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MJ DeMarco

Extraits

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Littérature sud-américaine

Un fils comme un autre

"Les histoires qui composent ce livre ont été écrites au cours des cinq dernières années, autrement dit les cinq premières années de la vie de mon fils. Comme toujours, elles ont surgi devant moi tels le chat ou le passant qui croisent ma route, mais le fait est que je marche et écris depuis cinq ans en tenant la main d'un petit garçon qui entre et sort de ces histoires, court se cacher dans l'une d'entre elles et va parfois jusqu'à me chuchoter les siennes. Un fils qui m'oblige désormais à écrire en tant que père". Eduardo Halfon

10/2022

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Shonen/garçon

My Hero Academia : Coffret en 2 volumes : My hero Academia tome 30, danse macabre ; My Hero Academia, les dossiers secretsde Ua tome 5, Le labyrinthe souterrain de Yuei. Avec 1 stand acrylique, 1 ex-libris, Edition collector

Le comics US rend hommage à MHA !

09/2021

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BD tout public

Mamas. Petit précis de déconstruction de l'instinc maternel

Le mot de l'auteur : "Petite j'étais persuadée qu'il fallait avoir des enfants. A 15 ans, je pensais que je serai mère à 20 ans, à 20 ans je pensais que ça serait vers 25 ans. Et puis j'ai rencontré des gens qui pensaient autrement et qui questionnaient la charge sociale de l'obligation de maternité. J'ai commencé à me demander si moi, j'en voulais vraiment. Ce que ça signifiait et pourquoi on le faisait ? J'étais très mitigée sur le sujet. Et puis un jour, à 29 ans, j'ai eu le cancer. En même temps que l'annonce de la maladie, on m'a prévenu que les traitements allaient probablement me rendre stérile. Là, tout d'un coup, ça a été comme si on m'ôtait un jouet et que tout ce que je voulais c'était ce jouet-là ! Quatre ans plus tard, me voilà enceinte. A travers ma propre maternité, je veux interroger le fameux instinct maternel, l'explorer du point de vue philosophique, culturel, historique ; mais aussi aborder les différents types de parentalité, à travers d'autres témoignages. En bref : c'est quoi l'instinct maternel ? Et est-ce qu'il existe vraiment ? "

09/2019

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Littérature française (poches)

Jeantou, le maçon creusois

1830 dans la Creuse. Les paysans survivent laborieuse-ment entre hivers rudes et menaces de famine qui obligent les hommes à émigrer vers Paris, comme maçons. En attendant son père absent pour de longs mois, Jean Blanchon, dit Jeantou, découvre le plaisir des études. Mais bientôt vient son tour de partir, laissant derrière lui famille, amis et le pays qu'il aime... En s'inspirant des récits de son grand-père, Georges Nigremont nous raconte ici combien fut pénible la vie d'innombrables creusois tout au long du XIXe siècle périlleux voyages à pied lors des campagnes, vie misérable dans la promiscuité des garnis, hantise de la maladie ou de l'accident sur les chantiers, disputes entre clans, salaires précaires... " Le montent de partir pour ma première campagne était venu. Durant tout l'hiver mon père avait remué dans sa tête cette question : m'emmènerait-il avec lui à Paris, " aux maçons " ? Ou bien irais-je à Nevers, " aux tuiliers " ? " Bien sur à Paris, j 'aurais l 'oeil sur lui, disait-il à ma mère en me regardant... Mais il faudra tout de suite monter à l'échelle... l'auge est lourde, on ne ménage pas les garçons qui servent les maçons ! Eh bien ! Envoie-le aux tuiliers ", gémissait ma mère..."

04/2007

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Littérature française

L'été du sureau

" C'est tout de même bizarre. Ma fille quitte son mari et c'est moi qui me sens abandonnée, avec l'impression de l'avoir perdu. Leur séparation me déchire le cœur. Que m'arrive-t-il ? Pourquoi leur histoire deviendrait-elle mienne aujourd'hui ? Et ces larmes pour saluer leur rupture, d'où viennent-elles ? De quelle profondeur de puits où dorment les vieux chagrins d'amour ? De quoi ai-je si peur, depuis si longtemps que l'écriture me fuit ou que je lui tourne le dos ? " Marie Chaix renonçait successivement à tous ses projets, tout en souffrant de cette crise prolongée. Soudain, la rupture dans la vie de sa fille aînée la ramène à l'écriture en la renvoyant à d'autres séparations : son divorce d'avec le père de ses deux filles ou la disparition précoce de ses deux frères. Elle remonte, plus haut encore dans le temps, à ses parents, séparés par huit années de prison à la suite de la condamnation du père collaborateur, auquel elle a consacré Les Lauriers du lac de Constance. Avec une sincérité sans concession Marie Chaix fait le bilan de sa vie de femme et d'écrivain. Le passé de trois générations resurgit dans une mémoire où l'émotion demeure toujours à vif.

01/2005

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Littérature française

La rumeur des rives

"On sait qu'en mer le vent n'est rien, le danger vient des vagues. Une de mes navigations dans les Caraïbes ne s'était pas bien passée et c'était ma faute. Malgré une météo très peu favorable, j'avais levé l'ancre en début d'après-midi, confiante en ma bonne étoile. Le coup de vent annoncé se transforma en fort coup de vent avec de violentes rafales et une visibilité réduite. Mon anxiété grandissait tandis que je scrutais l'anémomètre, mais j'essayais de respirer calmement, de rester concentrée sur la mer. Le vent sifflait dans les haubans, Epicure grinçait, son étrave s'enfonçait dans les vagues en faisant naître un fleuve dans le cockpit et un équipet répandit son contenu dans le carré. Je gardais le cap, la nouvelle têtière de grand-voile tenait bien, mais empannant sans le vouloir, je sentis la bôme raser ma tête, puis le brusque mouvement d'Epicure me projeta sur bâbord..." Un roman marin, au large des Antilles. Une femme puissante à la barre de son voilier Epicure tente d'échapper à son destin. Au drame. L'appel du large comme celui de la liberté, de la sagesse, quel qu'en soit le coût...

10/2017

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Littérature française

Une certaine idée de Paris

" Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de Paris, celle qui me conduit à ne pas me résigner à voir se dégrader chaque jour d'avantage la ville où je suis né, où j'ai grandi, étudié, exercé mes activités professionnelles et dont je suis l'élu. Cette certaine idée, c'est celle qui m'amène à refuser d'accepter que la ville-lumière soit sur le point de s'éteindre, que la plus belle ville du monde devienne laide, et que la ville qui faisait rêver tourne au cauchemar... A quelques mois des élections municipales de mars 2020, c'est cette conception d'une bonne politique municipale, n'ayant d'autre objet que le bien commun, cette volonté d'être toujours à l'écoute et au service de mes concitoyens que j'ai fait prévaloir dans l'arrondissement dont je suis le maire, que je souhaite voir appliquer maintenant à Paris. Mon savoir-faire et mon expérience d'élu, j'espère désormais pouvoir les mettre pleinement au service de la ville que j'aime. " Dans cet ouvrage, Jean-Pierre Lecoq apporte sa contribution à la reconquête de la capitale, fruit d'une réflexion ouverte et de propositions pragmatiques au service des Parisiennes et des Parisiens.

09/2019

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Littérature française

Vouloir voler

"Ca ne s'arrête jamais dans ma tête, jamais. Ca tourne, ça tourne sans arrêt. Faudrait que ça s'arrête. Me tirer de ce cauchemar, retourner sur l'ordinateur, me plonger vite dans mes jeux ou les sites de pays lointains, regarder, écouter, m'envoler loin. Quand ça va trop mal, je m'imagine en train de marcher comme grand-père, à reculons. Je saurais marcher, peut-être, comme ça, peut-être que mes jambes pourraient me porter à l'envers ?" Tonio, 13 ans, vit avec sa mère Alenya dans une cité des environs de Paris. Handicapé, cloué à son fauteuil roulant, il ne parle plus depuis le départ de son père. L'apparition de Lola va bousculer leur existence. C'est la nouvelle femme de l'oncle de Tonio. Elle est solaire, vibrante, le teint charbon. Sur son passage, elle laisse un parfum sucré, celui d'un ailleurs plein de promesses. Tonio tisse avec elle une complicité qui le mènera jusqu'à son rêve de toujours : s'envoler. Avec Vouloir voler, Martine Merlin-Dhaine nous offre une chronique sociale bouleversante. Ses personnages à la grâce fébrile disent toute la rage de notre époque. Un premier roman porté par une prose brute et poétique.

04/2016

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Littérature française

Dancing de la marquise

Un roman ? Peut-être. Un autoportrait, plus sûrement, qui fait suite aux précédents. Je me peins dans des élans, des véhémences, des préférences. J'ai des couleurs pour mes penchants, des crayons rouges pour mes dégoûts. Depuis l'origine, aux abords de l'école, j'aligne des mots devant les choses. Je me décoiffe devant la beauté. Je tranche dans la langue française. Je confectionne des textes, mes petites écritures, comme des recettes de confiture. Je suis sensible à l'écho des bocaux. J'aime le goût de mandarine de ce que j'imagine. J'entasse des milliers de pages de mes séjours dans les nuages. Aujourd'hui, j'ai envie de faire une photographie du dépôt, de tout ce ramassis, de toiser la hauteur des stocks, de métrer le linéaire littéraire. Après quoi, j'empaquèterai ma marmaille, ficèlerai la marmelade, cachèterai le glorieux magot. J'hésite entre deux titres sur l'enveloppe. Je garde la main sur La cicatrice du brave, référence à la chaude pisse de Flaubert. Mais je me laisse tenter par Fragments d'un sentiment, qui touche aux éclats de balle du journal. Non, ce sera Dancing de la marquise, à cause d'Anna Karina et ses exquises bouderies. Ou bien Culottes courtes et carottes cuites. On verra.

03/2020

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Littérature française

Métamorphose. La sagesse des mots

Ce récit n'est autre que le témoignage de ma révolution, comme une seconde naissance, des transformations successives que j'ai été amenée à transcender. Soit on ne croit en rien, et je deviens l'héroïne victime des autres et des événements, soit on y voit un parcours d'évolution jonché d'opportunités dissimulées par la souffrance, celle de grandir, d'aller à ma propre rencontre, mais surtout de donner du sens à mon existence. Toutes les dimensions de mon être ont été façonnées, parfois dans la douceur mais, le plus souvent, avec brutalité et passion. Aujourd'hui, je me regarde dans le miroir et je ne peux m'empêcher d'y voir le chemin parcouru, l'intensité de ces dernières années et à quel point l'existence est un miracle. La douleur n'étant jamais éprouvée en vain, elle est souvent le prix d'un accomplissement, d'un progrès, d'une réa­lisation. Et toujours celui d'un enrichissement émotionnel et spirituel. Je décris dans ce livre mon épopée de guérison à destination de ceux qui souffrent, tel un message d'espoir et de soutien. Ces années resteront tatouées sur mon âme, pour ne jamais oublier mon propre pouvoir ni ma plus belle métamorphose.

10/2022

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Littérature française

Le secret de la clef d'Isis

« Je reprends mes esprits, je constate que je me trouve dans un sombre couloir. Il est long et éclairé à espaces réguliers par des flambeaux fichés dans des anneaux fixés au mur. Je me lève avec difficulté, la tête me tourne, j'emprunte le couloir en titubant, espérant trouver une sortie. A ma stupéfaction, je débouche dans une salle et là je n'en crois pas mes yeux. Sur un trône à trois niveaux se trouvent assis trois prêtres habillés à la mode égyptienne. Longue tunique de lin blanche retenue par une ceinture. Sur la tête, un tissu formant une sorte de coiffe partagée en son milieu et descendant sur les épaules, autour du cou un large collier couvrant une partie des épaules. » Portée par un souffle fantastique envoûtant, la mission que se voit confier le héros de L. Le Thuaut nous entraîne, des pyramides d'Égypte aux abbayes de Bretagne, dans une quête sans temps mort, dont l'objet est un précieux artefact perdu appelé la clef d'Isis et dont dépend le repos du pharaon. Trépidant et intrigant, nerveux et étonnant, ce roman a le pouvoir rare de nous faire retrouver nos yeux d'enfants, assoiffés d'aventures, de révélations et d'histoire.

10/2015

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Littérature française

Feuille d'or sur un torrent

" Je me suis allongé sur le lit et j'ai observé le plafond, où des taches formaient des continents et des mers, pour (je veux dire : sans le vouloir) me retrouver une fois de plus au nord du Québec, au bord du même lac entouré d'épinettes. J'ai pris un sentier que je connaissais bien et qui conduisait jusqu'à un pont en bois sous lequel coulait un petit torrent. Je me suis assis sur les planches (il n'y avait pas de parapets et je pouvais toucher l'eau avec mes pieds), et, sur ma droite, j'ai aperçu la feuille d'or d'un bouleau. Un grand frisson d'allégresse m'a parcouru le corps. " Lui, c'est Benjy, le frère " différent ", que ses parents, riches propriétaires viticoles, ont fait enfermer dans une camisole chimique. Elle, c'est Laetitia, sa sœur. Complice de ses rêves, elle l'a toujours protégé d'un univers hostile. Quand leurs parents s'apprêtent à les spolier, ils fuient la médiocrité de leur existence, afin de retrouver la liberté. De la Camargue jusqu'au somptueux Labrador, ce Grand Nord où tout s'anéantit, Benjy et Lætitia vont parcourir un chemin semé de dangers et de rencontres.

01/2002

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Littérature érotique

A vendre Tome 3

Liza et Simon au coeur de la tempête Très rapidement, les paysages urbains défilent et laissent la place aux grandes étendues désertes qui longent la highway. La dernière fois que j'ai fait un long trajet en bus j'avais à peine 16 ans, 50 dollars en poche et des rêves plein la tête. Aujourd'hui, 10 ans plus tard, j'ai 2 000 dollars sur moi, 5 millions à la banque et le seul rêve que je ne me suis jamais autorisé à avoir vient de partir en fumée. Quelle désillusion ! J'ai passé la majeure partie de ma vie à me dire que je ne serai jamais heureux, quelques mois à me convaincre que j'avais tort et tout le reste à regretter de l'avoir pensé. Bravo, tu es vraiment un pauvre con Jamie Mortensen, voyons ce qu'en dit cette bouteille de rhum, je suis certain qu'elle sera de ton avis. Dans ce dernier opus, Liza et Simon aux prises avec leurs doutes vont devoir faire des choix parfois douloureux. Entre la rancoeur, le désir de vengeance et le destin qui s'acharne à les séparer, l'amour a parfois du mal à trouver son chemin. Sauront-ils dépasser leurs peurs et s'autoriser enfin à être tout simplement heureux ?

07/2022

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Orthophonie

Wonder ortho et foule sentimentale

Je m'appelle Nabell Wood, j'ai vingt-cinq ans et j'ai réalisé mon rêve : je suis orthophoniste. Aujourd'hui, j'ai décidé de me dévoiler, de raconter mon quotidien avec celles et ceux que j'ai côtoyés, aidés, ou simplement croisés en chemin. Je vais vous parler de ma raison de vivre, de mes patients, de mon métier. Vous allez les lire, les écouter, les découvrir. Vous allez les aimer et parfois même les détester. Vous vivrez mon histoire à travers ces personnes qui, chaque jour, me donnent la force de me battre, de poursuivre ce que je sais faire de mieux : accompagner, épauler, soigner. Il y a Ganui, Max, Kévin, E. Micran. Il y a aussi Loïc, Thomas, Edouard, Romuald, ou encore Marion. Vous attendrez avec eux dans la salle d'attente de mon cabinet, vous participerez à leurs séances, vous les suivrez dans leurs prises en soin. Ils vous parleront de leur vie, de leur destin, de leurs bouleversements, de leurs regrets, de leurs doutes mais surtout de leurs victoires et de leurs réussites. Alors, ne les ignorez pas plus longtemps, ouvrez ce livre. Ne passez pas à côté de celles et ceux qui se battent pour vous aimer.

09/2021

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Education de l'enfant

Le jour où j'ai coupé l'oreille du doudou de mon enfant. Le guide pratique anti-burn out d'une maman qui travaille

LE livre de toute working mum qui a déjà craqué devant ses enfants et qui ne veut plus culpabiliser ni s'excuser de ne pas être infaillible ! "Hier soir, je regardais le film Peter et Elliott le dragon avec ma fille de 7 ans et, au moment où le dragon a craché son feu sur les amis de Peter, je me suis revue, le matin même, hurler sur ma fille sans crier gare car elle n'avait pas pris le temps de démêler ses cheveux avant que je les coiffe et que j'étais déjà en retard par rapport aux objectifs professionnels disproportionnés que je m'étais fixés pour la journée. Cette pression, dont j'étais l'unique initiatrice, m'a fait "péter un câble" parce que j'ai réalisé que je n'avais plus le contrôle de la gestion de mon temps, et que ma fille venait de m'en faire perdre. Elle n'y était pour rien, et pourtant, c'est elle qui a reçu mes flammes comportementales et verbales. Je l'ai brusquée, lui ai démêlé les cheveux un peu trop fermement, ai crié sur elle, et elle s'est mise à pleurer. Superbe début de journée pour moi, fondatrice d'"Au bonheur des Working Mums" ! "

10/2021

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Fantasy

Magnus, la rencontre. Tome 1

"Debout au milieu de nulle part, je me regarde et suis surpris de voir que je porte une sorte de scaphandre ou d'armure en alliage que j'ai du mal à décrire, ce que je peux dire, c'est qu'elle est sale, de la poussière mêlée à du sang séché je crois, et bien abîmée par de multiples impacts. A mes pieds, un casque hermétique, comme ceux que les motards portent, en plus sophistiqué je crois, ma main droite tient une arme que je ne connais pas, à ma gauche je tiens un étendard que j'ai du mal à décrire vu son état délabré, mais j'arrive à deviner ce symbole : [... ] J'ai peine à voir, ma vue se brouille, j'ai du mal à comprendre où je suis : un endroit que je ne reconnais pas. Que se passe-t-il ? " Né à Orléans en 1972, Matthias Quesada suit dès son adolescence les combats que mène sa mère, avocate, pour la défense des droits de l'Homme. C'est lors de son service militaire, en 1989, que l'auteur se livre à l'écriture de poèmes et de récits intimes. Le premier tome de Magnus, la rencontre s'inspire de son intérêt pour les sciences, l'archéologie, la géopolitique et l'ufologie.

02/2023

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Communication interpersonnelle

La lumière rayonne sur les ténèbres

" C'est tellement difficile d'avoir une relation avec cet homme, il faut jongler avec les compliments et les reproches, je ne sais jamais si c'est une vraie relation ou non, la menace de la rupture plane constamment, c'est épuisant. C'est justement là que le pervers narcissique puise sa force, en nous prenant notre énergie vitale, il se régénère alors que nous nous épuisons inexorablement. Je suis tellement lasse qu'il m'est impossible de me battre physiquement ou moralement, impossible de sortir de cette toile d'araignée, de cette prison qui m'oppresse de plus en plus fort afin que je sombre complètement. " Je vous dévoile la rencontre qui va me plonger dans les ténèbres, je laisse le diable m'emprisonner dans son filet doré et je rentre dans une spirale infernale de culpabilisation et de dévalorisation. Cette relation me fait vivre sous une emprise affective qui ressemble à de l'amour mais qui est tout son contraire. Détruite, humiliée, déstabilisée, j'ai besoin de soulager ma conscience et débloquer certaines émotions enfouies au fond de mon esprit. Volée et violée par cet être odieux, je vous livre mes peurs, mes angoisses, mes colères et mes cauchemars les plus obscurs.

10/2021

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Réussite personnelle

Manifester la magie en soi. Ou comment reconnecter à son pouvoir intérieur

Après avoir débuté un chemin initiatique en 2016, voici la suite de mon parcours sous la forme d'un partage d'expériences et de compréhensions quant à la nature de notre voyage terrestre. Je vous invite, par cet ouvrage, à faire vos propres expériences afin d'affûter votre discernement. En cela, vous serez en mesure de trouver votre vérité du moment ainsi que la voie du milieu et de l'équilibre, guidé par votre être véritable. Réaliser qui je suis et percer le voile des illusions me permet de reconnecter à ma magie et mon pouvoir intérieur, pour le rayonner à l'extérieur et contribuer, ainsi, à un monde meilleur, basé sur les valeurs du coeur et de l'Amour universel. Je souhaite à chacun d'entreprendre cette merveilleuse aventure humaine et terrestre, dans la compréhension qui est la sienne, en se faisant ce cadeau de faire de soi sa priorité pour offrir au monde son précieux dans le respect du Vivant. Ainsi, nous ne rêverons plus d'un monde meilleur, nous l'incarnerons pour le créer dans notre réalité. " Les fenêtres que j'ouvre sur ma conscience sont les invitations de mon être à cheminer vers ma véritable essence ", Magali Jacquemot.

07/2022

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Récits de voyage

Terres d'automne

"J'éprouve ici quelque chose de puissant qui me de´passe... Cet environnement me prend avec une force inoui¨e ! Je suis a` ma place, ici, et c'est plus lie´ a` la terre, au rapport avec un e´le´ment, qu'a` l'attachement a` un territoire, a` une notion de terroir. Je pense que tous les gens de la terre se ressemblent, foncie`rement". Franck Bouysse a grandi et vit en Corrèze, au "pays des mille sources". Amoureux des lumières d'automne, qui révèlent les formes et les êtres, il entretient un lien organique avec ce monde qui l'a façonné : "Je ne pourrais pas vivre dans un endroit plat ; il me faut de la hauteur, quelque chose de l'ordre du dépassement. . ". Au fil des entretiens, cet homme discret revient sur son enfance, les difficultés et espoirs du monde rural, son lien à l'histoire et sa fascination pour l'Amérique. Admirateur de Faulkner et Simenon, il retrace son parcours d'auteur et nous invite dans son atelier : "L'exploration des passions humaines, qui souvent nous de´vorent, est pour moi une des grandes lignes de force de la litte´rature : creuser l'humain, ne pas s'en tenir a` la surface des choses, mais pluto^t puiser en soi".

09/2023

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Science-fiction

La Fille des Sorcières. Tome 1, Ton destin est la mort

Je crois que j'étais heureuse un jour dans mon enfance. Je ne dis pas que je suis la plus à plaindre aujourd'hui ou que j'étais une petite fille, privilégiée et pourrie gâtée avant, loin de là. Mais tout était tellement plus simple ! Puis j'ai grandi, j'ai fêté mon anniversaire... et les choses ont drastiquement changé. A présent, je me demande surtout si je ne suis pas victime d'une malédiction pour accumuler ainsi les ennuis et les coups durs. Ca c'est sûr, je ne postulerais pas pour créer une série Disney à partir de ma vie ! Ca traumatiserait les mioches qui pourraient regarder... Et moi qui voulais juste être normale... me voilà avec un groupe d'élite sur le dos, un grand vampire mégalomane qui me fait la cour dans le seul but de s'amuser, mon nouveau plan cul qui se trouve être bien étrange. Et le chasseur qui veille sur moi commence à en avoir marre. Pas vraiment normale comme vie, hein ? Mais si ça s'arrêtait là... Pourtant, lorsqu'on croit être tombé au fond du trou, on se rend compte rapidement qu'on peut encore creuser... histoire de préparer sa tombe.

01/2021

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Littérature française

Le paysan parvenu. Texte intégral

" Mes yeux m'embarrassaient, je ne savais sur qui les arrêter ; je n'osais prendre la liberté de regarder les autres, de peur qu'on ne démêlât dans mon peu d'assurance que ce n'était pas à moi à avoir l'honneur d'être avec de si honnêtes gens et que j'étais une figure de contrebande ; car je ne sache rien qui signifie mieux ce que je veux dire que cette expression qui n'est pas trop noble. Il est vrai aussi que je n'avais pas passé par assez de degrés d'instruction et d'accroissements de fortune pour pouvoir me tenir au milieu de ce monde avec la hardiesse requise. J'y avais sauté trop vite ; je venais d'être fait monsieur, encore n'avais-je pas la subalterne éducation des messieurs de ma sorte, et je tremblais qu'on ne connût à ma mine que ce monsieur-là avait été Jacob. Il y en a qui, à ma place, auraient eu le front de soutenir cela, c'est-à-dire qui auraient payé d'effronterie ; mais qu'est-ce qu'on y gagne ? Rien. Ne voit-on pas bien alors qu'un homme n'est effronté que parce qu'il devrait être honteux ? "

03/1993

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Littérature française

Le troisième mensonge

On m'appelle Claus T. Est-ce mon nom ? Dès l'enfance, j'ai appris à mentir. Dans ce Centre de rééducation où je me remettais lentement d'une étrange maladie, on me mentait et je mentais déjà. J'ai menti encore quand j'ai franchi la frontière de mon pays natal. Puis j'ai menti dans mes livres. Bien des années plus tard, je franchis la frontière dans l'autre sens. Je veux retrouver mon frère, un frère qui n'existe peut-être pas. Mentirai-je une dernière fois ? - Je m'appelle Klaus T. Mais personne ne me connaît sous ce nom-là. Depuis que mon frère jumeau a disparu, il y a cinquante ans de cela, ma vie n'a plus beaucoup de sens. J'ai longtemps attendu son retour. S'il revenait aujourd'hui, je serais pourtant obligé de lui mentir. Après les horreurs de la guerre (Le Grand Cahier) et les années noires d'un régime de plomb (La Preuve), le temps serait-il venu d'ouvrir les yeux sur la vérité ? Mais la vérité ne serait alors qu'un mensonge de plus car "un livre, si triste soit-il, ne peut être aussi triste qu'une vie".

09/1991

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Récits de voyage

Fugue à Leipzig. D'un voyage en Allemagne

Ce soir-là, Hella me demanda la notice biographique pour Dumont Verlag, c'était urgent. [...] Ma vie, mon être étaient soudain coupés en morceaux et jetés çà et là sur le sol allemand, mais j'avais pris ce risque, je ne ferai pas mine de me plaindre, peut-être l'avais-je désiré. Devrais-je procéder comme Isis avec les parcelles d'Osiris, parcourir la terre allemande pour récupérer mes propres morceaux et me reconstituer ? Je le fais à présent. Cologne-Bonn-Berlin-Leipzig, fun mayrev a lek un fun mizrekh a shmek, comme on dit en yiddish, un zeste d'Ouest, un reste d'Est. En mars 2004, Gilles Rozier sillonne l'Allemagne à l'occasion de la parution en allemand de Un amour sans résistance, roman sur les liaisons dangereuses qu'entretiennent le yiddish et l'allemand. Journal de ce voyage, Fugue à Leipzig tourne autour de trois personnages de femmes qui ont grandi dans les Allemagnes d'après-guerre. Par-delà l'expérience de l'auteur, le texte peut être lu comme celui d'une génération et nous plonge au cœur de la réunification allemande qui s'est faite dans notre indifférence, des blessures du XXe siècle telles qu'elles commencent à se refermer.

02/2005

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Actualité et médias

365 Jours

" A 365 jours de l'élection présidentielle, voici la chronique de 365 jours d'une année brûlante. Les émeutes des banlieues. Les manifestations contre le CPE. Le procès d'Outreau. La libération de Florence Aubenas. Les attentats de Londres. Le retrait israélien de Gaza. Le cyclone Katrina. La grippe aviaire. Les délocalisations. Le chômage. La pauvreté. Et puis le référendum sur le traité constitutionnel européen, les débats sur le déclin de la France, les menaces sur notre modèle social. Et encore ces multiples petits événements, inattendus, que j'ai sélectionnés, tous les jours ou presque, sans autre guide que ma subjectivité. Je dis comment j'aurais agi et réagi quand l'actualité vous assaille. Je note mes impressions, avance mes positions, croque de portraits et dessine, par petites touches, ce que je pense être le chemin de l'espoir. On voit à l'œuvre, de l'intérieur, le processus de préparation aux grandes échéances, avec mes intuitions et mes convictions, mes doutes et mes hésitations, mes coups de griffe et mes coups de cœur, ma détermination et ma volonté. Bref, je prends le risque de me présenter ici aux Français comme un homme avec son histoire, ses passions, ses valeurs. Voici un journal contre le renoncement. "

05/2006

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Littérature française

Miss Monde

"En 1955, j'avais sept ans. Comme chaque année, à Noël, j'allais avec mes parents au cinéma Gaumont dans le IXe arrondissement. Fauteuils rouges. Ouvreuses se promenant dans les allées, comme des soubrettes en tablier blanc à dentelles, et portant sur leur ventre des paniers en osier remplis de friandises. Ce soir-là, aux Actualités, on nous montra l'élection de Miss Monde. Applaudissements, remarques salaces, cris d'approbation. Mais pour moi, il n'y avait aucun doute: la grande femme brune en bikini de soie noir, qui se déhanchait sur une plage devant des palmiers oscillant au vent, c'était ma mère. " Maman, c'est maman ! Maman, c'est jolie maman ! " lançai-je, tandis que les spectateurs hilares couvraient ma voix. [...] Tout au long de mes livres, je suis souvent allé voir du côté du père, de l'aristocratie italienne et du Piémont. Il fallait bien que je finisse par me pencher du côté de ma famille maternelle, de la classe ouvrière, de la ferveur napolitaine, du cinéma en noir et blanc, de ces bonheurs de l'enfance très vite effacés par d'inoubliables chagrins, du côté de celle que j'avais, un soir de décembre 1955, décidé d'appeler à jamais : Miss Monde."

01/2007

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Littérature française (poches)

Lettres à sa fille (1916-1953)

Vingt ans après la mort de ma tante, Colette de Jouvenel, unique enfant de Colette et de mon grand-père Henry de Jouvenel, l'heure m'a paru venue de publier la correspondance qu'elle échangea avec sa mère. Elle me l'avait laissée avec mission de le faire " le plus tard possible ". En quelque sorte elle s'en était libérée. Il me fallut cependant une grande détermination. Les lettres ont pour moi un caractère si intime que j'en étais retenue. Colette elle-même ne s'écrie-telle pas à l'occasion de la vente d'une de ses lettres à Robert de Montesquiou-Fezensac " Une lettre est un objet sacré qu'aucune vente ne doit profaner : c'est un scandale intolérable que de disperser aux quatre vents des pensées, des impressions, connues seulement de deux personnes. " Si je me suis laissé convaincre d'ordonner les quelque six cent cinquante pièces de ce puzzle, c'est pour montrer un aspect inconnu de Colette et faire revivre la " Petite Colette ". Ce que je ne pouvais imaginer, c'est que tous les originaux seraient volés chez moi le jour même où le travail s'achevait... Puisse le cambrioleur se souvenir de la phrase ci-dessus et rendre son butin...

01/2006

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Littérature française

Parcours du combattant

Parcours du combattant, c'est mon histoire, une belle histoire, un conte contemporain, une aventure artistique entre la République Démocratique du Congo et la France. C'est l'histoire de la foi, de la volonté, de la détermination, c'est l'histoire de l'humilité, du courage, de l'amour même dans l'adversité. Je suis né en Afrique, au Congo-Kinshasa, moi Kaya Matundu, j'ai grandi dans une ville sans grande aisance. Elevé par ma tante et ma grand-mère, j'ai beaucoup souffert d'absence paternelle. De modestes moyens, la maladie, la frustration, les conflits familiaux, les doutes... Autant de barrières qui ne m'empêcheront pas de me démarquer du lot, entrepreneur et ambitieux, je mènerai une formidable épopée entre la République démocratique du Congo et la France. Aujourd'hui, père de famille, je vis en France, en région parisienne où je suis auteur, artiste chanteur, rappeur et créateur de ma propre marque de textile, en expansion et qui a déjà conquis un grand nombre de personnes. Je replonge, à travers ce livre, dans toutes ces années de galères, de combats, de joies, de désespoirs, de foi... Invitant ainsi le lecteur dans une belle aventure littéraire, porteuse de vertus en tous points. De l'espoir en masse, un exemplede réussite.

04/2020

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12 ans et +

Le carnet de Groku

Le jour où la photo de mes fesses a commencé à circuler, je n'ai pas pleuré. J'ai noyé ma honte dans le cacao. Deux tablettes de chocolat. Trois, pour être honnête. Puis, l'estomac au bord des lèvres, je me suis approprié cette insulte, cette vérité : "gros cul". J'ai un tout petit peu bafoué les règles d'orthographe : "groku". Ça dérange déjà moins, non ? Allez, je lui ai même ajouté une majuscule : Groku. "Je suis Groku", me suis-je répété. Ce même jour, j'ai créé mon blog. J'ai juste balancé en ligne la photo prise à la piscine. Et j'ai ajouté cette présentation minimaliste : "Je m'appelle Groku". Le lendemain, j'avais déjà des commentaires. Alors j'ai continué à écrire et c'est devenu un journal intime. Tous les soirs, je découvrais les commentaires avec délectation. Ils flattaient un ego qui en avait besoin, mais ne m'apportaient guère de solutions. Jusqu'au jour où une certaine Kilodrame m'a écrit. Elle parlait d'un régime miracle. Un régime qui tenait sur un carnet. Alors je me suis lancée. Et oui, j'ai maigri. Oui, j'ai enfin découvert la vie. Mais pas celle que j'imaginais.

03/2014

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Littérature française

Au fil des "temps". Une existence riche en singularités (synchronicités - coïncidences)

" Je me rappellerai toute ma vie de mon arrivée dans la capitale. D'abord, il y pleuvait comme vache qui pisse. D'autre part, je fus extrêmement surpris par l'impression de grisaille qui en ressortait, d'une tristesse inouïe, moi qui venais d'Alger la Blanche où le soleil et la chaleur régnaient en maîtres. J'ai demandé à Yvonne "c'est ça Paris ? ", sensiblement déçu. Elle m'a rassuré en me disant que cette ville cachait d'autres choses qui ne se voyaient pas au premier abord, mais qui me surprendraient. " C'est le 8 septembre 2016, jour de ses 70 ans, que le docteur Aime Bée décida d'écrire ses mémoires. Avec un stylo à encre et quelques cahiers pour simples outils, il a tracé sa vie riche de singularités et d'expériences. Doté d'une plume réfléchie et lucide, l'auteur se livre sans faux-semblants, partage souvenirs, rencontres, évènements heureux et douloureux. La vie, malgré ses mauvais coups et le poids des années, l'auteur arrive encore à la trouver belle. Il va même au-delà, car il croit toujours à la rencontre du véritable Amour. Un beau récit chargé d'espoir qui inspire le respect...

01/2019

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Littérature française

De la vie à la Mort

Comme tous les enfants de mon âge, j'étais inconsciente, quelquefois, de mes agissements abusifs envers ma mère. J'aimerais dire pardon, encore et encore, à ma mère. Je constate que je dépassais les limites. Elle était si douce. À chaque petite course à l'épicerie, je gardais des centimes, lui faisant croire que je les avais perdus, et le dimanche après la messe obligatoire, je demandais à papa la permission d'aller au cinéma à 11 heures, séance réservée aux enfants. C'était au presbytère de la commune. J'aimais voir les films de Fernandel, Tarzan, Zorro. Le lundi soir, les techniciens projetaient les films indiens. Papa invitait maman à se divertir, car elle ne sortait guère, surtout avec mon père. Elle se contentait d'aller à la messe, et quelquefois au marché. Je me souviens de ces petites larmes qui coulaient sur son visage, elle était très émue par le film La Flèche brisée qu'elle avait vu la veille. Elle répétait : - C'était un très beau film. - Elle nous le racontait en détail. Mon frère et moi écoutions avidement tout ce qu'elle disait. On vivait le film. Notre mère savait retenir notre attention, elle était merveilleuse. J'avoue que par ma gourmandise sans retenue, j'exagérais.

12/2015