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Gaston Pradelle

Extraits

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BD jeunesse

Gaston Tome 5 : Gaffes à gogo

Cette toute nouvelle édition de la collection Gaston Lagaffe intègre toutes les planches réalisées par André Franquin, certaines inédites. Chacune d'elle a été minutieusement remasterisée d'après le trait original et délicieusement recoloriée au plus prés des souhaits de l'auteur.

03/2018

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Humour

Gaston Grognon en BD. Orange stressée

Chaque mercredi, Gaston a sa petite routine : il attrape son orange anti-stress et part faire une promenade pour profiter du calme de la jungle, seul avec lui-même. Mais ce matin-là... son meilleur ami, Bernard le gorille, décide de l'accompagner. Et avant qu'il ne s'en rende compte, Gaston est suivi par tous les autres animaux ! Heureusement qu'il a son orange anti-stress pour rester zen. Il la malaxe de toutes ses forces, quand soudain... Splash ! L'orange finit en bouillie. Gaston part en quête d'une nouvelle orange... et va frôler la crise de nerfs !

04/2022

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La vie quotidienne

Gaston la licorne. Je dis merci

Gaston, la petite licorne, est de retour dans une nouvelle collection ! Apprivoiser ses émotions, ce n'est pas la seule chose que Gaston explore en grandissant. Petit à petit, dans sa vie quotidienne, il apprend aussi à vivre avec les autres dans la bienveillance et l'écoute, comme toi ! Quand il veut et obtient quelque chose ou qu'on lui rend service, Gaston oublie parfois qu'il existe un mot magique... Merci ! Comme Gaston, découvre l'importance de ce mot et tout ce qu'il apporte de positif dans ta vie et dans celle des autres !

05/2021

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La vie quotidienne

Gaston la licorne : Je suis gentil

Gaston est une petite licorne comme toutes les autres, ou presque... Sa crinière arc-en-ciel change de couleur en fonction de ses émotions ! Aujourd'hui Gaston se rend compte de l'impact que son humeur a sur ses amis et sa famille. Quand il est ronchon, il répand le petit nuage gris autour de lui et à l'inverse la gentillesse fait briller en lui, un soleil inépuisable qui se propage. Une collection d'histoires pour apprendre à nommer et apprivoiser ses émotions. Par Aurélie Chien Chow Chine, illustratrice et sophrologue exerçant en école maternelle

02/2024

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Thèmes photo

Gaston Paris. La photographie en spectacle

Cette première monographie et l'exposition qu'elle accompagne permettent de redécouvrir l'importance de ce photographe, profondément influencé par le surréalisme et le " fantastique social " de l'époque. Photographe talentueux, reporter assidu et le plus publié dans le magazine Vu, célèbre pour ses mises en pages et images avant-gardistes, Gaston Paris (1905-1964) reste étonnement l'un des oubliés de l'histoire de la photographie. Ses images figurent, dans toute la presse de l'époque, aux côtés de celles de Laure Albin-Guillot, Germaine Krull, ou encore André Kertész. Equipé de son Rolleiflex et politiquement engagé, il saisit, dès les années 1930, le Paris des noctambules, le monde du cirque et des cabarets, les luttes sociales : ses cadrages audacieux, ses vues en contre-plongée, ses noirs et blancs contrastés témoignent d'un regard acéré et moderniste. Parallèlement à cette production dédiée aux grands sujets louant la modernité, Gaston Paris livre de nombreux reportages étranges et personnels, aux inspirations surréalistes. Il excelle dans les mises en scènes étonnantes et devient l'un des collaborateurs attitré du magazine Détective de la fin des années 1930 aux années 1950 ; entre horreur et Grand Guignol, il reconstitue des drames peuplés de gangsters et de personnages mystérieux. Cet ouvrage offre aussi un éclairage sur la pratique naissante du photojournalisme, en particulier sur quelques-uns des grands sujets alors privilégiés (le monde de la nuit, la misère, les stars parmi lesquelles Piaf ou Cocteau, l'idée de progrès, etc.) et un témoignage exceptionnel de l'évolution de la société de l'entre-deux-guerres. Menée sous la direction scientifique de l'historien de la photographie Michel Frizot, cette monographie présente les multiples aspects d'un travail jusqu'ici méconnu et redécouvert par le Cabinet de la photographie du Centre Pompidou. Photographies, planches-contact thématiques consciencieu-sement réalisées par Gaston Paris, ainsi que des extraits de pages de magazines, avec lesquels il collaborait régulièrement, laissent entrevoir l'étendue de son vocabulaire esthétique et photographique. Cette exploration visuelle sera enrichie d'une introduction à l'oeuvre par Michel Frizot, d'un essai de Julie Jones sur la représentation de la femme dans le Paris des années 1930 et d'un texte de Delphine Desvaux, responsable du fonds Gaston Paris.

01/2022

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Philosophie

Philosophie N° 148, janvier 2021 : Reiner Schurmann interprète de Heidegger et penseur de l'histoire

Ce numéro thématique est consacré à Reiner Schürmann, phénoménologue qui, dans Le principe d'anarchie et Des hégémonies brisées, a prolongé et interrogé la pensée du second Heidegger pour tenter de repenser l'historicité de la pensée occidentale et le statut postmétaphysique de l'Ereignis. Il s'ouvre sur la traduction, par Bruce Bégout, de l'article de Schürmann intitulé ""Que dois-je faire" à la fin de la métaphysique ? ", qui pose la question de l'agir dans sa relation avec le problème du statut et du destin des "principes époquaux" qui régissent l'être et l'action. La question "que dois-je faire ? " sonne le glas d'une certaine normativité principielle dont il s'agit alors, sous le nom d'anarchie, de mesurer le possible ainsi ouvert. Dans "Reiner Schürmann, phénoménologue des ultimes", Vincent Giraud introduit à sa pensée au fil conducteur du phénomène et du mot d'ordre "sauver les phénomènes". Si ce qui se montre est originairement un singulier, que les différents "fantasmes hégémoniques" réduisent à un cas particulier de leur loi, retrouver les phénomènes se fera par une épopée du singulier qui nous établit dans la "condition tragique", fond de notre rapport à l'apparaître. Dans "Fin de partie. Philosophie de l'histoire et clôture de la métaphysique chez Reiner Schürmann", Bruce Bégout interroge la notion d'époque dans sa philosophie, montrant que sa critique de la philosophie de l'histoire procède d'une conception de l'histoire comme dépérissement des hégémonies, à laquelle se soustrait l'ultime époque. Il met en question le paradigme ontologique du contingent, fondement anarchique de la philosophie tragique. Dans "La recherche des origines : entre anamnèse et oubli. Heidegger relu par Schürmann", Servanne Jollivet en expose la lecture de Heidegger à partir des textes tardifs, qui en radicalise le geste et en montre l'ambivalence : en l'inscrivant dans l'histoire des hégémonies, il remonte de l'interrogation sur les origines à l'origine première, repensée de manière non fondamentale comme "violence originaire". Dans "L'absent, vois-le comme fermement présent", Thomas Aït Kaci s'attache au problème de l'effacement de la figure hégélienne dans Des hégémonies brisées. Que dans son opiniâtre combat mené contre la dialectique, du commencement à la fin et de Parménide à Heidegger, Schürmann ne rencontre pas à un moment ou à un autre son adversaire hégélien, surprend. Quel est le sens philosophique d'une telle absence, concertée et déconcertante ? Dans "Des langues brisées. Silence et origine dans la pensée de Reiner Schürmann", Vincent Blanchet comprend l'ensemble de son oeuvre à la lumière de la méditation de la langue qui la traverse jusqu'à son accomplissement dans Des hégémonies brisées ; il s'agit par là d'interroger la possibilité, pour la parole, de demeurer fidèle aux conditions dernières de l'expérience. Enfin, dans "La source", Emmanuel Cattin s'attache à la question de ce que Schürmann nomme "l'origine", en lien essentiel à "l'expérience originaire avec le langage". Dans l'héritage de l'Ereignis de Heidegger, Schürmann n'aura cessé de méditer le sens de la source de tout apparaître, et le mode de séjour accordé à celle-ci, "l'errance". Entre le Maître Eckhart de 1972 et Des hégémonies brisées de 1996, la joie errante aura disparu pour céder devant le regard tragique. D P.

01/2021

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Autres

Philosophie N° 151, septembre 2021 : Maurice Blanchot

Les références, parfois très allusives, de Blanchot à des auteurs comme Husserl, Heidegger, Sartre, Merleau-Ponty, Levinas et Derrida, ainsi que son approche spécifiquement littéraire de la question de la phénoménologie (de sa tâche, de ses horizons et de ses limites) laissent penser que pour Blanchot, le rapport entre phénoménologie et littérature n'est pas seulement accidentel, mais pourrait constituer une critique du projet phénoménologique ou même en ouvrir de nouvelles voies d'élaboration. En effet, le rapport de Blanchot à la phénoménologie est présent dès ses premiers ouvrages et se rapporte explicitement à la question de l'écriture. Paradoxalement, tandis que d'un côté, pour Blanchot écrire c'est se rapporter à ce qui se soustrait au domaine du sens et donc à ce qui ne peut être constitué comme phénomène, d'un autre côté, il affirme dans L'Entretien infini que l'une des caractéristiques principales de la littérature est de "poursuivre indéfiniment l'épochè, la tâche rigoureuse de suspendre et de se suspendre", et ainsi de nous rapporter à la question de la constitution du sens. Comment comprendre cette référence explicite à la méthode phénoménologique ? La radicalité de l'épochè en jeu dans la littérature, la tâche de "suspendre et de se suspendre" barre-t-elle tout accès au sens et implique-t-elle ainsi une destruction du projet phénoménologique ? Ou bien, si c'est le sens comme possibilité qui est en question avec la littérature, celle-ci n'implique-t-elle pas une autre description du projet phénoménologique et de la conscience dans son rapport au monde et au langage ? Ce dossier inclut des articles de Danielle Cohen-Levinas, Maud Hagelstein, Dorothée Legrand, Aïcha Liviana Messina, Jean-Claude Monod et Etienne Pinat, ainsi qu'une lettre inédite de Maurice Blanchot un destinataire inconnu dans laquelle il évoque son "amitié intellectuelle" pour Heidegger, qu'il qualifie principalement d'écrivain. En revenant sur la façon dont Blanchot entre en dialogue, de façon implicite ou explicite, avec les oeuvres de phénoménologues tels que Husserl et Heidegger, ce dossier explore principalement ce qui destine la phénoménologie à la question de l'écriture et à la réflexion sur la littérature.

09/2021

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Autres

Philosophie N° 150, juin 2021

La conférence d'Emil Lask "Hegel dans son rapport à la conception du monde des Lumières", traduire et présentée par Emmanuel Chaput, clarifie le rapport ambivalent que Hegel entretint avec les Lumières. Pour Lask, l'idéalisme allemand (dont Hegel fait aussi partie) est l'héritier des Lumières, pour lesquelles la réalité donnée doit être subordonnée à une valeur rationnelle absolue, mais à la différence de Kant et Fichte, Hegel refuse de penser cette valeur comme un simple devoir-être (Sollen) ou un idéal asymptotique. Lask dépeint ainsi Hegel comme un penseur non pas de la Restauration, mais de la valeur contre la simple norme ou le simple devoir-être. En faisant des monades les particuliers de base de son système, Leibniz propose une métaphysique concurrente, rivale de celle défendue par Strawson dans Individuals. Dans "P. F. Strawson et la critique des monades , Paul Rateau montre que les critiques soulevées par Strawson reposent sur deux interprétations contestables : l'assimilation de la notion complète de la substance individuelle à une description exhaustive en termes généraux, et la réduction de la monade à la conscience pure. B répond aussi au reproche qu'il adresse à Leibniz d'introduire des considérations extra-logiques dans son traitement de la question de l'individuation. Dans "Bergson et le schématisme cinématographique de l'intelligence", Arnaud Bouaniche élucide le rôle du cinéma dans le quatrième chapitre de L'Evolution créatrice de Bergson, à la lumière d'un rapprochement précis avec la doctrine kantienne du schématisme des concepts purs de l'entendement. Il dégage la thèse selon laquelle le cinéma n'est pas seulement pour Bergson une machine à produire de l'illusion (l'illusion du mouvement) mais cet "art caché", désormais rendu visible, qui commande notre connaissance spontanée du réel. Dans "Levinas : la sensibilité ou la vie de la raison", Paula Lorelle éclaire l'ambition lévinassienne d'un élargissement de la rationalité. Sous les termes de raison et de rationalité, il est aussi bien question d'une raison suspecte qui ne survit qu'en ant l'altérité, que d'une raison nouvelle qui s'ouvre en son épreuve. B s'agit dans Autrement qu'être de comprendre cette autre rationalité comme une raison sensible, décrite en termes d'éveil dans Entre nous et De Dieu qui vient d l'idée ; l'équivocité du terme raison désigne les deux moments d'un seul et même procès d'endormissement et d'éveil de la raison. Dans "Texte de l'espace — espace du texte", Ai Maeda détermine l'expérience spatiale propre à la littérature à partir d'une analyse phénoménologique de l'acte de lecture, qu'il reformule ensuite selon les axiomes de la topologie, et il replace son analyse de l'espace vécu au sein de la représentation littéraire de la spatialité concrète qu'est l'espace urbain moderne. Ce faisant, sa démarche théorique se double d'une critique culturelle de la modernité japonaise. On peut ainsi lire la spatialité pensée par Maeda comme l'une des premières réponses, de la part de la pensée critique contemporaine japonaise, au basée de Kitarô Nishida et des philosophes de l'école de Kyôto. D. P.

06/2021

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Philosophie

Philosophie N° 140, janvier 2019 : Heiddeger, Hölderlin, Eschyle

Ce numéro s'ouvre sur "Voix de l'éternel à l'éterne " de C. Layet, consacré à l'essai philosophique de Hölderlin Sur la manière dont procède l'esprit poétique. Il y nomme sensation transcendantale l'état harmonique auquel permet d'accéder la position d'un principe relationnel – dont demeure privée la fondation dans le Moi absolu défendue par Fichte ; en tant que lien irréductible avec l'extériorité, cette sensation se distingue aussi de ce que Hegel nomme intuition transcendantale dans la Differenzschrift. Si l'épreuve d'une telle sensation est caractérisée comme condition nécessaire pour tout accomplissement humain, elle n'est cependant pas suffisante pour que l'homme atteigne sa destination, la sensation exigeant en outre de se manifester dans une langue poétique. A partir des années trente, la pensée de Heidegger se caractérise de plus en plus explicitement par la tentative de restituer la "possibilité première" de l'autre commencement (der andere Anfang) de la pensée de l'être. Dans "Vers une démodalisation du possible : Heidegger et le clivage de l'estre", I. Macdonald esquisse une interprétation de cette possibilité, en lien étroit avec la critique de la modalité qu'elle présuppose – critique surtout mise en oeuvre dans les Beiträge zur Philosophie (Contributions à la philosophie) – et la réception heideggérienne de Hölderlin. Dans "L'angoisse dans l'Agamemnon d'Eschyle à la lumière d'Etre et Temps de Heidegger",J.-J. Alrivie tente de montrer que lorsque Heidegger inclut expressément Eschyle dans ce qu'il nomme commencement grec, cela procède d'une conviction bien étayée – et ce même s'il ne se livre pas, comme il le fait pour Homère ou Sophocle, à l'exégèse élaborée de textes précis. Par la question centrale de l'angoisse qui y est en jeu, Agamemnon apparaît dans l'Orestie comme l'oeuvre d'Eschyle la plus propre à manifester cette parenté entre la poésie tragique d'Eschyle et l'analyse existentiale. Dans "Martin Heidegger, un recteur nazi et l'"anéantissement total" de l'ennemi intérieu ", G. Payen se livre à une analyse historique précise. Selon Emmanuel Faye, Heidegger aurait lancé un appel à l'extermination dans un cours de 1933. Or, en parlant d'anéantissement total de l'ennemi intérieur, il reprenait l'expression d'un slogan de la campagne d'autodafés menée par la Corporation des étudiants allemands contre "l'esprit non-allemand" ; pour comprendre le sens qu'il pouvait lui donner, il faut la replacer tant au sein de la méditation du combat héraclitéen qu'il fit dans son cours, qu'à la lueur de la lutte antisémite qu'il mena comme recteur nazi de l'université de Fribourg-en-Brisgau. Dans les Questions jadis parues chez Gallimard, les traductions étaient assorties de remarques des traducteurs sur les difficultés de traduction et les choix terminologiques adoptés. Cette pratique s'est perdue, l'éditeur allemand des oeuvres de Heidegger n'autorisant ni explicitation de la pensée de Heidegger en notes, ni commentaire sur les choix terminologiques – ce qui entrave le progrès de la traduction au fil des générations, fondé sur la comparaison explicite des choix et leur discussion. Les présentes "Remarques sur la traduction de certains termes heideggériens" de D. Pradelle, prévues en annexe à la traduction des Pensées directrices sur la genèse de la métaphysique, de la science et de la technique modernes (Seuil), tentent une explicitation de termes fondamentaux de la pensée du second Heidegger. D P.

01/2019

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Philosophie

Philosophie N° 144, janvier 2020 : Perspectives philosophiques sur Le Deuxième sexe de Simone de Beauvoir paru il y a 70 ans

En dépit des déclarations expresses de Simone de Beauvoir dans ses Mémoires, la philosophie se situe au coeur de son entreprise intellectuelle. Pourtant, hormis quelques notables exceptions (Le Doeuff, Kail, Garcia), la réception de l'oeuvre beauvoirienne en France a longtemps pris au mot la déclaration de La force de l'âge, estimant qu'elle se situait du côté des études littéraires ou féministes. A partir de 1980, Michèle Le Doeuff s'est efforcée la première de battre en brèche cette relégation du Deuxième Sexe hors du champ de la philosophie : mettant en question la représentation de Beauvoir en simple disciple de Sartre, elle a montré comment l'absence de Beauvoir dans les études philosophiques françaises prolongeait l'existence d'un véritable "complexe d'Héloïse" – le fait que dans l'histoire de la philosophie, les femmes ne sont guère dépeintes que comme admiratrices-amoureuses d'un philosophe-amant dont elles seconderaient le travail. L'étude intrinsèque du texte de Beauvoir et le mouvement vers sa reconnaissance comme philosophe se sont donc opérés par une mise en évidence de l'originalité de sa pensée par rapport à celle de Sartre. Or, si ce mouvement conduit à l'émergence d'une importante littérature secondaire en langue anglaise portant sur la philosophie beauvoirienne, la réception philosophique de son oeuvre en langue française demeure largement à venir. A l'occasion du soixante-dixième anniversaire de la publication de l'ouvrage, ce numéro propose un ensemble d'études centrées sur les apports philosophiques du Deuxième Sexe, sans cependant prétendre présenter dans toute sa complexité et sa richesse la pensée beauvoirienne. Le numéro s'ouvre sur la recension que publia Beauvoir sur la Phénoménologie de la perception de Merleau-Ponty dans le premier numéro des Temps modernes. En regard, Raphaël Ehrsam propose, dans "Liberté située et sens du monde : Merlau-Ponty et Beauvoir", une étude des liens entre les philosophies de Beauvoir et de Merleau-Ponty, indiquant l'influence de la pensée merleau-pontyenne sur l'élaboration du concept beauvoirien de situation, en même temps que leurss divergences profondes dans l'approche de la liberté et du corps. Mickaëlle Provost met ensuite en évidence, dans "L'expérience du doute chez Simone de Beauvoir", la double fonction du doute comme méthode et éthique dans l'existentialisme beauvoirien. Dans "De l'oppression à l'indépendance : la philosophie de l'amour dans Le Deuxième Sexe", Manon Garcia montre qu'une philosophie de l'amour structure la façon dont Beauvoir élucide l'oppression des femmes, ainsi que la possibilité de leur émancipation. Dans "La dialectique maître-esclave selon Simone de Beauvoir", Maria Montanaro et Matthieu Renault montrent comment Beauvoir s'approprie et transforme la dialectique hégélienne du maître et du serviteur. Enfin, dans "De la critique du matérialisme à son dépassement", Pierre Crétois met en évidence, en étudiant la notion de propriété, l'influence du marxisme sur la conception beauvoirienne de l'oppression féminine. Raphaël Ehrsam, Manon Garcia et D P.

01/2020

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Philosophie N° 149, mars 2021 : Raymond Ruyer

Ce numéro est tout entier consacré au philosophe français Raymond Ruyer (1902-1987). Il s'ouvre sur une lettre de Ruyer à Piaget du 16 octobre 1965. Elle fait suite à la sévère critique que Piaget avait faite de ses Eléments de psycho-biologie où, tout en reconnaissant dans l'ouvrage un certain effort d'information, celui-ci opposait une fin de non-recevoir aux explications des faits par une métaphysique du potentiel et condamnait le recours, jugé purement verbal, à des notions telles que "finalité", "potentiel", "psychisme". On y lira les arguments que Ruyer oppose à la thèse selon laquelle la philosophie n'apporte aucune connaissance véritable, ce privilège étant réservé à la science expérimentale. Dans "Ruyer et les leçons de l'instinct", André Conrad s'attache au problème de la différence anthropologique. Pour l'éthologie compréhensive (Fabre, von Uexkiill, Buytendijk), l'instinct est une embryologie continuée selon une action thématique, et non selon le mécanisme à "déroulements autonomes" (Lorenz, Tinbergen) ou des "comportements régulés". Si l'homme est séparé de l'animal par l'originalité de la fonction symbolique (Cassirer, Langer), l'action thématique ne sépare pm l'embryologie sociale (culture et politique) du mystère de la vie, ce qui fait à la fois comprendre 1a différence et la communauté des vivants. Dans "Etre ou avoir son corps : à propos de trois genres de multiplicités chez Ruyer", Benjamin Berger s'attache à éclaircir le statut du corps dans la philosophie de Raymond Ruyer. Ce dernier se situe au carrefour de deux axes cruciaux, celui de la manifestation et celui des multiplicités, et constitue le lieu de connexion entre la phénoménologie et l'ontologie, de même qu'entre une philosophie de l'incarnation et une philosophie du corps vivant. Dans "Raymond Ruyer et la cybernétique", Alix Veilhan s'intéresse à la lecture ruyerienne des théories rybemétiques, notamment à la façon dont le dialogue avec les thèses formulées par Norbert Wiener permet à Ruyer de soutenir l'hypothèse d'une origine "transspatiale" de l'information et de démontrer l'inadéquation du mécanisme pour élaborer une pensée du vivant. Ruyer invite alors à l'établissement d'une cybernétique renouvelée, en accord avec "éo-finalisme". Dans Rayer, Leibniz et l'unité des corps o, Bertrand Vaillant s'attache à un problème que Rayer hérite de Leibniz, celui de l'unité des corps, et examine à la lumière de cet héritage lebniziu sa résolution au sein de la métaphysique panpsychiste de Ruyer, conçue par ce dernier comme une "monadologie corrigée". L'auteur cherche à montrer que cette philosophie, pensée pour échapper aux difficultés de la monadologie leibnizienne, n'y parvient pas réellement. Dans "Le rapport de Rayer à Whitehead", Fabrice Colonna cherche à établir quelle est la présence exacte de Whitehead dans l'oeuvre de Ruyer. Les points de rapprochement incontestables entre les deux penseurs concernant l'importance de la métaphysique, la critique du schème matérialiste et la pertinence d'un platonisme renouvelé ne doivent pm faire oublier les différences d'accent, qui se manifestent tant au sujet de la question des composés que de certains principes de la théologie spéculative, à laquelle l'un et l'autre auront frayé des voies originales. D. P.

03/2021

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Autres

Philosophie N° 152, janvier 2022

Ici traduit en français pour la première fois par Amaud Dewalque, l'essai d'Oskar Kraus sur Le Besoin (1894) est une application de la psychologie descriptive brentanienne à l'économie. On définir parfois l'économie comme le système des besoins humains. Mais qu'est-ce qu'un "besoin"? Qu'est-ce qui distingue les besoins humains au sens fort des simples privations et des instincts animaux ? Et quelles sont les différentes classes (ou types) de besoins ? Contre les théories hédonistes, Kraus soutient que tous les besoins ne sont pas tournés vers l'obtention du plaisir ou la suppression du déplaisir. Il présente ainsi une analyse descriptive plus riche des phénomènes volitifs ou conatifs. Dans "Décrire n'est pas tout : Kurt Lewin sur l'émotion", Denis Scion s'intéresse au psychologue Kurt Lewin, qui dans les années 1920 avait proposé une approche originale et féconde des émotions, qui se distingue par trois prises de position : d'abord, il rejette la méthodologie analytique ; ensuite, íl en appelle à une psychologie des émotions qui soit génétique, causale et dynamique ; enfin, la psychologie des émotions doit selon lui être psychophysique, à savoir ancrée dans l'expérience interne autant qu'externe. La psychologie des émotions de Lewin s'oppose, sur ces trois points, à l'approche de psychologues tels que Titchener et les brentaniens, laquelle est analytique, statique et introspectionniste. Le texte de Michel Le Du, "La conscience est-elle de glace ? ", est centré sur le concept d'émergence, qui a été utilisé durant les dernières décennies par différents philosophes de l'esprit, notamment dans le but de livrer une interprétation de la relation corps-esprit évitant à la fois le dualisme et le réductionnisme ; John Searle a ainsi expliqué, à différentes reprises, que la conscience et l'intentionnalité étaient des propriétés émergentes du cerveau. Le but de l'article est de montrer que cette approche apporte une réponse ontologique à une question dont les termes mêmes témoignent, en premier lieu, d'une confusion conceptuelle. Dans l'article "Anselme et l'actualité" (1970), David Kellogg Lewis (1941-2001), propose une analyse critique de l'argument ontologique développé par Anselme de Cantorbéry afin d'illustrer la teneur et la portée de sa thèse centrale, le réalisme modal. Récusant la conception ordinaire qui assimile l'existence réelle à l'actualité, Lewis montre que cette dernière est en réalité une notion indexicale : tout comme "ici", "maintenant" ou "ceci", elle n'acquiert en effet sens et signification qu'en vertu de son contexte d'énonciation. Désolidarisée de l'existence effective, l'actualité ne désigne alors, selon Lewis, qu'une étroite région du vaste royaume des possibles : celle qu'il se trouve que nous habitons.

01/2022

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Notions

Etre et genèse des idéalités. Un ciel sans éternité

La question centrale de cet ouvrage se situe à la croisée du réalisme et de l'idéalisme : comment peut-on à la fois affirmer que les objets dont traite la mathématique possèdent un être identique en tout temps et pour tout sujet pensant et qu'ils ont été produits par un sujet mathématicien ? L'idéalité des objectités formelles implique en effet leur autonomie ontologique vis-à-vis de la conscience, donc l'impossibilité de les produire ; or elles requièrent l'invention d'un système de notations symboliques et font leur apparition à un moment de l'histoire ; n'est-ce pas le signe de leur dépendance ontologique vis-à-vis de la spontanéité productrice de la conscience ? Partant, la vérité mathématique doit-elle être entendue comme adéquation de la connaissance à des objets préexistant en soi, ou comme dévoilement d'objets n'ayant ni existence en soi, ni préexistence à l'acte qui les dévoile ?

05/2023

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Littérature française

LA DÉGRINGOLADE. Tome I

Dans le premier tome de "La Dégringolade", l'histoire se déroule dans le Paris du 19e siècle, une ville en pleine transformation pendant la période haussmannienne. Le personnage principal est Gaston de Pradelle, un jeune homme de la haute société qui mène une vie insouciante. Cependant, la vie de Gaston bascule lorsqu'il se retrouve impliqué dans une série d'événements tragiques. Suite à un accident de voiture tragique dans lequel il est impliqué, il perd son statut social, sa fortune, et se voit contraint de faire face à la réalité de la misère et de la déchéance. Gaston doit s'adapter à un nouveau monde, rencontrer des personnages issus de milieux sociaux différents, et faire face à des défis auxquels il n'avait jamais été confronté. Tout au long du roman, il tente de se reconstruire et de trouver un sens à sa vie alors que la société autour de lui change rapidement. Le roman explore des thèmes tels que la chute sociale, la résilience, la transformation personnelle et les conséquences de la modernisation urbaine. Il offre un regard sur les inégalités de classe de l'époque et les défis auxquels sont confrontés les personnages lorsqu'ils sont confrontés à des circonstances imprévues. "La Dégringolade" est une histoire riche en rebondissements qui offre une réflexion sur les transformations de la société et les choix individuels dans un contexte de changement rapide.

09/2023

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Marques et modèles automobiles

Aston Martin DB

Retour sur l'histoire d'Aston Martin DB, les modèles légendaires de la marque ailée. En 1947, David Brown, nouveau propriétaire, relance la marque avec de nouveaux modèles, qui deviendront rapidement emblématiques, en y apposant ses initiales : DB. Aston Martin entre alors dans une nouvelle ère. Synonyme d'élégance et d'intensité, de luxe et de puissance, Aston Martin fait partie de ces marques légendaires et s'impose comme l'incarnation parfaite du savoir-faire britannique, de l'élégance à l'anglaise. De la première DB à la DBX en passant par la mythique DB5 de James Bond, c'est toute l'histoire de ces voitures d'exception qui est retracée dans cet ouvrage superbement illustré et documenté.

03/2023

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BD tout public

Mon fiston, ma baston

Dans ce nouvel ouvrage, David Snug aborde le thème de la paternité en mettant en scène un alter ego odieux, totalement dépourvu de sens moral. Notre "héros" devient du jour au lendemain parent isolé, car sa jeune compagne est morte en couches suite à une tentative d'avortement artisanal pratiqué par ses soins. Son enfant est une fille, mais il ne l'entend pas de cette oreille. Quitte à élever une progéniture, ça sera un garçon. Objectif avoué de cet affreux papa : former avec son "fiston" un duo de super héros, un peu à la manière de Batman et Robin.

09/2019

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Histoire de France

Gaston d'Orléans. Frère de Louis XIII

Fils du roi Henri IV, frère de Louis XIII et oncle de Louis XIV, Gaston d'Orléans a laissé le souvenir d'un prince tumultueux, rebelle et indomptable. En effet, il passa sa vie à comploter et à cabaler contre le souverain et ses ministres, Richelieu puis Mazarin, mais il obtint à chaque fois le pardon royal. Il bénéficia du soutien inconditionnel de sa mère, la brouillonne Marie de Médicis, jusqu'à la mort de celle-ci en 1642. Parmi ses complices figurèrent les célèbres Cinq-Mars et de Thou dont l'exécution fit sensation. Cependant, mêlé au sang batailleur des Bourbons qu'il transmit à sa fille, la Grande Mademoiselle, il portait aussi en lui celui des mécènes florentins. De fait, il se révéla un prince fort cultivé, collectionneur et protecteur des arts de son temps. C'est le portrait de cet homme étonnant, aux multiples facettes, que peint ici brillamment Christian Bouyer.

05/2007

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Beaux arts

Gaston Chaissac. Puzzle pour un homme seul

Qui était Gaston Chaissac (1910-1964) ? Cet autodidacte, ce non-conformiste de la peinture et de l'écriture a mené la vie difficile d'un cordonnier sans travail qui, d'un village rural de Vendée à un autre, a refusé de se satisfaire de sa condition. Homme du commun, il est devenu un personnage hors du commun. Il était connu comme peintre et comme écrivain à la fin des années 1940, grâce à Raymond Queneau, Jean Paulhan et Jean Dubuffet. Sa peinture, de plus en plus recherchée par les amateurs, échappe dans la seconde moitié des années 1970 à l'ombre de Dubuffet et à l'étiquette de l'art brut pour se voir reconnaître une place particulière dans l'histoire de la peinture contemporaine. L'oeuvre littéraire, plus confidentielle, est éclatée en une multitude de lettres adressées à une infinité de correspondants, lettres dont un petit nombre seulement a pu être édité. Le domaine artistique de Chaissac est imbrication de couleurs, de souvenirs, de fantasmes. C'est une reconstruction du monde par un jeu de puzzle, et ce livre se veut à son image. Tentative de recréation du personnage, dans un refus de séparer l'homme, le peintre, l'épistolier, il comprend des analyses, des témoignages, beaucoup d'extraits de lettres. Atravers le fractionnement de ces écrits, la plupart inédits, se dégage le portrait d'un peintre qui avait une manière à lui de transfigurer les choses abandonnées, les déchets méprisés, les gens oubliés, les mots perdus. L'originalité de la structure, la richesse du contenu ont été soulignés par la critique lors de la première édition.

09/1992

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BD jeunesse

Gaston Tome 18 : Lagaffe mérite des baffes

Cette toute nouvelle édition de la collection Gaston Lagaffe intègre toutes les planches réalisées par André Franquin, certaines inédites. Chacune d'elle a été minutieusement remasterisée d'après le trait original et délicieusement recoloriée au plus près des souhaits de l'auteur.

03/2018

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BD jeunesse

Eli & Gaston : L'esprit de l'automne

Eli et son chat Gaston sont inséparables. Cet été, ils passeront leurs vacances à la campagne chez grand-mère Jo. Eli déteste l'endroit et, surtout, là-bas il ne lui arrive que des ennuis. Il faut qu'ils rentrent chez eux ! Mais sur le chemin, ils découvriront qu'un monde mystérieux se cache dans la forêt voisine. Une étrange créature y sème la terreur et fait fuir les animaux. Embarqués malgré eux dans cette aventure, Eli et Gaston devront affronter cette terrible menace pour rentrer chez eux !

09/2019

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Histoire de France

Gaston Fébus. Le prince et le diable

Issu d'une grande famille compromise dans le catharisme, Gaston Fébus (1331-1391), comte de Foix et vicomte de Béarn, fascina ses contemporains. II mena entre le roi de France et le roi d'Angleterre un jeu diplomatique qui lui permit de préserver ses Etats des ravages de la guerre de Cent Ans. Mécène célébré par les poètes, les musiciens et les chroniqueurs de son temps, ce fin lettré a laissé "Le Livre de la chasse" et "Le Livre des oraisons", qui révèlent une âme tourmentée. Entre l'homme public, le prince éclairé et le père et mari hanté par ses démons, Claudine Pailhès nous invite à comprendre la personnalité complexe de ce seigneur médiéval à la destinée hors du commun.

09/2010

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BD jeunesse

Gaston Tome 16 : Gaffes, bévues et boulettes

Cette toute nouvelle édition de la collection Gaston Lagaffe intègre toutes les planches réalisées par André Franquin, certaines inédites. Chacune d'elle a été minutieusement remasterisée d'après le trait original et délicieusement recoloriée au plus près des souhaits de l'auteur.

03/2018

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Livres sonores

Mes premières émotions avec Gaston la licorne

Un livre pour faire découvrir et apprendre à l'enfant à nommer les émotions avec Gaston la licorne. 6 histoires de Gaston accompagnées de puces sonores, pour se familiariser avec 6 émotions incontournables. Les émotions sont Incarnées par une actrice professionnelle (Brigitte Lecordier) et sont accompagnées d'ambiances sonores. Retrouvez : Boude, joyeux, peur, en colère, triste et tout fou-fou ! Gaston est une petite licornecomme toutes les autres, ou presque... Sa crinière arc-en-cielchange de couleur en fonctionde ses émotions ! Une collection d'histoires pour apprendre à nommer et apprivoiser ses émotions. Par Aurélie Chien Chow Chine, illustratrice et sophrologue exerçant en école maternelle.

10/2023

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Bachelard

L'imagination cosmologique. Regard sur Gaston Bachelard

L'ouvrage nous offre un exposé minutieux de la Poétique de Gaston Bachelard, qui nous mène à un dialogue imaginaire où María Noel Lapoujade exprime ses propres points de vue dérivés de sa Philosophie de l'imagination, des images et des imaginaires et donne ainsi les fondements de sa notion originale d'Homo imaginans. La lecture de cet ouvrage original et fondé nous conduit à un scénario peuplé de résonances inédites de la pensée de Bachelard.

11/2021

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Humour

Gaston Tome 22 : Le retour de Lagaffe

Gaston, c'est un des personnages les plus sympathiques de toute la bande dessinée franco-belge. Né il y a 66 ans sous le crayon d'André Franquin, Gaston est au début un antihéros paresseux qui très vite va devenir un personnage à l'imagination et à l'énergie débordantes (tant qu'il ne s'agit pas de travailler). La série comporte une galerie de personnages réjouissante : Moizelle Jeanne, l'amoureuse transie de Gaston (qui ne capte aucun des signaux qu'elle envoie) ; M. De Mesmaecker, l'homme d'affaires irascible qui n'arrive jamais à signer des contrats ; Prunelle, le patron stressé de Gaston, victime favorite de ses inventions, etc. " Gaston " est sans conteste la série la plus drôle de l'histoire de la bande dessinée franco-belge, servie par un graphisme expressif et ultra dynamique. En quatre années de travail acharné, Delaf a tenté de comprendre le trait et l'esprit du " Gaston " de Franquin. Un résultat incroyable visible sur chacune des pages !

11/2023

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Histoires à écouter

Gaston la licorne : Je suis en colère

Bien plus qu'un livre, une histoire à écouter ! 5 minutes d'histoire et des sons d'ambiances pour te plonger au coeur de l'histoire. Aujourd'hui, Gaston est en colère. Rien ne se passe comme il en a envie. Découvre comment il va retrouver sa bonne humeur ! Gaston est une petite licorne différente des autres. Il a une particularité : sa crinière porte les couleurs de l'arc-en-ciel lorsqu'il va bien, mais dès qu'une émotion forte le submerge, sa crinière et sa queue changent de couleur selon son humeur : la tristesse, la colère ou encore la joie par exemple. Une série d'albums écrite et illustrée par Aurélie Chien Chow Chine, sophrologue pour les adultes et les enfants. Elle exerce notamment dans les écoles maternelles.

06/2023

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Humour

Gaston Tome 15 : Le repos du gaffeur

Cette toute nouvelle édition de la collection Gaston Lagaffe intègre toutes les planches réalisées par André Franquin, certaines inédites. Chacune d'elle a été minutieusement remasterisée d'après le trait original, et délicieusement recoloriée au plus près des souhaits de l'auteur.

01/2022

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Histoire de France

Gaston d'Orléans. Prince de la liberté

Apôtre acharné de la liberté, Gaston d'Orléans a défendu toute sa vie un modèle différent de gouvernance, basé sur le dialogue et le respect des pouvoirs en région. Une modernité déconcertante aux temps de l'absolutisme qu'il a payé au prix fort malgré une extrême popularité. Fils d'Henri IV, dont il a pris le caractère enjoué, frère de Louis XIII, enfant chéri de sa mère Marie de Médicis, Gaston d'Orléans (1608-1660) considérait Richelieu comme un tyran et ne se privait pas de le faire savoir. Héritier du trône jusqu'à la naissance de Louis XIV, il a pu ainsi apparaître comme un recours. Ce prince baroque, indocile, protégeait dans son entourage des penseurs de tous horizons et de toutes confessions. Un temps, il gouverne le royaume avec Mazarin et Anne d'Autriche, aligne les victoires militaires et contribue à pacifier la France jusqu'à la Fronde par un sens remarquable de la concertation et de la négociation. Jean-Marie Constant donne ici le portrait d'un homme vivant et viveur, en phase avec nos réflexions contemporaines par sa pensée politique en faveur d'un monde libre, qui se montre attentif aux déshérités en pleine crise économique et sociale. Son échec, renforcé par une historiographie sans cesse contraire à la vérité de cet homme, éclaire un moment de l'histoire de France, quand il était encore possible de choisir une autre voie que la centralisation autoritaire du pouvoir.

02/2013

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Livres 3 ans et +

Gaston l'ânon qui dit toujours non !

Aujourd'hui, Gaston dit non à tout ce que lui propose sa soeur Agnès. Aller jouer à la rivière ? Non ! Courir dans le pré aux fleurs ? Non ! Se régaler d'herbe fraîche sous le grand chêne ? Non ! Non, non et non ! Gaston fait claquer ses sabots ! Mais qu'arrive-t-il à Gaston ?

03/2020

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BD jeunesse

Gaston Tome 17 : Le gang des gaffeurs

Cette toute nouvelle édition de la collection Gaston Lagaffe intègre toutes les planches réalisées par André Franquin, certaines inédites. Chacune d'elle a été minutieusement remasterisée d'après le trait original et délicieusement recoloriée au plus près des souhaits de l'auteur.

03/2018