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La civilisation du cocon. Pour en finir avec la tentation du repli sur soi

Extraits

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Essais

En finir avec la culpabilisation sociale... pour être enfin libre !

Lorsque l'individu doit décider - par exemple devant le "tri" des patients ou devant la nécessité d'un avortement douloureux -, il devient responsable d'une décision qu'il a prise, mais qu'il ne désirait pas. C'est la caractéristique du choix contraint. Une domination insidieuse et invisible s'exerce : on se croit libre (puisqu'on choisit) mais on ne l'est pas (car on n'a jamais voulu de ce choix ! ). De la violence domestique à certains discours médiatiques ou politiques, de la cancel culture à la violence des réseaux sociaux, sans oublier le nudge - ce petit coup de pouce qui nous oriente dans la bonne direction sans qu'on s'en aperçoive, Elsa Godart, philosophe et psychanalyste, démasque une société de la culpabilisation. Elle montre le chemin pour éviter cette tutelle morale, quitte à aller contre la doxa. Et donne les moyens de ne pas se laisser imposer cette parodie de choix en faisant appel à une éthique d'humanité : Le principe de vie. Elsa Godart est l'auteure notamment de Je selfie donc je suis et de la psychanalyse va-t-elle disparaitre ?

11/2021

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Essais

Le malheur inutile. Pour en finir avec la souffrance imposée

Absurdité des vies professionnelles, violence du management, scandale croissant des inégalités, dérèglement climatique et plus récemment e ffets de la pandémie ou crainte d'une nouvelle guerre mondiale... Les maux des individus expriment d'abord ceux du monde, le malaise d'une civilisation. Psychiatre mais non moins homme révolté, Alain Gérard se demande ce que sa discipline peut encore pour nous, alors que nos sociétés basculent dans l'angoisse. Nombre de ses patients, constate le praticien, ont moins besoin d'une prescription que d'un horizon. Pour faire face à ces nouveaux troubles, les méthodes habituelles sont impuissantes. Il faut bricoler, inventer une nouvelle pratique de soin, et surtout refuser le malheur inutile.

03/2023

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Psychiatrie

En finir avec les idées fausses sur la psychiatrie et la santé mentale

Les maladies mentales sont l'objet de fantasmes, de peurs et de tabous aggravant l'isolement des patients et de leurs proches. La réalité quotidienne de la maladie mentale et des professionnels qui oeuvrent pour assurer des soins de qualité est mal connue du grand public. A travers trois parties (la psychiatrie, les soignants, les patients), le livre propose de sortir des clichés et des peurs en déconstruisant 90 idées reçues sur la santé mentale et la psychiatrie : l'image d'une psychiatrie toute puissante... qui ferait fi de la parole des patients et de leurs droits ; la notion de dangerosité accolée systématiquement à la maladie mentale. Or sait-on que les patients suivis en psychiatrie sont plus souvent victimes qu'agresseurs ? Et qu'un patient suivi en psychiatrie a 12 fois plus de risque d'être victime d'un crime violent que la population générale ? Malgré les campagnes d'information réitérées, les choses ne changent pas ou très peu. La stigmatisation ajoute au poids de la maladie celui de la disqualification voire de la relégation jusqu'à l'exclusion de celui qui en est victime. Par son traitement, son format, ce livre destiné au très grand public peut devenir un outil précieux pour donner une information fiable aux patients, à leurs familles, aux soignants, susciter des échanges, provoquer des discussions et diminuer les préjugés autour de la santé mentale.

09/2022

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Essais

Vous avez dit pervers ? Pour en finir avec les malentendus

La perversion est un terme qui, dans la clinique, qualifie une position subjective. Elle constitue l'un des trois grands groupes nosologiques définis classiquement, avec la névrose et la psychose. Or il existe une difficulté pour une définition structurale de la perversion, d'où nombre de malentendus à son propos. Comment reconnaître un pervers puisque les pervers, paraît-il, ne consultent jamais les psychanalystes ? Selon Freud, l'enfant est toujours un " pervers polymorphe " au moins au début de son existence, et cela n'est pas sans ouvrir le débat avec des conséquences parfois dramatiques. La question de la structure perverse mérite donc être posée et examinée. Le mot de " transitoire " bien présent à son propos dans l'enseignement de Lacan vient nous alerter sur ce que l'ordre pervers a d'instable, même s'il semble fixé et se révèle donc trompeur. Trait symptomatique dans la névrose, suppléance dans la psychose, le lien à ces structures comme à la différence des sexes vaut d'être explicité. Il peut se révéler utile dans l'abord clinique du désir, pervers par définition. Comment sortir des ces malentendus ?

04/2021

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Musique, danse

Pour en finir avec la guerre - CD. Les musiciens de la grande guerre

L'angoisse de familles ou la douleur des femmes endeuillées s'expriment par la voix des poètes et des compositeurs ici réunis. Ce florilège de mélodies, inédites souvent, parfois poignantes et toujours émouvantes se comprend comme une forme de bilan ou une rétrospective des années de conflit, Pour en finir avec la guerre. Un hommage chargé de tendresse et de respect rendu par les deux artistes aux disparus de la Grande Guerre.

03/2018

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Développement durable-Ecologie

Carnage. Pour en finir avec l'anthropocentrisme

Dans ce nouvel essai, Jean-Marc Gancille expose un tableau sans concession de la relation que l'être humain a nouée avec le monde animal, fondée sur la domination et l'exploitation, et ce dès avant la naissance de l'agriculture. Sacrifices religieux, collections et commerce d'animaux sauvages, domestication, utilisation des animaux à des fins militaires ou pour des expériences de laboratoires, captivité forcée dans les zoos et aquariums, chasse et pêche récréatives, élevage intensif ou surpêche... On n'en finit pas d'établir la liste des formes qu'adopte l'anthropocentrisme. L'auteur n'en reste pas à ce triste bilan. Il démontre que ce carnage n'est pas seulement un éternel enfer pour les animaux mais aussi une tragédie pour l'espèce humaine en raison de la destruction des écosystèmes, une négation immorale de la sensibilité des animaux et une supercherie de l'industrie agroalimentaire, qui entretient auprès du public l'idée selon laquelle il serait nécessaire de consommer des protéines animales. Enfin, il dessine une voie d'action pour "en finir avec l'anthropocentrisme" sur le plan juridique, alimentaire, agricole... et décrit les méthodes pour mener cette lutte.

09/2020

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Développement durable-Ecologie

Pour en finir avec l'écologie punitive

Aujourd'hui, respirer tue. Rien qu'en France, la pollution de l'air fait 48 000 victimes par an. C'est le plus grand scandale sanitaire de ces dernières années ; les pics de pollution se succèdent et pourtant, rien ne change. Les mesures pour lutter contre cette hécatombe, dès qu'elles touchent à la voiture ou au confort des particuliers, se heurtent à une même critique : l'accusation en " écologie punitive ". Expression qui résume à elle seule l'impasse dans laquelle se trouve notre politique écologique. On nous demande des "sacrifices" plutôt que de protéger notre santé ou nos emplois. Le pari de ce livre ? Repenser l'écologie à la racine pour la sortir de sa dimension punitive ; montrer que le souci de l'environnement n'est pas une affaire de clivage entre gauche et droite, entre citadins et ruraux, mais un défi qui nous concerne tous ; et proposer, enfin, un changement en profondeur de notre mode de vie. Un manifeste pour une écologie joyeuse, fondée sur la justice et l'innovation.

05/2018

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Psychologie, psychanalyse

Pour en finir avec l'enfer familial

Silence, infidélité, scènes de ménage, humiliation, frustration et quotidien étouffant... Celui ou celle que votre entourage trouve "tellement épatant(e)", vous entraîne, dans l'intimité, dans un engrenage de destruction dont vous n'êtes pas le (la) seul(e) victime si vous avez des enfants. Comprendre les origines de la perversion narcissique, démonter les mécanismes qui, au quotidien, nourrissent le mépris de vous-même et la violence est nécessaire pour parvenir, peu à peu, à faire face et à vous en sortir pour protéger les vôtres. Comment tenir le coup ? Comment se préparer à quitter le (la) pervers(e) ? Comment protéger l'enfant avant et pendant la séparation ? La lecture de ce livre est le premier pas sur le chemin de la liberté, mais aussi vers une confiance en soi retrouvée, condition pour trouver un véritable amour. Cet ouvrage a été conçu comme une main tendue à toutes celles et à tous ceux qui se sont unis malheureusement pour le pire à un être pervers narcissique et qui ne veulent pas que leurs enfants soient marqués par l'engrenage de la destruction. Comprendre les origines de la perversion narcissique, s'interroger sur ce qu'elle possède d'inné et d'acquis, travailler sur le rapport qu'entretiennent les fractures narcissiques, la mésestime de soi et la violence me semble nécessaire pour y parvenir. C'est par là même "cerner" avec pertinence la qualité essentielle qui fait que nous sommes non plus dans la survie mais dans la vie : la confiance en soi.

04/2014

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Théâtre - Pièces

Mon père (pour en finir avec). Edition

Réunion de famille : il y a la mère, sa fille, ses deux fils, et un absent, le père, disparu depuis dix ans. S'il est revenu sans crier gare dans la maison familiale, c'est pour y mourir. Autour de la mère gravitent les revenants, fantômes des vivants et des morts, restes d'enfances et vestiges d'amours contrariées ou gâchées. Tous sont entraînés dans une spirale de deuils infernaux. Et bien sûr, pas de testament... La création de Mon Père (pour en finir avec) a eu lieu en janvier 2023 à la Scène nationale de Dieppe, dans une mise en scène de Pierre Notte avec Muriel Gaudin, Benoît Giros, Silvie Laguna, Pierre Notte, Shékina et Clyde Yeguete.

01/2023

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Eco-gestes, éco-citoyenneté

Pour en finir avec le gaspillage alimentaire

Du champ à l'assiette, c'est environ la moitié des aliments qui sont jetés sans avoir été consommés. Devant ce gaspillage alimentaire qui ne cesse de prendre de l'ampleur, Estelle Richard lance un appel à l'action, dans nos cuisines et nos frigos. Bien que ce phénomène soit largement attribuable à l'agrobusiness et au mode de consommation qu'il encourage, il dépend également de la gestion de la nourriture dans les chaumières. Pour Estelle Richard, chaque personne peut agir et avoir une influence significative afin de renverser la tendance. En plus de détailler les causes structurelles du gaspillage alimentaire, elle partage ses trucs et astuces pour mieux conserver et consommer nos denrées. Les étapes d'une campagne de mobilisation citoyenne sont aussi au menu de ce plaidoyer qui nous invite à renouer avec la réelle valeur des aliments. De quoi envisager une société sans gaspillage, un coup de fourchette à la fois.

08/2021

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Littérature française

Pour en finir avec l'exception islamique

Ce volume regroupe un ensemble de textes publiés séparément ou/et donnés sous la forme de communications à des occasions diverses. Ils ont en commun d'avoir pour objet les problèmes épistémologiques que posent l'approche des faits islamiques et l'étude comparée des religions.

12/2017

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Psychologie du handicap

Pour en finir avec les mal-entendus

Rencontrer la personne polyhandicapée souvent laissée dans l'ombre, la découvrir et peut-être se découvrir soi-même, participent au changement de regard porté sur elle. La société qui ne voit en elle qu'un corps déformé, des comportements étranges, refuse parfois de la considérer dans sa singularité et son humanité. La connaître avec ses différences, ses difficultés, mais aussi tout ce qu'elle produit de solidarité, d'engagement, de richesse permet de mieux répondre au souci de l'humain et à sa juste place dans une société respectueuse de tous.

04/2021

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Couple, famille

Le syndrome de la mauvaise mère ? Plus pour moi ! Comprendre qui je suis pour en finir avec la culpabilité

Toujours en quête d'outils pour mieux outiller les mères, Linda Collin, auteure du livre Vivre avec deux enfants hyperactifs... un vrai tsunami, nous revient cette fois encore avec un sujet d'actualité : la culpabilité chez la mère. La crainte de ne pas être à la hauteur est très répandue chez ces mères qui se sentent souvent coupables d'appliquer toute forme de discipline avec leurs enfants. Alors que les mères d'avant tiraient leurs références de leurs propres parents, les générations d'aujourd'hui tendent beaucoup plus vers les amies et les réseaux sociaux qui regorgent de bloques, de suggestions de livres et de conférences sur le sujet. Trop de "solutions adaptées" sont offertes, mais ne semblent pas idéales à long terme. La solution ne peut provenir que d'un retour à la base, celle qui s'abreuve à des convictions fortes et inébranlables qui balaieront toute hésitation. Qui sommes-nous ? Quelles sont nos responsabilités ? Celles de nos enfants ? Où nous situons-nous en tant que parent dans cette dynamique familiale ? Tant de questions qui trouveront réponses à l'intérieur de ce recueil de bonnes pratiques à l'intention de ces mères qui recherchent autant la paix du coeur que l'harmonie avec leurs enfants. Qu'elles soient trop promptes à abdiquer ou toujours prêtes à monter aux barricades, elles y trouveront leur compte. Linda Collin nous ramène à la base et assure que l'on peut ENFIN se défaire de notre syndrome de la mauvaise mère et révolutionner notre façon de voir la discipline. Cette base repose sur une discipline équilibrée, qui ne soit ni trop large ni trop sévère... une formule gagnante pour le parent ET pour l'enfant. Plus qu'un témoignage, c'est une philosophie de vie que veut partager l'auteure avec toutes ces femmes qui recherchent ce fil conducteur qui reliera chaque intervention et engendrera l'harmonie dans leur famille.

05/2019

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Théâtre

Le repli du paysage

Dans un présent intemporel, au fin fond d'une campagne à la fois mythifiée et concrète, un homme néglige les travaux de la ferme depuis la mort de sa femme et se retire dans son monde. Il commence alors son "travail" : la construction d'une Machine qui saurait tout faire, comme une utopie transhumaniste, une sorte d'installation-monde métaphorique qui aspire la vie. Son fils, jeune garçon au début de la pièce puis jeune homme, ne parvient pas à faire entendre raison au père, pas plus que le bourgmestre — voix de la raison et du compromis. Mais les eaux montent et le danger d'engloutissement se fait de plus en plus précis. La Machine elle-même se met à bruire, à parler ? Construite sur plusieurs temporalités, la pièce est ponctuée par le duo de deux jeunes filles d'aujourd'hui, sorte de clowns shakespeariens, qui décident de partir à l'aventure, au-delà de la zone interdite autour de la Machine. La langue, en monologues bouillonnants ou dialogues vifs, très construite, ciselée, dérapant, contribue à l'impression d'inéluctabilité de la catastrophe. Une interrogation sur la place de la spiritualité des vivants — quelle qu'en soit la nature.

11/2019

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Romans noirs

Pour en finir

Par crainte de représailles suite à ses dernières investigations journalistiques, et parce qu'il a cette obsédante impression d'être suivi dans Nantes, Livius Carmin décide de quitter la ville. C'est dans un hameau du Finistère, Kervan, qu'il se met au vert pour échapper à ses tourments et tenter d'oublier la trahison de la femme par qui il se croyait aimé. L'apaisement, s'il en est, sera de courte durée : un message de menace sur sa porte et la silhouette de l'homme de Nantes, sur le marché de Kervan, auront raison de sa tranquillité. L'angoisse monte, le sentiment de persécution fait son nid et Livius commence à suspecter son entourage, puis à dresser une liste de suspects potentiels. Il suffira de la disparition d'une sexagénaire venue passer quelques jours dans le Finistère avec deux de ses amies pour redonner à Livius le goût de la vie, le désir de fouiner à nouveau... Plus question de se jeter de la falaise ! Le journaliste retrouve ses reflexes et son humour pour confondre les personnes qui en voudraient à sa vie et trouver les raisons de l'enlèvement de la retraitée. Livius Carmin est convaincu qu'une même personne se cache derrière tout cela. Mais qui est-elle et pourquoi l'histoire du journaliste est-elle liée à celle de cette femme ? Un ultime rebondissement viendra bouleverser toutes les certitudes de Livius Carmin.

09/2023

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Développement durable-Ecologie

Un nouveau droit pour la Terre. Pour en finir avec l'écocide

PointsTerre – Peuples et sociétés sont dépossédés de leurs moyens d'existence à travers le monde par la destruction de leur environnement. Face à cet écocide, comment repenser les droits de l'homme ? L'écocide (fait de détruire la "maison Terre") n'est pas un crime de plus, s'ajoutant à toutes les autres atteintes aux droits humains. Il est désormais le crime premier, celui qui ruine les conditions mêmes d'habitabilité de la Terre. D'ores et déjà, les dérèglements en cours attisent injustices et tensions géopolitiques tandis que ceux qui saccagent la planète restent impunis. Aussi est-il urgent de revendiquer de nouvelles formes de responsabilité et de solidarité. Urgent de redéfinir un nouveau sens et de nouveaux cadres à l'action humaine au sein des limites planétaires. Le droit international doit se métamorphoser et s'universaliser autour d'une nouvelle valeur pivot, l'écosystème Terre, en reconnaissant un cinquième crime international, le "crime d'écocide".

10/2016

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Essais médicaux

Prendre soin des femmes. Pour en finir avec les violences gynécologiques

"Accouchements traumatiques, paternalisme dans les soins, fausses couches passées sous silence, absence de consentement, médecins brutaux... Jamais le milieu de la gynécologie-obstétrique n'a été aussi frontalement remis en question. Les femmes protestent mais elles nous parlent et il est temps pour nous, soignants, de les écouter. Parce que j'ai été formée par mes pairs, héritiers de siècles de médecine patriarcale, j'ai moi aussi appris la maltraitance gynécologique, jusqu'à ce que j'opère un virage à 180 degrés. A mes confrères comme aux patientes, je pose ces questions : quelle obstétrique voulons-nous pour demain ? Quels moyens sommes-nous prêts à mobiliser pour une médecine bientraitante ? Les femmes méritent mieux, les soignants aussi." A travers un récit bouleversant mais incroyablement fertile, Amina Yamgnane nous entraîne sur le chemin de l'alliance thérapeutique.

03/2024

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Sociologie

Steaksisme. En finir avec le mythe de la végé et du viandard

Depuis quand la nourriture a-t-elle un genre ? Pourquoi y a-t-il si peu de femmes dans les kebabs ? Qui a décidé que les hommes n'aimaient pas le rosé ? Pourquoi le végétarisme est-il perçu comme un régime dévirilisant ? Les femmes jouissent-elles vraiment en mangeant un yaourt ? Rien n'échappe aux injonctions genrées, surtout pas la nourriture. En matière de bouffe, ces règles, tacites ou officielles, sont partout : de la Rome antique aux menus des restaurants, en passant par la publicité et les repas de famille. Elles façonnent le genre et renforcent les stéréotypes sexistes, avec des conséquences réelles sur la planète et la santé des femmes et des hommes qui les subissent. Après Faiminisme, Nora Bouazzouni s'attaque aux questions de genre sous l'angle de ce sexisme alimentaire toxique qui imprègne nos sociétés comme l'ail imprègne l'haleine. Entre goûts innés, constructions culturelles et pensée magique, Steaksisme met les pieds dans le plat pour en finir avec tous les préjugés.

04/2021

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Toxicomanie

En finir avec la guerre aux drogues

Aujourd'hui, des digues s'effondrent. Le discours qui s'est longtemps résumé à dire que "les drogues, c'est de la merde" ne prend plus ; la régulation du cannabis n'est plus un sujet tabou, l'ouverture de salles de consommation a moindres risques non plus. De plus en plus de pays s'y mettent. Alors que le sujet devient plus clair, le débat peine à s'approfondir. Depuis trente ans, les mêmes questions et souvent les mêmes réponses dans dans les médias ou en politique. Les drogues, tout le monde en parle mais personne ne sait vraiment ce qu'il en dit. Lorsqu'on dépasse le préjugé, le sujet est sensible. "Dites-moi comment vous traitez les consommateurs de drogues et je vous dirai dans quelle société vous vivez". Entre libertés publiques et vie privée, sécurité et santé, les drogues sont le miroir d'une société qu'on aimerait vous raconter. Jean-Pierre Courteron, Jean Félix Savary, Pierre-Yves Geoffard et Yann Bisiou, Quatre experts du sujet se sont réunis pour écrire ce livre, véritable outil pédagogique pour comprendre et se faire un avis.

09/2021

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Romans historiques

Vite en finir avec la guerre 14

1919. La Grande Guerre est finie, laissant derrière elle son cortège de vies brisées. Dans le Nord de la France, à la Grande Ferme d'Esquerchin, la famille Baes n'échappe pas à la règle. Durant quatre longues années, les femmes ont dû vivre sans les hommes et les remplacer pour que la vie continue dans les campagnes ou à l'usine. Que va-t-il se passer maintenant, alors que beaucoup ne sont pas revenus et que d'autres sont anéantis ? C'est autour de ces questions cruciales : " Où sont passés les hommes ? " et " Comment retisser des liens à leur retour ? " que s'articule le roman de Jean-Charles Vandenabeele, Vite, en finir avec la guerre 14 ou Les coeurs, même brisés, continuent de battre. Une fois la tourmente estompée, comment les deux soeurs Charlotte et Marie, très proches bien que très différentes, vont-elles faire face aux deuils, aux drames, mais aussi à un destin qui les lie inéluctablement au même homme ? Le docteur Julien Vanbergue, personnage omniprésent tout au long du roman, parviendra-t-il à démêler ce curieux écheveau familial ? Vite, en finir avec la guerre 14 est une immersion dans le quotidien des familles françaises au lendemain de la guerre.

09/2018

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Civilisation américaine

La Civilisation américaine. American Civilization, Edition bilingue français-anglais

Cet ouvrage bilingue aborde les principaux aspects de la civilisation américaine : fondements géographiques et historiques, partis politiques, population, éducation, Constitution, religion, institutions politiques, fédéralisme, élections, économie, etc. Il est conçu pour répondre de façon précise et exhaustive aux questions historiques et d'actualité que se posent les étudiants en licence et master LLCER d'anglais et LEA, aux élèves de classes préparatoires, ainsi qu'aux candidats aux concours de l'enseignement. Ils y trouveront : 19 chapitres thématiques bilingues, des cartes et des tableaux, une chronologie 1565- 2022, la Constitution américaine, un index. Elvis Buckwalter est maître de conférences en langues étrangères appliquées (anglais) à l'université Paris-Nanterre.

10/2022

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Sociologie

En finir avec les idées fausses sur l'habitat. De la chambre au territoire

"Quand on n'est pas propriétaire à 50 ans, on a raté sa vie" , "Habiter une maison individuelle, c'est l'avenir" , "Le Covid a provoqué un exode urbain" , "Dans vingt ans on ne construira plus rien, on ne fera que rénover" ... La crise du logement n'est pas une vue de l'esprit. Pourquoi, alors, la question n'occupe-t-elle pas, dans le débat public, la place qu'elle mériterait­ ? La situation pourrait changer car, si l'habitat est coûteux pour chacun et chacune d'entre nous, il l'est aussi pour la planète. Passant en revue près de soixante-dix idées fausses sur l'habitat, de la ville à la maison, du plus partagé au plus intime, Catherine Sabbah décrypte les représentations collectives qui se transmettent de génération en génération­ : de la mauvaise réputation du logement social à l'idéal que représenterait la propriété, en passant par les débats sur les bienfaits de la cuisine ouverte ou le coût avantageux des maisons individuelles. Un ouvrage indispensable pour réinterroger notre façon d'habiter. Catherine Sabbah a mené une carrière de journaliste avant de fonder Idheal, l'Institut des hautes études pour l'action dans le logement. Ce think tank a pour vocation d'animer le débat public et démocratique autour du logement. Elle a coécrit L'immobilier pour lesnuls (First), et plusieurs ouvrages consacrés à l'architecture, à l'économie des villes et au logement.

03/2023

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Littérature française

Pur coton

Pur Coton est le surnom d'une jeune femme qui arrive à New York. Elle fuit une famille qui veut lui interdire de poursuivre se études. Aux U.S.A. , elle est majeure, en France pas. Elle sillonne la campagne en vélo. Elle rencontre un musicien. Elle vit de petits boulots et de larcins qui lui permettent de passer son bac au Lycée Français. Elle gagne San Francisco à bord de trains de marchandises. Revenue à Paris, sa famille veut la reprendre. Elle est obligée d'épouser le musicien pour pouvoir retourner aux Etats-Unis, où elle finit ses études. Après divers voyages, diverses aventures, elle tombe passionnément amoureuse de Jean, un homme marié beaucoup plus âgé qu'elle. Elle fuit une dernière fois. A Los Angeles, elle subsiste dans les bas-fonds de la ville, refuse les meilleurs jobs. Que pense Pur Coton ? Anouk Markovits décrit seulement ses faits et gestes. Cette narration objective et ce mouvement incessant illustrent un nouveau mal du siècle dont Pur Coton est l'héroïne angoissée et errante.

05/1989

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Religion

Homélie XL pour le premier dimanche de carême, sur la tentation

Homélie XL pour le premier dimanche de carême, sur la tentation . Par monsieur le curé de Saint Sulpice de Paris Date de l'édition originale : 1712 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/2021

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Actualité politique internatio

Démocraties en déclin. Réflexions sur la tentation autoritaire

Nos démocraties sont en danger. L'historienne américaine Anne Applebaum, une des voix majeures qui s'élèvent contre les dérives anti-démocratiques en Occident, fait ce constat alarmant en Pologne, en Hongrie, mais aussi aux Etats-Unis, au Royaume-Uni ainsi qu'en Espagne. Dans cet essai percutant, elle analyse les mécanismes qui permettent à des partis illibéraux d'arriver au pouvoir, puis décrit les politiques mises en place quand ils gouvernent. Ayant vécu en Pologne depuis 1988, Anne Applebaum nous offre un éclairage inédit de l'évolution du parti Droit et Justice, toujours aux affaires aujourd'hui. Elle examine le parcours de Boris Johnson qu'elle a beaucoup côtoyé. Donald Trump et ses partisans, à leur manière, incarnent eux aussi ce repli inquiétant vers de nouvelles formes d'autoritarisme et de nationalisme.

05/2021

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Violence

En finir avec la culture du viol. Edition revue et augmentée

Les violences sexuelles envers les femmes n'apparaissent pas spontanément. Elles ne font pas partie de la "nature humaine" ni ne sont le résultat d'incontrôlables pulsions masculines. Elles ont des causes sociales - impunité des agresseurs, idées reçues sur la sexualité, inégalités structurelles - qui forment ce que l'on appelle une "culture du viol". Cela va de remarques apparemment anodines qui culpabilisent les victimes à un traitement trop fréquent des viols comme des délits plutôt que comme des crimes devant les tribunaux ; de formules pour excuser les agresseurs à une remise en cause systématique de la parole des femmes qui dénoncent des agressions. En France, chaque année, environ 94 000 femmes sont victimes de viol ou de tentative de viol. Et les viols ne représentent que la partie émergée d'un iceberg : celui des violences sexuelles, à la maison, au travail ou dans la rue. Or ces violences ont des conséquences graves : elles minent la confiance et limitent la liberté par la peur qu'elles instaurent. Elles constituent une atteinte aux droits et à la dignité des personnes et consolident la domination masculine. Mais cette situation n'est pas une fatalité. C'est pourquoi il est important d'identifier les éléments culturels qui servent de justification et de terreau à ces actes, afin de proposer des pistes qui permettront d'y mettre fin.

04/2021

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Faits de société

Salauds de pauvres ! Pour en finir avec le choix français de la pauvreté

Le modèle social français est menacé et la droite a trouvé les coupables. Les « assistés », volontiers décrits comme passant leurs journées à se prélasser devant un écran plat financé par leurs allocations, mettraient la république en péril ! Finie l’opposition entre travailleurs et chômeurs. C’est désormais le conflit entre les déclassés et les assistés, entre les working poors et ceux qui n’ont plus rien, que la droite instrumentalise. Quant à la gauche, elle se laisse – une nouvelle fois ? – dicter les termes du débat. Élu de terrain et expert des questions sociales, Benjamin Griveaux veut faire un sort aux caricatures. Non, les bénéficiaires de minima sociaux ne gagnent pas plus en restant chez eux qu’en allant travailler. Non, la France n’est pas, et de loin, le pays européen le plus généreux avec les personnes défavorisées. Non, les étrangers ne débarquent pas par milliers pour bénéficier de notre système d’aides sociales. Dénonçant le choix français de la pauvreté, il ouvre le débat sur la place des droits de l’homme pauvre dans une république construite autour de la solidarité et non de la charité. Il propose six mesures concrètes et inédites pour refonder notre État providence à bout de souffle. Et dessine ainsi les contours d’un « État d’investissement social » performant.Benjamin Griveaux a 34 ans. Ancien élève de l’IEP de Paris et d’HEC, il est vice-président socialiste du conseil général de Saône-et-Loire et du Grand Chalon, et conseiller de la Fondation Jean-Jaurès sur les questions sociales.

02/2012

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Développement personnel

Vivre la diversité. Pour en finir avec le clivage Eux/Nous

"Vivre la diversité " est un guide incontournable pour quiconque veut comprendre la diversité et les questions raciales afin de lutter contre les préjugés. Shakil Choudhury y évoque des expériences concrètes et propose des outils pratiques, une feuille de route pour réconcilier les différences, renforcer l'équité et l'inclusion dans nos sociétés. Ancré dans la psychologie, la justice sociale et la médiation, cet ouvrage constitue pour tous les organismes et entreprises une référence pour le Vivre Ensemble. " Alors que l'ère d'Obama semblait sonner la fin du contexte post-11 septembre, la montée du nationalisme blanc et de la politique trumpiste dans les pays occidentaux replongeait à nouveau le monde dans la division. Le clivage " eux " et " nous " est à son point le plus extrême, du jamais vu depuis l'époque du mouvement pour les droits civiques il y a un demi-siècle. Que des individus et des organismes aient pu trouver grâce à ce livre des repères utiles pour naviguer à travers ce moment critique de l'histoire m'honore et m'émeut."

09/2019

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sociologie du genre

Eloge des petites bites. Pour en finir avec la dictature viriliste

On a beau déconstruire le genre, libérer la parole féminine, condamner les abus misogynes, un combat reste voué à l'échec : sous le regard éberlué de leurs contemporaines, les hommes continuent inlassablement de se chamailler pour savoir qui a la plus grosse. Une lutte de cour de récré délétère en ce qu'elle ruine les efforts des bonnes âmes pour construire un monde libéré du diktat de la virilité. Observatrice avisée de nos sexualités, Octavie Delvaux se propose de remonter aux sources historiques de ce phénomène, des sexes minuscules des statues grecques aux pénis démesurés des films X. Mais aussi d'explorer les doutes et complexes de ses contemporain. es à travers une série de témoignages édifiants. Avec une théorie simple : plus les hommes s'enorgueillissent d'avoir un gros pénis, moins ils pensent au plaisir de leur partenaire. Un petit sexe au contraire, dès lors qu'il est accepté et bien vécu, favorise le dialogue, la relation à l'autre, l'originalité, la recherche d'un plaisir différent. Un état d'esprit vers lequel tout homme devrait tendre, plaide Octavie Delvaux.

10/2023

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Philosophie

Pour en finir avec la mécroissance. Quelques réflexions d'Ars Industrialis

Avec la fin du « siècle de l'automobile » et de « l'ère » du pétrole, ce sont aussi la télévision, les industries de programme et les industries culturelles en général qui sont entraînées dans une crise profonde, subissant la désaffection d'une partie croissante de la population. L'ensemble du système consumériste s'avère aujourd'hui caduc. Dès son origine, Ars Industrialis a soutenu que le consumérisme constitue un processus autodestructeur, soumettant les technologies d'information et de communication à l'hégémonie d'un marketing irresponsable et empêchant la formation d'un nouvel âge industriel. Car au cours de la dernière décennie, un autre modèle comportemental est apparu qui dépasse l'opposition de la production et de la consommation, dont le logiciel libre et les licences creative commons sont les matrices conceptuelles et historiques. Ce nouveau modèle constitue la base d'une économie de la contribution. Il permet d'espérer qu'après la domination de la bêtise systémique à laquelle aura conduit le consumérisme, les technologies numériques seront mises au service d'une nouvelle intelligence collective et d'un nouveau commerce social — pour autant qu'émergent une volonté politique et une intelligence économique nouvelles, et que s'engage la lutte pour en finir avec la mécroissance.

04/2009