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Jonas Siliadin

Extraits

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Fantasy

Contes et légendes inachevés illustré

Ce recueil de textes apporte un éclairage crucial sur le monde du Seigneur des Anneaux et du Silmarillion, à travers l'histoire de Celeborn et Galadriel ou l'expédition d'Erebor, un exposé sur les Istari, le groupe des Mages auquel appartenaient Gandalf et Saruman, ou encore une description de l'Île de Numenor et des Palantiri ; mais il trouvera également une version en prose de l'histoire des Enfants de Hûrin, et un épisode de la vie de Tuor : autant de textes qui complètent Le Silmarillion et pourraient constituer le " volume zéro " de L'Histoire de la Terre du Milieu, qui s'ouvre avec Les Contes perdus et se poursuit avec Les Lais de Beleriand.

10/2022

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Revues Ethnologie

Barvalo. Roms, Sinti, Gitans, Manouches, Voyageurs... Edition bilingue français-romani

Si les populations romani constituent la plus grande minorité ethnique d'Europe (12 millions de personnes), elles font l'objet, hier comme aujourd'hui, de nombreuses discriminations. Tout en mettant l'accent sur l'antitsiganisme contre lequel toutes luttent, il s'agit cependant ici de faire connaître, d'affirmer et de revendiquer la richesse et la diversité des cultures romani. " Barvalo ", le mot qui donne son titre à cet ouvrage et à l'exposition au Mucem (Marseille) qu'il accompagne, signifie en romani " riche " et par extension " fier ". Il est programmatique et défend, en s'intéressant à l'histoire et à la diversité des populations romani d'Europe, neuf siècles de présence européenne et d'affirmation culturelle. L'exposition comme le livre, entièrement bilingue français-romani, ont été conçus de manière collaborative avec un comité composé de cinq commissaires et quatorze experts d'origine romani (Roms, Sinti, Manouches, Gitans, Gens du voyage/Voyageurs) et non romani, de nationalités et de profils différents. Tous et toutes oeuvrent à ce projet depuis 2018 et ont contribué au livre. Ce catalogue, richement illustré, est découpé en trois grandes parties. La première présente l'ambition du projet : une minorité discriminée, voire persécutée (ce sont 500 000 personnes romani qui ont péri dans les camps nazis), est invitée à prendre la parole. Les directrices et directeur d'ouvrage y présentent la méthodologie de ce travail collaboratif ainsi que les enquêtes de terrain commandées dans ce cadre. La seconde partie s'attache à renverser le regard, par la reconnaissance notamment du rôle des représentations stéréotypées dans la culture et le folklore. Il s'agit également d'affirmer que le temps est venu de valoriser en tant que tel l'héritage et le patrimoine romani. La troisième partie, intitulée " Nous sommes le peuple romani " (Ian Hancock), propose une réflexion contrastée sur les notions d'appartenance et d'identité, au fil de la longue histoire des populations romani en Europe. La présentation de l'installation de l'artiste Gabi Jimenez, le " Musée du gadjo ", est centrale et prend le parti d'inverser la perception du lecteur/visiteur. La " gadjologie ", une science imaginaire et parodique de l'Autre selon la perception romani, que l'artiste met en scène vient ainsi révéler ainsi l'absurdité de l'essentialisation de l'Autre quand elle est poussée à son extrême. Se trouve aussi questionné par ce biais le rôle du musée d'ethnographie comme diffuseur d'une " vérité ". Au fil de l'ouvrage, on trouvera aussi des espaces sensibles et incarnés, avec la parole de quatre personnes vivant en France et appartenant chacune à un groupe romani distinct ; leurs récits personnels et familiaux entrent en résonnance avec une histoire européenne plus large et partagée. Enfin, le livre se clôt par une galerie de portraits de personnalités célèbres et moins connues, témoignant de la richesse des cultures romani et de la fierté des différentes communautés à contribuer à la diversité culturelle des sociétés européennes, afin d'affirmer haut et fort : " Barvalo ".

05/2023

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Autres langues

Le secret du Lez. Edition bilingue français-occitan

Le Lez est le plus petit fleuve côtier de France. Il se situe dans le département de l'Hérault. Il a la particularité d'abriter une espèce de poisson endémique, unique au monde : Le Chabot du Lez. Découvert officiellement en 1964, cet habitant des fonds caillouteux du Lez est classé parmi les 15 espèces menacées d'extinction en France. Il est donc inscrit dans la Convention Internationale "Natura 2000" qui oeuvre pour la protection des espèces animales et végétales d'intérêt communautaire, et des zones qui les abritent. A quelques mètres de la source du Lez, sous les arches du vieux pont, vous pourrez peut-être apercevoir le petit Chabot. Mais qui aujourd'hui connait sa véritable origine ? Pagès, le berger des Cévennes, lui, a une petite idée sur le sujet, voici ce qu'il m'a raconté ... Les es lo flume costièr pus pichòt de França. S'atròba dins lo departament d'Erau. Cò qu'a de particular es de recaptar una espècia endemica de peis, unic au mond : lo cabòt de Les. Oficialament descobèrt en 1964, aquel estatjant dels fons codolós de Les es classat demièg las quinze espècias amenaçadas d'extincion en França. Es donc marcat dins la Convencion Internacionala "Natura 2000" qu'òbra per l'aparament de las espècias animalas e vegetalas d'interès comunautari e de las zònas que las recaptan. A quauques mètres de la font de Les, jot las arcas dau pont vièlh, podretz benlèu avisar lo pichòt Cabòt. Mas quau conois uòi son origina vertadièira ? Pagés, lo pastre de las Cevenas, eu, a una pichòta idèa sus lo sicut. Vaquí çò que me contèt...

01/2020

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Musique, danse

Dix mille et une nuits

Certains ont la bosse des affaires comme d’autres la bosse des maths. Hubert Boukobza a, aussi, celle des relations humaines. Parti de rien, le petit Juif tunisien autodidacte va devenir le roi de la nuit parisienne dans ses plus glorieuses années : la décennie 80, en faisant des Bains, un bar de nuit qui vivotait dans le quartier du Marais, non seulement la boîte où se presse tout ce qui compte de noctambules et de stars à Paris et dans le monde, mais l’emblème même de ces années. A travers le parcours et les rencontres d’Hubert, c’est toute leur démesure, leur énergie, leur magie, leur grandeur et leur décadence que l’on touche du doigt. C’est électrique, à la fois féerique et décadent, ça file à toute allure… Par-dessus le bruit de la musique se murmurent des confidences, se nouent des amours et des amitiés impensables le jour, il y a la fête, les corps collés sur la piste de danse, les liasses de billets et les magnums de champagne, et il y a la poudre blanche, les petits matins blêmes en attendant que la nuit revienne et que ça recommence, la fête, les filles, le champagne, la poudre… Roi aujourd’hui déchu (tout gagner, tout claquer, tout miser de nouveau, en vrai joueur de poker), Hubert raconte, tendre et roué, celles et ceux qui ont fait, avec lui, ces Dix mille et une nuits, de Claude Challe à Jean-Luc Delarue, de Naomi Campbell à Robert De Niro, d’Annie Lennox à David Bowie, de Grace Jones à Christian Lacroix, Azzedine Alaïa, Jack Nicholson ou Mick Jagger…

11/2014

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Archéologie

Dictionnaire amoureux de l'archéologie

L'archéologie fait rêver petits et grands et trouve sa place dans l'imaginaire des films ou des bandes dessinées. Véritable mosaïque, cette science tente de redonner vie à des sociétés très anciennes ou récentes, ayant existé dans le monde entier. Elle s'incarne dans des sites exceptionnels ou dans des traces très modestes, toutes aussi importantes pour comprendre l'humanité. On dit volontiers de l'archéologie qu'elle est passion. Et c'est vrai. L'amour n'est donc pas loin, et il semble donc (presque) simple d'en faire un dictionnaire qui le décline à l'envi ! Elle est aussi science, sérieuse et savante. C'est avec ces certitudes, et avec la conviction qu'il fallait oser, que ce dictionnaire amoureux a été conçu. Un mot le résume sans doute, celui de mosaïque, invitant le lecteur à un regard à deux distances : de près, au niveau de la notice attendue ou qui le surprendra, érudite ou humoriste qui donnera des détails sur un aspect en particulier de l'archéologie ; de loin, à un niveau plus global de l'ouvrage qui lui donnera une vision d'ensemble de l'archéologie telle que l'auteur la vit, l'aime, l'étudie, l'enseigne et la promeut. C'est donc ainsi guidée, que la liste des entrées a été déclinée, de A à Z en n'omettant aucune des lettres de l'alphabet. S'y côtoient donc : Angkor, British Museum, céramique, civilisation, détectoriste, Dieu, Gaulois, Il était une fois l'homme, Jones (Indiana), Lascaux, Néandertal, préfet, Rahan, sexe, Sutton Hoo, Taureau, trous (de poteaux), Xi'an, ZEE, et tant d'autres !

09/2021

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Histoire du cinéma

Cultes ! Cinéma. 100 lieux mythiques de cinéma

Découvrez les secrets des lieux cultes des plus grands chefs-d'oeuvre du cinéma ! Depuis les frémissements du cinéma, les films ont envahi le monde et mis en valeur des endroits parfois inattendus. Chaque lieu de tournage possède en cela des secrets. Ces derniers étant parfois même aussi passionnants que les longs métrage en eux-même. Le cimetière dans lequel se déroule le duel final du Bon, la Brute et le Truand par exemple. Saviez-vous qu'il avait été construit de toutes pièces et qu'aucun corps n'y repose ? Le bus d'Into The Wild, a quant à lui été déplacé afin de dissuader les fans de venir y passer la nuit. De l'histoire de la construction du pont de la rivière Kwaï pour les besoins du film culte du même nom à l'incroyable rencontre derrière le tournage de la dernière scène d'Indiana Jones et la dernière croisade, embarquez pour un tour du monde passionnant en compagnie des plus grandes stars du septième-art. Frissonnez dans la véritable maison hantée d'Amityville et découvrez les terrifiantes anecdotes derrière le tournage d'Apocalypse Now aux Philippines. Visitez l'immeuble de Blade Runner avant de faire étape à Poudlard pour finalement atterrir à Jurassic Park, au beau milieu de l'archipel d'Hawaï. Et si on vous emmenait également dans les coulisses de la construction du village des hobbits du Seigneur des Anneaux ? Réalisé par une équipe de spécialistes de la pop culture, parsemé de nombreuses anecdotes et de photographies, ce livre s'impose comme un périple au fil d'endroits désormais considérés comme d'authentiques marqueurs de l'histoire du cinéma.

10/2021

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Développement durable-Ecologie

A la recherche des plantes oubliées. Eloge de la biodiversité

Si de la roquette se trouve à votre table, alors qu'elle était quasi oubliée depuis l'Antiquité, c'est grâce à lui ! Stefano Padulosi est botaniste-explorateur. Ces trente dernières années, ce chercheur, né à Pompéi, a sillonné le monde entier, du Pérou au Yémen, de la Chine à la Libye, du Zimbabwe à la Slovaquie, à la recherche de légumes et de céréales méconnus ou en voie de disparition. De ses périples qui auraient ravi Jules Verne, il a rapporté la malaria, a échappé à des lions et a cru manger de l'homme ! Mais ces pérégrinations ne furent pas menées pour le seul plaisir de ravir les papilles : l'Arche perdue de cet Indiana Jones est en effet la sauvegarde de la biodiversité - qui est menacée dans nos assiettes. Pourquoi ? À cause de la "Révolution verte", ce bond technologique réalisé dans l'agriculture entre les années 60 et 90, qui a vu la mise au point de nouvelles variétés de céréales à haut rendement, notamment par la sélection génétique. Conséquence : surproductivité et recul des famines, certes, mais aussi fragilité des espèces cultivées et diminution drastique de la biodiversité. Nous ne consommons aujourd'hui que 25 % des espèces végétales connues et 95 % de notre alimentation repose sur trois céréales : le blé, le riz et le maïs. Par ses travaux, Stefano Padulosi a également démontré l'intérêt considérable des plantes négligées, qui sont très résistantes, ce qui peut les rendre indispensables en ces temps de changement climatique.   Dans un récit qui mêle merveilleusement aventures scientifiques et vulgarisation, Stefano Padulosi raconte comment il place son travail au service d'une utopie : rendre le monde meilleur grâce à l'agriculture.

02/2013

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Ouvrages généraux

Imaginer son futur

Imaginer son futur est l'engagement que nous devons prendre si nous voulons envisager un monde meilleur, pour soi, comme pour les autres. Il est même du ressort de chacun de s'engager à inventer ce monde à venir, si nous ne voulons pas qu'un autre le fasse à notre place. Cet ouvrage rassemble un grand nombre de personnalités qui ont cherché à imaginer différemment, à penser autrement le futur et à dessiner leur propre avenir de manière singulière. Qu'ils soient philosophes, activistes, scientifiques, artistes, politiques, architectes ou artisans, chacun a cherché à modifier les lignes de son existence, si ce n'est de son domaine. Car l'imagination se trouve en tout lieu, à chaque instant, dans notre quotidien si l'on veut se donner la peine de s'en approcher. Et c'est de cette imagination que l'on pourra bâtir un monde nouveau. Les témoignages exceptionnels de personnalités aux nationalités multiples, aux savoirs divers, à l'expérience riche, réunies pour la première fois dans un ouvrage ne peuvent nous laisser indifférents. Ils nous inspirent, nous poussent à réfléchir autrement, montrent qu'il existe une multitude d'options possibles pour façonner un monde à venir plus innovant, plus responsable, pour soi comme pour les autres. Avec les contributions de : André Chiang, Cyrille de Lasteyrie, Janas Devan, Seah Chee Huang, Tan Ying Hsien, Nilushika Jayaweera, Nathalie Joffre, Kathirasan K, Peter Lee, Philippe Lemoine, Dave Lim, Eunice Lim, Madame, Moon Ribas, Jens Naumann, King Wang Poon, Nazhath Faheema, Jérôme Ruskin, Harry Seah, Speak Cryptic, Walter Tay, Andrew Tan, Maria Tan, Paul Valin.

04/2021

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Monographies

Dior by John Galliano (édition française). 1997-2011

During his time as a student at London's Central Saint Martins, Gibraltar-born British fashion designer John Galliano worked as a dresser at the National Theatre, learning the art of costume and the power of illusion. As a regular in London nightclubs, Galliano met a coterie of artists and colorful personalities, forging strong ties with kindred spirits who would play a decisive role in his career - among which Stephen Jones, who would become Dior's milliner. Following the success of his own brand (founded in 1984,) he was appointed Creative Director of ready-to-wear and haute couture at Givenchy in 1995, before joining Dior in 1996 as Artistic Director of the women's collections. There, he distinguished himself with his extravagant shows that combined eclectic historical and cultural inspirations - a global kaleidoscope of references and unbridled inventiveness, imbued with romanticism and history. The designer's sensitivity for haute couture know-how and innate sense of the spectacular has garnered him a reputation as a master of the silhouette. John Galliano has truly reinvented the art - and the very role - of haute couture, redefining its tropes into a new type of contemporary fashion that combines the influences of his travels - whether real or born of his imagination - and the bountiful heritage of Christian Dior. This book highlights the exceptional silhouettes he created for Dior collection after collection from 1996 to 2011, through his most emblematic models, as photographed by Laziz Hamani, alongside shots by Steven Meisel, Annie Leibovitz, Irving Penn and Paolo Roversi. This singular odyssey is the fifth volume in a new series of books paying tribute to the House's Artistic Directors.

03/2022

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Littérature française

LES NAUFRAGÉS DU JONATHAN. Tome 2

C'était un gracieux animal, le cou long et d'une courbure élégante, la croupe arrondie, les jambes nerveuses et effilées, les flancs effacés, la robe d'un roux fauve tacheté de blanc, la queue courte, en panache, très fournie de poils. Son nom dans le pays : guanaco ; en français : guanaque. Vus de loin, ces ruminants ont souvent donné l'illusion de chevaux montés, et plus d'un voyageur, trompé par cette apparence, a pris pour une bande de cavaliers un de leurs troupeaux passant au galop à l'horizon. Seule créature visible dans cette région déserte, ce guanaque vint s'arrêter sur la crête d'un monticule, au milieu d'une vaste prairie où les joncs se frôlaient bruyamment et dardaient leurs pointes aiguës entre des touffes de plantes épineuses. Le museau tourné au vent, il aspirait les émanations qu'une légère brise apportait de l'Est. L'oeil attentif, l'oreille dressée, pivotante, il écoutait, prêt à prendre la fuite au moindre bruit suspect. La plaine ne présentait pas une surface uniformément plate. Cà et là, elle était vallonnée de bosses que les grandes pluies orageuses, en ravinant la terre, avaient laissées après elles. Abrité par un de ces épaulements, à faible distance du monticule, rampait un indigène, un Indien, que le guanaque ne pouvait apercevoir. Aux trois quarts nu, n'ayant pour tout vêtement que les lambeaux d'une peau de bête, il avançait sans bruit, se faufilant dans l'herbe, de manière à se rapprocher du gibier convoité sans l'effaroucher. Celui-ci, cependant, avait la notion d'un péril imminent et commençait à donner des signes d'inquiétude.

02/2023

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Littérature française

LES NAUFRAGÉS DU JONATHAN. Tome 1

C'était un gracieux animal, le cou long et d'une courbure élégante, la croupe arrondie, les jambes nerveuses et effilées, les flancs effacés, la robe d'un roux fauve tacheté de blanc, la queue courte, en panache, très fournie de poils. Son nom dans le pays : guanaco ; en français : guanaque. Vus de loin, ces ruminants ont souvent donné l'illusion de chevaux montés, et plus d'un voyageur, trompé par cette apparence, a pris pour une bande de cavaliers un de leurs troupeaux passant au galop à l'horizon. Seule créature visible dans cette région déserte, ce guanaque vint s'arrêter sur la crête d'un monticule, au milieu d'une vaste prairie où les joncs se frôlaient bruyamment et dardaient leurs pointes aiguës entre des touffes de plantes épineuses. Le museau tourné au vent, il aspirait les émanations qu'une légère brise apportait de l'Est. L'oeil attentif, l'oreille dressée, pivotante, il écoutait, prêt à prendre la fuite au moindre bruit suspect. La plaine ne présentait pas une surface uniformément plate. Cà et là, elle était vallonnée de bosses que les grandes pluies orageuses, en ravinant la terre, avaient laissées après elles. Abrité par un de ces épaulements, à faible distance du monticule, rampait un indigène, un Indien, que le guanaque ne pouvait apercevoir. Aux trois quarts nu, n'ayant pour tout vêtement que les lambeaux d'une peau de bête, il avançait sans bruit, se faufilant dans l'herbe, de manière à se rapprocher du gibier convoité sans l'effaroucher. Celui-ci, cependant, avait la notion d'un péril imminent et commençait à donner des signes d'inquiétude.

02/2023

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Vie des saints

La découverte de la pierre de Saint Pierre

Si les deux plus grands exploits archéologiques à ce jour sont la découverte de Troie par Heinrich Schliemann et celle de la momie de Toutankhamon par Howard Carter, aucune n'arrive à l'importance que représente l'identification de la tombe de l'Apôtre Pierre par Margherita Guarducci.Lorsqu'en 1939 le Pape Pie XI demanda à être enterré près du compagnon de Jésus, par manque de place, des travaux de sondage furent entrepris sous la basilique. Et c'est lors de ces travaux de préparation qu'un ouvrier a soudain été happé dans l'excavation qu'il préparait : comme dans un film "Retour vers le Futur" sa chute de plusieurs mètres l'a instantanément transporté du XXe au Ier siècle ! Margherita Guarducci, celle qui a réussi l'exploit en 1956 à identifier l'emplacement de l'Apôtre, est également épigraphiste, ce qui l'a définitivement aidée à trouver son chemin dans le labyrinthe complexe de cette gigantesque nécropole romaine dont le Vatican ignorait l'existence.En donnant le contexte historique, le Pr Guarducci raconte elle-même dans ce livre (traduit pour la première fois en français) comment, décryptage après décryptage des graffitis sur les murs, elle est parvenue jusqu'à la dernière demeure de l'apôtre.L'aventure de Margherita Guarducci est digne d'un Indiana Jones : sa découverte sera même reconfirmée au XXIe siècle par des analyses scientifiques complémentaires.Son livre est illustré par de nombreuses photos, documents et dessins uniques qui ont mis un point final aux affirmations de certains archéologues israéliens ayant toujours soutenu que Pierre n'a même jamais mis les pieds à Rome !

04/2024

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Philosophie

L'esthétisme britannique (1860-1900). Peinture, littérature et critique d'art

Corps sensuels et alanguis, harmonie des formes et des couleurs, culte de la beauté et de la sensation : c'est au Royaume-Uni, au cours du dernier tiers du règne de Victoria (1837-1901), que naît l'esthétisme, sur lequel cet ouvrage a l'ambition d'offrir un éclairage pour un public francophone. Courant artistique et littéraire multiple et contradictoire, associé à des peintres tels que Burne-Jones, Leighton, ou Whistler, à des écrivains comme Pater, Ruskin, Swinburne ou Wilde, l'esthétisme est à la fois intrinsèquement britannique - fondé sur un prolongement de l'art préraphaélite et le rejet d'une industrialisation qui a radicalement transformé les paysages et les modes de vie du Royaume-Uni au fil du xixe siècle - et résolument européen, puisant ses sources dans la philosophie allemande et chez des écrivains français comme Baudelaire ou Gautier. Le mouvement esthétique est également trans-artistique et ne saurait se saisir qu'à travers la mise en regard du texte et de l'image - l'étude de l'influence réciproque de la peinture et de la littérature et l'examen d'une critique d'art subjective et créatrice. Ce volume se propose de cerner les contours de ce mouvement polymorphe, qui trouble les genres et les catégories, à travers la traduction richement annotée de quelques-uns des écrits critiques clefs qui en définissent ou en illustrent les principes. La seconde partie de l'ouvrage réunit quatre études rédigées par des spécialistes du champ. Elles portent sur les motifs fondateurs de l'esthétisme et interrogent les rapports inter-artistiques au coeur d'un mouvement qui se situe au seuil de la modernité et dont l'influence excède les frontières strictes du Royaume-Uni.

01/2021

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Musique, danse

Le Biscuit dans la poche

Yvette Horner est un mythe. Depuis des années elle n'a qu'une seule référence: la musique. Un seul combat donner ses lettres de noblesse à l'accordéon. De la France profonde, celle des bals, qu'elle a fait danser pendant des années, aux clubs les plus branchés, en passant par l'Opéra, elle a forcé le respect de tous. De son enfance pyrénéenne, quand, jeune pianiste surdouée, elle est obligée par une mère autoritaire à délaisser le piano pour l'accordéon, à sa consécration sur les plus grandes scènes du monde, son histoire est un parcours du cœur battant. De l'album enregistré à Nashville avec Charlie Mac Coy, le prince de la country, au Jardin secret d'Yvette Horner, album classique mi-piano mi-accordéon de concert, les mélomanes les plus avertis ont salué ce premier prix de conservatoire. Onze fois, elle a forgé sa légende en suivant le tour de France jouant debout sur le toit d'une voiture. Elle est de tous les défis. En 1989, année du bicentenaire de la Révolution, elle joue le 13 juillet à la Bastille avec l'Orchestre national de jazz sous la direction de Quincy Jones. L'année suivante, mise en scène par Yves Mourousi, habillée par Jean-Paul Gaultier, elle relève un nouveau défi et mène une revue au Casino de Paris. Plus tard viendront un duo avec Boy George, la rencontre avec Maurice Béjart et sa participation à Casse-Noisette. Dans son récit, Yvette Horner, tour à tour " Vévette " ou " Notre Dame de l'Accordéon ", raconte à cœur ouvert son parcours exceptionnel, ses joies, ses malheurs, l'amour de la France, l'amour de sa vie, l'amour de la vie.

10/2005

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Histoire internationale

Le Maestro. A la recherche de la musique des camps (1933-1945)

A Barletta, ville du sud de l'Italie, un homme fascinant redonne vie à des musiques oubliées. Depuis plus de vingt ans, Francesco Lotoro, pianiste de formation, recherche puis enregistre avec un orchestre local les oeuvres composées plus ou moins clandestinement dans les camps de la Seconde Guerre mondiale. Cet obstiné de 47 ans, aidé de sa femme et d'une poignée d'amis, a archivé plus de 4 000 partitions, parfois inachevées ou parcellaires. Symphonies, opéras, chansons folk, choeurs religieux, mais aussi swings ou musique rom : les artistes emprisonnés n'ont jamais renoncé à leur liberté créatrice, quitte, pour certains, à le payer de leur vie. L'auteur propose un livre original et d'une grande richesse sur ce sujet méconnu. Les chapitres sur le Maestro et ses aventures parfois rocambolesques alternent avec ceux consacrés à une quinzaine de musiciens martyrs, de toutes nationalités, de toutes confessions. Le lecteur découvre ainsi des personnages d'exception : « Johnny and Jones », duo jazzy du camp hollandais de Westerbork ; le compositeur tchèque Rudolf Karel, dont la dernière oeuvre fut écrite sur du papier hygiénique au moyen d'une écharde noircie de charbon ; le Français Émile Goué, qui dispensa des leçons de solfège à ses camarades de l'Oflag de Nienburg-sur-Weser, le Polonais Jozef Kropinski, qui composa en secret plus de 400 chansons en 1944, caché dans le camp de Buchenwald.De Prague à Cracovie, de Rome à Paris, voici une course contre l'oubli, où chaque note sonne comme un défi à l'oppresseur. Un pan entier de l'histoire de la musique, jusqu'ici laissé sous silence, se dévoile au fil des pages et des partitions du Maestro de Barletta.

10/2012

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Histoire ancienne

Le secret de la roche percée

L’héroïne de ce livre est une Indiana Jones au féminin, une paléontologue franco-brésilienne de renommée internationale : Niède Guidon. À 77 ans, elle se bat pour que l’œuvre de sa vie lui survive : le parc de la Serra da Capivara, au nord-est du Brésil, qui comprend un millier de grottes ornées abritant parmi les plus anciennes traces picturales de l’humanité.Tout commence en 1973, quand Niède Guidon et une équipe d’archéologues découvrent dans cette région sauvage et reculée du Brésil des vestiges attestant une présence humaine. Au fil des ans, le parc révèle ses trésors et les datations se précisent, atteignant au moins 60 000 ans avant notre ère. Une révolution scientifique, car elles contredisent les thèses jusqu’alors en vogue, selon lesquelles l’Amérique a été uniquement peuplée il y a 12 000 ans par des hommes venus par le détroit de Béring. Un choc esthétique aussi, car ces peintures offrent des scènes d’une vitalité bouleversante.Classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco en 1991, ce parc national de 130 000 hectares est aujourd’hui en proie à la convoitise des chasseurs et des propriétaires terriens voisins, qui tentent de détruire les fresques par tous les moyens. Niède Guidon, régulièrement menacée de mort, défend armes à la main ces traces uniques de nos lointains aïeux.Elizabeth Drévillon, qui a consacré à Niède Guidon un documentaire diffusé en 2008 sur France 5, raconte le destin de cette pasionaria de la préhistoire haute en couleur et offre une plongée fascinante dans le Brésil contemporain.Grand reporter, auteur de documentaires primés et rédactrice en chef chez Sunset Presse, Elizabeth Drévillon est aussi l’auteur de Professeur Leca, chirurgien du cœur (Anne Carrière, 2003).

01/2011

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Musique, danse

Route du jazz. Afrique(s), Amérique(s), Caraïbe(s)

ROUTE DU JAZZ Samuel Nja Kwa, Préface de Manu Dibango Editions DUTA, 174 pages, 54 photos noir et blanc, 27 photos couleur, 45 euros ISBN : 978-2-9542391-0-1 Distribution : DAGAN Distribution (info@dagandiffusion. com) ROUTE DU JAZZ raconte l'histoire musicale des Africains. Un point de départ, l'Afrique ; plusieurs territoires au-delà des mers : Les Amériques, les Caraïbes. Ré¬sultat ? Le rythme se multiplie et prend des formes nouvelles là où il renait. Produit d'une synthèse entre la tradition africaine et la création européenne, rendue possible sur le sol américain, le jazz porte en lui les stigmates de l'Histoire. A travers des portraits et entretiens, le photographe Samuel Nja Kwa retrace le voyage du rythme. Des anecdotes, des témoignages personnels, un hommage aux acteurs de cette épopée. LES MUSICIENS QUI FONT LA ROUTE DU JAZZ AFRIQUES Ali Farka Touré, Cheick Tidiane Seck, Doudou Ndiaye Rose, Etienne Mbappé, Femi Kuti, Francis Bebey, Guem, Hugh Masekela, Ibrahim Abdullah, Jean-Jacques Elangué, Lionel Louéké, Malia, Manu Dibango, Miriam Makeba, Ray Lema, Richard Bona, Sandra Nkaké, Seun Kuti, Somi, Tony Allen Toumani Diabaté et Taj Mahal, Zim Ngqawana. AMERIQUES Abbey Lincoln, Ahmad Jamal, Antoine Roney, Archie Shepp, Bennie Maupin, Carlinhos Brown, Cassandra, Wilson, Christian Scott, Danilo Perez, David Murray, Dianne Reeves, Elvin Jones, George Clinton, Gil Scott Heron, Gregory Porter, Herbie Hancock, James Carter, Jimmy Scott, Kenny Garrett, Liz McComb, Maceo Par¬ker, Macy Gray, Mal Waldron, Marcus Miller, Nicholas Payton, Nile Rodgers, Olu Dara, Orlando Poleo, Pharoah Sanders, Randy Weston, Ravi Coltrane, Ray Charles, Rhoda Scott, Ron Carter, Roscoe Mitchell, Sam Rivers, Shirley Horn, Stanley Clarke, Susana Baca, Trombone Shorty, Wallace Roney, Wayne Henderson, Wayne Shorter, Yusef Lateef. CARAÏBES Alain Jean-Marie, Calypso Rose, Courtney Pine, Franck Nicolas, Jacques Coursil, Michel Sardaby, Omar Sosa, Roberto Fonseca.

03/2014

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Pléiades

Théâtre de l'Inde ancienne

Comme l'opéra occidental, le théâtre de l'Inde ancienne est un spectacle total. Il associe tous les arts de la scène. Présence conjuguée de la danse, de la musique et de la poésie ; alternance de la prose et des vers ; alternance des langues aussi : le sanskrit, réservé aux hommes de haut rang, cohabite avec les prâkrits, langues assignées aux hommes de condition inférieure et aux femmes, reines ou déesses. L'intrigue emprunte à trois sources principales : l'épopée - Mahabharata et Ramayana -, les contes, l'histoire. Ici, ni comédie ni tragédie ; c'est l'émotion esthétique, l'émerveillement, qui prime. Ce théâtre se lit comme un poème. Quant à la règle des trois unités, elle n'a pas cours : l'action, multiple, se situe rarement dans un lieu unique, et certaines pièces se déroulent sur vingt années, ou plus. Quant aux représentations, elles peuvent durer plusieurs jours (et plusieurs nuits). Cette étrangeté a enflammé l'Occident. En 1789, William Jones donne la première traduction anglaise d'une pièce indienne, Sakuntala. L'engouement est immédiat. Goethe est envoûté par la jeune héroïne : « Faut-il nommer les fleurs du printemps avec les fruits de l'automne, le charme qui enivre avec l'aliment qui rassasie, le ciel avec la terre ? C'est ton nom que je prononce, ô Sacontala, et ce seul mot dit tout. » C'est le début de la « Renaissance orientale ». La vague d'enthousiasme ne retombera pas : de Schlegel à Apollinaire, en passant par Théophile Gauthier, Gustave Flaubert ou Camille Claudel, tous reconnaissent en Sakuntala l'héroïne romantique par excellence. Désormais, la découverte de l'Inde se confond avec celle de son théâtre, c'est-à-dire avec le genre que les Indiens considèrent comme la forme la plus achevée de leur littérature.

03/2006

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Critique littéraire

Yvain ou le Chevalier au Lion ; Lancelot ou le Chevalier de la Charette. Illustrés par la peinture préraphaélite, Edition de luxe

Composés à la fin du XIIe siècle, Yvain et Lancelot sont les deux oeuvres emblématiques de Chrétien de Troyes. Au fil d'aventures inspirées de la légende arthurienne, les héros de la Table Ronde doivent maintenir le délicat équilibre entre amour courtois et prouesses chevaleresques. Les peintres préraphaélites, notamment Dante Gabriel Rossetti, Edward Burne-Jones ou William Morris, réalisent à la fin du XIXe siècle des oeuvres dont l'intensité, l'émotion et la grâce illustrent admirablement les scènes intimes et épiques des romans de Chrétien de Troyes. C'est l'occasion de redécouvrir au fil d'une promenade enchanteresse deux époques, deux univers unis dans une même quête de valeurs, de beauté et de spiritualité. La recherche de la pureté et de l'émotion, la prééminence du désir et du coeur, la création d'un imaginaire merveilleux et poétique unit Chrétien de Troyes et les préraphaélites au-delà des siècles. Une incarnation intense et poétique des héros mythiques de la légende arthurienne par les peintres préraphaélites. Une iconographie puissante, habitée par le souffle du mythe arthurien, restitue ici toute l'énergie des romans de Chrétien de Troyes, loin de l'inertie des enluminures médiévales. Deux romans d'amour et d'armes, présentés dans une nouvelle mise en page, plus aérée, pour un plus grand plaisir de lecture. Des personnages indémodables : la légende arthurienne inspire tous les arts et tous les âges : de Thomas Malory au XVe siècle au film Lancelot avec Sean Connery, la série télévisée Kaamelot, les Monty Python ou le Merlin de Walt Disney. Au-delà de leur beauté esthétique, le texte et les oeuvres picturales sont emplies de symboles et d'allégories. La contribution de spécialistes reconnus, Philippe Walter et Laurence des Cars, nous éclaire et nous guide pour une lecture multiple de ces chefs d'oeuvres.

10/2014

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Poésie

Infiniment proche et Le désespoir n'existe pas

Né à Paris le 28 juillet 1950, Zéno Bianu est poète, dramaturge, essayiste, traducteur et auteur d'anthologies. Revendiquant une oeuvre multiforme qui ne craint pas de tout interroger, il peut ainsi être lu tout au long de cette anthologie comme celui qui a créé une sorte de poème-randonnée, dont l'architecture d'ensemble, en modulations et variations constantes, invite à reconsidérer la poésie comme une forme ultime d'engagement existentiel. " De la Grammaire des étoiles au Prénom du visage, du Val des merveilles à l'Ile du dedans, entre Invocation et Féerie, entre Virgules du vide et Méditations sur le blanc, avec Artaud, Coltrane et Pollock, avec Roger Gilbert-Lecomte, Brian Jones et Zoran Music, les poèmes recueillis dans Infiniment proche composent une sorte de mandala vivant. Lignes de vie, lignes de coeur, lignes de faille - ils transmettent un horizon. "Dans l'affection et le bruit neufs", définitivement. " écrivait Zéno Bianu dès la publication d'Infiniment proche. Dix ans plus tard, avec Le désespoir n'existe pas, toujours intensément en prise avec le balancier de la vie, il amplifie le pari farouche qui l'engage à transformer le pire en force d'ascension, à tenir parole sans cesser de reprendre souffle. Dans une époque vouée à la déréliction et à un renoncement hypnotique, la poésie de Zéno Bianu s'impose comme une ardente rupture, une submersion féérique. Il est le seul qui ose donner à entendre un Credo où se conjuguent le jazz, la beat generation, le Grand Jeu et l'Orient. Le seul à explorer un espace aimanté par delà le chaos des temps, puisqu'il est, selon Charles Dobzynski : " le saxophoniste couleur blues d'une poésie toujours ouverte sur le large ".

01/2016

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Rémunération

La Rémunération des grands patrons. Halte à la démesure !

Comment sont fixées les rémunérations des grands patrons ? Pourquoi ces retraites chapeau et ces indemnités de départ qui ont tant choqué l'opinion publique ? Au cours des trente dernières années les grands patrons ont-ils mérité leur salaire ? A-t-on réellement rémunéré les grands dirigeants selon leurs performances, leurs retraites sont-elles trop généreuses ? les actions qu'ils ont perçues sont-elles méritées ? les a-t-on indemnisé trop "grassement" lorsqu'il leur a été demandé de partir ? C'est à ces questions que Charles Henri Le Chevalier tente de répondre en s'appuyant sur des exemples vécus, en distinguant les performances et les rémunérations justifiées de certains grands patrons (Essilor International, SEB...) de toutes les dérives auxquelles on a assisté : la rémunération strastosphérique de Carlos Goshn, les indemnités de Patrick Kron lors de son départ d'Alstom, la retraite chapeau annuelle de Lindsay Owen Jones de 3,4 millions d'euros ! Ces rémunérations sont elles légitimes par rapport aux collaborateurs dans l'entreprise à l'heure d'internet où la transparence est de règle ? Au "pas vu, pas pris , pas grave ", succède désormais le "vu, pris, très grave", surtout lorsque le Patron part avec un pactole alors que des plans sociaux se mettent en place dans le groupe. Et pourtant comment ne pas souligner la difficulté de sélectionner le bon dirigeant, celui qui a en main l'avenir de plusieurs dizaines de milliers de salariés ? Comment ne pas reconnaître qu'il doit avoir une rémunération élevée conforme à sa fonction et à ses résultats ? Comment ne pas rappeler que la plupart ont des exigences vis-à-vis d'eux-mêmes et de leurs proches collaborateurs ! Comparées à des stars du ballon rond, à des traders souvent bons mais parfois sans scrupules, au show business, les rémunérations des grands patrons font parfois pâle figure ! Est-ce si normal ?

10/2021

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Science-fiction

Le grimoire

Théophraste est un bibliothécaire dont la seule passion est la lecture. Jusqu'au jour où il rencontre Sandra, une belle bouquiniste dont il est secrètement amoureux. Affligé d'un physique disgracieux il est sans illusions. Voici qu'un dimanche il se rend dans sa boutique, dans l'espoir de la revoir, et, surtout, de trouver un livre rare. La bouquiniste est absente, à sa place officie un mystérieux personnage qui ressemble à un vieux magot chinois. Théophraste tombe en arrêt devant un vieux grimoire, l'ouvre, et ne peut s'arracher à sa lecture. C'est le Chinois qui le referme. Théophraste veut absolument ce livre ; s'ensuit un âpre marchandage. En colère, il demande à voir la patronne. Elle a lu le livre, telle est la réponse énigmatique du Chinois. Finalement, il offre le grimoire, sur la promesse qu'il sera lu. À peine rentré chez lui, il se plonge dans la lecture, quand un phénomène inouï se produit. Les lettres se détachent du livre, l'assaillent, le précipitent sur les pages désormais blanches. Immédiatement, il est transporté ailleurs, se rend compte qu'il a traversé l'espace et le temps, se trouve dans l'Inde antique. Un Jinas le renseigne, pour retrouver son monde, et Sandra, il lui faudra écrire la dernière page du livre. Au cours de ses pérégrinations, il revêt les habits du dieu Yamantaka, et, aussitôt, son physique malingre disparaît, il est l'un des avatars de ce dieu. Mais avant de trouver le livre, il lui faudra empêcher la mort d'un autre dieu, lequel retient la bouquiniste prisonnière au centre d'un mandala. Finalement, il parvient à écrire la dernière page, mais il est renvoyé seul à son époque ! Il ne lui reste qu'une solution : lire à nouveau le manuscrit, afin de retrouver Sandra...

10/2016

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Sports de balle

Broadway Vitas. La vie folle de Vitas Gerulaitis, tennisman et roi de la nuit

Jet-set et match Pratiquer le sport et la fête au plus haut niveau : c'est impossible sur le papier, mais sur les courts de tennis et les pistes de danse, un homme y est parvenu. Il s'appelait Vitas Gerulaitis, il était " Broadway Vitas ". Qualifié de " plus grand playboy de l'histoire du tennis ", Vitas Gerulaitis possédait un charme d'autant plus dévastateur qu'il était flegmatique. Certes, il fut loin d'égaler les monstres de son époque, les Björn Borg, John McEnroe et Jimmy Connors, rivaux devenus amis, mais il cumula néanmoins les victoires, remporta vingt-cinq tournois dont l'Open d'Australie (1977), et atteignit même la place de numéro 3 mondial. Pourquoi " Broadway Vitas " ? Parce que cet Américain à la crinière de lion était une légende des night-clubs, dont le mythique Studio 54 où l'on prêchait la dépense, le rire, la drogue et le sexe. Il côtoyait les Warhol, Saint-Laurent, Stallone, Cher et Jagger, arrosait ses amis de champagne, attirait les femmes et accumulait les amours médiatiques - dont la joueuse Chris Evert, le top model Cheryl Tiegs ou encore l'actrice Janet Jones. Une vie à cent à l'heure qui s'acheva tragiquement. Il avait 40 ans. Le tennis d'aujourd'hui, comme tous les sports de haut niveau, est devenu une profession mathématisée où triomphent la statistique, le contrôle de l'image, le geste " chirurgical " et la décision glacée. Les champions contemporains sont des gens sérieux. Qui riment souvent avec ennuyeux. Ce n'était pas mieux avant, c'était juste plus amusant et plus extravagant. C'est pourquoi Vitas Gerulaitis nous manque. La flambe et la flamboyance, la générosité et l'hédonisme, la passion du jeu et de la jouissance : telles étaient les qualités de cet équilibriste de la vie auquel Florian Gazan donne ici la parole.

09/2023

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Littérature étrangère

Les fantômes des Victoriennes

Parmi les écrivains victoriens (1837-1901) qui se sont frottés au surnaturel, la majorité sont des victoriennes : paradoxe apparent car si une femme dirigeait le plus grand empire du monde, les Anglaises n'avaient encore aucun droit mais seulement des devoirs. La femme dépend de son père jusqu'au mariage (souvent de raison) et de son mari, ensuite, La seule femme libre, dans l'Angleterre victorienne, c'est la veuve - après un deuil éprouvant de trente mois, il est vrai. Le sexe est couvert par l'ombre et le silence. Un extrême suscitant souvent son contraire, l'obligation de neutralité, de dignité, de presque indifférence expliquera le goût inavoué mais très solide des Anglai(se)s pour le dramatique, l'horrible, le sanglant, l'atroce, sous tous ses aspects. Bien moins célèbres que leurs confrères masculins, les Victoriennes, non seulement ne leur sont en rien inférieures mais ajoutent dans leurs récits cette subtilité caractéristique des Anglaises qui ouvrent déjà la voie à ces fameux flux de conscience dont Virginia Woolf sera la maîtresse incontestée. Il s'agit de dire, à mots couverts, de ressentir, nuque baissée ; quoi de mieux alors que le prétexte d'un genre dont le moyen, faire trembler, permet surtout de faire vibrer les régions secrètes, voire impudiques de l'âme, finalité de ces "ghost stories". Ce volume contient : Elizabeth Gaskell, L'Histoire de la vieille nurse ; Mary Braddon, Le Visiteur d'Evelyne ; Amelia Edwards, Salomé ; Rhoda Broughton, L'Homme au nez ; Elizabeth Lynn Linton, Le Destin de Madame Cabanel ; J.H. Riddell, La Vieille Mrs. Jones ; Vernon Lee, L'Amant fantôme ; Edith Nesbit, Les Hommes de marbre ; Clemence Housman, Fourrure Blanche ; Violet Hunt, La prière ; Margaret Oliphant, La fenêtre de la bibliothèque.

05/2000

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Musique, danse

Bowie, les livres qui ont change sa vie

" Cet ouvrage n'est pas consacré à l'histoire de David Bowie. Il en existe déjà beaucoup sur le sujet. Il s'agit plutôt d'un regard sur les outils dont il a usé pour diriger sa vie, ainsi que d'une piqûre de rappel d'une théorie peu en vogue mais que j'ai toujours appréciée : la lecture rend meilleur. " David Bowie, ou David Robert Jones, de son vrai nom, était un lecteur compulsif qui ne se déplaçait jamais sans sa bibliothèque portative. Trois ans avant sa mort, en 2013, dans le cadre de la mémorable exposition qui lui a été consacrée à Londres au Victoria & Albert Museum, il a offert au public une liste des cent livres l'ayant le plus influencé. Dans Bowie, les livres qui ont changé sa vie, John O'Connell a choisi de passer individuellement en revue chacun de ces ouvrages en examinant leur impact sur la vie et l'oeuvre de la star. Dans un premier temps, les titres semblent se succéder comme autant de pièces d'un puzzle insoluble : que viennent donc faire 1984 ou Sur la route à côté des Chants de Maldoror ou de L'Amant de Lady Chatterley ? Fiction, essais, revues de bandes dessinées et autres magazines satiriques... Occultisme, spiritualité, psychologie et histoire de l'art... Le moins que l'on puisse dire, c'est que la liste et les domaines qu'elle englobe sont éclectiques ! Au fil des pages, l'auteur nous abreuve d'indices révélateurs et d'une mine d'anecdotes qui permettent, à défaut de reconstituer le portrait exhaustif d'un artiste complexe et transformiste, de s'en faire une vision un peu plus définie. Un éclairage passionnant sur un esprit curieux, qui a su se nourrir de ses diverses passions pour construire une carrière et une oeuvre devenues cultes.

11/2020

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Littérature étrangère

Jernigan

Les enfants de l'oncle Sam ont mauvaise mine. Ils habitent dans le New Jersey des maisons blanches toutes pareilles. Le week-end, ils font des barbecue-parties autour de la piscine ou tondent la pelouse. Jernigan, lui, regarde pour la 125eme fois le même épisode de Star Trek en buvant une bière, allongé sur un sofa, dans le living de sa voisine. Il attend Dieu sait Quoi. Le quatre juillet, peut-être ? Ce jour-là - Independance Day, la fête nationale américaine -, sa femme Judith s'est tuée et le Dow Jones a atteint son niveau le plus bas depuis la crise de 29. Ce jour-là, sa vie s'est cassée. Depuis, il essaie de recoller les morceaux. Et c'est dur, très dur ! Comme Holden Caulfield, le héros de L'Attrape-Coeur, il monologue, faux cynique cachant sa sensibilité sous une désinvolture apparente. Comme lui, il rêve de se faire ermite au milieu des solitudes du New Hampshire. Oui, mais voilà : Jernigan a la quarantaine, son fils joue des trucs bizarres sur sa guitare électrique (" Hard Rock ? - Arrête, papa, tu n'y comprends rien ") et sa petite amie fait un mauvais trip. Pendant ce temps, l'Amérique glisse doucement vers la fin des années Reagan. C'est le krach de Wall Street et le crack dans la rue, la paupérisation des classes moyennes et la tiers mondisation des pauvres. Où sont passées les couleurs de la vie ? David Gates jette sur tout cela un regard aigu et sensible. Romancier, il est attentif à ce qui se passe entre les hommes et les femmes - attraction-répulsion, love streams, désirs, illusions -, les fils et les pères - amour fou, silences, responsabilités - les mères et les filles - fusion, rivalité, meurtre. Son livre est d'une nudité bouleversante. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par François Lasquin.

02/1993

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Sciences historiques

Histoire des émotions. Tome 1, De l'Antiquité aux Lumières

Après le succè de l'Histoire du corps et de l'Histoire de la virilité, Alain Corbin, Jean-Jacques Courtine et Georges Vigarello dirigent cette très ambitieuse Histoire des émotions en trois volumes, héritière du programme des Annales, de l'histoire des mentalités et de celle des sensibilités, portée par les renouvellements historiographiques les plus récents. Elle réunit pour la première fois les meilleurs spécialistes français et étrangers de l'histoire des émotions, toutes générations confondues. Ce premier volume, dirigé par Georges Vigarello, commence en Grèce avec les larmes d'Achille et le rire de Lysistrata et nous conduit jusqu'à la veille de la Révolution, avec l'invention du sourire dans la peinture. Il nous fait traverser la christianisation des émotions, voyager dans les monastères et les familles du Moyen Age, nous initie aux colères des princes. On y retrouve la culture de cour et la mécanique des humeurs, les passions des mystiques, les douceurs et les douleurs de la mélancolie, les joies de l'amitié avec Montaigne, comme le code de l'honneur des chevaliers. Sans oublier bien sûr les grandes émotions populaires. Directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, Georges Vigarello est l'un des pionniers de l'histoire du corps et de celle des apparences auxquelles il a consacré de nombreux ouvrages. Il a dirigé au Seuil : Histoire du corps et Histoire de la virilité (avec A. Corbin et J.-J. Courtine). Avec les contributions de : Christian Biet, Damien Boquet, Gilles Cantagrel, Bruno Dumézil, Maurice Daumas, Hervé Drévillon, Martial Guédron, Yves Hersant, Sophie Houdard, Christian Jouhaud, Colin Jones, Lawrence Kritzman, Didier Lett, Alain Montandon, Piroska Nagy, Barbara Rosenwein, Maurice Sartre, Laurent Smagghe, Claude Thomasset, Anne Vial-Logeay, Georges Vigarello.

10/2016

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Littérature française

Meurtre à Byzance

Sebastian Chrest-Jones, historien des migrations à Santa-Barbara, disparaît mystérieusement de son domicile et de son labo. Est-il sur les traces d'un ancêtre présumé, parti en 1045 de Vézelay ou du Puy-en-Velay avec la Première Croisade, traversant au XIe siècle ce que l'historien moderne croit être déjà l'Europe ? S'est-il égaré à Byzance ? Pendant ce temps, Santa-Barbara - lieu imaginaire, à moins que ce ne soit n'importe lequel des villages planétaires - est en pleine crise : sectes, mafias, manipulations en tous genres, sans parler d'un serial killer qui sévit dans la ville et signe ses forfaits d'un mystérieux emblème ésotérique ressemblant au chiffre 8. Le commissaire principal Northrop Rilsky, dont les lecteurs de Julia Kristeva ont déjà fait connaissance, est chargé de l'enquête, aidé pour ce faire par Stéphanie Delacour, journaliste à l'Événement de Paris. Il s'efforce de ne pas y perdre complètement son latin et de démêler le double écheveau de cette intrigue : l'histoire de Sebastian, hanté par la figure emblématique d'Anne Comnène - née en 1083, à ses yeux la première intellectuelle de l'Histoire - et l'obscur destin du tueur en série : le purificateur, l'homme secret, étranger parmi les étrangers. Un roman des origines qui permet à Julia Kristeva, pour la première fois, de dévoiler les siennes (bulgares). Tour à tour thriller historique, peinture ironique de nos sociétés modernes, Meurtre à Byzance raconte le destin controversé des migrants, la douleur des étrangers, les guerres qui dressent aujourd'hui encore les uns contre les autres de nouveaux Croisés, avec des clins d'œil sur l'actualité mondiale et parisienne, le terrorisme, une Europe inconnue, la religion et la politique, au présent et au passé.

01/2004

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Religion

Cedrus Libani N°71, Le Sacerdoce.

Editorial - Le prêtre icône du Christ par le Père Antoine Abi Acar Dossier : L e S a c e r d o c e Magistère - Décret sur le Ministère et la vie des prêtres 1965, Presbyterorum Ordinis par le Pape Paul VI . . - Lettre apostolique Ordinatio sacerdotalis sur l'ordination sacerdotale exclusivement réservée aux hommes du Pape Jean-Paul II - La question de l'admission des femmes au sacerdoce ministériel Déclaration de la sacrée Congrégation de la Doctrine de la Foi approuvée par SS. Paul VI, le 15 octobre 1976 Etudes - La théologie de l'Alliance dans le Nouveau Testament par le Cardinal Joseph Ratzinger - Les anciens prêtres et le Nouveau Sacerdoce par le Père Albert Assaf - Identité sacerdotale et sainteté des prêtres par le Père Michael Hull - Proposer l'appel. Le sacerdoce ministériel dans la symphonie des vocations par Anne-Marie Pelletier - Le ministère supérieur de Jésus. Une étude d'Hébreux 7 : 26-8 : 13 par Michael Morrison - Quatrième mystère joyeux par le Père Patrick Nathan -Célibat sacerdotal... Promotion et privilège, bonheur et charisme prophétique par le Père Daniel-Ange Réflexions - Sacerdoce et presbytérat : réponse aux questions d'un lecteur de La Croix par Jonas - Identité sacerdotale et changements culturels par le Professeur Louis Aldrich - Le prêtre et le sacrement de la pénitence par le Professeur Sylvio Cajiao - L'accompagnement spirituel des prêtres : être les pasteurs des pasteurs par le Professeur José Vidamor Yu - Du Pape par le Père Alain Maillard de La Morandais - La consécration sacerdotale du Christ par le Bienheureux Dom Marmion - Sacerdoce ordonné, vocation universelle à la sainteté : deux états de vie aussi irréductibles l'un à l'autre que Baptême et Mariage Portraits - J'ai rencontré un saint : Bernard Violle par Dominique Gervat - Padre Pio - Trois portraits : P. Chaminade, Mgr Reggio, Dom Marmion - Le Père Maximilien-Marie Kolbe - Jean de la Croix ? Prêtre - Saint Charbel Makhlouf - Jacques Bonnet-Eymard, s. j. par le Père Jean Dalmais "Le bon combat" - "Quitte tout, viens et suis-moi" par le Père Mansour Labaky . - Mon ministère. par le Père François Brune - Fidélité spirituelle par le Père Alain Maillard de La Morandais - L'histoire de ma vocation par le Père Pascal Gollnisch - Je suis prêtre du Seigneur par le Père Elie Khaty - Mémoires de Dieu dans ma vie par le Père Yves de Mallmann - Un prêtre catholique dans le royaume "interdit" Interview du Père William Mackey, s. j. Eglises orientales - Homélie XIII. Le sacerdoce de Lévi, et l'ordre de Melchisédech de saint Jean Chrysostome Etc.

09/2005

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Autres

Cités N° 91/2022 : La causalité diabolique. Nouvelles figures

Editorial par Yves Charles ZARKA I – Dossier : La causalité diabolique : nouvelles figures Virginie TOURNAY, Présentation : Le marquage diabolique dans nos sociétés contemporaines Gérald BRONNER, L'anthropophobie : l'humain comme figure du mal contemporain Jacques MAURY DE SAINT VICTOR, Le mal blasphémateur et le retour de l'éloge de la censure Guy SAEZ, Diabolisation et dédiabolisation des cultures populaires Virginie TOURNAY, La plume du diable et les écarts de la nature Janine MOSSUZ, Le diable au corps Virginie TOURNAY, Entretien avec un prêtre exorciste (diocèse du sud-est de la France) Renée FREGOSI, Ces réactionnaires du diable ou le retour des religions séculières Pascal PERRINEAU, Les logiques du bouc émissaire en politique : usages et mésusages de l'anti-fascisme Avishag ZAFRANI, La diabolisation du juif : à partir du sentiment de dépossession II – Vie politique Valérie KOKOSZKA, Les deux sens du califat et la conversion du monde III – Vie intellectuelle Eric MARTY, Jacques Lacan et la question de l'écriture Michel MESSU, Les Studies ou le renoncement aux sciences sociales IV – Varia Romina PERNI, République, usage public de la raison et éducation chez Kant V – Recensions Patrick Desbois, La Shoah par balles, Paris, Plon, 2019, par Marc SAGNOL Thibaud Gibelin, Pourquoi Viktor Orbán joue et gagne. Résurgence de l'Europe centrale, Paris, Fauves Editions, 2020, par Philippe BOULANGER D. Monneron et R.-P. Droit (dir.), Ethique du grand âge et de la dépendance, Paris, Puf, 2020, par Jean-Pierre CLERO R.-P. Droit et C. Jeandel (dir.), Vie bonne et grand âge, Paris, Puf, 2021, par Jean-Pierre CLERO Hans Joas, La Foi comme option, Paris, Salvator, 2020, par Marie-Anne LESCOURRET

10/2022