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Se fédérer ou mourir. La commune de Carthagène et ses mondes, 1873

Extraits

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Littérature française

Un temps pour mourir

Sur le plateau d'une île règne une fragile harmonie. L'arrivée d'un puissant cyclone confronte les habitants d'un village isolé à une nature dévorante. Survivre tient du hasard, de la chance ou de l'exploit. Mais comment se reconstruire après la tempête ?

01/2021

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Littérature française

Ceux qui vont mourir

" Couché dans mon sang... Je me dissous, intoxiqué par des métaux dépréciés, des cristaux d'ombre se nattent et marbrent mes rétines. Je n'ai même pas entendu les détonations... Je voulais être debout et avancer dans les plaies éblouissantes des rafales, chants de sirènes d'avant la porte... Je voulais être debout et la tête à l'envers me sentir choyé par les balles carnivores. Je voulais être debout pour ne pas ramper devant les snipers... " Autobiographie d'un rescapé ? Roman d'un lyrisme absolu ? Hymne à la mort ? Chant de vie, avant qu'elle ne s'éteigne ? Tout cela à la fois, qui vous explose au visage. Les phrases de Paul M. Marchand criblent, fusent, percent, illuminent. Elles défient la raison et la bienséance.

03/2001

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Policiers

Un homme doit mourir

"Décider de tuer un homme n'est pas tout. Encore faut-il choisir le moment favorable et surtout la bonne arme. A ce moment, la question du courage reste secondaire, elle se posera bien assez tôt." Boris, naturaliste, est expert auprès des industriels qui veulent implanter des projets controversés dans certains territoires. Il s'arrange pour que ses rapports ne soient pas défavorables. Autrement dit, il a plus ou moins vendu son âme au diable. Dans un paysage de mer, de dunes et de pins, une villa futuriste et cossue se dresse. Son propriétaire a imposé cette construction dans une nature sauvage, grâce au pouvoir de son compte en banque. Dans cette même contrée, un groupe industriel prévoit d'installer une unité de stockage de matières dangereuses. Pour les opposants, c'est une Zone A Défendre. Une libellule va leur prêter main-forte...

09/2017

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Policiers

Celle qui devait mourir

Au coeur des Etats-Unis, au lycée de Glendale, Josie, Perri et Kat nouent une amitié quasi fusionnelle. L'athlète, l'actrice rebelle et la beauté fatale deviennent bientôt le trio le plus célèbre du lycée. Mais le dernier jour de classe, des coups de feu éclatent. Et quand la police force la porte des toilettes, Perri et Josie baignent dans leur sang tandis que Kat est étendue plus loin, morte d'une balle en pleine poitrine. Qu'a-t-il bien pu se passer pour qu'une telle amitié bascule ainsi dans l'horreur ?

09/2013

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Littérature française

J'aurais préféré mourir

Rose est une jeune femme qui se retrouve enfermée dans une cellule. Afin de pouvoir s'évader, elle flotte dans ses pensées, des plus douces aux plus douloureuses...

10/2018

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Policiers

Histoires à mourir debout

Les nouvelles réunies ici, on le verra, ont pour auteurs, en général, des écrivains bien connus des amoureux de la Série Noire. La Reine de la Nuit n'oublie pas ses vieux copains... et salue les nouveaux.

03/1989

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Policiers

G20 ans OTAN mourir

J'ai vingt ans, blonde et plutôt jolie, d'origine bulgare, jemaîtrise correctement la langue française et pourtant ... je tapinequai des Alpes à Strasbourg. Comme quoi, tout est possible ! Printemps 2009, la capitale alsacienne se dépatouille avec la gestiondu G20 et tout le cinéma lié à ce genre d'évènements. Côté animation, le port du Rhin remporte incontestablement le pompon. Les journaux en font leurs choux gras alors que les vraies menaces planent plutôt du côté du président américain, Barak Obama et de mes compagnes d'infortune, qui elles, se font rétamer par des mystérieux assassins dans l'indifférence générale. Les gendarmes de la section de recherches enquêtent. Ils onturgemment besoin d'une interprète et... c'est sur moi que çatombe ! Oups ! Une enquête haletante où se succèdent à un rythme effréné : situations insoupçonnées, sexe et action.

04/2011

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Policiers

Coin perdu pour mourir

Le fils d'un politicien important meurt après avoir mangé des champignons vénéneux. Un domestique noir, qui a manifestement perdu la raison, est inculpé. Mais Yudel Gordon, le psychiatre de la prison, refuse cette version des événements. Pour prouver l'innocence du simple d'esprit, il se rend dans une ville reculée de province afin d'interroger des parents et des amis de la victime, ainsi que la presse locale. Il doit alors faire face à un milieu hostile, effrayant, meurtrier. Longtemps interdit en Afrique du Sud, "Coin Perdu Pour Mourir" a pour héros Yudel Gordon, un psychiatre attaché à l'autorité judiciaire, découvert dans "La Nuit Divisée" (Rivages/Noir) et retrouvé dans "Le Cercle Fermé" (Rivages/Noir).

06/2010

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Littérature française

Plutôt mourir que faillir

Quels choix pour gouverner, sur des chemins non encore balisés, pour les jeunes Etats de l'Afrique postcoloniale confrontés à des priorités multiples et concurrentes ? Pragmatisme et accusations immédiates de néocolonialisme ou fuites en avant, aussitôt qualifiées de progressistes ? Plus de cinquante ans après les indépendances, certains posent encore ces questions. Le livre retrace le parcours d'un Maure pétri des meilleures traditions et valeurs de sa société. Un long voyage qui le mène, à travers une vie professionnelle intense, aux antipodes des "plans de carrière" prévus par sa famille.

11/2017

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Littérature française

Bien parti pour mourir

"Bien parti pour mourir" est un roman qui met en exergue les dérives d'une société déboussolée et presque abandonnée à elle-même, société au sein de laquelle tout le monde est roi. Tant pis pour l'autre et son droit à la vie, c'est ma justice propre qui compte et qui l'emporte. D'où les exactions en série qui n'émeuvent presque plus personne. Madiba, le personnage principal de l'oeuvre en est le symbole, lui qui se retrouve dans cette société, comparable à la jungle, où la loi du plus fort a fait son lit, à cause de son refus de rentrer au village avec ses parents, son père ayant été appelé à faire valoir ses droits à la retraite. Contraint à "se chercher" comme on dit au Comaran, il devient la cible privilégiée de tous les dangers, risquant de passer à la trappe d'une mort barbare. La vindicte populaire est l'arme fatale de cette société sans conscience dont les manières d'agir n'ont d'explication que celle que peuvent lui donner ses justiciers qui agissent à découvert, mettent à mort comme bon leur semble. Qui peut arrêter la déferlante ? Les occurrences "bien parti pour mourir" qui constituent par ailleurs le titre du roman en disent long. Pourtant, le développement durable, auquel je suis attaché, lequel promeut la bonté, l'humanité, bref le vivre ensemble, fait mauvais ménage avec des crimes odieux que commettent des gens sans foi ni loi dans cette société. D'où ma révolte contre l'ignominie humaine.

08/2020

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Littérature française

Vivre pour mieux mourir

Pauline n'a plus que quelques mois à vivre. Loin de se laisser abattre, elle décide de profiter à fond de ce qui lui reste de vie ! S'envolant pour le Mexique, elle se passionne pour la civilisation maya et se voit interpellée par l'approche de la mort, si différente dans ce pays haut en couleurs. Ce roman sensible réfléchit sur notre condition de mortels et amorce une réflexion sur le respect de la mort dans la dignité sous nos contrées. Le sujet est abordé avec pudeur à travers le prisme de l'héroïne.

01/2022

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Accompagnement des malades

Apprendre à mourir. 0

Pourquoi s'intéresser à la mort ? Faudrait-il la justifier ? .. L'essentiel de notre vie, la mort est largement ignorée. Sa simple évocation est insupportable à la plupart des personnes. En chacun de nous sont inscrites l'idée de l'éternité et l'illusion de notre invulnérabilité, voir de notre toute-puissance. On veut l'ignorer si bien que l'on peut se passionner pour des activités supposées sérieuses : la profession, la politique, la musique, le jardinage, le sport... Que ne s'invente-t-on pas pour éviter de penser au trépas ? On l'ignore si bien qu'on peut se chamailler pour " 3 sous " entre amis, se disputer en couple pour un simple objet déplacé par mégarde ou entrer dans une vive rage pour quelques mots de trop à un carrefour... Il faut se trouver confronté à un cancer, à un accident brutal ou à une maladie dégénérative pour commencer à la regarder en face. On perd aussitôt son sentiment d'immortalité et sa toute-puissance pour ressentir terriblement sa finitude. Nous allons tous mourir un jour, c'est notre seule certitude ! Pourquoi ne pas prendre de la distance. Il est vain de craindre la mort, nous n'éprouvons aucune angoisse à l'idée de perdre conscience dans le sommeil ; nous acceptons l'assoupissement comme un état de liberté que nous anticipons avec plaisir. Telle ne peut-elle pas être la mort : un état de repos après une vie bien remplie, une retraite bien méritée après les tracas ou les souffrances de la vie. Il n'y a rien à craindre. Ne partirons-nous pas sans nous en apercevoir ? La mort n'est-ce pas plutôt notre dernière surprise ? Pas question de déprimer donc, la présence de la mort peut nous faire grandir... L'annonce d'un cancer ou de tout autre maladie dégénérative est un véritable choc : il y a clairement un avant et un après. Toutefois, pourquoi ne pas positiver dans l'adversité ? Ne pas consentir, c'est créer tellement de colère en soi, de raideur, d'amertume qu'on se pourrit la fin de sa vie. Pourquoi ne pas organiser ses derniers moments de vie en fonction des valeurs auxquelles on tient ? .. La mort est inéluctable : acceptons-la et une fois l'esprit plus clair sur elle, pourquoi ne pas apprécier chacun de ces derniers instants, chaque minute qu'il nous reste ? Pourquoi ne pas figer un peu le temps pour faire de chaque moment une fête de tous les possibles et nous conduire à la pleine conscience. Si nous vivons dans le déni, dans l'inquiétude avec un esprit encombré, tiraillé, il est probable que nos derniers instants se passeront dans la souffrance, sans lucidité, ni aucun sentiment de paix. Si nous avons pu mettre au clair ce que nous aurions voulu être, nous serons en capacité de vivre nos derniers instants de manière paisible, de mieux partager avec notre entourage, dans un état de conscience vigilante, jusqu'à notre ultime souffle.

03/2023

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Littérature française

Un député va mourir

La plume de Sayouba Traoré associe la force et la beauté du récit simple au tranchant de la froide dénonciation. Sur le ton du badinage, ses réquisitoires portent des masques transparents qui laissent entrevoir la violence mal camouflée de ses propos. Sayouba Traoré n'écrit pas. Il parle. Il écrit comme il nous parle souvent. Il nous raconte sans rire, la misère, les mesquineries et l'indignité des hommes. Aujourd'hui, le "griot" a choisi le papier à la saveur du récit oral.

02/2012

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Littérature française

Un pays pour mourir

Zahira est une prostituée marocaine. Le pays où elle achève sa triste carrière et où elle mourra, c'est la France. Ses clients sont les pauvres hères musulmans qui ont échoué à Paris, comme elle, en quête d'espoirs qu'ils n'ont pas trouvés. Ce sont des personnages qui vivent comme des fantômes. Zahira est l'amie d'un Algérien qui se prostitue lui-aussi. Déchiré entre sa double nature, masculine et féminine, il changera de sexe sans trouver d'apaisement. Zahira connaît la dureté de la vie mais elle n'a jamais cessé de rêver de la rencontre miraculeuse qui métamorphosera son destin. Ce sont les films égyptiens vus dans son enfance qui nourrissent son imagination. Il y a là une autre réalité. Elle la porte en elle. Elle y croit. Tout le roman fonctionne sur cette confrontation entre un monde impitoyable et les aspirations de Zahira à un idéal d'amour qui la sauvera de la solitude, elle et ses compagnons de malheur. Zahira et son ami Aziz se racontent l'un à l'autre des histoires comme Shéhérazade dans Les Mille et une nuits. On suit ainsi des fragments d'existences de femmes et d'hommes poussés vers l'occident par la misère de leur sort et qui se heurtent à un univers postcolonial qui ne les reconnaît pas et qui ne les comprend pas. C'est le sens profond de ce roman "oriental", volontairement construit par l'auteur hors des normes habituelles du roman français : des scènes impudiques, une extrême violence du ton et des passages d'une sensibilité exacerbée - celle de Taïa - dont les racines sont situées dans des enfances vécues hors d'Europe dans des civilisations longtemps écrasées par les Européens.

01/2015

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Policiers

Blanche-Neige doit mourir

Un soir pluvieux de novembre, une femme est poussée du haut d'un pont. Très vite, l'enquête ramène Pia Kirchhoff et Oliver von Bodenstein vers le passé : des années auparavant, deux jeunes filles avaient disparu dans ce même petit village allemand. Sur la foi de maigres indices, un garçon de vingt ans, Tobias Sartorius, avait été condamné à dix ans de réclusion, mais il vient de sortir de prison. Alors que les enquêteurs se heurtent à un mur de silence, une autre jeune fille disparaît et on accuse à nouveau Tobias. Les preuves manquent, la police piétine et certains habitants semblent bien décidés à prendre les choses en main. Dans ce deuxième roman du duo Kirchhoff-von Bodenstein, Nele Neuhaus construit une intrigue millimétrée autour des non-dits et de l'atmosphère étouffante d'un village où tous croient se connaître et s'épient. Elle démonte magistralement les mécanismes d'une erreur judiciaire et analyse le fonctionnement des machines à broyer les individus que sont parfois la justice et les préjugés.

11/2013

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Littérature française

Bien parti pour mourir

Bien parti pour mourir est un roman qui met en exergue les dérives d'une société déboussolée et presque abandonnée à elle-même, société au sein de laquelle tout le monde est roi. Tant pis pour l'autre et son droit à la vie, c'est ma justice propre qui compte et qui l'emporte. D'où les exactions en série qui n'émeuvent presque plus personne. Madiba, le personnage principal de l'oeuvre en est le symbole, lui qui se retrouve dans cette société, comparable à la jungle, où la loi du plus fort a fait son lit, à cause de son refus de rentrer au village avec ses parents, son père ayant été appelé à faire valoir ses droits à la retraite. Contraint à ''se chercher'' comme on dit au Comaran, il devient la cible privilégiée de tous les dangers, risquant de passer à la trappe d'une mort barbare. La vindicte populaire est l'arme fatale de cette société sans conscience dont les manières d'agir n'ont d'explication que celle que peuvent lui donner ses justiciers qui agissent à découvert, mettent à mort comme bon leur semble. Qui peut arrêter la déferlante ? Les occurrences ''bien parti pour mourir'' qui constituent par ailleurs le titre du roman en disent long.

09/2020

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Littérature française

Contes à mourir debout

"Un billet simple pour la terre s'il vous plaît, pour demain dix-sept heures. - Vous savez bien que les billets simples n'existent pas. - Moi, je veux un billet simple. - N'insistez pas. Nous n'en délivrons pas. Le retour est obligatoire ; vous le savez bien ! . ". . Pour nous, simples mortels, croyants ou non croyants, la vie après la mort demeure un mystère insaisissable ! Geneviève Fleury-Anne, avec une délicatesse liée à un humour parfois très croustillant, aborde ce sujet avec un réalisme quelquefois saisissant, et nous entraîne avec une légèreté pertinente dans cet univers diaphane situé "au-delà" ... Anecdotes, récits, retours sur soi-même, trouvailles... et retrouvailles, les formes sont variées mais tous les sujets sont abordés ou presque ! Le lecteur, c'est certain, ne s'ennuiera pas, et au terme de ce voyage à ciel ouvert, il se fera sans aucun doute une idée qui lui sera propre de cet Au-delà qui nous donne tant à penser.

10/2012

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Littérature française

Voyager jusqu'à mourir

Jacqueline Merville est vagabonde sur la Terre et aussi vagabonde entre l'écriture et la peinture. Ces deux formes d'expression en elle se complètent comme l'ombre et la lumière ; autant sa peinture est lumineuse, autant ses livres traitent de la violence du monde. Partie vers l'Inde à la recherche d'une harmonie refondatrice, elle y rencontrera aussi l'extrême violence d'un pays où l'on tue parfois à la naissance les filles inutiles... Ce cadavre d'enfant qu'elle découvrira, abandonné au pied d'un arbre, la renverra à son expérience personnelle en ravivant le souvenir de l'avortement clandestin subi par sa mère, tel que pratiqué encore dans les années soixante... Ce texte vient à maturité lors du passage d'un monde à l'autre, de l'occident à l'orient, terme d'un voyage provoqué par la lecture du livre d'un philosophe indien.

10/2009

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Psychologie, psychanalyse

Mourir dans l'amour

Euthanasie, soins palliatifs, lutte contre la douleur, autant de sujets qui déchaînent les passions. Monique Brossard Le Grand prend parti, avec urgence ! Parce qu'une propagande qui prétend vanter les vertus de la " bonne mort " comme un geste de pitié à accomplir est insupportable. Elle le dit haut et fort. Elle estime que le médecin, conscient des limites de toute thérapeutique, se doit d'assister son patient en soulageant ses douleurs physiques et morales et non de supprimer une vie qu'il a pour mission de protéger. Ancien chirurgien cancérologue au CHU de Rouen, elle sait ce dont elle parle. A son avis, de la morphine prescrite à la demande et beaucoup d'amour permettent d'éviter les écueils extrêmes de l'acharnement thérapeutique ou du suicide assisté. Conduites qui ne font cependant pas l'économie du deuil, de l'affrontement ultime. Promulguer une loi favorisant l'euthanasie est impensable. Parce que la mort est l'instant le plus intime de la vie et n'est pas l'affaire d'un tribunal. Parce que l'amour doit être plus fort que la loi. En parallèle à la médecine, Monique Brossard Le Grand est aussi l'auteur de plusieurs grands succès dont Chienne de vie, je t'aime.

04/1999

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Théâtre

Conte à mourir debout

La soirée suit son cours. Roberval, le vieux et célèbre "tanbouyé", prend soin de son instrument. Il en ajuste soigneusement la peau en essayant d'en sortir le son parfait. Bertilia, son épouse, s'affaire en cuisine et sert la soupe à son homme. Le silence est lourd. Normal : entre deux cuillerées, Roberval réfléchit à la manière dont il va annoncer sa mort prochaine... Comment va-t-il se préparer à rendre compte, aux anciens déjà partis, de ce qui se fait dans le monde des vivants ? Comment va-t-il s'imposer à tous comme un mort respecté ? Quelle trace va-t-il laisser dans ce bas monde... ? Non loin de là, "Le Chroniqueur" s'apprête à digérer l'événement à sa façon. Poussé par des médias qui en veulent toujours plus, il se présente en conteur moderne, envahissant le quotidien des familles et n'hésitant pas à soutirer les confidences, à les interpréter à son gré, voire carrément à réinventer la vie de ceux qu'il croise. Mais trompera bien qui trompera le dernier...

02/2009

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Policiers

Douze heures pour mourir

Cauchemar à New York : dans le Queens, un groupe armé se réclamant de l'armée de libération Al Qods menace d'exécuter le soir de Noël vingt-six enfants et leurs professeurs de l'école juive du Mont des Oliviers si on ne libère pas les terroristes du 11 septembre. Il reste douze heures pour... mourir ou éviter le pire. En une nuit va se déployer tout ce que le pays compte de forces armées, policiers et militaires, avec à leur tête le Président et le maire de New York, pour tenter de négocier. Et pourtant, malgré le cauchemar et la haine, le lieutenant Charlie Rozen, le flic qui n'y croyait plus, va connaître sa plus belle histoire d'amour. Cette nuit de Noël, il va éprouver ce qui de tout temps a habité le coeur des hommes : le besoin d'aimer et l'envie de tuer. Sur fond de terrorisme international, un thriller qui mêle puissants et anonymes, victimes et terroristes, témoins et héros du quotidien, signé Maud Tabachnik, l'auteur du Cinquième Jour et de Mauvais Frère.

02/2004

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Critique littéraire

Trop jeune pour mourir

Perrine Huon, dix-huit ans, étudiante, insouciante, pleine de vie. Un coup de fatigue et la nouvelle tombe : elle est atteinte de leucémie. Au stade gravissime qui exige une greffe de moelle osseuse... "L'histoire que Perrine vous raconte n'est pas pour vous faire pleurer" , nous préviens d'emblée Stéphanie Fugain. C'est en effet toute l'originalité de ce récit dénué de pathos, même dans les moments d'enfer. Perrine Huon décrit l'hôpital, les chimios, les perfs, sa calvitie avec un entrain féroce, celui d'une jeune fille qui ne veut pas laisser au monstre qui la ronge la moindre chance de la terrasser. Elle raconte comment toute sa famille réagit, vaillamment, face à l'adversité. Sa mère, son père, son frère, ses deux soeurs dont l'une lui offrira sa moelle. Et son petit ami, qui ébauche des projets d'avenir, même s'il sait qu'après la greffe, la vie ne sera plus tout à fait la même. "Merci Perrine, conclut Stéphanie Fugain, de nous faire voyager dans ta reconstruction au fil des jours. Merci d'être un exemple pour nous tous"... . Et une leçon d'espoir : le pire n'est jamais sûr.

03/2014

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Policiers

Ils vont tous mourir

Juillet 86, dans le nord du Périgord. Une saison particulièrement chaude. La famille Rougier a quitté Revel en Haute-Garonne pour se balader près du saut du Chalard et résider, le temps des vacances au camping du Château Le Verdoyer. Ces congés d'été iraient pour le mieux, si les enfants, adeptes de jeux près des bassins, ne disparaissaient pas tour à tour sans que nul ne s'en aperçoive. Guillaume Dubreuil, jeune commandant du COB de Nontron prend l'enquête à bras le corps, mais les investigations, ici, dans ces terres de taiseux et de chasseurs, n'ont rien à envier à celles qu'il menait en région Parisienne. Pour autant, certains individus s'étaient tristement fait remarquer par le passé. Des battues sont organisées ; des survols en hélico. Même les truffes des chiens de l'équipe cynophile ne détectent rien. Et plus les jours passent, plus les enfants s'évanouissent sans qu'aucun des gendarmes ne parvienne à trouver la moindre trace probante. Le contact surprenant de Raphaël Langlois, journaliste au quotidien Sud-Ouest pourrait bien débloquer l'enquête. À moins que…

05/2018

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Policiers

Viens mourir avec moi

Düsseldorf. Une avocate est retrouvée sauvagement assassinée chez elle. Le meurtrier a glissé une minuscule poupée nue dans le ventre de sa victime, comme un message à déchiffrer. Ce modus operandi n'est pas sans rappeler une récente affaire au commissaire Georg Stadler, qui sollicite l'aide de Liz Montario, psychologue et profileuse reconnue. Liz accepte de collaborer. Mais très vite, elle devient la cible de menaces et de lettres anonymes émanant de quelqu'un qui en sait apparemment long sur elle. Lorsqu'une de ses amies subit le même sort que les précédentes victimes, Liz doit se rendre à l'évidence : l'homme qui la poursuit et le tueur recherché sont une seule et même personne. Un thriller vertigineux, best-seller en Allemagne, qui révèle un duo à suivre.

05/2017

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Littérature française (poches)

Mourir pour mieux renaître

C’est l’histoire vraie d’une femme née au Portugal à la fin des années 40. Sa mère ne l’a jamais aimée et lui a fait subir les pires tourments. Elle traversa la frontière et arriva en France où elle tomba gravement malade. Mais grâce à son pays d’accueil, elle put guérir. Elle se maria et une merveilleuse enfant est née mais malheureusement ce fut le seul événement positif de cette vie conjugale. Après 20 ans de complicité sans nuage avec sa fille, cette dernière disparut sans aucune explication. Pourquoi ce terrible destin ? Une mère qui lui vole sa vie d’enfant, son mari sa vie de femme et cette fille qu’elle a tant aimée, sa vie de mère.

10/2012

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Littérature étrangère

Mourir sous ton ciel

Juan Manuel de Prada relate ici les événements qui, à la fin du xixe siècle, ont changé le destin des Philippines et conduit la couronne d'Espagne à céder l'archipel aux Etats-Unis. En 1898, un détachement espagnol assiégé par des insurgés dans l'église du village de Baler mène une résistance héroïque. A cette poignée d'hommes commandés par le capitaine Las Morenas et prêts à verser jusqu'à la dernière goutte de leur sang pour la grandeur de l'Espagne, font face des indépendantistes tagals dont le chef, Novicio, s'efforce d'éviter un carnage. L'un et l'autre ont succombé au charme d'une Fille de la Charité qui a voué sa vie à l'éducation des enfants philippins et aux soins des malades. Dans l'archipel, la guerre fait rage, attisée par un colosse blond trafiquant d'armes à la solde des Etats-Unis, dont les ivresses de dévastation ne sont pas sans rappeler la perversion du Kurtz de Joseph Conrad. En donnant à chacun de ses nombreux personnages, réels ou fictifs, une complexité captivante et une profondeur métaphysique, en pénétrant dans leur conscience exposée à de grands déchirements moraux mais emportée dans le tourbillon fatal des affrontements, Juan Manuel de Prada va bien au-delà du roman d'aventures traditionnel. Mourir sous ton ciel est incontestablement le chef-d'oeuvre de ce grand écrivain espagnol. Bio auteur : Né en 1970 à Baracaldo (Biscaye), Juan Manuel de Prada publie son premier livre, Cons, en 1995. Prix Ojo Crítico de Narrativa pour Les Masques du héros puis prix Planeta pour La Tempête, il a reçu en 2004 le Prix national de littérature et en 2010 le prix Biblioteca Breve pour Le Septième Voile. Ses romans sont aujourd'hui traduits en plus de quinze langues. Bio traducteur :

09/2017

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Histoire internationale

Rivalités et interdépendances (1870-1918)

Alors que l'historiographie insiste généralement sur l'antagonisme franco-allemand qui aurait dominé la période allant de 1870 à 1918, analyser à nouveaux frais cette "inimitié héréditaire" permet de souligner les contacts, les liens et les échanges qui rapprochaient les deux pays. En réalité, les relations franco-allemandes étaient bien plus ouvertes et les interdépendances bien plus fortes que ce que l'on a l'habitude de penser. La modernité a en effet posé aux Etats et aux sociétés des défis comparables, que leurs réponses aient emprunté des voies analogues ou différentes. La Première Guerre mondiale a eu beau remettre au premier plan les antagonismes nationaux, les deux pays ont conservé des similitudes et traversé des expériences communes liées au conflit, même si celui-ci a débouché sur des divergences de vécu, de perception et d'interprétation de part et d'autre du Rhin.

10/2018

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Littérature française

Soirées en famille (Éd.1877)

Service géographique des colonies. Carte du Transnigérien au 1/1500000e notice et index alphabétiqueDate de l'édition originale : 1896Sujet de l'ouvrage : Niger (+* 1890......- 1960......+ :1890-1960 :, Période coloniale)France -- ColoniesLe présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

09/2014

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Sciences historiques

Les Français en guerres. Des hommes, des discours, des combats. De 1870 à nos jours

Les Français n'aiment pas la guerre, mais la font souvent. Même quand l'ensemble de la nation se croit en paix, il y a toujours des fractions de son armée déployées quelque part dans le monde et exposant la vie de soldats, hier comme aujourd'hui. Le lien, assez particulier et souvent contradictoire, qu'entretiennent les Français avec la guerre méritait donc largement d'être creusé, sur la longue période, de 1870 à nos jours. L'histoire militaire a trop longtemps été tenue dans le plus grand mépris en France, soit par suffisance, soit par idéologie. Il s'agit donc ici de proposer une histoire globale du fait guerrier, appuyée sur un travail de confrontation des sources, et de montrer qu'il est possible d'en faire un récit ouvert et plaisant autant qu'argumentée, en suivant les Français dans leurs guerres contemporaines, sans oeillères, sans tabou et sans parti-pris. Et comme pour faire la guerre, il faut des hommes pour combattre, des discours pour légitimer le combat et des techniques pour le mener, ce sont ces trois moments qui sont ici étudié, de 1870 à nos jours.

05/2017

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Critique littéraire

Les mondes de Copi. Machines folles et chimères

Kaléidoscopique, mue par une énergie éperdue et désespérée, l'oeuvre de Copi aborde aussi bien le théâtre, le récit que le dessin. Traversé d'influences contradictoires et de traditions hétérogènes, Copi a voyagé à l'intérieur des champs de la littérature et de la scène en s'essayant à une multitude de gestes comme autant de coups de dé. Ses différents Moi ont joué avec les différents Moi du théâtre. Le dramaturge argentin exilé en France a théâtralisé de manière ironique la relation du dominé face au dominant, la tragédie du malentendu humain mais aussi du créateur menacé par ses propres chimères. Derrière les jeux de masques, derrière les oripeaux du travesti, les pratiques de Copi extériorisent les tiraillements internes au geste créateur. Cette fuite de soi a produit un tourbillon de formes transformant les traces de mondes perdus en autant d'étincelles de présence.

01/2015