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XY. De l'identité masculine

Extraits

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Policiers

Double identité

"Martin Harris avait deux passions : sa femme et une plante. Je suis seul aujourd'hui à pouvoir les sauver. Mais comment protéger une femme lorsqu'on est traqué sans relâche par les services secrets ? Et comment libérer une plante médicinale volée aux Indiens d'Amazonie par le numéro un mondial des cosmétiques ? Une plante qui pourrait guérir des milliers de malades et qui, victime d'un brevet exclusif, ne sert qu'à fabriquer la plus chère des crèmes antirides". Avec son art du suspense et son humour féroce, Didier van Cauwelaert nous entraîne dans le destin fascinant d'un tueur repenti qui, par amour, reprend le combat de l'homme dont il avait usurpé l'existence. Bien au-delà du thriller, l'auteur d'Un aller simple et de Hors de moi explore les territoires hallucinants de l'identité, les ressources cachées de l'inconscient, le pouvoir de la passion face au cynisme aveugle des multinationales qui gouvernent le monde.

03/2012

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Littérature française

Identité nomade

"J'ai eu la chance et la malchance de naître pendant la guerre, or les enfants nés dans une guerre sont particulièrement attentifs au malheur et à la difficulté de la vie. Je me souviens très bien des bombardements, ma mère, ma grand-mère, mon frère et moi vivions à Nice à cette époque là. Mon père était médecin en Afrique. Nous étions séparés par la guerre. Il était né sur l'île Maurice qui appartenait à l'empire britannique. Il avait été expédié au Nigeria. Du côté de ma mère aussi, ils étaient mauriciens, ils étaient venus s'installer à Paris. Dans cette famille, on est alternativement prospères puis ruinés, on vient de pays différents mais on garde quelque chose en commun, j'y vois une espèce de goût pour l'aventure et une attirance pour ce qu'on peut apprendre en voyageant. Je descends donc de toutes ces origines et je crois que j'ai hérité de ces traits familiaux. Mon identité est là : c'est une identité nomade.", J. M. G. Le Clézio.

01/2024

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Autres collections (9 à 12 ans

Identité secrète

Alba est envoyée incognito de Rome à Jérusalem par son père, un haut responsable de l'empereur, car de lourdes menaces pèsent sur sa vie. Dans son nouvel environnement, la jeune Romaine passe pour être la fille d'un prisonnier, ce qui lui vaut le mépris de certaines personnes. Heureusement, elle peut compter sur le soutien de ses nouveaux amis, Julius et Cléa. L'envie de révéler sa véritable identité est souvent très forte, mais elle doit se taire. Il y va de sa sécurité. Est-elle à l'abri du danger pour autant ? Pas si sûr ! Une histoire captivante, où l'on voit que Dieu répond aux prières... parfois de façon surprenante !

05/2023

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Romans policiers

L'agence XY

- Vive l’agence XY. - Longue vie à l’agence XY, répond Xavier en écho. Autre chose encore. Je compte avoir recours, de temps en temps, à un troisième individu, mais qui ne sera pas associé, vu ses procédés parfois peu orthodoxes, mais extrêmement efficaces. C’est un Grec nommé Kotopoulos qui vit dans l’illégalité la plus complète. Il n’est pas vraiment malhonnête. En tout cas, on peut toujours compter sur lui. Yves hésite. Un troisième associé qui ne sera pas vraiment associé…

06/2023

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Sciences historiques

L'amour philosophique. L'homosexualité masculine au Siècle des Lumières

Avec ce volume consacré à l'homosexualité masculine au siècle des Lumières, Didier Godard achève son projet d'écrire une Histoire des Sodomites de l'avènement du christianisme à la Révolution française. Aucune étude d'ensemble n'avait encore été consacrée à l'homosexualité au XVIIIe siècle. Il s'agit pourtant d'une époque cruciale, qui voit le remplacement de la vieille figure du sodomite par celle de l'homosexuel, même si le mot n'existe pas encore. Elle est marquée par l'abandon d'une répression millénaire, obtenu notamment grâce aux combats des philosophes, qui débattent de la question comme on ne l'avait jamais fait, qui font de " l'amour philosophique ", comme on disait alors, une question philosophique par excellence. La lutte qu'ils mènent, avec succès, contre une répression millénaire, annonce les combats d'aujourd'hui pour les droits des homosexuels.

09/2005

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Récits de voyage

Espagne. La passion de l'identité, 2e édition

Comment est-on Espagnol ? Au pays de Don Quichotte, où résonne à chaque victoire sportive un hymne national sans paroles, la question taraude une communauté nationale minée par des identités régionales de plus en plus affirmées. Comment répondre à cette interrogation, nourrie, à des siècles d'intervalle, par l'héritage des invasions musulmanes et de la reconquista, par les mensonges franquistes ou le grand gaspillage des aides européennes ? Ce petit livre n'est pas un guide. C'est un décodeur. Il revisite, d'abord à travers un récit découpé en tableaux soignés de la société espagnole, puis à l'écoute de grands intellectuels, les clichés sur une société bousculée par la prospérité, la modernité et aujourd'hui par la crise. Un voyage au gré de personnages forts et de lieux marquants, pour mieux connaître les passions espagnoles. Et donc mieux les comprendre. Un grand récit suivi d'entretiens avec José Alvarez Junco, Angeles Carmona et Joan Botella.

11/2018

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Sociologie

Lexique de l'homosexualité masculine. Voyage autour du monde gay

L'amour entre hommes, encore sujet de polémiques de nos jours, tel est le sujet de cet ouvrage. Bien que ce phénomène fût attesté dès la plus haute Antiquité, le terme d'homosexualité date du XIXe siècle (Kertbeny forgea le terme en 1869). Autrefois, il était désigné par des périphrases : "amour grec" ou "Vice florentin" en raison de son origine présumée, celle de l'Autre, "sodomie" ou "bougrerie" en référence à des pratiques perçues comme hérétiques et condamnées au bûcher par l'Eglise catholiques, "inclination antiphysique" ou "inversion sexuelle" car il était considéré comme contre-nature ... Le lexique de l'homosexualité masculine propose au lecteur un voyage linguistique dans le monde et aborde plus de vingt langues différentes.

07/2016

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Psychologie, psychanalyse

Les errants de la chair. Etudes sur l'hystérie masculine

Les hommes sont, plus souvent qu'on ne le reconnaît, hystériques. Ceux-là affectent d'être pervers ou prétendent que le sexe ne les intéressent pas, souffrent d'impuissance, de frigidité du sentiment ou d'éjaculation précoce. Mais que craignent-ils donc de rencontrer chez la femme ? A travers les grands textes fondateurs de notre imaginaire (la Bible, Shakespeare, Cervantès, mais aussi Alfred Jarry ou Albert Cohen), à travers surtout Don Juan, et en s'appuyant sur les analyses de Spinoza, Charcot, Freud et Lacan, le psychanalyste Jean-Pierre Winter dessine les contours d'un homme perpétuellement instable, décevant, toujours ailleurs et toujours dans l'attente.

01/2001

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Histoire de l'art

Le livre pauvre. Identité double, identité trouble

Le livre pauvre échappe aux conventions éditoriales et à celles de l'art contemporain. Fuyant le commerce, il provoque la rencontre entre expression plastique et poésie. Il subit aussi ses propres contradictions, que cet ouvrage prétend clarifier. Imaginé en 2002 par Daniel Leuwers, professeur de littérature à Tours, le livre pauvre s'inscrit entre le livre de bibliophile et le livre d'artiste. Sur une feuille pliée en deux, quelques vers manuscrits par un auteur rencontrent les interventions plastiques de l'artiste qui l'accompagne. Sa pauvreté annoncée invite à la réflexion sur ce que "pauvre" veut dire : le dénuement le plus total s'associe, entre ses pages, à une richesse inédite. Quelque 3 000 titres composent aujourd'hui une collection hors norme - hors circuit aussi. Ni commercialisé, ni échangé, le livre pauvre est la propriété exclusive de ses auteurs, mais s'expose à travers le monde dès sa création. En marge des réseaux traditionnels, il provoque une rencontre inédite avec le public - mais lequel ? qui des "povéristes" eux-mêmes, ou du grand public, bénéficie réellement de cette circulation contrôlée ? L'identité trouble du livre pauvre appelle cette première étude universitaire sur le genre, motivée par la mise en lumière des ressorts qui l'animent et des réalités qu'elle révèle.

04/2024

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Psychologie, psychanalyse

Différence culturelle et souffrances de l'identité

L'ouvrage est centré sur la problématique de la souffrance identitaire dans la rencontre avec la différence culturelle. Une première partie situe la question de l'identité et de la différence. René Kaës dégage le concept de troisième différence en le situant par rapport à la différence des sexes et celle des générations. Olivier Douville met en tension le couple identité-altérité, dont il repère les fractures et les nouveaux montages. Une seconde partie traite les apports de la cure psychanalytique dans le traitement des psychopathologies liées à la différence culturelle. Alberto Eiguer décrit le faux self chez le migrant, Marie-Rose Moro et Anne Revah-Lévy, les avatars des figures de l'altérité dans un dispositif thérapeutique. Francesco Sinatra, reprenant la question de l'exil, en montre les dimensions sur la figure de l'étranger dans la cure psychanalytique. Zerdalia Dahoun centre son chapitre sur la problématique de l'entre-deux et de l'espace intermédiaire à partir de son expérience à la Maison de toutes les couleurs. La troisième partie est consacrée à l'apport spécifique des dispositifs psychanalytiques du groupe. René Kaës analyse ce qui est en jeu dans des groupes interculturels et dans une expérience de psychodrame au Mexique. Olga Ruiz Correa décrit, à partir de son expérience brésilienne, quelques aspects cliniques de la pratique groupale dans le champ interculturel. Edith Lecourt expose son expérience du sonore dans les groupes pluriculturels et en montre les implications et les ressources thérapeutiques.

02/2001

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Histoire régionale

Une brève histoire de l'identité bretonne

Comment peut-on être Breton ? Comment le devient-on ? De quelle singularité la Bretagne peut-elle être créditée ? Comment comprendre le décalage entre la fierté des Bretons et leur image vue et transmise par d'autres ? Pourquoi cette identité insubmersible ? La réponse à ces questions est au coeur de ce livre, car l'identité bretonne est née d'une histoire chahutée et mouvante : inscrite dans la longue durée de plus d'un millénaire, la dévalorisation des Bretons, des Bas-Bretons surtout, ne cesse d'étonner quand on la compare à la réalité d'un territoire longtemps autonome, indépendant, riche économiquement, notamment au temps des ducs, aux XIVe et XVe siècles. Joël Cornette, éminent connaisseur de la Bretagne, met en valeur, dans un essai clair et concis, la puissance de cet "Etat breton" envoie d'affermissement à la fin du Moyen Age, avant d'analyser ce que l'annexion forcée par le royaume de France, en 1532, a signifié. Déconstruisant les lieux communs qui se sont cristallisés sur cette péninsule et ses habitants, il retrace une histoire méconnue et souligne l'originalité d'une identité bretonne trop longtemps décriée.

01/2023

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Beaux arts

Patrimoine, sources et paradoxes de l'identité

Patrimoine et Histoire, Patrimoine et Société, tels sont les titres des cours publics qui furent donnés à l'université de Rennes 2, entre 1995 et 1997. Les conférences alors prononcées par les historiens François Hartog, Jean-Pierre Rioux, François Loyer, Pierre Nora - peu après que ce dernier eut achevé de publier la somme des Lieux de mémoire - ont laissé un souvenir vif. L'ouverture de la Cité de l'architecture et du patrimoine à Paris, à l'automne 2007, montre comment notre héritage commun s'est affirmé, depuis, comme un objet de pratiques culturelles et comment le présent se nourrit des métamorphoses du passé, sous les auspices du marché. Sur la colline de Chaillot, les mécènes se pressent pour éponger les 80 millions d'Euros qu'a coûté la Cité. Le portail de Vézelay, hérité de l'ancien Musée des monuments français, y côtoie la cité radieuse de Marseille. Alors, Viollet-le-Duc et Le Corbusier, même combat ? Mais l'intégration des modernités dans l'inventaire des valeurs consacrées suit-elle un parcours aussi linéaire ? On a vu avec quelle brutalité ces valeurs ont envahi l'arène politique, lors des élections présidentielles du printemps 2007, et avec quelle enflure elles ont prospéré depuis. Pourtant, les conceptions de la Nation et de la République qu'elles sous-tendent, sont, à l'évidence, plurielles. Il existe la France mais aussi des France, pour reprendre la distinction de Pierre Nora. Comment incarner cette diversité sans la dénaturer ? Le commissaire Maigret, disait-on récemment, est le véritable ministre de l'identité française. Or, voici qu'à présent ces thèmes surgissent au coeur de la mondialisation. Si l'identité s'est rêvée nationale au XIXe siècle, puis découverte régionale au siècle suivant, chacun d'entre nous est désormais porteur d'identités multiples, de moins en moins réductibles à la couleur du drapeau. Que faut-il attendre de la mutation des identités collectives ? Choc ou enrichissement ? Ouverture pacifiée ou confrontation ? C'est en explorant les systèmes de représentation symbolique du passé proche - ici et ailleurs, en Afrique du Nord ou dans l'ancien empire soviétique notamment - que les contributions à ce cours public (2007-2008) nourrissent le débat d'idées.

06/2011

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Histoire internationale

Israël. La fabrique de l'identité nationale

U n foyer, un peuple, une nation. Eretz Israël, ou le royaume promis par Dieu aux juifs dispersés sur la terre. Une espérance plurimillénaire devenue réalité au XXe siècle, portée par un messianisme sécularisé, le sionisme, et concrétisée par un puissant levier d'assimilation, trop souvent négligé par les historiens: l'éducation. Car le sionisme fut d'abord et surtout un projet pédagogique, réunissant dans un même idéal des juifs venus d'Europe, d'Asie et d'Afrique. Le mouvement lancé par Herzl réussit à faire d'eux les citoyens d'une nation homogène, partageant la même vision de l'histoire juive et le sentiment d'un destin commun - en dépit des tensions internes entre croyants et laïques, populations ashkénazes et sépharades, centre et périphérie. Avner Ben-Amos explique comment ce formidable défi a été relevé. Si l'école a joué un rôle fondamental, d'autres moyens ont accéléré la formation de cette conscience nationale : cérémonies commémoratives, monuments, musées d'histoire, programmes télévisés. Le dialogue sans cesse renouvelé avec le passé, les perpétuels réaménagements de la conscience collective, la mobilisation constante des moyens de communication rendent possible le maintien de cette identité, fondée sur une interaction complexe entre intégration et exclusion. Malgré le retour en force des particularismes et la sanctuarisation des mémoires particulières, ce sentiment national reste vivant par la stigmatisation d'un ennemi commun: les Arabes.

05/2010

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Faits de société

La vision postcoloniale de l'identité africaine

La finalité de cette réflexion est de dévoiler la vision postcoloniale de l'identité africaine en oeuvre dans les stratégies d'ajustement à la mondialisation. De ce point de vue, il est nécessaire de rappeler que l'enjeu majeur est de mettre en exergue la conception et la manifestation du statut identitaire de l'homme décolonisé qui se dégage de la pensée postcoloniale. De ce point de vue, on se rend compte que dans la perspective postcoloniale, l'indigène décolonisé est un être qui se définit par une nature hybride. C'est un être de l'entre-deux-cultures, qui doit se réinventer en subsumant les différences culturelles de son histoire. Ce résultat est la conséquence d'une profonde analyse menée sur les tenants et les aboutissants de cette école de pensée qui se veut cosmopolitiste et déconstructiviste.

10/2022

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Droit communautaire

L'identité de l'État dans la globalisation

Par-delà la dimension économique qui en constitue le ressort principal, la globalisation est un processus de "décloisonnement" du monde. Fruit d'une croyance en les vertus de la libération et de la multiplication des échanges, elle procède d'une doctrine dont l'horizon est l'avènement d'un "monde sans frontières" . Présentée comme favorisant la fusion croissante des sociétés et comme tendant, ce faisant, à une forme de paix perpé­tuelle, la globalisation apparaît comme une "notion acritique" , un phénomène aussi inéluctable que bienfaisant. Ce processus n'est toutefois pas axiologiquement neutre. Privilégiant une appréhension économique de l'homme et du monde, la globalisation rivalise avec la traditionnelle conception politique du pouvoir et de régulation des rapports sociaux dont l'Etat est l'instrument. Plus fondamentalement, la promotion d'un espace unique couvrant uniformément le globe entre en contradiction avec la représentation alvéolaire en vertu de laquelle il avait été pensé jusqu'alors, ainsi qu'avec l'unité en fonction de laquelle ce découpage était réalisé. Ordre juridique situé procédant de l'expression d'un pouvoir déterminé s'exprimant au sein d'une sphère géographique précisément délimitée, l'Etat apparaît, par sa structure même, comme une entrave à la réalisation du programme de la glo­balisation. Une relation dialectique s'instaure alors entre l'Etat et la globalisation en ce que leur confrontation éprouve et façonne leur substance respective. Loin de faire table rase, la globalisation se plaque sur un monde fortement étatisé qui la marque en retour de son empreinte. La fluidification qu'elle promeut ne peut affluer que par le canal étatique qui en devient l'un des éléments constitutifs. Réciproquement, elle ébranle si profondément l'Etat qu'elle en interroge l'identité même. La globalisation invite ainsi à déterminer ce qui constitue cette identité, le noyau dur - à supposer qu'il existe - de cette forme d'institutionnalisation du pouvoir. Or, à travers l'Etat, la globalisation induit et accompagne une vaste reconfiguration du pouvoir. En provoquant, en premier lieu, l'effacement de l'Etat (1), elle participe à la dis­sipation du pouvoir. Elle en affaiblit le caractère perceptible et, par conséquent, la faculté de le domestiquer que la centralité étatique autorise. Ne provoquant toutefois pas la disparition du pouvoir, la globalisation induisant la migration d'un certain nombre d'attributs traditionnellement étatiques vers des plans et en ferveur d'autorités eux-mêmes globaux entraîne la dissimulation du pouvoir par sa dispersion (Il). Ce mouvement trouve néanmoins, en troisième lieu, sa limite dans la persistance d'une conception politique et univoque du pouvoir dont la survi­vance de l'Etat est le témoignage (Ill). C'est précisément l'ambiguïté d'une période caractérisée à la fois par la déchéance et par la résistance des montages traditionnels du politique et du droit aux prises avec un modèle postmoderne concurrent que le présent ouvrage a pour objet de questionner.

11/2022

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Ouvrages généraux

L'aventure de l'identité. Fidélité et mouvement

Les processus d'identification sont indispensables à la cohérence politique, économique et sociale de la vie commune. Les hommes doivent pouvoir être identifiés. Pourtant, ces processus servent souvent de procédures d'assignation, de domination et de discrimination. En témoigne l'actualité des parcours historiques inachevés de l'identité féminine, des peuples colonisés et de l'identité sexuelle. Le monde contemporain connaît un grand vacarme autour de la notion d'identité. Le désir d'être soi-même perd l'individu dans un kaléidoscope de références identitaires : culturelles, sociales, politiques, nationales, géographiques, professionnelles, religieuses, personnelles ou collectives, ethniques, psychiques, sexuelles, virtuelles. A l'échelle des personnes, des communautés et des cultures, le phénomène de l'identité est celui d'une tension inévitable entre ce désir d'être soi-même et les identités d'attribution qui tendent à le figer, à l'aliéner, voire à le déshumaniser. Le problème de l'identité est alors celui du maintien, au sein des mécanismes d'identification et des revendications identitaires, d'une puissance de vivre dans la fidélité à une identité commune dont le récit en cours d'écriture en appelle à l'avenir : l'identité humaine.

05/2021

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Sciences politiques

L'"identité nationale" à l'épreuve des identités culturelles en Allemagne, en France, au Royaume-Uni. Une approche critique

Les débats sur "l'identité nationale" en France, en Allemagne et au Royaume-Uni, au cours des années 2000, partant d'une volonté politique affirmée de redéfinir ce que sont les "valeurs de la nation", ont suscité de nombreuses controverses clans divers domaines, comme le présent ouvrage entreprend de le relater. Les universitaires qui livrent ici leurs contributions remettent tout d'abord en question la définition de "l'identité nationale" telle qu'elle a pu être donnée par les gouvernements français, allemand et britannique et tentent de la redéfinir en abandonnant la référence à une identité unique pour lui préférer le recours à des identités plurielles, et en questionnant le bien-fondé des valeurs ou critères choisis pour déterminer les contours de ces identités. Ils se penchent ensuite sur les représentations de l'identité nationale dans les arts (littérature, cinéma), les programmes européens (tels que Comenius) ou les conflits (africains notamment). Ils étudient les politiques visant à revivifier les "identités nationales" (notamment par l'institution de journées nationales en Angleterre ou en Ecosse, ou encore par la mise en place de procédures nouvelles d'accès à la citoyenneté). Ils analysent enfin les rapports à l'identité nationale que certains groupes minoritaires peuvent entretenir.

09/2013

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Couple, famille

L'homosexualité masculine quel devenir ? Tome 2, Perspectives

... " Au moment où les autorités politiques engagent la société française vers le " mariage homosexuel ", ce livre présente de nombreux témoignages de personnes concernées par l'homosexualité entre 15 et 60 ans. Dans un premier volume, les auteurs avaient répondu, au terme d'une vaste enquête, à la question : pourquoi ? A partir de ce constat, ils s'efforcent de répondre, dans ce second livre, à l'autre question : quel devenir ? En effet, si l'homosexualité masculine peut s'expliquer d'abord par le manque du père dans la petite enfance, elle n'est pas une entité figée, incapable d'évoluer. C'est pourquoi le Pacs est un contresens individuel et social. L'homosexualité peut évoluer vers l'hétérosexualité. Ce n'est pas impossible, contrairement à ce que l'on voudrait nous faire croire partout. Des témoignages authentiques sont à la base de la démonstration des auteurs. Certains sont lumineux, même s'ils ne cachent pas les difficultés, les souffrances d'une évolution à pas lents. Ce livre éclairera tous ceux qui sont concernés, mais aussi les parents inquiets, les mères seules, et réveillera les pères endormis, pas assez affectifs, présents et responsables. Lorsque les pères et les mères auront compris leur rôle respectif dans l'évolution de la tendance homosexuelle, de grands changements pourront intervenir. Le grand intérêt de ce livre est justement de montrer qu'un autre avenir est possible, que face à cette question, comme toujours, l'homme est plus riche de réponses que lui-même ne le croit trop souvent... "

11/2000

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Sociologie

L'extraterrestre face au féminin/masculin

L'objet extraterrestre fait partie intégrante du folklore américain. On peut lui donner l'allure anthropomorphe du fameux petit homme vert, mais il peut être aussi parfois quelque chose de beaucoup plus abstrait et dérangeant. Puisque l'extraterrestre, ce "troisième type", est censé nous être purement extérieur, il permet le questionnement de nombreux axiomes moraux et sociaux, et notamment celui de la binarité féminin/masculin, si présente dans la vie et la culture humaines. Que nous apprend la représentation extraterrestre de la nécessité de nos schémas ? Nous est-il possible de figurer une civilisation vraiment différente de la nôtre ? La représentation extraterrestre, censée nous affranchir des codes humains, ne souligne-t-elle pas au contraire nos propres biais, et notamment sur les questions de genre ? A travers des oeuvres américaines, La Main gauche de la nuit, Mars Attacks ! , L'Homme qui venait d'ailleurs et la drag queen Sasha Velour, cette étude analyse les possibilités et les limites de la déconstruction des codes de genre qu'offre le contact extraterrestre en fiction. Quels sont ses apports philosophiques et esthétiques sur cette question contemporaine cruciale ?

01/2021

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Sociologie

"Je" de société. Sociologie de l'identité individuelle

Cet ouvrage présente les questions posées par les relations entre l'individu et la société, à partir d'un objet particulier : l'identité individuelle. Il s'agit de montrer comment l'identité individuelle ne peut se penser en dehors de différents processus sociaux qui cadrent la façon dont les individus peuvent se définir et se présenter aux autres. Les individus ne sont-ils pas le produit des sociétés auxquelles ils appartiennent, au point que ce que l'on considère comme individuel serait avant tout social ? Dire "je" serait-il pas dire "nous" ? Pour le démontrer, l'ouvrage analyse cinq dimensions de la présentation de soi en société : le nom, le corps, le sexe, la langue et la profession. Il montre que ce qui paraît comme le plus singulier, le plus spécifique, voire le plus naturel et spontané de l'identité individuelle, est à comprendre comme le produit de différents cadrages ou encadrements sociaux. Par ailleurs, il souligne les jeux qui restent possibles à l'individu pour négocier son identité et la faire valoir socialement. .

09/2021

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Sciences historiques

L'identité nationale, une énigme

En 2007, une nation qui fait partie de l'Europe, comme tant d'autres, décide de créer un ministère de l'Identité nationale. Pour familières qu'elles paraissent, les notions d'identité et de nation se révèlent d'une complexité qui éveille la curiosité de l'histoire et de l'anthropologie. Aussi, conjuguant les deux disciplines, Marcel Detienne met en perspective quelques manières radicalement différentes de se représenter ce qui semble faire partie du " sens commun ", à savoir ce que nous sommes ensemble et ce que les autres ne sont pas. Ces manières sont autant de fictions du passé ou du présent : le pur Celte de Padanie, en Italie ; l'Hindou-hindouiste à racines védiques, dans l'Inde contemporaine ; le Japonais né de la terre des dieux sans autres prédécesseurs ; l'Athénien qui se veut pur rejet de la Terre autochtone ; l'Allemand historial d'hier, plus grec que les Grecs, du temps de Heidegger et de Hitler ; le native, " citoyen de souche " américain sur un continent ouvert à l'immigration. Sans oublier le Français de souche, à nouveau ratiné.

05/2010

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Notions

L'Identité humaine en dialogue

Depuis le milieu du xxe siècle, l'identité a envahi les sciences humaines et sociales - du discours public et journalistique, elle est devenue un mot de passe de notre époque dont l'extension toujours accrue dissimule mal le vague, et parfois l'absence complète de signification. Claude Romano développe un examen logique et philosophique de cette notion qui en exhume l'arrière-plan historique, notamment celui des égologies modernes, et propose une réorientation complète de l'enquête. L'identité, qui possède un enjeu véritable dans nos vies, n'est pas celle qui a servi de fil conducteur à la philosophie récente, celle qui fournit une réponse à la question de l'identification (qui ? ) - à la manière dont nous identifient nos papiers d'identité. C'est au contraire une identité à l'égard de laquelle nous exerçons une responsabilité inaliénable, dans la mesure où nous jouissons d'une certaine autorité pour nous définir. Une identité "en dialogue" qui ne saurait être dissociée de nos interactions avec autrui et est sociale de part en part ; une identité qui n'est plus celle du moi cartésien ou lockien, mais est liée à l'être humain que nous sommes. Celle que les totalitarismes ont cherché à détruire et qui demeure l'emblème de notre fragile humanité. Claude Romano enseigne à Sorbonne-Université et à l'Australian Catholic University. Il a été récemment titulaire de la chaire Gadamer à Boston College (2019-2020) et de la chaire Perelman à l'Université libre de Bruxelles (2021-2022). Ses travaux portent principalement sur la phénoménologie, l'herméneutique et l'histoire de la philosophie, en particulier dans Etre soi-même (Gallimard, 2019).

11/2022

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sociologie du genre

Après l'identité. transitude & féminisme

C'est un fait : il y a des individus qui passent d'un sexe à un autre. Mais, dans ce passage, que signifie "sexe" et quelles sont les conditions et les effets sociaux, politiques et cliniques de ce franchissement d'une différence des sexes pourtant réputée intangible ? Dans une perspective féministe matérialiste, cet ouvrage propose de décentrer la transitude du concept d'identité de genre qui a longtemps orienté sa compréhension. En étudiant les expériences des personnes trans et leurs tactiques pour transitionner librement, il l'appréhende non comme une donnée intérieure à diagnostiquer mais comme une trajectoire sociale et physique. Ce changement de paradigme permet de lui appliquer ce qui reste une revendication féministe centrale : l'autonomie corporelle.

10/2023

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Philosophie

L'identité. Une fable philosophique

Ce livre prend appui sur les analyses logiques et ludiques de Lewis Carroll pour souligner le caractère fictif et labyrinthique de l'identité. Contre le sophisme du particularisme culturel, ce livre place l'identité dans une réflexion sur la frontière, en abandonnant les crampes mentales que donne la notion d'appartenance unique. Comment mettre en avant les observations et les expériences plutôt que les convictions et les jugements expéditifs ? Cette question, mise en évidence par des philosophes empiristes comme David Hume ou des logiciens comme Bertrand Russell, sert de pivot pour substituer au débat idéologique contemporain sur l'identité, les constructions fictives des philosophes, des constructions rationnelles qui prennent le relais des anciennes épopées pour penser le mien bien plus que le moi. L'identité comme fable philosophique repose sur le réseau sémantique des emprunts et des métamorphoses. C'est une notion qui nous permet de refaire le lien avec la puissance onirique d'un personnage comme Alice dans Les aventures d'Alice au pays des merveilles. L'enseignement des songes d'une part, les exigences du droit d'autre part sont un antidote aux crispations identitaires. L'exemple de la culture arabo-musulmane sert de mise à l'épreuve des thèses présentées ici. Cette culture, loin d'être enfermée dans une spécificité, est par bien des aspects, pensons à Averroès, le fonds anonyme de la culture européenne de la Renaissance du XVIe siècle et de celle des Lumières du XVIIIe siècle. Comparer sans égaler les productions culturelles est une activité qui aide à comprendre comment s'inscrivent dans la vulnérabilité des corps l'exil, l'accent, la voix : autant d'expressions flottantes de l'identité.

02/2011

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Philosophie

L’identité, pour quoi faire ?

Parce qu'on l'associe spontanément, aujourd'hui, à une série d'inquiétudes portant sur la culture, les traditions, les manières de vivre, et parce qu'elle peut nourrir une rhétorique d'exclusion, voire de violente intolérance, la notion d'identité est parfois réduite à ses enjeux les plus périlleux. Or elle dépasse de loin ces seuls débats. Avant même de toucher à la politique, la question de l'identité s'impose à tout individu conscient, sous la forme de ce mystère que Francis Wolff résumait ainsi : "Je suis toujours le même comme une chose et pourtant je suis, comme les événements, cause de certains événements, mes actes. Je change sans cesse et pourtant je suis toujours celui que j'ai toujours été. Mystère de l'identité : qui suis-je ? " Cette interrogation, qui engage la façon dont une vie peut faire continuité, concerne chacune et chacun. Evacuer "l'identité", en faire un mot maudit, un mot moisi, sous prétexte qu'il provoquerait une dérive "essentialiste", ce serait passer à côté de l'essentiel. Ce serait ignorer que, pour déconstruire l'identité, il faut d'abord en affirmer l'épaisseur humaine, et même, peut-être, en revendiquer la puissance émancipatrice.

10/2020

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Droit

L'identité juridique du chômeur

Sur la scène juridique, des figures familières : le propriétaire, le contractant, le responsable, l'époux... Et le salarié. Le droit saisit à un moment donné ces personnages, les suit, les guide dans leur cheminement. Mais que dire du " demandeur d'emploi ", " travailleur privé d'emploi " ? La présente étude s'attache précisément à repérer les termes d'une identité juridique du chômeur. Dans un premier temps, sont mobilisés les critères de qualification, c'est à dire ces principes qui permettent juridiquement de qualifier une personne de distance à l'emploi (avoir perdu son emploi), mais aussi la place par rapport au marché du travail (être en position de retrouver un emploi : c'est la demande d'emploi) ; les autres références tiennent à la personne même du chômeur, tenant compte de son état physiologique, de sa situation administrative, de son comportement. La mise en œuvre de ces principes de qualification est riche d'enseignements. Les textes, d'abord, sont d'une extrême densité et complexité. Ils empruntent aux techniques du droit commun et du droit du travail. Et parce que le chômage est autre chose que la négation du travail, ils s'en échappent, cheminant entre le droit administratif, le droit constitutionnel ou le droit civil. La jurisprudence, ensuite : un important appareil de décisions, tant civiles qu'administratives, donnent une image contrastée du chômeur, le plus souvent conforme à l'état du droit positif, mais parfois dissidente. Les juges ont aussi leur propre représentation du sans-emploi. Infiniment plus faible en volume que le contentieux prud'homal, le contentieux du chômage mérite la plus grande attention et une plus grande diffusion. Mais est-ce devant les juges que l'identité du chômeur gagnera en stabilité et épaisseur ?

05/1998

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Critique littéraire

Edouard Glissant. L'identité généreuse

Né en 1928, Edouard Glissant est l'un des écrivains et penseurs les plus importants du XXe siècle. Auteur d'une quarantaine d'essais, de romans, de recueils poétiques et de pièces théâtrales, il a donné une mémoire aux peuples issus de l'esclavage et de la Traite. La créolisation du monde lui a inspiré une philosophie de la Relation qui s'adresse à tous. Partant de la transformation de soi, dans la rencontre des autres, il a pensé une nouvelle identité, non plus fondée sur les racines, mais nomade et généreuse. François Noudelmann, qui l'accompagna pendant les douze dernières années de sa vie, a mené l'enquête sur les traces du poète-philosophe en Martinique, en Louisiane, à Cuba, Paris, Tokyo et New York. Dans ce portrait sensible, il suit l'enfance tourmentée de "ti-Edouard", ses relations admiratives et critiques avec Aimé Césaire, son arrivée à Paris dans le renouveau artistique de l'après-guerre, ses succès littéraires, ses amours et ses amitiés. Il analyse ses engagements politiques pour la décolonisation et les indépendances, sa lutte inlassable contre les enfermements identitaires, son activisme culturel à l'Unesco. Il découvre aussi les visages intimes d'Edouard Glissant : les gouffres et les désirs, les nourritures et les vertiges qui ont inspiré ses utopies pour le XXIe siècle.

02/2018

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Philosophie

IDENTITE ET DIFFERENCE : AN ESSAY CONCERNING HUMAN UNDERSTANDING II, XXVII, OF IDENTITY AND DIVERSITY. L'invention de la conscience

Inséré en 1694 dans le grand ouvrage de Locke, fondateur de la théorie moderne de la connaissance, le " traité de l'identité " a laissé une trace remarquable du XVIIIe siècle à nos jours. C'est lui qui engage l'empirisme et la philosophie analystique anglo-saxonne dans un débat sans cesse relancé sur les " critères de l'identité ". Mais son importance vient surtout de ce que, pour la première fois, il donne un nom aux grandes catégories de la métaphysique du sujet : the consciousness, the self, et les associe étroitement dans une problématique de la " conscience de soi ". Pour que celle-ci déploie ses possibilités et ses conflits latents, il faut cependant un moment spécifique de traduction : la proposition par le huguenot français Pierre Coste, traducteur de Locke, des équivalents " la conscience " et " le soi ", fournissant à toute la philosophie continentale les moyens de sortir des apories du cartésianisme. C'est l'ensemble de cet événement dont nous sommes encore tributaires, l'invention européenne de la conscience, qui se trouve étudié à travers la réédition des textes de Locke et Coste, l'essai d'une nouvelle traduction, le commentaire historique et philisophique.

08/1998

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Philosophie

La ressemblance des sexe. De l'amour en plus du conflit

Ces cinq essais n'ont d'autre but que de promouvoir la liberté et l'égalité des sexes. Des femmes, mais aussi des hommes, parce que les unes ne vont pas sans les autres. Ce combat-là s'appuie sur la conviction, je n'ose dire la démonstration, que la prise en compte de la ressemblance des sexes est théoriquement juste et politiquement libératoire. Cet ouvrage réunit L'Amour en plus - Histoire de l'amour maternel (XVIIe-XXe siècle), L'Un est l'Autre, XY - De l'identité masculine, Fausse route - Le tournant des années 1990, Le Conflit - La femme et la mère.

10/2012

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sociologie du genre

Le gouvernement des conduites masculines

A l'opposé d'une pensée objectiviste qui chercherait à saisir l'essence de la masculinité, ce livre explore la diversité des rapports de genre en fonction des appartenances de classe. L'enjeu est d'esquisser un espace social des masculinités en interrogeant ses principes de variation et ses invariants. Les contributions réunies portent ainsi sur des milieux sociaux volontairement très éloignés les uns des autres : organisations militantes d'extrême gauche et d'extrême droite, RATP, club mondain, agences publicitaires, ONG, etc. En France ou à l'étranger, du XVIIIe siècle à nos jours, en passant par Mai 68, les auteurs et les autrices montrent combien les masculinités sont dépendantes des configurations sociales et politiques singulières dans lesquelles elles se déploient. Et pourtant, si elles apparaissent du même coup fragiles ou, à tout le moins, labiles, les masculinités font toutes l'objet d'un "gouvernement" qui perpétue la domination des hommes. Ces analyses - inédites, fines, localisées et non réifiées des masculinités - défrichent des pistes pour comprendre comment la domination masculine parvient à se maintenir en se recomposant sans cesse.

03/2024