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Giovanni Manna, Henry-David Thoreau

Extraits

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Littérature étrangère

Journal. Volume 2 (janvier 1841 - novembre 1843)

Lorsque le 22 octobre 1837 Henry David Thoreau débute la rédaction d'un journal, il a vingt ans ; il le tiendra jusqu'à sa mort en 1862. Ce Journal, par sa taille (près de 7 000 pages) et par son contenu, constitue une oeuvre littéraire absolument unique. Tout à la fois manifeste philosophique, recueil poétique, précis naturaliste ou manuel d'ethnologie, il est avant tout un document passionnant sur la vie quotidienne et intellectuelle dans les Etats-Unis du XIXe siècle. On y trouve exposées, à travers son regard contemplatif sur le monde, toute la pensée de Thoreau et la matière brute de ses ouvrages, de Walden à la Désobéissance civile. Oeuvre majeure, ce Journal est souvent cité comme un des piliers de la culture américaine et comme le grand texte fondateur de l'écologie.

10/2013

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Poches Littérature internation

Voisins animaux

Tout au long de sa vie, Henry D. Thoreau a porté un vif intérêt pour le règne animal. Préférant la compagnie de ceux qu'il nomme ses "voisins", ses "co-habitants" voire ses "amis" à celle de ses concitoyens, il consacre un temps infini à leur observation sur le terrain. Abeille, lynx du Canada, moufette, petit-duc maculé, tortue... n'ont plus de secret pour le naturaliste amateur. L'ermite de Walden consigne ensuite avec précision des notes dans son Journal, nourries de réflexions et parfois d'humour, qui laissent entrevoir un autre mode de vie considérant pleinement la nature. Dans l'idée de présenter un panorama permettant d'appréhender l'animalité, Michel Granger a opéré une sélection qui souligne toute la richesse et la diversité de cette pensée profondément libre.

09/2020

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Littérature étrangère

Teintes d'automne & La succession des arbres en forêt

Ah ! si nous pouvions mûrir avec autant de perfection, racine et branche, flamboyant au coeur de notre déchéance, comme le raisin d'Amérique! J'avoue que leur contemplation me remplit d'allégresse. J'en ai taillé une branche pour me servir de canne, car j'ai plaisir à la manier et m'appuyer dessus. J'adore écraser les grains entre mes doigts et voir leur jus me tacher la main. Marcher parmi les futailles de vin violet, droites et branchues, qui gardent et diffusent un éclat pareil à la pourpre du couchant, savourer chacune du regard au lieu de compter des barriques sur un quai du port de Londres, quel privilège !

09/2012

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Littérature étrangère

Journal. Volume 1 (octobre 1837 - décembre 1840)

Lorsque le 22 octobre 1837 Henry David Thoreau débute la rédaction d'un journal, il a vingt ans ; il le tiendra jusqu'à sa mort en 1862. Ce Journal, par sa taille (près de 7 000 pages) et par son contenu, constitue une oeuvre littéraire absolument unique. Tout à la fois manifeste philosophique, recueil poétique, précis naturaliste ou manuel d'ethnologie, il est avant tout un document passionnant sur la vie quotidienne et intellectuelle dans les Etats-Unis du XIXe siècle. On y trouve exposées, à travers son regard contemplatif sur le monde, toute la pensée de Thoreau et la matière brute de ses ouvrages, de Walden à la Désobéissance civile. Oeuvre majeure, ce Journal est souvent cité comme un des piliers de la culture américaine et comme le grand texte fondateur de l'écologie.

03/2012

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Littérature étrangère

Un Yankee au Canada

Henry David Thoreau n'est pas seulement l'ermite volontaire de Walden. Ilfut aussi une sorte de rebelle excentrique qui refusa de payer l'impôt pour financer la guerre contre le Mexique, et qui plaida ardemment et sans relâche la cause de l'abolitionniste John Brown. Traité sur un genre qui s'apparente au récit de voyage classique, Un Yankee au Canada décrit aussi ce pays si proche et pourtant si différent des Etats-Unis qu'est le Canada. Et dès lors, les réflexions sociologiques, géographiques, ethnologiques qui dessinent un portrait en creux de l'Amérique, ressemblent à une sorte de voyage digne d'un La Pérouse en quelque contrée lointaine et exotique.

06/2006

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Poches Littérature internation

Les forêts du Maine. Suivi de Une excursion au Wachusett et La succession des arbres en forêt

"Qui décrira la douceur indicible et la vie immortelle de cette austère forêt, où la Nature, même au coeur de l'hiver, est toujours à son printemps, où les arbres couverts de mousse et en état de décomposition ne sont pas vieux mais semblent dotés d'une jeunesse éternelle ?" H. D. Thoreau

03/2018

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Littérature étrangère

Histoire de moi-même

"Il n'est jamais trop tard pour renoncer à nos préjugés. On ne peut se fier à une façon d'agir ou de penser, quelque ancienne qu'elle soit. Tout ce que chacun répète ou transmet en silence comme étant la vérité aujourd'hui peut s'avérer un pur mensonge demain, une simple fumée de l'opinion qui retombe en cendres, que certains avaient pris pour un nuage qui déverserait une pluie fertile sur leurs champs." (H. D. Thoreau) Il est toujours émouvant d'exhumer le texte inédit d'un penseur majeur, d'autant plus quand il est à l'origine de l'une des grandes oeuvres de la littérature mondiale. Ainsi Histoire de moi-même est-elle la véritable matrice de Walden, rédigée par Thoreau au cours de l'hiver 1846 comme une conférence destinée à édifier ses contemporains. Elle contient ce qui fera la gloire de Walden, cette leçon de vie quasi primitive qui consiste à mettre en adéquation parfaite son existence et sa pensée. Histoire de moi-même est une oeuvre à part entière, puisée à la source de l'expérience vécue. Le "philosophe dans les bois" ne nous exhorte pas tant à suivre son exemple de réensauvagement volontaire qu'à trouver chacun notre Walden.

10/2017

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Littérature étrangère

Journal. Volume 4 (juin 1846 - décembre 1850)

Ce quatrième volume du Journal de H. D. Thoreau couvre la période allant de juin 1846 à décembre 1950. Thoreau a 31 ans et achève son expérience de retraite à Walden. Sa pensée a mûri, s'est affirmée. Influencé par la philosophie orientale, il se montre très critique vis-à-vis de la religion et du mode de vie de ses contemporains. C'est à cette époque qu'il est emprisonné pour avoir refusé de payer ses impôts. Expérience dont il tirera " La désobéissance civile ". Une part importante de ce volume est également consacrée aux voyages, Thoreau les relate quasiment comme un récit d'aventure. Mais d'un aventurier à la fois botaniste, naturaliste, géologue…

11/2016

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Littérature étrangère

Vivre comme un prince. Ecrits de jeunesse

Lorsque Henry David Thoreau écrit ses premiers essais, jamais traduits en français jusqu'à ce jour, il a dix-sept ans. Le premier d'entre eux, "Suivre la mode", date de 1834 : Thoreau vient d'entrer à l'université de Harvard pour y étudier la rhétorique, le Nouveau Testament, la philosophie et les sciences grâce à une bourse. Il y rencontrera plus tard Ralph Waldo Emerson, qui deviendra son ami, puis son mentor. En 1837, l'année de l'essai "Barbarie et civilisation" qui clôt ce volume, Thoreau est encore seul mais déjà déterminé, selon les mots de Michel Onfray, à "refuser les fausses valeurs de la civilisation : la mode, l'argent, les honneurs, les richesses, le pouvoir, la réputation, les villes, l'art, l'intellectualisme, le succès, les mondanités ; et à vouloir les vraies valeurs de la nature : la simplicité, la vérité, la justice, la sobriété, le génie, le sublime, la volonté, l'imagination, la vie".

01/2015

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Littérature française

La désobeissance civile

Henry David Thoreau (1817 - 1862). De grand coeur, j'accepte la devise : "Le gouvernement le meilleur est celui qui gouverne le moins" et j'aimerais la voir suiviea de manière plus rapide et plus systématique. Poussée à fond, elle se ramène à ceci auquel je crois également : "Le gouvernement le meilleur est celui qui ne gouverne pas du tout et lorsque les hommes y seront préparés, ce sera le genre de gouvernement qu'ils auront. Tout gouvernement n'est au mieux qu'une "utilité" mais la plupart des gouvernements, d'habitude, et tous les gouvernements, parfois, ne se montrent guère utiles.

02/2019

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Littérature anglo-saxonne

"Je vivais seul, dans les bois"

Le premier chapitre de Walden : l'oeuvre-phare du retour - poétique autant qu'écologique et politique - vers la nature sauvage. Ce texte est extrait de Walden ou La vie dans les bois (L'Imaginaire n°239, Editions Gallimard).

05/2021

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Sciences de la vie

Walden ou la vie dans les bois

"Quand j'écrivis les pages suivantes, ou plutôt en écrivis le principal, je vivais seul, dans les bois, à un mille de tout voisinage, en une maison que j'avais bâtie moi-même, au bord de l'Etang de Walden, à Concord, Massachusetts, et ne devais ma vie qu'au travail de mes mains. J'habitai là deux ans et deux mois. A présent me voici pour une fois encore de passage dans le monde civilisé. Je n'imposerais pas de la sorte mes affaires à l'attention du lecteur si mon genre de vie n'avait été de la part de mes concitoyens l'objet d'enquêtes fort minutieuses, que d'aucuns diraient impertinentes, mais que loin de prendre pour telles, je juge, vu les circonstances, très naturelles et tout aussi pertinentes. Les uns ont demandé ce que j'avais à manger ; si je ne me sentais pas solitaire ; si je n'avais pas peur, etc". Henry David Thoreau

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Littérature anglo-saxonne

Sept jours sur le fleuve

A la fin de l'été 1839, Henry David Thoreau et son frère aîné John entreprennent un voyage à bord de l'embarcation qu'ils ont fabriquée de leurs mains. Ils vont suivre le cours de la Concord River, puis de la Merrimack River. Quand John meurt trois ans plus tard, Thoreau décide de lui rendre hommage en retraçant leur voyage, à partir de notes qu'il rassemble dans sa cabane de Walden. Il condense son récit en une semaine symbolique, où chaque journée est associée à un thème : la poésie antique, la sagesse orientale, la culture des Indiens d'Amérique... Au rythme du courant, vif ou lent, les paysages traversés sont décrits avec l'oeil poétique du peintre et la précision du scientifique. Et ce périple, qui fut bien réel, devient un voyage initiatique, une véritable épiphanie, dans l'abandon heureux à la Nature et à l'espace des vastes étendues américaines.

02/2023

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Notions

La désobéissance civile

Comment lutter contre la tendance de la majorité à soumettre les minorités ? Doit-on se plier à la loi lorsque celle-ci est injuste ? Tout geste de désobéissance contient en lui un refus des compromissions qui fondent nos institutions. Thoreau nous confronte à la possibilité de rouvrir notre imaginaire politique : " N'est-il pas possible d'aller plus loin dans la reconnaissance et l'organisation des droits de l'homme ? ".

02/2022

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Littérature anglo-saxonne

Walden ou La vie dans les bois. Extraits choisis

Pendant deux ans et deux mois, Henry David Thoreau séjourne dans une cabane qu'il a bâtie lui-même, au bord de l'étang de Walden, à Concord, dans le Massachusetts. Au contact de la nature, il redécouvre les bienfaits de la solitude et retrouve la liberté dont les obligations sociales l'avaient privé. Walden ou la Vie dans les bois est considéré comme l'un des textes majeurs qui ont façonné la pensée et la littérature nord-américaines. De la beat generation à Into the Wild en passant par Le Cercle des poètes disparus, ce récit initiatique culte continue de nourrir de nombreuses contre-cultures et est érigé en manifeste par les mouvements écologistes modernes. Dans sa préface, Michel Onfray met en lumière les formidables leçons de ce livre, véritable appel à "refuser la vie mesquine".

03/2024

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Littérature anglo-saxonne

Myrtilles. L'importance des petites choses

Dans cet essai, Thoreau insiste sur la beauté de ce qu'il appelle les " petites choses ". Mais à ses yeux, tout est une " petite chose " et dont digne d'attention. Il y célèbre une fois de plus, dans une langue panthéiste et voluptueuse, la gloire de la nature, qui fait tourner le monde, selon lui. En s'arrêtant sur les myrtilles, simples baies sauvages, Thoreau se livre également, implicitement, à une charge contre le capitalisme américain, et engage déjà une réflexion pionnière sur l'exploitation de la terre par l'homme. Il propose un manifeste écologique heureux, accessible pour peu que nous consentions à la lenteur et à la simplicité.

03/2022

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Littérature anglo-saxonne

Walden ou la Vie dans les bois

" Je m'en allais dans les bois parce que je voulais vivre sans hâte. Vivre intensément, et sucer toute la moelle de la vie. Mettre en déroute tout ce qui n'était pas la vie pour ne pas découvrir, à l'heure de ma mort, que je n'avais pas vécu. " Walden. Nom mythique qui charrie avec lui tout un imaginaire : le Nouveau Monde et sa vie sauvage, exaltée, régénérante. Concord, Massachussetts, une cabane, des pins au bord d'un étang, le Transcendental Club, Emerson et le Rousseau américain : Henry David Thoreau. Un texte qui sonne comme une rupture, celle d'avec la société telle qu'elle va (ou plutôt ne va pas). Ce livre, qui retrace les deux ans, deux mois et deux jours que Thoreau passa dans une cabane dans les bois, au bord de l'étang de Walden, n'est pourtant pas le livre d'un ermite. Ni essai ni journal, il relève plutôt du pamphlet : le contact avec la vie sauvage s'y dévoile comme une ressource politique privilégiée de subversion, de progressisme et de libération. Walden exalte le retrait du monde comme geste politique : se retirer du monde pour renouer, à distance de la loi commune et des valeurs en vigueur dans une société donnée, avec le coeur de l'âme humaine. Se retirer pour oser dénoncer, désobéir et, ce faisant, fonder un socle sain à la démocratie.

04/2023

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Littérature anglo-saxonne

Sur la Concord River

En 1839, quelques années avant de s'installer près de l'étang de Walden, Henry David Thoreau construit une barque en bois avec son frère et engage à ses côtés la descente de deux cours d'eau vive. Ce voyage, mené au gré du courant, sera l'occasion d'une contemplation attentive de la nature, des poissons et de la flore qui vivent dans les remous de ces rivières ou sur leurs rives. Un voyage dans la wilderness qui commence sur la Concord River, ou "Rivière Herbeuse"... "Observer le cycle de la vie et la plénitude des poissons, que rien ne vient déranger, leur bonheur qui est un fruit régulier de l'été, renforce notre sentiment de sécurité et de sérénité régnant dans la nature".

04/2024

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Littérature anglo-saxonne

Walden

"Je suis parti dans les bois parce que je désirais vivre de manière réfléchie, affronter seulement les faits essentiels de la vie, voir si je ne pouvais pas apprendre ce qu'elle avait à m'enseigner, et non pas découvrir à l'heure de ma mort que je n'avais pas vécu. Je ne désirais pas vivre ce qui n'était pas une vie, car la vie est très précieuse ; je ne désirais pas davantage cultiver la résignation, à moins que ce ne fût absolument nécessaire. Je désirais vivre à fond, sucer toute la moelle de la vie, vivre avec tant de résolution spartiate que tout ce qui n'était pas la vie serait mis en déroute".

10/2023

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Ouvrages généraux

Marcher

Nous devrions sans doute entreprendre jusqu'à la plus courte des marches dans un immortel esprit d'aventure, avec l'idée de ne revenir jamais, et préparés à ce qu'on renvoie nos coeurs embaumés, uniquement comme reliques, dans nos royaumes éplorés. Si vous êtes prêt à quitter père et mère, frère et soeur, femme, enfant et amis pour ne plus jamais les revoir, si vous avez effacé vos dettes, rédigé votre testament et réglé toutes vos affaires, si enfin vous êtes un homme libre, alors vous êtes prêt pour marcher.

01/2024

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Monographies

Giovanni Bellini

Giovanni Bellini (entre 1425 et 1433 - 1516) est un peintre italien de la Renaissance. Il est considéré comme le précurseur de l'école vénitienne, dont l'oeuvre marque la rupture avec le style gothique, à travers des peintures qui effacent la différence entre le monde sacré et profane. Il est le fils ou le frère de Iacopo Bellini et le beau-frère d'Andrea Mantegna. Il est notamment connu pour ses Vierges à l'Enfant.

03/2023

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BD tout public

Thoreau - La vie sublime

Mars 1845. Henri David Thoreau est revenu à Concord, Massachusetts, son village natal. Endeuillé par la mort de son frère, lassé des grandes villes et d'une société trop rigoriste pour le laisser pratiquer l'enseignement tel qu'il l'entendait, le poète philosophe a choisi de revenir à une vie simple, proche de la nature, entre les quatre murs qu'il s'est bâti. C'est dans ce cadre qu'il écrira les essais qui feront de lui une des figures marquantes du XIXe siècle américain, dont les idées trouvent encore un écho, chaque jour plus actuel. Après Nietzsche, Maximilien Le Roy nous prouve une nouvelle fois combien la philosophie d'un homme est intimement liée à sa biographie. Une plongée dans la vie et la pensée d'un philosophe américain majeur !

08/2012

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Autres philosophes

Thoreau, yogi des bois

En 1844, un jeune diplômé d'Harvard de 28 ans décide de se retirer deux ans dans les bois, au bord d'un étang nommé " Walden ", au coeur du Massachussetts, avec dans ses bagages Homère et la "Bhagavad Gita". Il construit une cabane, arpente, hume, contemple, médite, plonge corps et âme dans la vie " sauvage ", goûte à une existence sobre mais emplie de joie, à l'écart de la société, des mondanités, de l'urbanisation et de l'industrialisation galopantes. Ce jeune disciple et ami de Ralph Waldo Emerson, yogi en herbe, précurseur de la cause écologique et de la désobéissance civile, s'appelle Henry David Thoreau. Vivant au rythme et à l'écoute de la forêt, il ne fait bientôt plus qu'un avec la trame vibrante de la Nature, avec le Yoga, qui signifie union, résonnance avec la Vie universelle dans tous ses aspects. Sentinelle lucide d'un monde en pleine mutation, Thoreau a d'abord marqué les esprits de Gandhi, Romain Rolland, Jean Giono, Léon Tolstoï, Ernest Hemingway, Jim Harrisson, Kenneth White, Martin Luther King, Nelson Mandela, l'architecte Franck Lloyd Wright ou encore les naturalistes John Burroughs et John Muir avant de devenir, un siècle et demi plus tard, l'icône des écologistes, des zadistes, des végétariens et autres défenseurs du vivant tels que Vandana Shiva ou le groupe Extinction Rebellion. On connaît le Thoreau philosophe des bois, mais que sait-on du Thoreau yogi des bois ? En quoi la philosophie de Thoreau nous permet de penser ensemble et donc de relier le vivant dont nous faisons partie au yoga et à la méditation ? En quoi Thoreau nous permet d'expérimenter et de penser un nouveau rapport au monde et à soi ? Et si Thoreau était un précurseur de l'écospiritualité ? Grâce aux magnifiques illustrations originales d'Emilie Poggi et à la langue poétique et percutante de Colette Poggi, nous sommes transportés du côté de Walden, entre promenade philosophique et méditation sauvage, et les influences de la philosophie indienne.

11/2023

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Autres éditeurs (A à E)

Giovanni le timide

Dans ce deuxième tome, qui fait suite à la victoire de la petite Julia sur le trac, c'est cette fois un petit garçon bien timide, Giovanni, qui va avoir la chance de rencontrer le grand magicien par l'intermédiaire du petit rouge-gorge de son jardin. Grâce à cette rencontre, Giovanni qui est si timide qu'il n'ose même pas chasser les papillons qui s'agglutinent sur lui, va apprendre à utiliser sa voix pour enfin oser dire ce qu'il a à dire. Le grand magicien va en effet le placer aux commandes d'une grue pelleteuse. . commandée par la voix.

10/2022

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Essais biographiques

Giovanni Benedetto Castiglione

Dans l'immense océan des ouvrages de Henri Focillon se trouve un petit volume consacré aux maîtres de l'estampe et des peintres graveurs. On peut y parcourir différentes études consacrées à Dürer, Rembrandt, Elsheimer, Goya, Daumier, Manet. Parmi tous ces grands noms place est étonnamment faite à Giovanni Benedetto Castiglione (1609-1664), peintre de son état, mais surtout graveur à l'eau-forte et inventeur du monotype, dont l'oeuvre gravée se compose de planches d'inspiration religieuse, de portraits de type oriental, ainsi que d'animaux. En marquant ainsi la grande richesse et l'immense qualité de cette activité de graveur, Henri Focillon ne manque pas de nous rappeler et de mettre en lumière la valeur d'une oeuvre tout à fait remarquable, quelque peu oubliée de nos jours, alors qu'elle était en son temps d'une très belle et grande popularité.

11/2021

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Critique

Henry Miller, David-Herbert Lawrence, Albert Cohen. Les amants magnifiques

Où est passée aujourd'hui la sexualité alors que les grands prophètes s'en sont allés et que se rappellent des interdits trop évidents ? Dispersée, disparate, en jachère, en terre rare ? Plutôt que d'écouter les sexologues, psychologues et autres virologues, revenons plutôt vers la littérature et ses meilleurs interprètes du siècle dernier, quand se proclamaient encore le lyrisme de l'intimité, l'interrogation du monde et de la chair avec Henry Miller, David-Herbert Lawrence et Albert Cohen.

03/2021

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Divers

Walden ou la Vie dans les bois

Walden relate le séjour de Henry David Thoreau dans les bois au bord de l'étang de Walden, Massachussets, au milieu du XIX ? siècle. 150 ans plus tard, le texte reste une oeuvre phare de la littérature américaine et l'ouvrage fondateur du "Nature writing" . La pensée écologiste moderne y voit le roman du retour à la nature et de la conscience environnementale. Le dessinateur Troubs se saisit de ce texte fondateur pour en offrir une version lumineuse et poétique, avec plus d'une centaine d'illustrations en couleur.

11/2022

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Autres philosophes

Emerson. Le sublime ordinaire

Contemporain de Nathaniel Hawthorne, Henry David Thoreau ou Henry James, Ralph Waldo Emerson (1803-1882) est l'un des plus grands penseurs américains... Contemporain de Nathaniel Hawthorne, Henry David Thoreau ou Henry James, Ralph Waldo Emerson (1803-1882) est l'un des plus grands penseurs américains. Auteur prolifique et rebelle à tout conformisme, il s'élève tant contre une Eglise qui fige la foi que contre une société qui brade la liberté sur l'autel de l'esclavage. Il appelle à se déprendre des vieux maîtres européens ainsi qu'à retrouver le mouvement de la vie impérieuse et insaisissable de la nature. Sa terre promise est celle de la confiance en soi, cette capacité accordée à chacun de faire entendre sa voix. Fidèle à un auteur qui ne sépare pas la vie de la pensée, cette biographie intellectuelle constitue un itinéraire de lecture, tressant un jeu de résonances et de dissonances insoupçonnées entre les écrits et les différentes facettes de l'existence d'Emerson, à la fois pasteur, naturaliste, conférencier, essayiste, poète et activiste.

09/2023

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Littérature française

Henri ou Henry. Le roman de mon père

"Je lui aurais obéi. Je lui ai toujours obéi. Même le soir où on l'a retrouvé allongé sur le tapis chinois de son bureau, le cœur presque arrêté. Le médecin était là avant moi, il m'a chuchoté d'aller lui dire adieu parce qu'il n'arriverait pas vivant à la clinique, il allait mourir dans l'ambulance. Quand je me suis accroupi pour l'embrasser, papa m'a dit de lui servir un whisky sec, bien tassé. Ne fais pas ça, m'a dit maman, tu vas tuer ton père. Je l'ai fait quand même, toujours obéir à papa, j'ai soulevé sa tête pour qu'il soit bien à l'aise pour boire son whisky, qu'il en profite à fond, je n'avais pas lésiné sur la dose, j'ai senti les boucles de sa nuque ma caresser la paume, ça faisait comme un chat un peu lourd et qui semblait avoir froid, je lui ai demandé de ne pas mourir, pas comme ça, pas couché sur le tapis, alors il m'a dit laisse-moi finir ce putain de whisky et tu m'aideras à me relever, ne le bougez surtout pas a dit l'ambulancier, c'est mon père, j'ai dit, j'ai aidé papa à se redresser, à se mettre debout, il ne tenait pas très bien sur ses jambes mais il n'est pas tombé, il s'est appuyé sur moi pour marcher jusqu'à la porte palière où l'attendait la civière pour l'enfourner dans l'ambulance où il devait mourir, et il n'est pas mort, ni dans l'ambulance ni à la clinique, il n'est pas mort ce soir-là, le scotch y fut peut-être pour quelque chose, c'est la preuve en tout cas qu'une fois de plus j'avais bien fait d'obéir à mon père. Et ce livre est tout le contraire, une désobéissance. " Des années et des années après Abraham de Brooklyn et John l'Enfer, Didier Decoin raconte enfin la vie du plus beau de ses héros, Henri Decoin, son père.

05/2006

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BD tout public

Giovanna ! Si !

Giovanna, le retour ! Voici que nous revient la plus sexy des dessinatrices italiennes, propre héroïne de plusieurs de ses histoires... Farouchement pin-up, d'un réalisme saisissant, d'un noir et blanc sensuel réhaussé de couleurs, saupoudré d'humour mais furieusement hard !

04/2012