle ne supporte pas la foule. La journée, elle la passe enfermée dans sa chambre ; la nuit, comme les chats, elle ne dort pas. Jusqu'au jour où elle annonce à sa cousine, stupéfaite, qu'elle a décidé de partir trois semaines pour le Groëndland.

03/2021

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Poésie

La nuit spirituelle

Je décidai d'écrire un poème si beau qu'il l'obligerait à revenir vers moi.

04/2013

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Littérature française

La nuit italienne

1924, Rome. Dans une Italie où le succès de Mussolini ne fait que croître, la jeune Giulia, 13 ans, refuse de rejoindre les jeunesses fascistes. Indisciplinée, elle défie les règles édictées par sa famille bourgeoise et se lance à corps perdu dans sa passion pour l'art et la littérature. Devenue journaliste pour Margherita Sarfatti, la redoutable maîtresse du Duce et la femme qui domine tout le milieu de l'art italien, Giulia se trouve partagée entre son amour pour un talentueux peintre antifasciste et son attirance pour le sensuel et dangereux Italo Balbo, ministre proche de Mussolini. Alors que le monde est sur le point de basculer, la jeune femme aura besoin de toute sa détermination pour naviguer au coeur des heures les plus sombres et dangereuses de l'histoire.

03/2021

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BD jeunesse divers

La villa nuit

Mais où a-t-elle donc pu passer, cette chenille que Jean avait pourtant soigneusement gardée dans une boîte ? Le jeune Jean, entre rêve éveillé et réalité onirique, mène une drôle de vie, double. Celle du jour, où il faut se lever, se brosser les dents, aller à l'école, prendre le goûter en écoutant de la musique, en somme une journée normale. Et celle qui commence à la nuit tombée, lorsqu'il ferme les yeux, allongé dans son lit. Toutes les nuits, dans ses rêves, sa maison s'anime et le petit garçon peut communiquer avec elle, du plus petit objet qu'elle abrite aux murs qui la composent. Mais depuis que cette chenille demeure introuvable, tout se met à disparaître au fil des nuits, des meubles aux objets qui lui sont les plus précieux. Jean est très inquiet... Un doute plane, est-ce que tout finira par disparaître ? Difficile, cependant, de régler ce problème de disparition quand l'enquête ne peut se faire qu'au moment du sommeil. "Que se passe-t-il ? Pourquoi suis-je seul ? Pourquoi les objets parlent-ils ? Comment puis-je tenir cette larme dans ma main ? " Autant de questions que se pose Jean alors qu'il découvre qu'on peut faire ce que l'on veut en rêve, et que le vide n'est pas la porte de la peur mais la porte ouverte à tous les possibles

02/2023

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Mondes fantastiques

La longue nuit

Mira a un rêve : devenir la première femme enquêtrice du royaume. Mais pour cela, elle doit réussir l'épreuve de la longue nuit, un rite qui permet à chacun de gagner sa place dans la société. L'enjeu est de survivre une nuit entière dans la forêt interdite et de trouver une fleur de Lune... Mira n'est pas au bout de ses surprises, car les secrets de la forêt vont bien au-delà de cette terrible initiation.

04/2022

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Littérature française

La nuit barbare

Nostalgie jubilatoire des années 1970 et 1980, enfance, adolescence d'un enfant issu de l'immigration, trajectoire d'un voyou studieux, enfant de la République, rat de bibliothèque, dansant, chantant, maltraité, abusé. D'oeuvre en lecture, du Caravage à Flaubert, de Dalida à Mozart, le narrateur se figure en écrivain. L'auteur se livre à l'exercice de l'autoportrait. Exilé dans le microcosme normand où les ombres hostiles des hauts-fourneaux côtoient les silhouettes consolatrices des abbayes, il crée son territoire. La génération des soeurs aînées fut sacrifiée. Que deviendront les autres, après lui, ces héritiers en déshérence ? Zadig Hamroune, d'un geste rapide, résilient, compose une fresque où la vie s'anime. Le temps n'absorbe rien, l'écriture griffe le béton. Ecrire pour survivre. Normand d'adoption, kabyle d'instinct, Zadig Hamroune se passionne très tôt pour la danse, l'art lyrique et la poésie. Après une carrière d'enseignant d'anglais et de traducteur, Zadig Hamroune se consacre à l'écriture. Il publie deux romans remarqués, Le Pain de l'Exil (Editions de La table Ronde, 2015) et Le Miroir des Princes (Editions Emmanuelle Collas, 2019). Très attaché aux questions interculturelles et à la problématique LGBT, il milite pour Act Up, Le Refuge et s'intéresse de près à l'Islam progressiste. Il participe à de nombreuses résidences d'écriture, anime des ateliers d'écriture créative, travaille à un projet de Festival à Ouistreham, dont la première édition verra le jour en octobre 2023. Il se consacre également à l'écriture dramatique et prépare une pièce en collaboration avec Marie-Armelle Deguy, Karine Saporta et Marie-Agnès Gillot. La Nuit barbare est son troisième roman.

04/2023

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Littérature française

La nuit transfigurée

Cette nuit est celle de la mélancolie, de sa traversée et de sa transfiguration. C'est une histoire d'amour, de résurrection racontée sans emphase mais non sans humour. Et c'est une histoire vraie.

04/2021

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Poésie

Brûler, la nuit

Un recueil enflammé au goût de révolte Ce recueil propose des poèmes au parfum d'oliviers et de fleurs d'immortelle de Corse. Chaque vers offre une dichotomie entre un ancrage enraciné et un souffle d'évasion salutaire. La plume timide s'émancipe progressivement du regard des autres. La petite fille devenue adulte a ouvert les yeux sur le monde, le constat est amer : elle est une femme dans un monde d'hommes. De ce postulat naît le grondement de la révolte : le vers, parfois politique, dénonce l'absurdité et la violence de notre société néolibérale. La posture est foncièrement antifasciste alors que le monde semble céder aux sirènes des nationalismes. Dans ce recueil percutant, la poésie se fait la soeur d'encre de la lutte. Sous les cris de barricades, les poèmes célèbrent l'amour, quand tout autour de nous hurle la haine ; pour honorer le feu et la révolution. Tantôt fébrile, tantôt volcanique, la poétesse nous embarque dans une bataille féroce, délicate et salvatrice.

06/2023

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Science-fiction

La nuit aveuglante

"J'ai perdu l'habitude d'avoir peur dans le noir, et je ne crains jamais de perdre ma route. Tous les chemins mènent à mon désespoir."

03/2014

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Littérature française

Maman, la nuit

"Maman a disparu. C'est pas simple. Il a fallu le redire plusieurs fois, décomposer la phrase, la prendre et la secouer. Maman a disparu. Quelle folie de phrase. Si je la chuchote, les larmes me montent et me brûlent, si je la prononce avec une voix de fer, comme un vieux robot fatigué, ma-man-a-dis-pa-ru ma-man-a-dis-pa-ru, ça me fout la chair de poule et l'impression d'une catastrophe planétaire imminente. Si je la crie, si je la jette loin sur les routes, en plein coeur de ces villes qui scintillent et grincent sous ma peau, si je la crie si fort que ma voix casse, alors je crois que ce n'est plus vraiment triste. Pas aussi triste que ça. Je dirais plutôt affolant. Sidérant. Ou encore stupéfiant. Voilà. C'est affolant sidérant stupéfiant et ça me rend le coeur dingue, et étrangement vivant aussi". ? ? L'enfant écoute tout, observe tout, et avant toute chose sa mère, une fascination qui oscille entre haine et passion, dont on sent le danger, la menace, la violence des sentiments. C'est une enfant sage, étrange. Elle a grandit robuste, comme une mauvaise herbe. Elle sent, perçoit, palpe, traque, à l'affût, toujours tapie. Un jour, sa mère disparait. Alors, que va-t-elle devenir ?

03/2023

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Théâtre

La Nuit séculaire

"Cette "nuit séculaire" est celle du 31 décembre 1899 au 1er janvier 1900. Plus précisément, semble-t-il, qu'entre 1900 et 1901, elle lève le rideau (puisqu'il s'agit d'une pièce de théâtre) sur le XXe siècle. Dans la totale obscurité qui pèse sur le nord de la Scandinavie aux environs du solstice d'hiver, des "personnages fantastiques" vont entrer dans les temps modernes. Le plus fabuleux de ceux-là est la baronne Björn, Barbro, qui se rappelle avoir été enlevée et violée en 1799 par Axel de Fersen, dont elle a une fille, Lovisa, laquelle mourra en scène à l'âge de quatre-vingt-dix-neuf ans pour s'y retrouver vivante à l'âge de treize ans et prédire quelques événements grands ou petits du nouveau siècle... Dans la confusion des temps, les marins du croiseur Aurora sont les témoins de l'Histoire, qui, selon la jolie formule d'André Breton, "tombe à côté, comme la neige"". André Pieyre de Mandiargues.

04/1979

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CD K7 Littérature

Cette nuit-là

Près de dix ans après la publication de L'Ile des oubliés, Victoria Hislop redonne vie aux personnages qui ont ému plus d'un demi-million de lecteurs français. Le 25 août 1957, la colonie de lépreux de l'île de Spinalonga ferme ses portes. Maria retourne à Plaka, en Crète, avec son mari, le docteur Kyritsis. Mais alors que la soirée de célébration pour fêter leur retour bat son plein, sa soeur Anna est assassinée par Andreas, son mari, lorsqu'il découvre qu'elle a pour amant son cousin Manolis. Ce drame aura des effets dévastateurs pour toute la communauté de Plaka. Manolis quitte la Crète pour la Grèce ; loin de son île, il s'efforce de se reconstruire. Andreas tente d'expier son crime en prison. Maria, quant à elle, choisit le chemin du pardon en rendant visite à Andreas. C'est ce drame qui révélera finalement Manolis, Maria et Andreas à eux-mêmes.

05/2021

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Thrillers

La nuit russe

Hugo et Stan se sont rencontrés sur les bancs du collège. Ils ont grandi ensemble, dans l'évidence d'une amitié que rien ne devait briser. Au début de leur carrière, ils partent en Russie, invités par le gouvernement désireux de mieux faire connaître le pays aux jeunes talents venus de toute l'Europe. Quinze ans plus tard, Hugo est ministre de la Défense, Stan son plus proche conseiller. Lorsque ce dernier refuse de livrer des informations sensibles sur les relations de la France avec l'Ukraine, le secret d'une nuit russe resurgit, et lui fait tout perdre. Mais lorsque Hugo est nommé Premier ministre et lui demande de l'accompagner à Matignon, Stan sait qu'il s'agit de sa dernière chance de comprendre ce qu'il s'est passé... Une intrigue aux petits oignons qui fait froid dans le dos ! Bruno Corty, Le Figaro littéraire. Une plume efficace et sobre. Sophie des Déserts, Paris Match. Le bureau des légendes de Gilles Boyer. Ludovic Vigogne, L'Opinion.

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Poésie

La nuit amère

Dix suites composent ce livre : " Creuse-nous ", " Ce que disent peut-être les mains ", " Quinze traces à peine visibles ", " Les feuilles le savent bien ", " Voyelles pour Anise ", " Tombeau pour la unième nuit ", " Sept ou la face cachée du dé ", " Des poèmes que les oiseaux ont bus ", " Une trace scintille dans le vide ", " Des poèmes émiettés ". Les dédicaces de ces différences suites précisent le paysage mental dans lequel elles se situent : Paul Celan, Roberto Juarroz, Anise Koltz, Salah Stétié, Fernand Verhesen. Une galaxie de poètes venus de cultures très différentes, que caractérisent tous pourtant un même souci de l'intensité et de la brièveté. Les poèmes de ces dix suites s'inscrivent eux aussi dans cette recherche, mais y ajoutent une dimension paradoxale qui apparaît déjà dans leurs titres : celle du jeu. " Sept ou la face cachée du dé ", ce titre est révélateur. Car les chiffres ne sont pas que sur les dés, ils sont aussi dans le nombre des traces, dans le nombre des voyelles, dans le nombre des nuits. Et ce ne sont pas seulement les dés qui ont à nous dire leurs secrets, mais les mains, les feuilles, les oiseaux, les traces, les miettes. Ce secret, nous ne pouvons l'entendre. Le poème multiplie alors les interrogations pour essayer de l'obtenir. Mais les interrogations, on le sait, n'obtiendront pas de réponses et il n'est d'autre issue que de faire des suppositions : " peut-être " devient alors le mot clé qui ouvre dans le réel l'immensité des possibles. Comme un jeu d'allusions infiniment démultipliées.

05/2023