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Le monde moderne semble sonner le glas de l'enseignement du latin. La Rome antique est pourtant l'une des clefs de voûte de notre culture. Le Latin est là. Il nous dit qui nous sommes. Il constitue le tissu de notre langue, cette trame sur laquelle se lient nos pensées.
Langue morte ? Le Latin mérite-t-il vraiment d'être relégué dans un temps ancien et dissocié de nous ? Ne sert-il qu'à une éducation bourgeoise visant à distinguer les uns des autres ?
Ne serait-il pas plutôt un trait d'union entre notre présent et un passé dense ? La civilisation romaine n'offre-t-elle pas un accès privilégié à notre histoire, pourvu que l'on adopte un regard distancié vis-à-vis d'elle ? Le latin, atout maître dans une quête de sens pour nous-mêmes et la société éclatée qui est la nôtre ?
À ces questions, Marie-Pierre Delaygue-Masson répond par l'affirmative. Une affirmation nette et enthousiaste ; de celle que mérite notre culture vivante !
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