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Auschwitz

Extraits

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Histoire internationale

Hommes et femmes à Auschwitz

En cinq ans, plus de 1,3 million d'hommes et de femmes sont déportés dans le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz. Hermann Langbein, interné à Auschwitz en 1942, y exerça les fonctions de secrétaire du médecin-chef de la place, un poste d'où il a pu observer le comportement des femmes et des hommes, gardiens et déportés, dans les conditions extrêmes qu'ils subissaient. Ce livre, considéré par les spécialistes comme la somme définitive sur Auschwitz, recueille les témoignages de survivants et de SS, et retrace l'historique de ce camp devenu le symbole des meurtres de masse commis par les nazis.

05/2019

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Europe centrale et orientale

Traces de vie à Auschwitz

Le Recueil Auschwitz a été écrit durant les derniers jours de fonctionnement d'Auschwitz par Abraham Levite et un groupe de déportés juifs. Ce texte inédit présente le projet d'une véritable anthologie des témoignages écrits dans le camp. Il constitue en cela une résistance radicale à la déshumanisation du système concentrationnaire.

05/2022

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camps, déportation

Les femmes d'Auschwitz-Birkenau

Ecrivaine et réalisatrice de documentaires sur la Shoah, Chochana Boukhobza a enquêté durant sept ans sur la déportation des femmes à Auschwitz-Birkenau, créé en mars 1942. Longtemps, leur internement dans ce camp s'est confondu avec celui, tout aussi tragique, des hommes. S'appuyant sur les témoignages des survivantes et à partir des minutes des procès des SS de l'après-guerre, l'auteure reconstitue l'organisation spécifique de Birkenau et redonne vie, dans un récit choral, aux prisonnières venues de toute l'Europe occupée. Pour l'essentiel juives, elles sont aussi catholiques, protestantes, agnostiques ou encore tziganes ; certaines d'entre elles ont été arrêtées pour des faits de Résistance, mais la plupart ne savaient pas ce qui les attendait. Toutes celles qui ont échappé à l'extermination seront soumises à un travail forcé implacable... Passé la sidération, des réactions se font jour contre le système carcéral, bureaucratique et criminel qui les écrase. Comme ces secrétaires, par exemple, qui tentèrent de sauver des femmes du gazage ou ces doctoresses qui refusèrent de participer aux expérimentations des médecins SS. Et si un four crématoire a explosé le 7 octobre 1944, ce fut aussi grâce à elles... Dans l'adversité, les femmes d'Auschwitz furent sans défense, mais elles se montrèrent courageuses, audacieuses, héroïques. Ce récit dédié à leur mémoire est un hymne à la solidarité et à la liberté, qui s'exprimèrent envers et contre tout.

03/2024

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XXe siècle

La sage-femme d'Auschwitz

Lorsqu'elle arrive à Auschwitz, sous un ciel bas et gris, Ana est persuadée qu'elle ne survivra pas à l'enfer du camp. Mais elle possède une compétence que les nazis recherchent : elle est sage-femme. Son travail sera de donner naissance aux enfants des autres prisonnières. Une mission terrible car, dès qu'ils ont poussé leur premier cri, les nouveau-nés sont arrachés à leurs mères et donnés à des familles allemandes. Malgré la détresse de ces femmes à qui on vole leurs bébés, Ana essaie d'apporter un peu de réconfort autour d'elle. Et puis un jour, elle réalise qu'elle peut faire plus. Secrètement, elle commence à tatouer les petits avec les numéros de déportées de leurs mères. Une lueur d'espoir dans ce monde d'une infinie noirceur : et si un jour, après l'horreur de la guerre, grâce à ce petit geste, ces enfants et leurs mères pouvaient se retrouver ?

03/2023

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Histoire de France

Le Soleil voilé. Auschwitz 1942-1945

Pour Paul Schaffer, c'est surtout le sentiment d'un devoir à accomplir qui l'a conduit à écrire le présent ouvrage, quelles que soient les difficultés et la douleur que ce travail d'écriture et de mémoire lui a imposées. Il ne s'agissait pas seulement de parler de la période particulièrement cruelle de sa vie, les persécutions en Autriche, la fuite en Belgique, l'exode vers la France, des années de vie clandestine, l'arrestation, la déportation avec sa mère et sa soeur, qui ont été gazées dès leur arrivée à Auschwitz. Il tenait aussi à évoquer la vie de famille avec sa soeur, ses parents et ses grands-parents ainsi que tous ceux qui avaient fait partie de son existence d'enfant, lorsqu'ils habitaient à Vienne avant l'Anschluss. A tous, à travers son récit, il exprime sa reconnaissance pour le bonheur qu'ils lui ont donné et dont il a toujours conservé le souvenir au fond de son coeur, certes avec tristesse, mais aussi une très grande tendresse. C'était le bonheur simple d'un petit garçon au sein d'une famille unie, celui des vacances, des longues promenades et des goûters chez le meilleur pâtissier, c'était aussi la classe et les jeux avec ses camarades ou encore son attachement à sa collection de timbres à laquelle il tenait tant qu'il l'avait emportée avec lui, en cachette, lorsque la famille a été contrainte de fuir l'Autriche. Mme Simone Veil (extrait de la préface)

05/2020

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Histoire de France

Victor Martin, l'espion d'Auschwitz

" On entre dans ce livre comme on entrerait dans un monde hallucinant, dans un cataclysme inimaginable, dans un enfer pire que celui que promettaient au Moyen Age les fanatismes religieux. En 1940 déferla la barbarie nazie. Après la conquête militaire, les services administratifs hitlériens imposèrent leur loi, leur idéologie discriminatoire, qui aboutit à l'arrestation et à la déportation des Juifs. Pour savoir, il faut aller voir ce qui se passe au terminus de ces trains sans retour. Qui ira voir ? De l'horreur, nous passons alors au passionnant récit de l'aventure d'un homme qui s'est proposé pouraller voir. Ce héros s'appelle comme tout le monde, Victor Martin, le patronyme le plus répandu dans l'Europe francophone. Universitaire, sociologue, parlant allemand couramment, méthodique et adroit, il monte son expédition, prévoit ses étapes, bâtit un prétendu programme de recherche, et franchit la frontière allemande, muni d'un passeport que lui délivre l'autorité nazie. ll trouve des contacts dans cette partie de la Pologne où les nazis ont créé les camps de travail, installé des usines loin des attaques d'avions alliés, mais aussi organisé leur fantastique industrie de mort. Victor Martin, mort en novembre 1989, est sorti de l'oubli grâce à Bernard Krouck. Grâce à ce dernier, à ses recherches, aux témoins qu'il a retrouvés, la mémoire est enrichie d'un témoignage indiscutable sur le génocide, mais aussi de la victoire d'un homme quia voulu connaître la vérité. " Lucie Aubrac

04/2018

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Histoire de France

Auschwitz. La mémoire d'un lieu

Auschwitz, qui résume en un lieu et en un nom la criminalité du régime nazi, est aujourd'hui illisible: il est devenu un écran où individus et collectivités projettent leurs cauchemars ou leurs rêves. Visites de représentants de l'Eglise, d'hommes d'Etat, d'individus sur les traces d'un proche : il semble que tous ces pèlerinages, ces discours, ces commémorations ont blasé nos contemporains et brouillé la réalité du camp d'Auschwitz-Birkenau, déconnecté de son histoire pour devenir un concept, un symbole ou le tremplin d'une conscience européenne. Rendre Auschwitz à l'Histoire c'est le rendre à sa réalité, reconstituer ce qu'il fut, ce que fut son évolution, mais aussi, par là même, comprendre les enjeux des polémiques qui naissent autour de sa mémoire. C'est encore donner un sens au camp-musée qu'il est devenu en interrogeant et en restituant précisément l'histoire des vestiges autour duquel il a été conçu : la construction de l'énorme complexe de destruction de Birkenau où un million de Juifs furent assassinés, puis la découverte du camp par les soldats de l'armée Rouge. Ce livre d'Annette Wieviorka est le premier ouvrage français retraçant l'histoire des camps d'Auschwitz.

08/2012

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BD tout public

Maximilien Kolbe. Un Saint à Auschwitz

Fin juillet 1941 à Auschwitz, le franciscain Maximilien Kolbe fait le sacrifice suprême. Il offre sa vie en échange de celle d'un père de famille. Cette fin héroïque ne doit pas faire oublier ce que fut le reste de la vie de cet homme hors du commun : journaliste, créateur d'une gigantesque aventure de presse, missionnaire au Japon... la vie de Maximilien Kolbe fut d'une richesse stupéfiante pour un homme qui ne souhaitait que la pauvreté. Une vie au service de la Vierge Marie. "Je voudrais m'user jusqu'à la corde au service de l'Immaculée, disparaître sans laisser de trace, et que le vent emporte mes cendres aux quatre coins du monde", Maximilien-Marie Kolbe.

05/2019

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Religion

Maximilien Kolbe. Le saint d'Auschwitz

" Pourquoi le pape Jean-Paul II était-il si pressé de proclamer la sainteté du père Maximilien Kolbe, mort en 1941 et canonisé dès 1982 ? A notre monde de divisions, de haine, de violence, le Saint-Père avait hâte d'offrir un modèle, un homme qui est allé jusqu'aux extrêmes limites de l'amour. A Auschwitz, ce religieux franciscain a pris volontairement la place d'un père de famille dans l'atroce bunker de la faim. En cet enfer, sa cellule devint un coin de ciel. Là où retentissaient les hurlements des condamnés, s'élevèrent des chants et des prières. Le matricule 16.670, à qui on avait voulu enlever tout signe de la dignité humaine, est devenu le symbole de la grandeur de l'homme. " Fondé exclusivement sur les témoignages de ceux qui l'ont le mieux connu, cet ouvrage ne ressemble à aucun autre. Grâce aux archives de l'ordre des Franciscains mises à la disposition de l'auteur, jamais encore n'avait été présenté de manière exhaustive l'ensemble des étapes d'une vie si exemplaire. Accessible à d'innombrables lecteurs, nul doute qu'il demeurera pour beaucoup d'entre eux un livre de méditation et un émouvant guide spirituel.

03/2003

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Histoire de France

Auschwitz, enquête sur un complot nazi

On le sait depuis les procès de Nuremberg : la " solution finale de la question juive " était un secret d'Etat partagé par les plus hautes élites nazies. Eux connaissaient le sort des juifs européens déportés " à l'Est " : la mise à mort systématique, à Auschwitz ou ailleurs. A suivre son Journal, pourtant, Goebbels apparaît comme un cas à part. Il avait certes connaissance du massacre des juifs soviétiques puis polonais. Mais il crut durablement que les juifs déportés depuis Berlin étaient concentrés " à l'Est " dans des ghettos, dans l'attente d'une transplantation future, alors même qu'ils étaient systématiquement exterminés. Intime de Hitler et figure centrale du régime, Goebbels aurait-il été une exception ? S'appuyant sur une très large documentation, Florent Brayard fait ici le pari inverse : la singularité du cas Goebbels invite en réalité à repenser le secret qui entoura Auschwitz. Car les archives révèlent de nombreuses anomalies, passées souvent inaperçues, qui montrent indubitablement que la " solution finale " fut pendant longtemps présentée au sein de l'appareil d'Etat comme une simple transplantation. De fait, même dans le Reich nazi, le meurtre de tous les juifs européens constituait un acte hautement transgressif, que Hitler et Himmler avaient préféré cacher. Autrement dit, un complot. La conférence de Wannsee en janvier 1942 ne fut donc pas le moment où ce meurtre fut révélé : il fallut attendre octobre 1943 et les fameux discours de Himmler à Posen. Et tout, ou presque, était alors achevé. La " solution finale de la question juive " ainsi avait été plus qu'un secret, un complot.

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BD tout public

Le rapport W. Infiltré à Auschwitz

Witold Pilecki, officier de l'Armée secrète polonaise, décide d'infiltrer le camp d'Auschwitz en septembre 1940. Sous l'identité de Tomasz Serafinski, il a pour objectif de monter un réseau de résistance afin d'organiser le soulèvement du camp. Il ne mesure pas l'enfer qui l'attend.

05/2019

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Romans historiques (poches)

La violoniste d'Auschwitz. Edition collector

A Auschwitz, chaque jour est un combat pour survivre. Alma porte le matricule 50381. Cela ne pourrait pas être plus éloigné de sa vie d'avant. Star de l'Orchestre philarmonique de Vienne, nièce de Gustav Mahler, elle avait même fondé un orchestre de femmes. Rien de tout cela ne l'a sauvée. Jusqu'à ce qu'un chef du camp la reconnaisse et lui fasse monter un orchestre pour le bon plaisir des SS. Une position qui lui permet de soustraire des jeunes filles à la mort. Et de rencontrer Miklòs, un pianiste talentueux. Au milieu du désespoir et de la joie des répétitions, ils prient pour que le cauchemar cesse un jour. Mais à Auschwitz, l'air est contaminé par la mort, et la tragédie est la seule certitude...

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Histoire internationale

Anus Mundi. Cinq ans à Auschwitz

Anus mundi, l'anus du monde : un médecin SS avait ainsi qualifié le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz. Un homme a vécu là durant cinq années et raconte ce qu'il a vu. Arrivé avec les 728 premiers déportés politiques polonais le 14 juin 1940, Wieslaw Kielar (19I 9- 1980) sera à la fois le témoin et la victime des punitions arbitraires qui rythment la vie du camp. Il détaille la terrible hiérarchie installée par les nazis entre les prisonniers, le développement du camp, les nouveaux arrivants, la routine des exécutions qui vont s'accélérer durant la dernière année de sa détention.Tout est décrit aussi objectivement que possible. Son témoignage a la précision d'une mémoire qui a été marquée au fer rouge de l'horreur et qui ne peut oublier ni les potences, ni les coups, ni l'entassement des morts, ni les SS, ni "l'organisation", c'est-à-dire la vie quotidienne dans l'enfer. La vérité modeste qu'il transmet fait de son récit un document irremplaçable pour l'Histoire. Il nous est parvenu au moment où de nouvelles générations ignorantes des faits qu'il rapporte ont pu douter de leur réalité, tant ils sont incroyables. Le général Eisenhower l'avait prévu en termes crus : "Ecrivez, photographiez, filmez" avait-il dit aux journalistes présents lors de la libération des camps de concentration : "Dans cinquante ans il se trouvera des bâtards pour dire que tout ceci n'a jamais existé ! " Qui aura suivi "la lente descente de Kielar dans les ténèbres concentrationnaires" ne pourra toutefois plus oublier.

03/2020

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Théâtre

Tankred, dialogues au crépuscule d'Auschwitz

Tankred est un jeune et impétueux sergent SS, violent, fanatique adepte de la race Aryenne, en garnison au camp d'Auschwitz-Birkenau en 1944. Il découvre fortuitement que du sang juif coule peut-être dans ses veines. Horreur ! Cette situation cauchemardesque est insupportable, elle va ébranler sa vie, et celle des autres autour de lui. Un combat acharné se livre en son coeur, entre croix gammée et étoile juive. De quel côté se trouve sa vérité, où placer sa fidélité, comment obtenir la liberté ? Ecartelé entre folie et rédemption, que va-t-il choisir ? Ce récit est une fiction, mais sur un fond historique exigeant très documenté. Il nous saisit, nous empoigne sans ménagement, nous plonge dans l'enfer d'Auschwitz, et nous entraîne, avec suspens et émotion, au sein des affres d'un coeur torturé. Le parcours de Tankred nous emmène au sommet aride du combat de la conscience humaine, où le jeune SS sera tiraillé entre la rage de tuer des Juifs par idéologie et fidélité farouche à Hitler, et la tentation de mourir lui-même en Juif comme son Peuple. Son parcours nous montre combien l'homme le plus abîmé dans le mal, et possédé par lui, peut laisser surgir de lui la Lumière qui l'habite, malgré tout, et opter pour le Bien.

08/2014

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Histoire de France

Rescapés d'Auschwitz. Les derniers témoins

En 2015 seront commémorés les 70 ans de la libération du camp de la mort d'Auschwitz. Alors que les rescapés encore vivants se réduisent aujourd'hui à quelques dizaines, Alain Vincenot, l'auteur de "Vel' d'Hiv (L'Archipel 2012) a recueilli, en historien rigoureux , mais aussi avec compassion les témoignages de ceux qui n'avaient pas encore tout dit... L'ouvrage complété d'une chronologie propose des photos inédites issues des albums des témoins rencontrés.

01/2015

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Histoire internationale

Ce fut Auschwitz. Témoignages (1945-1986)

En 1945, au lendemain de la libération, les militaires-soviétiques qui contrôlaient le camp pour anciens prisonniers de Katowice, en Pologne, demandent à Primo Levi et à Leonardo De Benedetti, son compagnon de détention, de rédiger un compte rendu détaillé sur les conditions sanitaires du camp. Le résultat est le Rapport sur Auschwitz, un témoignage extraordinaire, l'une des premières descriptions sur les camps d'extermination jamais élaborées. Publiée en 1946 dans la revue scientifique Minerva Medica, elle inaugure l'oeuvre à venir de Primo Levi, témoin, analyste et écrivain. Dans les quatre décennies suivantes, Levi ne cessera jamais de raconter son expérience du Lager dans des textes de nature différente, qui, pour leur grande majorité, n'ont jamais été publiés ensemble. Des recherches entamées très tôt par Levi sur le destin de ses compagnons à la déposition pour le procès Eichmann, en passant par la "lettre à la fille d'un fasciste qui demande la vérité" et les articles parus dans des quotidiens et des revues spécialisées, Ainsi fut Auschwiiz est une mosaïque de souvenirs et de réflexions critiques d'une valeur historique et morale inestimable. Un recueil de témoignages, d'enquêtes et d'analyses approfondies qui, grâce à la cohérence, à la clarté de son style, à la rigueur de sa méthode, nous rendent le Primo Levi que nous avons appris à reconnaître comme un auteur classique de la littérature italienne.

02/2019

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XXe siècle

Le tatoueur d'Auschwitz. Edition collector

Le tatoueur d'Auschwitz, c'est Lale Sokolov, un déporté qui a pour sinistre mission de marquer dans leur chair les nouveaux arrivants du camp. Un jour, il lève les yeux sur la jeune femme dont il tient le bras. Elle s'appelle Gita, et elle devient la lumière de sa vie dans cet endroit hanté par la mort. Il lui fait la promesse qu'ensemble ils sortiront de ce cauchemar. Inspiré d'une histoire vraie, un roman bouleversant qui a ému des millions de lecteurs à travers le monde.

11/2022

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Déportation

Auschwitz, enquête sur un complot nazi

Auschwitz, enquête sur un complot nazi Jusqu'à quel point la "solution finale" était-elle secrète ? A cette question ancienne mais compliquée, Florent Brayard apporte une réponse puissamment originale. Selon lui, l'impératif de secret visait au premier chef le meurtre des Juifs allemands et occidentaux, et non pas celui des Juifs de l'Est, polonais ou soviétiques. Il propose par ailleurs de restreindre le cercle des dignitaires pleinement informés et, au vu des sources disponibles, d'en exclure par exemple Joseph Goebbels. Mais il souligne également que ce secret ne fut que transitoire. A Posen, en octobre 1943, Himmler et Hitler décidèrent de dévoiler aux plus hautes élites nazies ce qu'il en était réellement, à savoir que le meurtre avait touché les Juifs sans distinction et qu'il était alors presque achevé. Florent Brayard Directeur de recherche au CNRS, il est l'un des meilleurs spécialistes du nazisme et de la Shoah. C'est sous sa direction qu'a été publié Historiciser le mal. Une édition critique de Mein Kampf(Fayard, 2021).

05/2023

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Autres philosophes

Le concept de Dieu après Auschwitz

"Pour le juif, qui voit dans l'immanence le lieu de la création, de la justice et de la rédemption divine, Dieu est éminemment le seigneur de l'Histoire, et c'est là qu'Auschwitz met en question, y compris pour le croyant, tout le concept traditionnel de Dieu. A l'expérience juive de l'Histoire, Auschwitz ajoute en effet un inédit, dont ne sauraient venir à bout les vieilles catégories théologiques. Mais quand on ne veut pas se séparer du concept de Dieu - comme le philosophe lui-même en a le droit - on est obligé, pour ne pas l'abandonner, de le repenser à neuf et de chercher une réponse, neuve elle aussi, à la vieille question de Job. Dès lors, on devra certainement donner congé au seigneur de l'Histoire. Donc : quel Dieu a pu laisser faire cela ? " (Hans Jonas)

05/2022

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Histoire internationale

Terminus Auschwitz. Journal d'un survivant

Nous savons que pour nous il n'y a qu'une issue, qu'un moyen d'échapper à cet enfer barbelé : la mort. Déporté à Auschwitz en 1943, Eddy de Wind, médecin et psychiatre néerlandais, est affecté au baraquement 9 où officie le Dr Mengele, l'Ange de la mort. Dans le Block voisin, de prétendus scientifiques conduisent d'abominables expériences sur les prisonnières, parmi lesquelles la femme qu'il aime, Friedel. En 1944, quand l'armée russe approche et que les Allemands forcent les prisonniers survivants aux funestes "marches de la mort", Eddy se cache. Dans le camp abandonné, il écrit, pour l'Histoire, ce qu'il a vu et enduré. Ce sera Terminus Auschwitz, l'un des rares témoignages intégralement rédigés dans l'enceinte du plus grand centre d'extermination du IIIe Reich. Comprenant des photos de la vie d'Eddy avant, pendant et après l'Holocauste, ce récit poignant est à la fois un témoignage des atrocités perpétrées à Auschwitz, l'histoire d'un amour né et grandi dans l'enfer ainsi qu'une réflexion crue sur le genre humain.

01/2020

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Histoire de France

J'étais le numéro 20832 à Auschwitz

Eva Tichauer est née à Berlin à la fin de la guerre 1914/1918 dans une famille juive et socialiste. Après une enfance heureuse dans un milieu intellectuel aisé, l'avènement d'Hitler en 1933 va bouleverser le destin de cette famille. C'est l'émigration à Paris dès juillet 1933 et une vie difficile pour tous. Le judaïsme, même chez les libres penseurs et francs-maçons, devient un lien de solidarité avec les autres émigrés d'Allemagne en France. Eva Tichauer est en deuxième année de médecine, lorsqu'éclate la guerre en 1939 et son enchaînement fatal : l'exode jusqu'à la frontière espagnole, le retour à Paris dans un appartement déjà visité par la Gestapo, l'interruption des études pour numerus clausus. Le père est arrêté le 12 décembre 1941 et s'en va avec le premier convoi de Compiègne. La mère et la fille sont victimes de la grande rafle du 16 juillet 1942, dite du Vel. d'Hiv. Après Drancy, c'est la déportation à Auschwitz. De sa famille, Eva Tichauer sera la seule à remonter de cet enfer. Dans ce livre elle fait le récit de son itinéraire personnel pour survivre.

01/1988

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Romans historiques

Les larmes d'Auschwitz Tome 2 : Pitchipoï

Après son arrestation à Caen et son passage par Drancy, Anna embarque dans un convoi à destination d'Auschwitz, cet horrible endroit dont Adam lui a parlé. Très vite, elle comprend que pour survivre, elle doit devenir égoïste. Si elle échappe aux exécutions, sa santé par contre se dégrade rapidement et son espoir de voir Adam venir la sauver s'amenuise peu à peu. Alors que les Allemands quittent le camp en janvier 1945, Anna fait le choix insensé de rester sur place. Avec quelques amis, elle tente de survivre au rude hiver polonais.

11/2019

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Romans historiques

Les larmes d'Auschwitz Tome 1 : Résistance

"La guerre éclate en 1939 et avec elle, les espoirs et les rêves d'Anna s'envolent vers l'oubli. Une vie semée d'horreurs mais aussi d'amour lorsqu'elle croise le regard d'Adam, un soldat polonais engagé dans la Wehrmacht. A deux, ils s'impliquent dans la Résistance jusqu'au 6 juin 1944, jour du débarquement synonyme d'espoir pour les Français. Anna pensait naïvement que l'heure de la délivrance avait enfin sonné mais la réalité est tout autre. . ".

02/2019

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XXe siècle

La fille qui s'échappa d'Auschwitz

En franchissant les portes d'Auschwitz, Mala comprend que personne ne quitte jamais le camp vivant. Profitant de sa position d'interprète pour grapiller ce qu'elle peut, elle refuse de laisser la mort triompher et tente d'aider ses codétenues. Mais c'est en rencontrant Edward, ancien combattant et prisonnier politique, que son espoir renaît réellement. Selon lui, malgré les barbelés, les projecteurs et les mitraillettes, il y a une issue. Ils se font alors une promesse : ils s'enfuiront ensemble, ou ils mourront ensemble. L'histoire vraie de Mala Zimetbaum et Edward Galinski est l'une des plus grandes histoires d'amour du XX ? siècle.

09/2023

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Littérature anglo-saxonne

Moi, Dita Kraus. La bibliothécaire d’Auschwitz

Dita Kraus est née juive à Prague en 1929. Elle voit, avec les yeux d'une enfant, la montée du nazisme, puis est déportée à Auschwitz avec ses parents. Là-bas, elle est en charge de la bibliothèque. A la Libération, à 16 ans, elle retourne seule chez elle en Tchécoslovaquie. Ne trouvant plus sa place, elle choisit de partir en Israël où elle pourra enfin essayer de construire une vie. C'est une partie de l'histoire des Juifs ashkénazes que l'on découvre à travers ce récit. Celle d'une population qui, après avoir survécu à la guerre, s'est retrouvée face à la montée du communisme dans les pays de l'Est. Qui s'est vu à nouveau confisquer tous ses biens et s'est retrouvée contrainte d'émigrer dans un pays qui lui était étranger. Sans jamais céder au désespoir, Dita Kraus est restée une passeuse de savoir. Elle s'est battue pour l'éducation des esprits en devenant professeure, puis en allant témoigner aux quatre coins du monde afin d'honorer la mémoire des victimes de la Shoah et d'éviter que de telles atrocités se reproduisent.

08/2021

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XXe siècle

La fille qui s’échappa d’Auschwitz

Le nouveau roman d'Ellie Midwood, après le succès de La violoniste d'Auschwitz. Des millions de personnes ont franchi les portes d'Auschwitz, mais elle a été la première femme à s'échapper. Ce puissant roman raconte l'histoire vraie et inspirante de Mala Zimetbaum, dont l'héroïsme ne sera jamais oublié et dont le destin a changé le cours de l'histoire... Personne ne quitte Auschwitz vivant. Mala, matricule 19880, comprend qu'elle vient d'arriver en enfer au moment où elle descend du wagon à bestiaux à Auschwitz. En tant qu'interprète pour les SS, elle utilise sa position pour sauver autant de vies qu'elle le peut, faisant passer des miettes de pain aux autres détenus. Edward, matricule 531, est un ancien combattant du camp et un prisonnier politique. Bien qu'il ressemble à tout le monde, avec une tête rasée et un uniforme rayé, il est un combattant dans la résistance souterraine. Et il a un plan d'évasion. Mais quand ils se rencontrent, l'ombre sombre d'Auschwitz est illuminée par une lueur d'espoir. Edward fait croire à Mala l'impossible. Qu'en dépit d'être encerclés par des fils électriques, des mitrailleuses et des projecteurs, ils quitteront ce camp de la mort. Une promesse est faite - ils s'enfuiront ensemble ou ils mourront ensemble. Ce qui suit est l'une des plus grandes histoires d'amour de l'histoire...

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Historique

Adieu Birkenau. Une survivante d'Auschwitz raconte

En avril 1944, à 19 ans Ginette Kolinka est déportée au camp d'extermination Auschwitz II-Birkenau. Elle n'en parle pas durant 50 ans, avant d'accepter d'être filmée pour la "Shoah Foundation", que Steven Spielberg vient de créer. A la grande surprise de la septuagénaire, les souvenirs enfouis rejaillissent. Elle se lance à corps perdu dans le témoignage. En octobre 2020, à 95 ans, elle permet à Victor Matet et Jean-David Morvan de l'accompagner lors d'un de ses voyages de groupe en Pologne, à l'issue duquel elle décide de ne plus jamais revenir. Dans cet album bouleversant mis en images avec pudeur et puissance par Efa, Cesc et Roger, elle fait le point entre son premier et son dernier passage dans " le plus grand cimetière du monde " avec ce mélange unique de force, d'humour et d'espoir qui la caractérise.

09/2023

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Histoire de France

Signora Auschwitz. Le don de la parole

Un livre d'une rare densité qui s'inscrit dans la liste des ouvrages indispensables de la littérature de la Shoah. "Signora Auschwitz" est le nom qu'une lycéenne donne à Edith Bruck lors d'un de ses témoignages. Edith Bruck fait ici le récit de sa vie de rescapée et de témoin du génocide des Juifs. Elle raconte la douleur autant morale que physique née de deux aspirations apparemment contradictoires qui la tiraillent. D'un côté, témoigner pour se libérer en rendant justice aux victimes de la Shoah. De l'autre, ne plus parler d'Auschwitz pour tenter de revenir à une normalité pourtant définitivement perdue au camp. Tous les thèmes centraux liés au mal-vivre du survivant sont abordés : la perte irréparable des proches et du monde de l'enfance, l'incrédulité des auditeurs, l'impossibilité de transmettre la réalité d'Auschwitz et l'éloignement irrémédiable de cette expérience, le rôle et la place du témoin et la fatigue qu'Edith Bruck ressent face aux "jeunes", fatigue que son ami Primo Levi avait déjà exprimée. Signora Auschwitz bouscule l'image trop souvent naïve d'une mission juste et sage de témoigner.

10/2015

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Histoire de France

Dire Auschwitz. Ce que peuvent les mots

Le témoin est celui qui sait pour avoir vu. Henri Borlant a fait de son regard, non pas un métier, mais une activité dont l'essence fut la promesse faite à ceux qui ne sont pas revenus : Tu leur diras. Henri Borlant est un homme de parole. Il tient parole. Mais comment dire ? Avec quels mots ? des mots qu'il faut savoir adapter à des auditoires différents. Les mots d'Henri Borlant renferment des vies. Témoigner c'est enquêter sur les mots. Evoquer la Shoah c'est d'abord renoncer aux synonymes. Ce corps à corps avec le langage épuise, construit parfois l'insatisfaction de ne pas avoir été à la hauteur de ses promesses. Témoigner c'est encore accepter son impuissance à bâtir, comme le dit Henri Borlant, le récit exact des faits. Mais témoigner c'est aussi faire confiance à celui qui vous écoute et qui saura, dans les silences, les hésitations, les attitudes du témoin, y mettre ses propres mots. Auschwitz n'a pas englouti la parole, car l'interrogation sur le "comment dire", quatre-vingts ans plus tard, témoigne à son tour de notre condamnation à comprendre ce que fut cet improbable mais réel ailleurs : Auschwitz-Birkenau. Le terme génocide, la notion juridique de crime contre l'humanité dit, à son tour, la capacité de l'homme à créer un langage au plus près de ce que fut l'indicible. Les mots portent en eux la puissance de la vérité.

10/2019

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Histoire de France

Auschwitz. Les nazis et la "Solution finale"

Le 27 janvier 1945, l'armée Rouge pénètre dans le camp de concentration d'Auschwitz et libère les survivants. Le monde découvre un système d'une barbarie inouïe, jamais vue dans l'histoire de l'humanité : la " solution finale ", les chambres à gaz et les fours crématoires. S'appuyant sur les meilleures sources historiques et sur une centaine d'entretiens inédits avec d'anciens bourreaux comme avec des rescapés, Laurence Rees nous permet de comprendre de l'intérieur le fonctionnement de cette machine à tuer. La force et l'originalité de cette enquête unique sont de montrer comment les décisions qui ont abouti à la construction des camps ont mûri des années durant. Et l'on découvre, incrédule, qu'aujourd'hui encore nombre d'anciens nazis justifient leurs crimes par cette phrase simple et atroce : " Je pensais que c'était une bonne chose. "

09/2008