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Le nom du Père. Un récit métissé

Extraits

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Psychologie, psychanalyse

UN PERE. Puzzle

Un père. L'article indéterminé du titre pourra paraître paradoxal quand on sait que l'auteur est la fille du psychanalyste Jacques Lacan. Précisément, Sibylle Lacan expose dans ce titre le parti pris qui fut pour moi, non de l'homme en général, et encore moins du psychanalyste. La relation de n'importe quelle fille à son père porte toujours en elle un petit coin d'enfer. mais ce qui atteste de cette détresse quand le temps passe, c'est l'amour blessé au lieu même de notre langage. C'est pourquoi ce livre ne peut être défini comme un roman ou une autobiographie mais comme la volonté forcenée d'expression et d'authenticité mais comme la volonté forcenée d'expression et d'authenticité par laquelle une femme conquiert sa propre langue.

09/2006

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Théâtre

Le père de l'enfant de la mère ; Sur la côte sud

Ce diptyque théâtral réunit deux récits familiaux, portés par la figure de Frida. La jeune enfant, figure muette mais toujours présente, provoque chez ses parents un besoin d'amour exclusif. Derrière l'apparente légèreté des échanges domestiques se déploie une chorégraphie de possession de l'enfant, avec chantage affectif et recherche permanente d'ascendant sur l'autre parent. Si la première pièce se concentre sur le trio père-mère-enfant, la seconde élargit le cercle familial aux grands-parents, à qui Elle et Magnus rendent visite pour les vacances au bord de la mer. L'insistance à affirmer le bonheur d'être là révèle peu à peu un profond malaise. Alors que les pleurs de la grand-mère semblent taire un terrible secret, Magnus décide de partir seul avec Frida sur la côte sud. Les compositions de Brattberg, musicien de formation classique, s'illustrent par la finesse d'un rythme syncopé, avec ses jeux d'échos et e ses silences. Une écriture musicale qui gagne en efficacité dramatique par son économie de mots Les mêmes scènes se répètent, avec de légères variations, où viennent se nicher, par la mise à distance et la dérision, la tension familiale et les obsessions individuelles.

11/2020

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Beaux arts

Correspondance Matisse/Rouveyre

De 1905 à 1954, Henri Matisse (1869-1954) et le dessinateur et écrivain André Rouveyre (1879-1962) ont échangé près de 1 200 lettres, billets, télégrammes, principalement à partir de 1941 lorsqu'ils se trouvèrent l'un et l'autre repliés dans le Midi. Cette extraordinaire correspondance, parfois bi-journalière, toute imprégnée de la totale confiance qui règne entre les deux artistes, de leur humour, de leur intimité, concerne aussi bien les problèmes de la vie quotidienne que les projets et réalisations en cours. Apparaissent également divers personnages de la vie artistique et littéraire, tels Apollinaire, Marie Dormoy, Florence Gould, Albert Marquet ou Paul Léautaud, ami de longue date de Rouveyre. De nombreuses lettres de Matisse et une centaine de ses enveloppes sont ornées de dessins. Certains préfigurent ceux qui illustreront les Poèmes de Charles d'Orléans, les Amours de Ronsard ou Repli - roman de Rouveyre ; d'autres concernent l'une de ses dernières réalisations, la chapelle du Rosaire à Vence, pour laquelle il exécuta non seulement les vitraux et les décorations en céramique mais aussi les costumes ou objets liturgiques... Près de deux cents lettres ou enveloppes de Matisse choisies parmi les plus exceptionnelles sont ici reproduites en couleurs. Les lettres de Rouveyre sont quant à elles souvent accompagnées de photographies ou de croquis - plans de ses divers domiciles, dessins humoristiques, copies de dessins de Matisse, etc. En 1953 et 1954, André Rouveyre a fait don à la Kongelige Bibliotek de Copenhague de toutes les lettres qu'il reçut de Matisse de 1941 à 1954, période où leur correspondance fut la plus dense. Les quelques lettres antérieures ont été remises à la bibliothèque littéraire Jacques Doucet, à Paris. Celles d'André Rouveyre sont conservées aux Archives Matisse.

05/2001

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Littérature française

Henri Matisse, roman

Lorsque Aragon publie son Henri Matisse, roman, c'est l'aboutissement d'un projet, né trente ans plus tôt, de la rencontre entre l'écrivain et le peintre. Rencontre passionnelle et bouleversante. De 1941 à 1971, Aragon médite son Henri Matisse, roman qui donnera naissance à un livre d'art en deux tomes dont nous reprenons le texte et les images dans leur intégralité, les 551 documents d'origine étant reproduits ici en noir et blanc. Cette longue maturation aboutit à une richesse exceptionnelle dans la variété des genres. Aragon confronte son propre travail d'écrivain à celui du peintre dont il s'est assigné pour tâche de faire le portrait. "Ceci est un roman, c'est-à-dire un langage imaginé pour expliquer l'activité singulière à quoi s'adonne un peintre ou un sculpteur, s'il faut appeler de leur nom commun ces aventuriers de la pierre ou de la toile, dont l'art est précisément ce qui échappe aux explications de texte." Aragon.

10/1998

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Santé, diététique, beauté

Ma maladie, l'épilepsie : récit d'un destin brisé. Ou Au nom de mon fils

En 2016, Nadia Aït-Chadi découvre avec stupeur le lien potentiel d'un médicament, prescrit contre son épilepsie, avec le décès de son enfant, neuf ans plus tôt ; elle décide alors d'entreprendre un long et douloureux travail de catharsis. Naviguant entre l'Algérie et la France, elle nous entraîne dans le récit authentique de sa vie, de sa naissance dans un petit village kabyle, son enfance et sa jeunesse entre malice, rébellion et désillusions, à sa vie de femme et au drame qui a anéanti ses espoirs d'être mère. Loin d'être larmoyant, ce témoignage met également en lumière l'incompréhension à laquelle se heurtent trop souvent les épileptiques. Décidée à explorer les rouages d'un destin cruel, Nadia Aït-Chadi, à travers cette démarche, cherche à trouver des réponses à ses " pourquoi ? ".

01/2021

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Réalistes, contemporains

Le regard d'un père

Un fils porte un regard sur la relation qu'il a avec son père ; sur cet homme dont il espère la reconnaissance ; sur lui-même, devenu père à son tour. Le regard d'un père est le travail le plus personnel de l'auteur, un récit où l'émotion contenue au fil des années se libère avec pudeur et sincérité.

03/2021

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Littérature française

Le coeur d'un père

1656. Rembrandt est l'artiste le plus célèbre et le plus reclus de Hollande. Calomnié, endetté, renfrogné, le vieux peintre n'en fait qu'à sa tête. Les bourgeois ne veulent plus de ses bizarres portraits, il marche au bord du gouffre. Solitaire, le génie ? Pas tout à fait. Il vit avec Titus, son fils, un adolescent de 16 ans. Voilà qu'une lettre arrive : les créanciers du grand peintre sont à bout, s'il ne s'acquitte pas de ses dettes avant une semaine le tribunal lui retirera son fils pour le placer dans un orphelinat. Mais un miracle pointe : la ville d'Amsterdam commande de toute urgence à Rembrandt ce qui pourrait être la plus grande toile de sa vie, vingt-cinq mètres carrés de couleur. Une semaine de création effrénée va commencer. Mais Titus, lui, réclame de l'amour à son père. Quelles privations le chef-d'oeuvre exige-t-il ? L'artiste est-il prêt à lui sacrifier son fils ? Ces sept journées décisives, c'est Titus qui les raconte. Et c'est peut-être une histoire d'amour.

03/2022

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Histoire internationale

Au nom du père. Les années Bush et l'héritage de la violence éducative

Après le traumatisme du 11 septembre 2001, les Américains ont suivi l'administration Bush dans sa volonté d'augmenter les dépenses militaires pour contrer la "menace terroriste" et attaquer l'Irak afin de faire main basse sur les richesses pétrolières. Les tortures d'Abu-Ghraib et de Guantamano ont montré à quelles extrémités le pouvoir alors en place à Washington était prêt à céder pour parvenir à ses fins. Tant d'animosité belliqueuse va pourtant au-delà des appétits d'une ploutocratie a priori insatiable : il y a d'autres motivations plus profondes. Le livre de Marc-André Cotton est une brillante enquête, toujours claire et précise, à la recherche de ces motivations inavouées, au sein de la caste dirigeante américaine comme dans la population si prompte à accepter de voir ses libertés bafouées au nom d'une prétendue "sécurité". Victimes des schémas de soumission installés dans l'enfance par la violence de leur éducation, les Américains n'ont pas su s'opposer à la brutalité que leurs dirigeants entendaient mettre en oeuvre sur la scène internationale. Nos comportement d'adultes remontent en effet à l'enfance, lorsque pour survivre, nous étions forcés de nier notre conscience face à des parents et des éducateurs refusant d'être remis en cause.

11/2013

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Religion

En suivant les Pères... Vie et oeuvre du père Georges Florovsky

Le Père Georges Florovsky (1893-1979), après quelques années d'enseignement à Paris, fit la plus grande partie de sa carrière aux Etats-Unis où il enseigna dans les plus prestigieuses universités (Harvard, Cambridge, Princeton...). Unissant une vaste érudition, un attachement profond à la tradition ecclésiale, un souci de répondre aux problèmes contemporains et un sens aigu du dialogue avec les autres confessions chrétiennes, il est considéré comme l'un des plus importants théologiens orthodoxes de notre temps. En France pourtant, son oeuvre volumineuse, écrite majoritairement en russe et surtout en anglais, n'a que très peu été traduite. En proposant vingt-cinq de ses articles en traduction française, ce volume entend combler cette lacune. Ecrits entre 1927 et 1967, centrés sur les thèmes majeurs de la pensée de Florovsky, ces articles gardent un caractère actuel, car les problèmes qu'ils ont affrontés continuent à exister, et les solutions qu'ils proposent sont toujours pertinentes. Ils sont précédés d'une longue étude de Jean-Claude Larchet qui constitue un livre en soi. Après une présentation détaillée de la vie de Florovsky, cette étude analyse les principaux thèmes de son oeuvre et évalue son influence au cours des cinquante dernières années.

08/2019

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Beaux arts

Henri Matisse. Le laboratoire intérieur

Catalogue officiel de l'exposition Henri Matisse, le laboratoire intérieur du 2 décembre 2016 au 6 mars 2017 au musée des Beaux-Arts de Lyon. Une grande rétrospective consacrée à Henri Matisse (1869-1954) se tient au musée cet automne. Artiste reconnu pour ses peintures au chromatisme vibrant et éblouissant, Matisse s'est aussi adonné à la pratique du dessin, discipline quotidienne qui lui a permis de conquérir la plus grande liberté. L'exposition retrace, autour d'environ 250 oeuvres, l'épanouissement de son oeuvre dessiné autour de quelques séries : les académies, les dessins au pinceau fauves de 1905-1906, le travail du portrait dans les années 1910, les "Cinquante dessins" ingresques de 1919-1920, annonçant les odalisques de la période niçoise, les dessins au trait transparents de 1935-1937, aussitôt suivis de grands fusains longuement travaillés en 1938-1939, la "floraison" des Thèmes et Variations en 1941-1942 et les derniers dessins au pinceau monumentaux des années 1947-1952. Le travail de dessin de Matisse est cependant si étroitement lié à sa peinture, à sa sculpture, comme bien évidemment à sa pratique de graveur, qu'il ne saurait être regardé séparément. Il devance, prépare, accompagne et prolonge toutes les autres pratiques de Matisse. Autour de quelques motifs et de quelques figures de modèles, qui constituent autant de dossiers rythmant l'exposition, un certain nombre de peintures et de sculptures majeures sont ainsi mises en relation avec leur environnement dessiné ou gravé, comme elles le furent autrefois dans l'atelier. Le musée avait déjà présenté les oeuvres de Matisse conservées au Centre Pompidou lors de sa réouverture en 1998, et rend, par cette exposition, un nouvel hommage à l'artiste qui en 1941, subit une opération à Lyon. Matisse en ressortira "ressuscité" , riche d'une énergie nouvelle, comme en témoigne l'épanouissement de son oeuvre à venir. Particulièrement attaché à la ville, Henri Matisse donnera au musée des Beaux-Arts un ensemble de dessins de la série Thèmes et variations et de livres illustrés, qui complètent aujourd'hui, au sein des collections, deux peintures majeures (1946). Les liens de l'artiste avec Lyon seront présentés, en continuité de l'exposition, dans les collections modernes du musée. Coédition Editions Hazan/musée des Beaux-Arts de Lyon.

12/2016

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Policiers

Un nom de sang

Italie, 1605. Pour Michelangelo Merisi da Caravaggio qui n'est encore qu'un jeune artiste, Rome est la ville des ruelles sombres, des combats au couteau et des prostituées. Un monde qui est son quotidien, jusqu'à ce qu'il soit chargé de peindre le portrait du Pape. Caravage gagne alors ses entrées dans le cercle intime de la famille Borghese et devient l'artiste le plus célèbre de Rome. Mais sa personnalité bouillonnante et sa représentation de la Vierge Marie comme une simple paysanne scandalise la haute société. Discrédité, Caravage se bat en duel et tue un gentilhomme. Michelangelo est contraint de s'enfuir à Malte. Mais il est dangereux de naviguer dans les eaux troubles du pouvoir, de l'Inquisition et des manipulations. Et un jour, le Caravage disparaît.

03/2014

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Littérature étrangère

Un nom de Torero

Les 63 pièces d'or de la collection du Croissant de Lune Errant ont été volées par les nazis. Après quarante ans de sommeil, à la chute du mur de Berlin, elles réapparaissent en Patagonie et la course poursuite commence entre la Lloyd Hanséatique et les anciens agents de la Stasi. La Lloyd a un atout majeur : Juan Belmonte. Il porte un nom de torero et un lourd passé de guérillero de toutes les révolutions perdues de l'Amérique latine. La Lloyd ne lui a pas laissé le choix : partir à la recherche des pièces d'or ou perdre Verónica, son unique raison de vivre, brisée par la torture. Dans cette course au trésor en Patagonie, Belmonte retrouve un Chili où le poids du silence n'a pas enterré la profonde humanité des habitants du bout du monde. Luis Sepúlveda montre une fois encore qu'il est un extraordinaire raconteur d'histoires.

03/2017

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Photographie

Marseille de nos pères

Photographe renommé de l'après-guerre, le père d'Hélène Tabès, Jean Ribière, a séjourné à Marseille dès 1942, réalisant de saisissants clichés de la ville occupée, dernières images avant la tempête des destructions allemandes et des bombardements alliés. À la même époque, le père de Silvie Ariès, né aux Chartreux, se rêvait capitaine au long cours, ce qu'il serait un jour avant de devenir pilote des ports de Marseille. Leurs filles réunissent leurs souvenirs de la cité phocéenne dans ce livre qui déroule les images pas si lointaines d'une ville aux dimensions d'une poignée de villages. Gouailleur et chaleureux, le peuple de la plus ancienne ville de France prend le visage d'un vieux marin raccommodant ses filets, d'une habile santonnière ou d'une marchande de jujubes... C'est le Marseille de nos pères, à la réputation déjà sulfureuse, mais où il est si heureux de vivre.

10/2014

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Littérature française

Mon père, ma mère et Sheila

C'est l'album d'une famille, issue d'un milieu populaire, avec ses codes, ses tabous, ses complexes, son ignorance, ses contentieux, dans les années 70 et 80. Le narrateur y raconte son enfance solitaire au milieu des turbulences. Pour son entourage, il a des goûts bizarres, des attitudes gênantes, des manières qui provoquent la colère de son père et la désolation de sa mère. Il dessine des robes et coiffe les poupées de sa soeur. Il fait son possible pour ne pas ajouter au malaise. Pour s'échapper, il colle son oreille à son mange-disque. Regarde les émissions de variétés scintillantes... Et admire une célèbre chanteuse dont il aime les robes à paillettes, les refrains joyeux. Il voudrait être elle. Il voudrait être ailleurs. Un premier roman tout en sensibilité sur fond de nostalgie douce amère et d'humour salutaire.

08/2017

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Littérature étrangère

Portrait-robot. Ma mère/Mon père

Résumé de portrait robot mon père : " L'homme que je connaissais ou croyais connaître n'était qu'une part de cet autre que personne ne connaissait. " Comment aimer un père apolitique ", l'écrivain Eberhard Meckel (1907-1969), finalement complice de l'idéologie nazie ? En exécutant sans faillir le portrait d'un être au fil du temps désemparé qui, entre romantisme, idéalisme et catholicisme, fut incapable d'assumer ses contradictions, Christoph Meckel pose aussi la question de l'héritage des pères aux fils après la chute du Troisième Reich. Publiés pour la première fois en diptyque tel que l'imaginait son auteur à l'origine, ces deux récits, écrits à vingt ans d'intervalle, radiographient l'univers intime de l'Allemagne d'hier et le séisme mental auquel son peuple dut faire face. Résumé de portrait robot ma mère : " Je n'ai pas aimé ma mère. " Phrase tabou d'un fils qui déplore la froideur bourgeoise d'une mère au protestantisme prussien. Christoph Meckel dit son manque dans une langue sèche et cassante, reflet de celle qui était sans tendresse ni amour ; une femme prude, égoïste et arrogante dont la violence larvée le conduisit au désenchantement absolu. Publiés pour la première fois en diptyque tel que l'imaginait son auteur à l'origine, ces deux récits, écrits à vingt ans d'intervalle, radiographient l'univers intime de l'Allemagne d'hier et le séisme mental auquel son peuple dut faire face.

01/2011

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Autres personnages

Grand-mère et grand-père Pompon

Miffy aime rendre visite à ses grands-parents. Quand son grand-père lui fabrique une magnifique trottinette en bois, Miffy est folle de joie. Elle s'amuse dans le jardin, puis prépare une surprise pour sa grand-mère. Ils goûtent tous ensemble, mais le temps passe vite en si bonne compagnie, il est déjà l'heure de rentrer pour Miffy, qui s'en va sur sa trottinette flambant neuve ! Miffy est née le 21 juin 1955, lorsque l'artiste hollandais Dick Bruna a dessiné pour la première fois ce personnage pour divertir son jeune fils lors de vacances pluvieuses en Hollande. S'en suit alors une série de livres aux illustrations simples et aux textes en rimes qui explore toutes les thématiques universelles de l'enfance. Ce personnage, véritable oeuvre d'art, a immédiatement valu à Bruna une reconnaissance internationale en tant qu'auteur et artiste. Les dessins se caractérisent par des formes simples (très arrondies) et des aplats de couleur entourés d'un épais trait noir. Il utilise très peu de couleurs par planche, et quasiment uniquement le blanc, le bleu, le vert, le rouge, le jaune, le marron et le noir. 65 ans plus tard, les livres de Miffy se sont vendus à plus de 90 millions d'exemplaires et sont actuellement publiés dans plus de 50 langues.

03/2022

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Policiers

Les péchés de nos pères

Lorsque Michael Cooper arrive à Durham pour accompagner son père mourant, il ne connaît presque rien de la ville. C'est pourtant là que se trouve le berceau de sa famille, là qu'il est né. Et c'est là qu'il va découvrir une information troublante sur sa naissance. Et celle-ci n'est qu'un des nombreux secrets familiaux, qui tous semblent liés à la destruction du quartier noir de la ville haut lieu de la culture afro-américaine, à la fin des sixties, ainsi qu'à un meurtre jamais élucidé. L'assassinat d'un homme, la mort d'un quartier, la disparition d'une culture, Michael va devoir faire toute la lumière sur ces événements s'il veut lever le voile qui recouvre son identité.

04/2014

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Littérature française

La légende de nos pères

Après avoir été journaliste à la Voix du Nord, Marcel Frémaux est devenu biographe familial. "Toute vie mérite d'être racontée" , disent ses publicités, et c'est pour cela que ses clients se confient à lui. Il les écoute, met en forme leurs souvenirs, les rédige puis fait imprimer un livre destiné aux amis ou au cercle familial. Un matin, Lupuline Beuzaboc se présente au biographe. Tescelin, le père de Lupuline, ancien cheminot du Nord de la France, était un Résistant, un partisan de l'Armée des ombres. Dédaigneux des hommages, il n'a raconté sa bravoure qu'à sa fille. Alors, pour ses 85 ans, Lupuline veut offrir à son père les mémoires de son combat. Elle veut ramener son passé glorieux en pleine lumière. Le vieil homme est réticent. Embarrassé. En colère même de tout ce tapage. Et puis il accepte. Marcel Frémaux va s'atteler à cet ouvrage avec passion. Pierre Frémaux, son père, fut un Résistant. Comme le vieux Beuzaboc, un partisan de l'Armée des ombres, silencieux et dédaigneux des hommages. Mais son père n'a jamais rien raconté. Et il est mort, laissant son fils sans empreinte de lui. En écoutant Beuzaboc, c'est son père que le biographe veut entendre. En retraçant sa route, il espère enfin croiser son chemin. Mais rien ne se passe comme il le pensait. Et plus Beuzaboc raconte, plus le doute s'installe. C'est par une poignée de mains, que le biographe et le vieil homme avaient scellé leur pacte de mémoire. Ensemble, ils franchiront les portes de l'enfer.

08/2009

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Théâtre - Pièces

La guerre de nos pères

C'est l'histoire de Leïla et de Bogdan, qui s'aiment depuis toujours. C'est l'histoire de Douchenkha et des enfants qui grandissent toujours trop vite. C'est l'histoire de Vlada, qui voulait juste parler avec les oiseaux. C'est l'histoire d'un gamin qu'on envoie au front commettre les pires horreurs et qui ne deviendra jamais un homme. C'est l'histoire d'une guerre qui ne dit pas son nom. Une guerre absurde, comme toutes les guerres.

04/2024

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CD K7 Littérature

Les crimes de nos pères

Une nouvelle enquête pour la procureure Rebecka Martinsson. Saura-t-elle faire la part des choses entre ses sentiments personnels et son jugement professionnel ? Prix du meilleur polar suédois 2021.

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Romans policiers

Les crimes de nos pères

Sur une petite île du nord de la Suède, on découvre coup sur coup deux cadavres. Si le premier décès est récent, l'autre remonte à plus de cinquante ans. Quel est le lien qui les unit ? Et où s'arrêtera le sinistre décompte ? Criminalité organisée, escroquerie immobilière, prostitution : Rebecka remonte une piste aux ramifications multiples, loin d'imaginer qu'elle va lui révéler de terribles secrets sur l'histoire de sa propre famille. Une écriture puissante, des paysages impressionnants et un sens du suspense glaçant ont fait d'Asa Larsson une figure incontournable du polar scandinave. Trois fois récompensée par le Prix du meilleur polar suédois, traduite dans trente pays, elle poursuit sa série culte dans les pas de son héroïne Rebecka Martinsson. Attention, risque d'addiction. Véronique Fouché, librairie Les Mots retrouvés (Vitry), Pages des libraires. Traduit du suédois par Anne Karila.

11/2023

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Histoire du droit

Récit de la fondation de Notre-Dame de Long-Pré

Récit de la fondation de Notre-Dame de Long-Pré... Date de l'édition originale : 1731 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

07/2021

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Littérature française

Nom de noms. Roman de nouvelles

Au début (de ce roman), il y a Rien. Rien avec une majuscule, un nom propre mais pas commun, un nom difficile à porter. Il y a aussi Personne, mais elles sont deux, Aimée et Désirée, et s'entêtent à devenir quelqu'un d'autre. A la fin (de ce roman), il y a Lediable, Mme Lediable, une femme qui fait dans le détail, scrute les consciences et sait manigancer les âmes. Entre les deux se mêlent de curieuses histoires, lignes de vie de personnages touchés parla malédiction ou la grâce de porter un nom qui semble déterminer leur destin, bousculer leurs désirs et encourager leurs penchants. Certains subissent, d'autres résistent ou parfois en jouissent. Mensonges anodins, belles impostures, tentations vénales, envies de meurtre... Nom de noms c'est surtout l'histoire d'un crime parfait, inattendu, comme l'écriture seule ose en imaginer.

03/2021

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Littérature française

Mon père, ma mère, mes tremblements de terre

"Est-ce que, sur la table de chirurgie, mon père ressent le chaud, le froid ? Allez savoir. Dans la salle d'attente, ma mère porte sa chemise saharienne et le soleil blanc tape doucement sur les fenêtres. L'air est doux. Un air qui n'a rien à voir avec la mort, les drames. Ici, ce n'est pas un drame. C'est autre chose qui se passe." Dans cette salle, Charlie, quinze ans, patiente avec sa mère. Bientôt, son père sortira du bloc. Elle s'appellera Alice. Durant ce temps suspendu, Charlie se souvient des deux dernières années d'une vie de famille terrassée. Deux années de métamorphose, d'émoi et de rejet, de grands doutes et de petites euphories. Deux années sismiques que Charlie cherche à comprendre à jamais. Tandis que les longues minutes s'écoulent, nerveuses, avant l'arrivée d'Alice, Charlie raconte la transition de son père. Sans rien cacher de ce parcours plus monumental qu'un voyage dans l'espace, depuis le jour de Pâques où son père s'est révélée. Où, pour Charlie, la terre s'est mise à trembler. Julien Dufresne-Lamy signe un cinquième roman doux et audacieux, profondément juste, sur la transidentité et la famille. La bouleversante histoire d'amour d'un clan uni qui apprend le courage d'être soi.

08/2020

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Littérature étrangère

Une odyssée. Un père, un fils, une épopée

Lorsque Jay Mendelsohn, âgé de quatre-vingt-un ans, décide de suivre le séminaire que son fils Daniel Daniel consacre à l'Odyssée d'Homère, père et fils commencent un périple de grande ampleur. Ils s'affrontent dans la salle de classe, puis se découvrent pendant les dix jours d'une croisière thématique sur les traces d'Ulysse. A la fascinante exploration de l'Odyssée d'Homère fait écho le récit merveilleux de la redécouverte mutuelle d'un fils et d'un père.

09/2017

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Foucault

Foucault en Californie. Un récit inédit

Un soir de mai 1975, le philosophe Michel Foucault contempla Vénus s'élever dans le ciel étoilé au-dessus du désert des Mojaves, dans la vallée de la Mort, en Californie. Quelques heures auparavant, il avait ingéré une dose de LSD offerte par les jeunes hôtes américains qui avaient organisé pour lui un road trip hors du commun. Ce fut une nuit d'hallucination et d'extase, qu'il décrira comme l'une des " expériences les plus importantes de [sa] vie ", ayant bouleversé son existence et son oeuvre. Cet épisode, rapporté par certains biographes, a longtemps été sujet à caution, considéré comme tenant davantage de la légende que de la réalité. C'était avant que ne soit redécouverte une archive étonnante : le récit détaillé de cette aventure, consigné à l'époque par Simeon Wade, le jeune universitaire californien qui avait entraîné l'auteur de l'Histoire de la folie dans cette expérience psychédélique. Demeuré inédit pendant plus de quarante ans, ce document original, mêlant anecdotes et dialogues, peut aussi être lu comme un texte littéraire, la chronique d'une excursion où se noue une amitié et d'où resurgit l'esprit d'une période. L'auteur de l'Histoire de la folie dans cette expérience psychédélique. Demeuré inédit pendant plus de quarante ans, ce document original, mêlant anecdotes et dialogues, peut aussi être lu comme un texte littéraire, la chronique d'une excursion où se noue une amitié et d'où resurgit l'esprit d'une période.

02/2021

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Japon

J'ai épousé un maître de Nô. Du Liban au Japon, récit autobiographique

Ce récit est une histoire de résilience. L'auteure raconte comment elle a échappé à la guerre civile libanaise, en 1976 à l'âge de 18 ans, comment elle a intégré une tradition séculaire en épousant au Japon un maître de Nô, Naohiko Umewaka, dont la lignée remonte à plus de 600 ans et comment elle a participé à faire connaître le théâtre Nô dans le monde entier. Elle nous introduit dans l'univers du Nô, la plus ancienne tradition théâtrale du Japon. Elle raconte comment son mari a participé au renouveau de cette tradition en créant de nouvelles pièces. Elle relate les défis culturels et conjugaux auxquels elle a été confrontée et son expérience de mère de deux enfants biculturels. Ce livre chaleureux nous fait partager l'histoire d'une femme qui, dans un contexte difficile, trouve son chemin avec créativité et persévérance. Il témoigne de la culture Japonaise en profondeur et pose un regard lucide sur les différences culturelles au sein d'un monde globalisé. Cet ouvrage est un récit qui décrit la rencontre de deux cultures opposées et qui nous fait découvrir le monde du théâtre Nô de l'intérieur. Madeleine Abdel-Jalil, issue d'une vieille famille de chrétiens d'Orient, raconte comment, fuyant à la guerre civile libanaise en 1976, à l'âge de 18 ans, elle a rejoint sa soeur installée au Japon puis intégrée une tradition hiérarchisée en épousant un maître de Nô, Naohiko Umewaka, dont la lignée remonte à plus de 600 ans. Elle nous introduit dans l'univers du Nô, une tradition théâtrale japonaise créée au XIV° siècle, et nous éclaire sur ses concepts philosophiques et esthétiques. Son mari, Naohiko, est un pionnier dans l'introduction de nouvelles pièces de Nô, collaborant avec des artistes étrangers et mêlant tradition et modernité esthétique. L'auteure a trouvé sa voie en participant à ce renouveau, en organisant des représentations au Japon et dans le monde entier, et en initiant un large public à l'esthétique et aux subtilités du Nô. Madeleine Umewaka raconte également les défis auxquels elle a été confrontée, son expérience de mère de deux enfants biculturels, et comment elle a amené sa mère atteinte de la maladie d'Alzheimer, du Liban au Japon où elle a bénéficié de soins attentifs et de l'empathie des Japonais. Ce livre chaleureux, dont une première version est parue au Japon en 2019, nous fait partager l'histoire d'une femme qui, dans un contexte difficile, trouve son chemin avec créativité et persévérance. Il témoigne de la spécificité japonaise en profondeur et pose un regard lucide sur les différences culturelles au sein d'un monde globalisé.

06/2023

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Théologie

Le récit d'un explorateur. Une théologie territoriale

L'homme raconte dieu en se racontant lui-même et vice versa. Il l'explore en s'explorant lui-même. Il le territorialise en limitant son propre territoire. Dieu est un territoire exploré et raconté, c'est-à-dire un récit d'explorateur et une exploration racontée. La théologie territoriale n'est pas une théologie du territoire mais, dans sa nature et sa méthode propres, elle possède une structure territoriale. Comme mode de penser dieu, elle le déterritorialise et le reterritorialise à travers un langage nouveau, en modifiant la carte linguistique du territoire. C'est une théologie de l'hérésie, de l'expérience particulière et singulière que quiconque a dans son territoire propre et selon son récit. Dieu est toujours explorable, abordé en lettres minuscules, sinon il ne serait pas dieu. Le personnage d'Al Khalil (ou l'ami) est l'explorateur, le théologien par excellence, qui conduit ses divers interlocuteurs vers l'accouchement expérimental et existentiel d'eux-mêmes. Enracinés dans l'amour et la vérité, ses dialogues territoriaux relèvent pourtant d'une dimension kérygmatique. Saturés d'un symbolisme tantôt implicite, tantôt explicite, ils donnent à penser.

07/2021

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Documentaires

Le feuilleton de Tsippora. Un récit biblique en cent épisodes

Murielle Szac relève un nouveau défi : explorer la voix d'une femme de la Bible. Tsippora, épouse de Moshé, femme noire, héroïne moderne, devient le témoin privilégié des plus grands récits de l'humanité.

05/2023

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Littérature française (poches)

Le livre de mon père et de ma mère. Mémorial I

Il demeure dans les replis de notre chair des vestiges de toute notre histoire et de toute l'histoire du monde. Rien ne se perd dans la nature et encore moins dans la nature de l'homme. Sous l'effet de certains traitements appropriés, qui sait si la mémoire d'Adam ou de quelqu'une de nos mères dont il reste en nous nécessairement trace ne s'éveillerait pas ? Au moins, de tout ce que nous avons vécu personnellement depuis notre naissance et même avant, qui représente un passé plus récent, plus immédiat, rien n'est mort tout à fait et si nous nous en donnions la peine. grâce à une lente éducation et à l'aide de pièges, encore à inventer. pourquoi ne serait-il pas permis de ressusciter, une à une, la suite de nos sensations, de nos expériences ?

09/2010