Critique littéraire
09/1998
Ecrits sur l'art
12/2022
Histoire de la photographie
04/2022
Thérapies diverses
03/2023
Histoire de l'Eglise
03/2022
Poésie
10/2022
Ethnologie et anthropologie
10/2022
Musiques du monde
10/2022
Essais biographiques
10/2022
Freud
04/2022
Théâtre - Essais
03/2021
Littérature anglo-saxonne
03/2022
Ethnologie
05/2017
Histoire de la philosophie des
01/2023
Techniques artistiques
05/2021
Psychologie, psychanalyse
05/1985
Essais
01/2022
Romans graphiques
02/2024
Analyse littéraire
02/2024
Histoire et Philosophiesophie
09/2020
Littérature française
12/2021
Photographie
07/1998
Littérature française
02/2024
Design
01/2022
Littérature française
08/2012
Architectes
04/2023
Poésie
12/2023
Littérature française
4 février 1912. Le jour se lève à peine. Entourés d'une petite foule de badauds, deux reporters commencent à filmer. Là-haut, au premier étage de la tour Eiffel, un homme pose le pied sur la rambarde. Il veut essayer son invention, un parachute.
On l'a prévenu : il n'a aucune chance. Acte d'amour ? Geste fou, désespéré ? Il a un rêve et nul ne pourra l'arrêter. Sa mort est l'une des premières qu'ait saisies une caméra. Hanté par les images de cette chute, Etienne Kern mêle à l'histoire vraie de Franz Reichelt, tailleur pour dames venu de Bohême, le souvenir de ses propres disparus. Du Paris joyeux de la Belle Epoque à celui d'aujourd'hui, entre foi dans le progrès et tentation du désastre, ce premier roman au charme puissant questionne la part d'espoir que chacun porte en soi, et l'empreinte laissée par ceux qui se sont envolés.
Livre retenu pour le Festival du Premier Roman de Chambery 2022 - #FPRChambery22
Autisme
03/2024
Architecture
06/2023