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La rafle d'Angoulême, 8 octobre 1942. Angoulême-Drancy-Auschwitz racontée par des survivants

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Gestion

Démocratie participative digitale. Angoulême expérimente les projets participatifs digitaux

Quels sont les secteurs aujourd'hui qui ne sont pas encore impactés par le digital ? L'émergence des modes collaboratifs et des applications dédiées appelées Civic Tech montre que la sphère publique est concernée tant par la recherche d'efficacité de son action qu'au titre de la participation. On parle dorénavant de démocratie participative digitale pour signifier des dispositifs participatifs et digitaux dans l'environnement public. Cela regroupe une multitude d'actions très disparates qui sont autant d'expérimentations pour nos futurs systèmes de gouvernance, systèmes qui sont au coeur de la démocratie et de la liberté. Ce livre propose une analyse de la participation dans les systèmes publics ainsi qu'un panorama à date des offres digitales des Civic Tech. A partir de l'expérience de la ville d'Angoulême sur les projets participatifs digitaux, ce livre interroge le lecteur sur la place de la participation dans la vie publique et ce que pourrait être la démocratie participative digitale.

05/2019

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Résistance

Petit Louis

Né dans une famille juive originaire de Pologne, Lazare Pytkowicz est raflé le 16 juillet 1942 et parqué au Vel d'Hiv avec ses parents et sa soeur. Eux seront déportés à Auschwitz, mais lui parvient à s'échapper. Il a 14 ans et veut se battre : à Lyon, il rejoint l'Armée des ombres et devient "petit Louis", agent de liaison. Ce qui lui vaut une arrestation, en octobre 1943, cette fois par la Gestapo de Klaus Barbie, et une nouvelle évasion. Arrêté pour la troisième fois à Paris en 1944, par la Milice, il est condamné à la déportation. En route, il profite d'un mouvement de foule pour s'enfuir... A la Libération, ce parcours insensé fait de "petit Louis" un héros national. Nommé à 16 ans dans le prestigieux Ordre de la Libération, il sera désigné toute sa vie comme le plus jeune Compagnon. Petit Louis avait tout d'un grand résistant. Et d'un grand homme. Ce livre raconte son histoire.

01/2024

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ouvrages généraux

Rafles, déportation et spoliation des Juifs en Charente. (1940 à nos jours) Préface d'Alain Juppé

Cet ouvrage est la suite du livre publié par G. Benguigui et F. Svensen : La Rafle d'Angoulême, 8 octobre 1942, salué par Serge Klarsfeld. L'auteur s'est attaché à recenser l'ensemble des déportations de Juifs dans le département de la Charente, jusque dans les villages. La spoliation des biens juifs, petits commerçants et artisans dans les villes, voire entreprises connues (Cognac), constitue un deuxième volet " complémentaire " des déportations, leur suite voulue et implacable. Les compromissions de l'administration de Vichy, des administrateurs et des notaires sont seulement étudiées depuis peu. Le département de la Charente offre ici un exemple de la servilité et de la complicité parfois intéressée de ces organismes vis-à-vis de l'occupant allemand. Plus de soixante-quinze ans après, les restitutions restent dérisoires... Reste la mémoire à entretenir.

01/2022

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Histoire de France

Verdun. La plus grande bataille de l'histoire racontée par les survivants

L'ouvrage de Jacques-Henri Lefebvre est une formidable .et tragique découverte de ce qu'a pu être l’enfer de Verdun. Seule la force d'évocation des témoins directs, les survivants, rescapés de l'horreur absolue de la guerre, avec la puissance et le réalisme de leurs témoignages, permettent à ceux qui ne l'ont pas vécue, qui ne connaissent pas la guerre, aux générations actuelles et futures, d'essayer de comprendre, d'appréhender ce qu'ont pu être l’exceptionnel et le quotidien des souffrances de cette bataille tristement unique dans l'histoire. Découvrir Verdun, comprendre Verdun, approcher sa tragédie, c'est oeuvrer pour la Mémoire et pour l'avenir. Regarder l'horreur de la guerre dans sa démonstration la plus absolue, c'est déjà ouvrir une voie pour la Paix.

08/2014

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Histoire de France

Journal d'un interné. Compiègne, Drancy, Pithiviers 12 décembre 1941 - 23 septembre 1942

Benjamin Schatzman est arrêté le 12 décembre 1941, au cours de la rafle dite des " notables " juifs. Alors âgé de près de soixante-cinq ans, il est interné successivement dans les camps de Compiègne, Drancy et Pithiviers, avant d'être déporté à l'Est via Drancy. " Benjamin Schatzman est un des rares internés à tenter de surmonter cette tragédie par une stratégie double : pour conserver un état de santé acceptable et pour ne pas se laisser aller, il se fixe une hygiène personnelle de vie. Pour transcender la situation et en quelque sorte la maîtriser, il décide, après quelques semaines d'apathie où il n'a pas encore accepté la permanence de la condition dans laquelle il est impliqué, de tenir un journal scrupuleux sur son état physique et moral et sur les événements de ce camp où, jour après jour, les gens s'affaiblissent, s'amaigrissent et souffrent sous la torture de la faim, du froid et du manque de médicaments que nécessitent l'âge et la santé de la plupart des notables arrêtés. Il s'agit d'un texte tout à fait extraordinaire. Le seul de son espèce à rassembler des spécificités à nulles autres comparables un homme d'une haute élévation intellectuelle et morale, un scientifique éclectique, doté d'une grande culture générale qui se voit supplicié et qui décrit minutieusement les étapes de son supplice, ballotté entre le désespoir et l'espoir, tout en contraignant son esprit à réfléchir intensément, à analyser avec lucidité les raisons des persécutions que subissent les internés de Compiègne l'antisémitisme, la désorganisation de l'Europe. Cet immense texte impose le respect pour cet homme, dont nous savons que quelques mois plus tard il trouvera la mort soit dans le convoi à destination d'Auschwitz soit dans une chambre à gaz.

05/2006

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Déportation

La Rafle du Vél d'Hiv. Paris, juillet 1942

La rafle dite du "Vel d'Hiv" est l'un des événements les plus tragiques survenus en France sous l'Occupation. En moins de deux jours, les 16 et 17 juillet 1942, 12 884 femmes, hommes et enfants, répartis entre Drancy (près de 4 900) et le Vel d'Hiv (8 000), ont été arrêtés par la police parisienne à la suite d'un arrangement criminel entre les autorités allemandes et le gouvernement de Vichy. Seule une petite centaine de ces victimes survivra à l'enfer des camps nazis. Cette opération emblématique et monstrueuse demeure pourtant relativement méconnue. L'arrière-plan administratif et la logistique policière de la grande rafle n'ont été que peu étudiés, et jamais dans le détail. Légendes (tel le nom de code " opération Vent Printanier ") et inexactitudes (sur le nombre de personnes arrêtées ou celui des effectifs policiers) sont répétées de livre en livre. Et l'on ignore que jamais Vichy ne livra plus de juifs français à l'occupant que le 16 juillet 1942 ! D'où l'ambition, dans cet ouvrage, d'une histoire à la fois incarnée et globale de la rafle du Vel d'Hiv. Une histoire incarnée, autrement dit au plus près des individus, persécutés comme persécuteurs, de leur état d'esprit, de leur vécu quotidien, de leurs marges de décision. Mais aussi une histoire globale, soucieuse de restituer la multiplicité des points de vue, des destinées, et attentive au contexte de la politique nazie et de la collaboration d'Etat. Une recherche largement inédite, la plus riche et variée possible, de la consultation de centaines de témoignages à une exploitation inédite des " fichiers juifs " de la Préfecture de police de Paris. Mais la partie la plus importante de l'enquête a consisté à rechercher des " paroles " de policiers : 4 000 dossiers d'épuration des agents de la préfecture de police ont été dépouillés. Parmi eux, plus de 150 abordent la grande rafle et ses suites. Outre les justifications de policiers, ces dossiers contiennent des paroles de victimes, des témoignages (souvent accablants) de concierges, et surtout des copies de rapports d'arrestation, totalement inédits. Fruit de plusieurs années de recherche menées par l'auteur, où les archives de la police et de l'administration auront été méticuleusement fouillées, La Rafle du Vel d'Hiv apporte une lumière nouvelle sur l'un des événements les plus terribles et les plus difficiles à appréhender de notre histoire contemporaine.

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Déportation

La rafle du Vel d'Hiv. Paris, juillet 1942

Paris, juillet 1942, la catastrophe s'abat sur les juifs de la capitale. En moins de deux jours, 12884 femmes, hommes et enfants sont arrêtés par la police à la suite d'un accord entre les autorités allemandes et le gouvernement de Vichy. Seule une petite centaine de ces victimes survivra à l'enfer des camps nazis. Cette opération emblématique et monstrueuse demeurait pourtant relativement méconnue. L'arrière-plan administratif et la logistique policière de la grande rafle n'avaient été que peu étudiés, et jamais dans le détail. D'où l'ambition, dans cet ouvrage, d'une histoire à la fois incarnée et globale. Fruit de plusieurs années de recherches, nourri par des archives inédites de la Préfecture de police de Paris, de l'administration ou de la justice ainsi que par des témoignages de victimes, La Rafle du Vel d'Hiv jette une lumière nouvelle et saisissante sur l'un des événements les plus terribles de notre histoire contemporaine.

10/2023

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Littérature française

Le nageur d'Auschwitz

Voici l'histoire d'un héros français oublié. Alfred Nakache, juif natif de Constantine, gloire de la natation française de 1936 à 1942, admis à titre posthume en 2019 dans le saint des saints de la natation mondiale, le Swimming Hall of Fame, en Floride. Mais qui sait qu'il fut déporté à Auschwitz avec sa femme et sa fille, et redevint champion du monde ? L'histoire vraie de l'homme qui nagea en enfer C'est l'histoire d'un héros français oublié. Alfred Nakache (1915-1983), juif natif de Constantine, gloire de la natation française et du water-polo de 1936 à 1942, survivant d'Auschwitz et de Buchenwald, a été admis à titre posthume en 2019 dans le saint des saints de la natation mondiale, le Swimming Hall of Fame, en Floride, pour les valeurs de courage, d'humilité, de force vitale et de résilience qu'il incarna. Interdit de bassin lors des championnats de France en 1942, dénoncé en novembre 1943, il est arrêté, détenu à Drancy, puis déporté par le convoi n° 66 du 20 janvier 1944. A Auschwitz, Alfred Nakache bravera les nazis en allant nager, à ses risques et périls, dans des réserves d'eau à l'autre bout du camp. En 1945, alors qu'on le croit mort, lui qui, petit, avait peur de l'eau, revient nager dans son club des Dauphins, à Toulouse. Avec l'espoir de retrouver sur le quai de la gare, où il se rend tous les soirs, sa femme Paule et sa fille Annie, déportées avec lui. Il retrouve son corps d'athlète et décroche un incroyable record du monde (3 x 100 mètres 3 nages)... avant d'apprendre que les deux amours de sa vie furent gazées quelques heures après leur arrivée à Auschwitz. Après les Jeux Olympiques de Londres, en 1948, Alfred Nakache se retire des bassins, ne parlant presque jamais de cette vie à contre-courant, mais nageant tous les jours dans la baie de Cerbère, près de la frontière espagnole. Jusqu'à ce jour, en 1983, où, victime d'une crise cardiaque, il meurt en pleine mer...

05/2022

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Histoire de France

La vie d'un homme

Enfant caché et fils de survivants de la déportation, Samuel Levi réunit ici ses souvenirs et les traces retrouvées de l'histoire des siens. Samuel Levi est né en 1937 à Paris dans une famille sépharade. Son père, Elia, vient de Turquie et Sol, sa mère, est originaire de Grèce. Pendant la guerre, Samuel vit séparé de son père. Engagé volontaire démobilisé, celui-ci sera emprisonné et interné à plusieurs reprises au camp du Vernet avant d'être déporté de Drancy vers Auschwitz-Birkenau par le convoi no 75 en mai 1944. A Paris, Samuel et sa mère échappent grâce à une voisine à la grande rafle des Juifs apatrides de février 1943. Avec l'aide du Comité Amelot, Samuel est caché dans le Morvan puis protégé jusqu'à la fin de la guerre dans des fermes de la région parisienne. Recherchée par la police, Sol est arrêtée en juin 1944 puis déportée à Auschwitz par le convoi no 76. A leur retour de déportation, Elia et Sol ne vivront plus ensemble. De retour sur les bancs de l'école, Samuel obtiendra son certificat d'études puis commencera à travailler à 14 ans. Pratiquant divers métiers, il vivra entre la France et Israël avant de revenir s'installer à Paris avec son épouse en 1980. Avec elle, il a pu offrir à leurs enfants la stabilité et l'amour familial dont il fut privé.

04/2019

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Poitou-Charentes

Angoulême, petits secrets et grandes histoires. Guide du promeneur curieux

Placée depuis des siècles sur son promontoire en surplomb de la Charente, la ville d'Angoulême est riche de toute une histoire qui peut se révéler au hasard des rues et des places. Ce livre veut inviter le promeneur curieux à un voyage dans le temps où la petite histoire peut rejoindre la grande histoire : Isabelle Taillefer, reine d'Angleterre, le Prince Noir au château comtal, Marguerite de Valois, soeur du roi François Ier, François Ravaillac, l'assassin du roi Henri IV, Marie de Médicis chez la famille Guez de Balzac, etc. Avec cela une tour médiévale avec la jambe de Clovis, une échauguette, une chapelle de lépreux, une plaque de rue au nom évocateur, un bas-relief sur la Chanson de Roland à la cathédrale, un rempart d'où s'est envolé un général, pionnier de l'aviation, etc. Et enfin la bande dessinée omniprésente dans la ville : les murs peints, le buste de Hergé, les plaques de rue transformées en bulles, la CIBDI, les chais Magélis, etc. De quoi s'évader, de quoi rêver ! Le temps suspendu !

03/2021

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Histoire de France

L'internement des Nomades, une histoire française (1940-1946)

L'internement des Nomades en France s'inscrit dans le cadre d'une politique de persécution mise en oeuvre par les autorités françaises contre une population surveillée, contrôlée et identifiée depuis le début du XXe siècle. Durant la Seconde Guerre mondiale, d'octobre 1940 à mai 1946, au moins 6500 personnes, hommes. femmes et enfants, en grande majorité françaises, sont spoliées de leurs biens et enfermées dans des camps d'internement. Ces familles nomades, foraines ou itinérantes traversent la guerre derrières les barbelés dans des conditions inhumaines. Sous-alimentés, exposés aux maladies, contraints aux travaux forcés, de nombreux internés décèdent dans les camps ou dans les hôpitaux environnants. A partir de 1943, certains internés sont déportés vers l'Allemagne dans le cadre d'une nouvelle politique répressive de l'occupant allemand. D'autres, libérés des camps français, sont raflés dans le Nord et le Pas-de-Calais, sous administration militaire allemande, et déportés vers Auschwitz-Birkenau avec le convoi "Z" du 15 janvier 1944.

07/2019

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Déportation

La rafle des notables

"La rafle des notables commença dans la nuit du 12 décembre 1941. Sans doute de la même façon que des milliers d'autres en France occupée, des millions d'autres en Europe nazifiée, par un coup de sonnette qui fracassa le silence de la nuit, au n°46 de la cossue rue de Tocqueville, à Paris". Dans ce récit intime, Anne Sinclair met en lumière un chapitre méconnu de l'Histoire. Celui de Juifs français, chefs d'entreprise, avocats, écrivains, magistrats, arrêtés et envoyés au camp de Compiègne. Ils seront rejoints par trois cents Juifs étrangers, en attente d'un convoi pour Auschwitz. Parmi les notables, Léonce Schwartz, le grand-père de l'autrice.

09/2021

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Divers

Le 50ème, une odyssée du festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Scénaristes, dessinateurs, coloristes, éditeurs, fanzineux et journalistes le savent bien : l'odyssée angoumoisine est toujours ponctuée de surprises... Faits politiques, petites phrases, concerts de dessins ou partenariats transmédias, et d'un Grand Prix à un autre, le FIBD fourmilled'anecdotes connues ou ignorées : cet ouvrage les retrace de manière chronologique, dans une perspective illustrée permettant de circonscrire doublement le Festival d'Angoulême comme un laboratoire de création et un écrin mémoriel. Deux chapitres abordent l'histoire du Festival off ainsi que celle du Prix Fanzine, l'une des originalités du Festival. Une longue histoire, "à suivre"

04/2023

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Déportation

Paris 1942. Chroniques d'un survivant

Paris, 1942. Le sort des Juifs de France, déjà persécutés depuis le début de l'Occupation, s'aggrave brutalement. Le port de l'étoile est imposé à partir de juin et les déportations s'accélèrent. Le 16 juillet, les Rajsfus sont victimes de la rafle du Vél' d'Hiv. Seuls le petit Maurice et sa soeur Eugénie seront libérés ; ils ne reverront jamais leurs parents. Composé de récits autobiographiques incisifs et vivants, Paris,1942 est écrit dans un style enlevé, parfois avec humour, souvent avec colère. Dans ce livre parmi ses plus personnels, Maurice Rajsfus chronique sa vie en cette année 1942 celle d'un jeune garçon, tentant de survivre aux moments les plus sombres de l'Occupation. C'est ici le legs unique d'un jeune Français soudainement projeté dans la survie, considéré comme un paria dans son propre pays.

04/2022

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Déportation

La grande rafle du Vel d'Hiv. 16 juillet 1942

Le 16 juillet 1942, à l'aube, débute à Paris une vaste opération policière, baptisée "Vent printanier". Voulue par les autorités allemandes, elle mobilise près de 9 000 hommes des forces du gouvernement de Vichy. Ce jour-là et le lendemain, 12 884 juifs sont arrêtés, dont 4 051 enfants. Tandis que les célibataires et les couples sans enfants sont directement conduits au camp d'internement de Drancy, les familles, soit plus de 7 000 personnes, sont détenues au Vélodrome d'Hiver. Elles y demeurent plusieurs jours, dans des conditions épouvantables : entassées sur les gradins, dans une chaleur insupportable, presque sans eau, ni vivres. Jusqu'à leur internement à Pithiviers et à Beaune-la-Rolande, avant d'être déportées vers les camps de concentration d'Allemagne et de Pologne.

06/2020

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Histoire internationale

Kamikazes (25 octobre 1944 - 15 août 1945)

«Je me suis levé à 6 heures ce matin pour respirer l'air pur de la montagne. Et tout ce que je ferai aujourd'hui le sera pour la dernière fois.» Ainsi écrit le jeune kamikaze Otsuka Akio, avant de s'envoler pour l'ultime mission au large d'Okinawa, le 28 avril 1945. C'est à l'automne 1944, quand la défaite semble inéluctable, que l'état-major japonais recrute les premières «unités spéciales d'attaque» : des bombes humaines lancées contre les cibles américaines, dont l'efficacité redoutable provoque chez l'ennemi une psychose sans précédent. Au-delà de l'impact militaire, la mort programmée des kamikazes figure l'effrayante métaphore du suicide collectif de la nation, auquel le régime impérial est désormais résolu. Comment le Japon en est-il venu à exiger de ses sujets un tel engagement ? Qui sont ces pilotes soigneusement recrutés ? Si certains sont des nationalistes fanatiques, d'autres s'interrogent dans des lettres poignantes sur la justesse de leur mission. Leur sacrifice précipitera la fin de la guerre qui s'achève sous le feu nucléaire. L'histoire de ces jeunes gens embrigadés forme la trame de cette synthèse inédite dont les détails font étrangement écho à notre temps présent.

02/2015

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Littérature française

Ode aux Chevaliers de Malte, dédiée à Monseigneur le duc d'Angoulême

Bagatelle, ou Description anacréontique d'une maison de campagne dans un des fauxbourgs d'Abbeville . Par M. SedaineDate de l'édition originale : 1770Appartient à l'ensemble documentaire : Picardi1Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site hachettebnf.fr

10/2017

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Policier-Espionnage

Une aventure de Jacques Gipar Tome 11 : Le grand prix d'Angoulême

Angoulême, juin 1956... Un accident de course qui se révèle être une tentative de meurtre... Et Jacques Gipar qui se trouve dans la foule ! Qui peut bien en vouloir à un modeste garagiste, passionné de course automobile ? Et quel rapport avec des voitures accidentées ? Une enquête en or pour notre journaliste de choc, qui tient sûrement un nouveau scoop pour France Enquêtes !!!

05/2023

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Bayard - Je bouquine

La véritable histoire de Rachel, survivante de la Rafle du Vel d'Hiv

Le 3 septembre 1939, la vie de Rachel, une enfant juive de cinq ans, bascule. Dans la rue et à l'école, on la traite différemment. Mais elle n'est pas la seule ! Comme des milliers de personnes de confession juive, Rachel et sa famille vont déménager et se protéger les uns les autres jusqu'au jour de la rafle du Vel d'hiv. La rafle du Vélodrome d'Hiver, plus connue sous le nom de la "rafle du Vel d'Hiv" , a eu lieu en France entre le 16 et le 17 juillet 1942. Plus de treize mille Juifs (dont 4115 enfants) sont arrêtées, puis détenues dans des camps, dont le Vélodrome d'Hiver. S'ensuit une déportation vers le camp d'extermination d'Auschwitz. De ce voyage, on ne compte qu'une centaine de survivants. Un roman d'histoire et de mémoire témoignant des injustices de la Seconde Guerre mondiale du point de vue d'une enfant l'ayant vécue.

06/2023

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Ouvrages généraux

Lettres à Blanchette. Juin 1942-mars 1943

Le 20 juin 1942, Hugues Steiner, près de 16 ans, est arrêté à la sortie du lycée Condorcet, à Paris. La Police aux questions juives est sur les traces de son père, Charles, fabricant de sièges renommé. Son ex-épouse, Marguerite Efraim, partie à la recherche de leur fils, Hugues, est, elle aussi, incarcérée au Dépôt de la préfecture de Police. Marguerite et Hugues établissent alors une correspondance avec Blanchette, la soeur de Marguerite. Dans leurs lettres se dessinent leurs conditions de détention inhumaines, l'alternance d'angoisses et d'espoirs, la détresse matérielle et morale, mais aussi la solidarité des proches pour subvenir à leurs besoins, et leurs efforts pour obtenir une libération. Hugues est transféré au camp de transit de Drancy juste après la rafle du Vél' d'Hiv'. Celle des Juifs roumains – lâchés par leur gouvernement allié du Reich –, le 24 septembre 1942, lui fait retrouver son grand-père Salomon et sa mère, libérée du Dépôt depuis le 1er du même mois. Mais ils sont déportés à Auschwitz II-Birkenau dès le 28, et ne reviendront pas. Hugues sera à son tour déporté en mars 1943, s'évadera du wagon à destination de Sobibor, sera repris avec ses camarades, puis déporté à Auschwitz et affecté aux mines de charbon de Jaworzno. Début 1945, il parviendra à s'échapper de la " marche de la mort " puis à regagner la France. Son parcours, terrible et chaotique, rappelé ici, a été évoqué par ses compagnons de déportation, Sylvain Kaufmann et Henry Bulawko.

10/2021

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SHOAH,PERSECUTIONS ANTISEMITES

Ne m'oubliez pas. Dernières lettres de trois mères avant Auschwitz : Salonique, 1942-1943

Dès 1941, les persécutions de Juifs en Grèce vont conduire à une extermination de masse. Dans la ville de Salonique, qui abrite la communauté juive la plus large du pays, des ghettos sont créés : c'est de là, en attendant leur déportation à Auschwitz, que Sara Saltiel, Mathilde Barouh et Neama Cazes, les trois héroïnes de ce recueil de lettres, écrivent à leurs fils, qui ont réussi à s'échapper à Athènes. Ces lettres uniques sont rédigées en français, langue de correspondance des Saloniciens. Stoïques face à l'adversité malgré le désespoir le plus noir, les trois mères parviennent à conserver toute leur verve, parfois même leur sens de l'humour, mais surtout l'immense amour qu'elles portent à leurs fils. Ne m'oubliez pas réunit ces témoignages bouleversants qui décrivent le quotidien dans le ghetto de la "Jérusalem des Balkans". Sur les 50000 Juifs de Salonique, 45000 sont morts en déportation. Aujourd'hui, alors que les derniers témoins de la Shoah disparaissent, ces voix résonnent avec une vibrante intensité.

10/2023

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BD tout public

Wotan Intégrale : Tome 1, 2 et 3 : 1939-1940 ; 1941-1943 ; 1943-1945

Louison un enfant amnésique, Etienne un soldat français séduit un temps par les mythologies aryennes et Yin-Tsu une photographe japonaise chargée d'espionner l'Ahnenerbe de Himmler, traversent la guerre et ses événements les plus terribles : la Shoah par balles sur le front de l'Est, les camps de concentration, les sinistres recherches médicales des "docteurs" SS dans les camps. A travers cette fresque sans concession et très documentée, Eric Liberge plonge dans les méandres les plus noirs du nazisme et de l'âme humaine, tout en développant une réflexion philosophique sur les thèmes du choix, de l'engagement et du courage. Explorant les zones d'ombre de chacun de ses personnages, loin de tout manichéisme, il les confronte à l'innommable et montre les conséquences qui en découlent. Eric Liberge déroule la mécanique complexe d'une fiction, où, en dépit de l'horreur, le courage et l'espoir surgissent. Les 162 pages de bande dessinée sont complétées par un dossier historique, présentant notamment des archives familiales de l'auteur.

04/2014

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Histoire internationale

Le rapport Pilecki. Déporté volontaire à Auschwitz, 1940-1943

Varsovie, 19 septembre 1940 : un officier de réserve polonais se fait volontairement arrêter lors d'une rafle par l'armée allemande. Son nom : Witold Pilecki. Sa mission : être interné dans le camp d'Auschwitz pour y constituer un réseau de résistance. Témoin tragique d'une des pages les plus sombres de l'histoire de l'humanité, après presque mille jours passés dans l'antre du crime nazi, il est le premier homme à informer des conditions effroyables de détention à Auschwitz. Constatant qu'aucune intervention extérieure n'est menée, il s'évade au printemps 1943 pour raconter lui-même l'enfer concentrationnaire qu'il vient de vivre. "Dire ce que nous ressentions permettra de mieux comprendre ce qui s'est passé": le Rapport Pilecki constitue la mémoire vive d'un homme qui fut l'un des plus grands résistants de la Seconde Guerre mondiale. Arrêté et condamné pour espionnage par les communistes, il est exécuté clandestinement en 1948 à l'âge de 47 ans.

04/2014

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Histoire de France

Le camp de Drancy, seuil de l'enfer juif. Dessins et estampes, 1942-1947

Original et essentiel dans la connaissance du camp de Drancy, le recueil de cinquante-six estampes de Georges Horan-Koiransky, Le Camp de Drancy, seuil de l'enfer juif publié en 1947 était à peine connu il y a seulement quelques années. N'ayant jamais fait l'objet de réédition depuis sa publication, seules quelques estampes extraites de ce livre étaient diffusées sans être présentées comme partie d'un tout. La réédition et l'analyse de son oeuvre ont été permises par la découverture de très nombreux croquis, esquisses et dessins préparatoires et du journal de Georges Horan-Koiransky (publié en parallèle par les éditions Créaphis). Ce foisonnement nouveau d'archives et d'informations et leur capacité à faciliter la compréhension d'une oeuvre à la fois douloureuse et elliptique nous ont amenés à réaliser une réédition augmentée des sources de ce " témoignage graphique " unique. En effet, ce récit dessiné sur Drancy, novateur et méconnu, constitue un document exceptionnel qui relate avec émotion et talent la misère quotidienne et l'effroi vécus par les internés et les déportés de ce camp majeur dans la persécution des juifs de France entre août 1941 et août 1944. La réédition respecte la conception originale de l'édition de 1947 et la reproduit intégralement mais dans une version augmentée avec un appareil critique et des documents inédits. Le livre est composé d'une préface de Serge Klarsfeld, qui rappelle toute l'importance de l'oeuvre de Georges Horan-Koiransky dans la connaissance du camp de Drancy ; d‘une introduction générale de Benoît Pouvreau ; du fac simile de l'édition de 1947 et d'une analyse approfondie de l'oeuvre de Georges Horan accompagnée de dessins et croquis inédits et d'extraits du journal. Benoît Pouvreau, est historien et chercheur au service du patrimoine culturel du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis. Il travaille sur l'histoire du logement, le patrimoine du XXe siècle et les lieux de mémoire de la Seconde Guerre mondiale. Il a notamment publié Eugène Claudius-Petit, un politique en architecture (2004), dirigé Les graffiti du camp de Drancy (2014) et co-écrit Drancy, un camp en France (2015).

11/2017

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Littérature française

La rafle des pauvres gens

Vers la fin de la semaine on a commencé à entendre des explosions terribles. Albert a dit, on s'y attendait sans y croire, ils font sauter tout le quartier, tous les immeubles. C'était si fort que tout tremblait dans la maison. Après une dizaine de jours, les gendarmes sont partis, on parlait de douze mille gendarmes venus de tous les coins de France pour cette opération. Raphaël : Quoi, tellement de policiers et de gendarmes ! Shlomo : Albert qui avait des renseignements a dit que Pétain et Laval étaient derrière tout ça et que Laval, lui, était sur place pour vérifier que tout allait se passer comme prévu. Marcel Chetrit est écrivain de langue française et artiste peintre. Il vit à Jérusalem depuis 1969. Après Liliana ailleurs encore, Un Foulard dans le vent et Aube d'un soir, il signe son quatrième roman La rafle des pauvres gens.

11/2021

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Histoire de France

Mes enfants, il faut que je parte... Raymonde (13 ans) et sa famille dans la tourmente : correspondance et écrits (1942-1944)

Cette correspondance familiale, constituée d'une centaine de cartes interzones écrite entre 1942 et 1943, raconte à travers la banalité de la vie quotidienne la déchirure de la déportation d'une famille de Juifs polonais arrivée en France en 1930. La plupart des lettres sont écrites par Raymonde, l'aînée de la famille. Elles sont adressées à leur père dans les différents GTE (groupements de travailleurs étrangers en zone libre), avant et après l'arrestation de leur mère, le 14 juillet 1942. Celle-ci sera internée au camp de Pithiviers et déportée à Auschwitz-Birkenau, le 17 juillet 1942. Elle laisse derrière elle quatre filles de 13 ans, 10 ans, 7 ans et 6 mois et demi. Les trois grandes sont arrêtées à leur tour à l'école le 9 octobre 1942, incarcérées à la prison de Montargis et internées dans le camp de Beaune-la-Rolande, puis sont placées dans les maisons de l'UGIF à Paris. C'est là que Raymonde commence son journal qui nous décrit au quotidien sa vie d'enfant otage des nazis, les rafles et ses 7 tentatives d'évasion. La dernière tentative réussie avec ses soeurs les mène en zone libre vers leur père, en semi-liberté au camp de Sereilhac. Il les cache dans un pensionnat catholique près de Limoges jusqu'en août 1944. Puis, c'est le retour à Montargis - où elles retrouvent leur petite soeur - et l'attente vaine du retour de leur mère.

02/2018

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Travail social

Une comtesse des ténèbres. Les tiroirs de la comtesse Caroline de Choiseul, dame de la duchesse d'Angoulême

Une lettre de la plume d'une aristocrate oubliée fait revivre une multitude de personnages illustres que Pierre Kalmar décrit à travers les événements colorés de leur époque. Nous apprenons qui sont les ancêtres de notre comtesse et découvrons quelques membres de cette renommée famille, comme le duc de Choiseul, ministre de Louis XV, qui côtoya Mme de Pompadour. Pierre Kalmar nous explique qui est Caroline de Choiseul- Beaupré, quelles étaient ses fonctions et pourquoi elle put porter les titres de "madame" et de "comtesse". L'auteur aborde aussi le thème de l'éducation des femmes depuis le XIIIe siècle et s'attarde plus longuement sur les XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles avec même une incursion dans le XXe. L'auteur ne pouvait se dispenser d'évoquer les deux princesses que servit la comtesse Caroline : la duchesse d'Angoulême, la fameuse Madame Royale du Temple ; la duchesse de Bordeaux, plus connue sous le nom de "comtesse de Chambord".

04/2023

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Historique

La rafle d'Izieu

Début 1943, Sabine et Miron Zlatin avaient créé à Izieu, dans l'Ain, une colonie pour accueillir et protéger des enfants juifs, en zone italienne. Mais le 8 septembre 1943, l'armée italienne capitule face aux Alliés et laisse sa place aux troupes allemandes dans le Sud-Est de la France. Début 1944, les signaux d'alarme se multiplient avec des arrestations à Chambéry et aux alentours et avec le remplacement du sous-préfet de Belley, protecteur de la colonie. Mais avant que la colonie ne soit effectivement dispersée, le 6 avril 1944, débarquent un détachement de la Wehrmacht et 3 officiers SS qui embarquent sans ménagement les quarante-cinq enfants et les sept adultes de la colonie. Seul échappe à la rafle Léon Reifman qui a pu sauter par la fenêtre et trouver refuge chez les voisins, les Perticoz. Ces derniers ont eux-mêmes assisté, impuissants, à la rafle... Ils ne comprennent pas : pourquoi s'en prendre ainsi à des enfants ? Qui a bien pu attirer l'attention de Klaus Barbie et de ses sbires sur cette paisible colonie ? Y aurait-il eu dénonciation ? Pendant ce temps, les enfants sont emmenés à Lyon puis Drancy avant leur déportation et leur extermination.

04/2024

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Histoire internationale

Biographie anecdotique de M. le chanoine Descordes, doyen du chapitre de la cathédrale d'Angoulême

Biographie anecdotique de M. le chanoine Descordes, doyen du chapitre de la cathédrale d'Angoulême / par M. l'abbé J. -P. -G. Blanchet,... Date de l'édition originale : 1896 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2020

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Déportation

Nous sommes ici pour mourir. L'itinéraire d'Arlette Lévy-Andersen rescapée d'Auschwitz

Thomas Kvist Christiansen décrit dans cet ouvrage la trajectoire singulière d'Arlette Lévy-Andersen, française qui prit conscience de sa judéité à l'occasion des sinistres lois antisémites du gouvernement de Pétain. Rejoignant un père parti clandestinement se réfugier en zone libre, la jeune fille de 18 ans, titulaire du baccalauréat, s'inscrivit à l'université de Clermont-Ferrand, pour y suivre des études d'anglais. Là, elle fut arrêtée le 25 novembre 1943, à l'occasion de la plus grande rafle jamais perpétrée dans le milieu universitaire français et conçue pour briser les réseaux de résistance au sein de l'université de Strasbourg repliée en Auvergne. Détenue à la caserne du 92e Régiment d'infanterie de la ville, puis à Drancy, elle fut déportée à Auschwitz-Birkenau en janvier 1944 et supporta l'enfer des camps d'extermination. Elle en fut marquée à tout jamais. Ce témoignage dévoile trois histoires : le parcours d'une jeune femme dans une France qui, progressivement, ne veut plus d'elle ; le vécu d'une étudiante d'une université double frappée en son coeur à la fin 1943 ; le sort d'une déportée animée, malgré tout, par l'espérance et une farouche volonté de vivre. Thomas Kvist Christiansen raconte comment Arlette Lévy-Andersen réussit à survivre à cette terrible épreuve, à s'accomplir personnellement et professionnellement au Danemark et pourquoi elle décida de témoigner auprès des Danois, après des décennies de silence sur sa déportation. Arlette Lévy-Andersen, une des dernières survivantes de la Shoah, nous offre une leçon de courage et d'humanisme à transmettre aux générations futures.

11/2021