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André de Maere d'Aertrycke, André Schorochoff, Pierre Vercauteren, André Vleurinck

Extraits

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Histoire de France

Trois frères en guerre. Martin-Laval, une famille de Marseille en 1914-1918

Plus qu'un simple témoignage de poilus, Trois frères en guerre nous ouvre la correspondance familiale, croisée, de trois frères marseillais au front : Antoine, Fernand et André Martin-Laval. Rare dans la forme, cet ouvrage l'est aussi dans le fond, car les frères Martin-Laval n'édulcorent que peu leurs récits de guerre dans leurs carnets ou leurs échanges épistolaires. Antoine, caporal infirmier, accepte sa mobilisation avec un enthousiasme patriotique, puis réaffirme : "Si c'était à refaire, je le referais." André, engagé volontaire, confronté à la réalité d'une guerre de tranchées qu'il juge "assommante", observe l'exaltation des premiers temps retomber progressivement. "On en a marre, surtout ceux qui y sont depuis le début", écrit pour sa part Fernand. Carnets de route, mémoires, lettres et cartes postales, dessins, photographies inédites permettent de suivre le parcours d'André et des membres de sa famille au jour le jour. Et, fait assez rare, les frères Martin-Laval traversent tous trois sains et saufs l'enfer de 1914-1918.

03/2014

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Littérature française

À l'ancre de nos vies, six nouvelles sur le thème des prisons que sont drogue, amour, maladie…

Voyages arrêtés, vies cernées, par la passion ou la haine, les six récits de ce recueil racontent "les impatiences du coeur" et "la vie qui s'use". La drogue, la maladie, l'amour... six nouvelles pour six thèmes qui sont autant de prisons que la vie impose. Auteur de plusieurs romans très appréciés, Claudine Jacques, nous invite à jeter l'ancre le temps de la découverte de mondes parfois inconnus. Son regard aigu se pose sur des destins d'hommes et de femmes ordinaires, passagers d'une île fière et dure, la Nouvelle-Calédonie.

02/2012

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Critique littéraire

Le Désordre de la mémoire. Entretiens avec Francine Mallet

Ces entretiens se déroulent sous la forme d'une élégante conversation : Mandiargues y parle de sa vie, de ses années d'apprentissage, de ses penchants pervers, de ses découvertes, de ses lectures. Trois rencontres capitales jalonnent son existence : Breton, Paulhan et Bona. Images surréalistes, anecdotes divertissantes émaillent ces souvenirs qui révèlent la bonté, la sincérité et le goût du bonheur de l'écrivain.

10/1975

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Littérature française

Mascarets

Le mot "mascarets" désigne un remous ou une grande vague qui va à contre-courant. Il intitule également le dernier des huit récits du présent recueil et le recueil en sa totalité. Dans ces nouvelles l'amour, le désir, le rêve et la mort sont comme les sommets d'un espace imaginaire où l'invention érotique s'allie à l'invention fantastique, où le mystère est soutenu par le réalisme et où le principe d'incertitude est souverain. Les lieux de la narration sont Paris, Venise, la Normandie, le sud de l'Espagne ou de l'Italie. Et partout, à la façon du mascaret, "l'amour sort du futur avec un bruit de torrent et se jette dans le passé pour le laver de toutes les souillures de l'existence" .

04/1971

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Littérature française (poches)

La motocyclette

" Dans la chambre, ensuite, elle boucla son bracelet-montre à son poignet et se para d'un collier de boules d'onyx dont elle aimait le poids et qui avaient un peu la couleur de ses prunelles changeantes, mais elle ne prit aucun linge de corps, quoique son soutien-gorge et sa culotte fussent à portée de sa main sur une chaise, et c'est entièrement nue, ce jour-là, que dans le vestibule elle referma sur elle sa combinaison de motocycliste. "

03/1999

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Littérature française

Récits érotiques et fantastiques

"Le couteau revient souvent dans mon oeuvre. Peut-être provient-il du théâtre élisabéthain. En tant qu'instrument de mort, il est évident que je le préfère à l'arme à feu. Je crois que rien n'émeut autant le spectateur au théâtre ou au cinéma, le lecteur penché sur un livre, que l'apparition du couteau, lame nue, dans la main du meurtrier, et je crois aussi que dans le cas de l'écrivain devant la feuille blanche la simple pensée du couteau est inspiratrice au plus haut point.
C'est ainsi qu'il en va avec moi, en tout cas, tellement que dans le conte bref j'ai du mal à m'en passer et qu'il revient [... ] avec une fréquence que l'on peut juger exagérée. Tout écrivain, tout artiste, avouera, s'il ne cache pas son jeu, qu'il cherche à créer une certaine beauté, aussi originale qu'il se pourra. Moi, je suis particulièrement sensible à ce que William Butler Yeats appelle la "beauté terrible".
C'est cette beauté-là, quand l'occasion s'y prête, que je cherche à faire naître. D'où le petit couteau... Vous vous rappelez, n'est-ce pas, la sublime invention de Poe : le rasoir dans la main de l'orang-outan". André Pieyre de Mandiargues.

03/2009

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Critique littéraire

L'ombre portée. Correspondance 1932-1945

En janvier 1931. Leonor Fini, à Paris depuis quelques mois, fait la connaissance dans un café d'André Pieyre de Mandiargues. Très vite, elle entame avec lui une liaison qui se transformera en une longue et profonde amitié. A peine séparés par les circonstances et le contexte d'une Europe troublée, ils s'écriront. C'est la majeure partie de cet échange, mené vingt années durant, qui est présentée ici pour la première fois. Rédigée dans un étrange sabir franco-italien, pimentée de piques et de caricatures, cette correspondance convoque tour à tour les artistes, et amis du couple, les plus célèbres du moment, d'Eluard à Dali, de Chirico à Cartier-Bresson, de Picasso à Savinio. Elle offre aussi un fascinant aperçu des milieux littéraires et artistiques de cette période (en particulier au cours d'un réjouissant séjour new-yorkais de Leonor), en même temps que la chronique d'une amitié amoureuse entre deux personnalités que distingua leur admirable liberté de vie et de pensée.

12/2010

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Poches Littérature internation

L'Anglais décrit dans le château fermé

"Les écrivains, hommes ou femmes, qui ont reçu ce privilège intellectuel de pouvoir jouer avec le pire, je voudrais qu'ils laissent fuser parfois la soupape de sûreté de leur enfer et qu'ils se montrent capables, à force de mots au moins, de balancer leur Pline ou leur princesse Borghèse au grand feu du Vésuve. Je ne crois pas m'écarter de l'objet de cette introduction à un vieux livre assez abominable, mais que j'avoue chérir et qui me paraît digne d'être reconnu, en disant enfin que si j'ai eu des passions, dans ma vie, ce n'aura été que pour l'amour, le langage et la liberté. Malgré le désir, présent en moi toujours, d'être poli, l'exercice de ces trois passions capitales n'a pu aller, ne va pas et n'ira encore sans quelque insolence. Tant pis, tant mieux".

03/1993

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Littérature française

Le Deuil des roses

Les roses sont quatre jeunes et jolies Japonaises qui enlèvent un Parisien, en pleine rue, pour en faire le spectateur d'une étrange et somptueuse représentation funèbre. Dès cette première nouvelle, un érotisme subtilement puritain se mêle à un art visuel aux couleurs choisies. On glisse du familier au fantastique. Une certaine complicité avec Sade et Mishima n'empêche pas que Pieyre de Mandiargues ressemble avant tout à lui-même.

10/1983

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Littérature française (poches)

Soleil des loups

Pour dire la "lune", dans un argot de jadis, on disait "soleil des loups". Paru en 1951, ce livre est fait de contes lunaires, situés dans des lieux vagues, sous des ciels brouillés. Ce sont des histoires fantastiques, teintées d'érotisme, bien représentatives de l'art de Pieyre de Mandiargues.

04/1979

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Littérature française (poches)

Deuxième belvédère

" C'est un recueil de textes écrits sur le Mexique, sur les poètes, sur les peintres, classés selon trois têtes de chapitres : " La Nuit - le Mexique ", " La Poésie - La Mort " et " Le Point de vue ". C'est donc un livre ouvert à plusieurs vents, et dont les portes restent battantes à l'extérieur comme à l'intérieur... Et c'est beau de voir toutes ces lames scintillantes sur fond de ténèbres, cette agilité phosphorescente de la phrase, comme celle d'une jeune danseuse balinaise qu'on eût enfermée dans une cave à charbon.

04/1990

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Poésie

Ecriture ineffable. Précédé de Ruisseau des solitudes de L'Ivre Oeil et suivi de Gris de perle

A l'occasion du centenaire de la naissance d'André Pieyre de Mandiargues, la collection Poésie/Gallimard réédite en deux volumes l'intégralité de son oeuvre poétique, soit l'ensemble des textes publiés par ses soins augmenté de quelques inédits. Aux côtés des romans, récits, nouvelles, pièces de théâtre et essais qui ont fait le renom de l'auteur de La Marge et du Musée noir, la poésie occupe une place essentielle, peut-être même centrale, tant elle semble, par bien des surgissements, surprises et courts-circuits, au coeur de toute l'oeuvre, à la fois comme révélateur intime et comme enjeu formel. Pieyre de Mandiargues a confié que s'il écrivait des poèmes c'était "dans l'espoir de ressentir à nouveau la fièvre qu'il avait éprouvée à la lecture d'Agrippa d'Aubigné, des élisabéthains, des romantiques allemands, de Coleridge, de Lautréamont et des surréalistes" . Ces références, assez éclectiques, suggèrent une grande liberté quant au choix des thèmes et de leur transcription. On peut évoquer une tension, voire une contradiction, entre une inspiration qui laisse toute latitude à l'imaginaire et une écriture qui se veut précise et maîtrisée. André Pieyre de Mandiargues est un baroque qui ne répugne pas au classicisme. Ses poèmes se distinguent en cela et s'identifient aussitôt, comme si la plus chatoyante fantaisie langagière pouvait subtilement, et parfois avec perversité, se laisser entrevoir ou soupçonner sous une stricte parure. Incontestablement, l'oeuvre poétique de Pieyre de Mandiargues est à redécouvrir. Elle propose comme aucune autre dans le siècle cette conjonction des contraires qui ne brime pas la folie onirique au nom de la lucidité, qui ne submerge pas la visée âpre sous un déferlement verbal. "Bien moins que la dictée de l'inconscient, note-t-il, mais beaucoup tout de même, m'intéresse une certaine perfection du vers ou du verset, qui doit presque toujours au travail, sans doute, mais qui le rend incorrigible et pur comme le corps naturel dans sa nudité bouleversante, que l'on regarde avec amour".

01/2010

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Poésie

L'Age de craie. Suivi de Dans les années sordides ; Astyanax et Le Point où j'en suis

A l'occasion du centenaire de la naissance d'André Pieyre de Mandiargues, la collection Poésie/Gallimard réédite en deux volumes l'intégralité de son oeuvre poétique, soit l'ensemble des textes publiés par ses soins augmenté de quelques inédits. Aux côtés des romans, récits, nouvelles, pièces de théâtre et essais qui ont fait le renom de l'auteur de La Marge et du Musée noir, la poésie occupe une place essentielle, peut-être même centrale, tant elle semble, par bien des surgissements, surprises et courts-circuits, au coeur de toute l'oeuvre, à la fois comme révélateur intime et comme enjeu formel. Pieyre de Mandiargues a confié que s'il écrivait des poèmes c'était "dans l'espoir de ressentir à nouveau la fièvre qu'il avait éprouvée à la lecture d'Agrippa d'Aubigné, des élisabéthains, des romantiques allemands, de Coleridge, de Lautréamont et des surréalistes" . Ces références, assez éclectiques, suggèrent une grande liberté quant au choix des thèmes et de leur transcription. On peut évoquer une tension, voire une contradiction, entre une inspiration qui laisse toute latitude à l'imaginaire et une écriture qui se veut précise et maîtrisée. André Pieyre de Mandiargues est un baroque qui ne répugne pas au classicisme. Ses poèmes se distinguent en cela et s'identifient aussitôt, comme si la plus chatoyante fantaisie langagière pouvait subtilement, et parfois avec perversité, se laisser entrevoir ou soupçonner sous une stricte parure. Incontestablement, l'oeuvre poétique de Pieyre de Mandiargues est à redécouvrir. Elle propose comme aucune autre dans le siècle cette conjonction des contraires qui ne brime pas la folie onirique au nom de la lucidité, qui ne submerge pas la visée âpre sous un déferlement verbal. "Bien moins que la dictée de l'inconscient, note-t-il, mais beaucoup tout de même, m'intéresse une certaine perfection du vers ou du verset, qui doit presque toujours au travail, sans doute, mais qui le rend incorrigible et pur comme le corps naturel dans sa nudité bouleversante, que l'on regarde avec amour".

01/2010

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Littérature française (poches)

Tout disparaîtra

Récit plutôt que roman, bien entendu, le temps de cette dernière " fiction " de Mandiargues n'excède pas un bel après-midi de fin du printemps à Paris. Quoique le personnage masculin y tienne beaucoup de place, le premier rôle est dévolu à une comédienne, à mi-chemin de la courtisane suivant le mot de Baudelaire, qui permet à l'auteur de mettre en scène un theatrum eroticum conforme à son goût, dans une sorte de jardin exotique sous un toit en verrière. Et si la seconde partie du récit fait surgir toute nue du fleuve Seine une certaine Mériem, dont le nom n'est que la forme arabe de l'hébraïque Miriam auquel répondait la comédienne, n'est-ce pas encore l'incarnation théâtrale d'un certain éternel féminin qui, au moyen d'une dague tolédane du Xie siècle, mettra par effusion de sang le point final à l'histoire ?

03/2003

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Littérature française (poches)

Le musée noir

Marceline Caïn : on eût dit qu'elle était mêlée de cendre, de sable et de sang. À quatorze ans, elle n'aimait rien ni personne qu'un gros lapin jaune-orange, touffu, qu'elle appelait Souci. Tous les matins, en cette fin de printemps déjà brûlante, Marceline à peine vêtue et lavée courait ouvrir la porte découpée dans le flanc de la caisse où l'on mettait à dormir Souci pendant la nuit. Et la douceur inaugurale par laquelle elle faisait commencer chaque jour de sa vie était de précipiter la tête et les deux bras à l'intérieur de cette caisse chaude, où les derniers relents de tabac disparaissaient sous une quantité d'effluves domestiques qui, tous ensemble, font la véritable odeur de lapin... Le sang de l'agneau, l'une des sept nouvelles de ce recueil, a été adapté au cinéma par Walerian Borowczyk, le réalisateur des Contes immoraux, de La Bête, de La marge...

05/1990

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Littérature française

Le cadran lunaire

"La plupart de ces petits écrits ont été publiés dans La Nouvelle Revue Française à partir di 1 ?? janvier 1953 sous la rubrique "Le temps comme il passe" car ils ont ce caractère commun d'être ainsi que des miettes du temps ou des souvenirs illuminés. Et quoique certains d'entre eux ne relèvent que de l'imagination, on n'aurait peut-être pas tort de les considérer tous ensemble comme une sorte de "journal". André Pieyre de Mandiargues.

11/1972

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Droit

Historique du 3e Régiment de dragons, 1649-1892

Historique du 3e Régiment de dragons : 1649-1892 / par le capitaine André de Bonnières de Wierre ; illustré par le commandant Ameil Date de l'édition originale : 1892 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

11/2020

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Littérature française (poches)

Sous la lame

Il s'agit ici, bien entendu, de la lame du couteau, qui par le simple fait de sa nudité introduit l'érotisme dans le récit en même temps qu'elle y annonce l'apparition du sang et de la mort. La lame, par synonymie, est encore la vague marine des graveurs de l'ancien Nippon, sœur du mascaret et de la marée, spirale où l'homme tournoie " dans le déroulement infini " avant d'être jeté aux pieds de la femme. Mais tout homme qui va joindre une femme pour la première fois n'est-il pas une sorte de kamikaze ? Et la lame du poignard, instrument de blessure, ne se peut-elle concevoir aussi comme un trait d'union entre le déchirant et le déchiré, c'est-à-dire comme une flèche d'amour ?

04/2001

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Littérature française (poches)

Le Lis de mer

" Quand la jeune fille fut entrée dans le bois, l'inconnu vint la saisir ", Vanina écoutait avec curiosité cette petite phrase qui bourdonnait dans sa tête sans qu'on eût rien fait pour l'appeler, née dans l'état de vide mental qui avait été le sien pendant qu'elle marchait sous le soleil et qui avait fait place à une agitation d'esprit un peu fébrile depuis qu'elle se trouvait sous le couvert des branches. " L'inconnu vint la saisir " - oui ; et n'était-ce pour cela, justement, qu'elle s'était échappée de sa chambre ?

11/1972

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Théâtre

La Nuit séculaire

"Cette "nuit séculaire" est celle du 31 décembre 1899 au 1er janvier 1900. Plus précisément, semble-t-il, qu'entre 1900 et 1901, elle lève le rideau (puisqu'il s'agit d'une pièce de théâtre) sur le XXe siècle. Dans la totale obscurité qui pèse sur le nord de la Scandinavie aux environs du solstice d'hiver, des "personnages fantastiques" vont entrer dans les temps modernes. Le plus fabuleux de ceux-là est la baronne Björn, Barbro, qui se rappelle avoir été enlevée et violée en 1799 par Axel de Fersen, dont elle a une fille, Lovisa, laquelle mourra en scène à l'âge de quatre-vingt-dix-neuf ans pour s'y retrouver vivante à l'âge de treize ans et prédire quelques événements grands ou petits du nouveau siècle... Dans la confusion des temps, les marins du croiseur Aurora sont les témoins de l'Histoire, qui, selon la jolie formule d'André Breton, "tombe à côté, comme la neige"". André Pieyre de Mandiargues.

04/1979

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Littérature française

Cahier de poésie : Gris de perle. suivi de Les portes de craie. Cuevas blues. Sept jardins fantastiques. Variations citadines, Dernier cahier de poésie

Dernier cahier de poésie

12/1993

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Littérature française (poches)

Marbre ou les Mystères d'Italie

Suivons en Italie Ferréol Buq. Nous découvrirons avec lui le Palais Vocabulaire du père Athanase, avec son escalier en forme d'alphabet. Guidés par la belle Flavia, nous irons dans l'île aux cinq polyèdres platoniciens. Et, tout au sud, dans les Pouilles, nous assisterons à la mort rituelle des femmes de Borgorontondo.

05/1985

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Beaux arts

303 Arts Recherches Créations N° 31/1991

72 - Les papeteries sarthoises, histoire et patrimoine 44 - Carrière d'Edmond Bertheux, peintre 53 - Le bâtiment des Archives départementales 49 - Collection de Pierre-André Mordret, conservée au musée Saint-Jean d'Angers 85 - Château d'eau près de Luçon 303 - La Grand-chambre de la cour de cassation et son décor 303 - La Jarretière, Maine-et-Loire, photographies

09/1991

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Déportation

Mon Père, déporté à RAWA-RUSKA. Souvenirs de guerre et d'après-guerre

Les souvenirs de Guerre d'un prisonnier, André FRISON, rapportés par sa fille Danièle. Plusieurs fois évadé depuis sa captivité en 1940, André FRISON est déporté en 1942 vers l'Est, au camp disciplinaire de RAWA-RUSKA. Hélas trop célèbre par son surnom du " Camp de la Goutte d'eau ", ce camp était destiné à mater les fortes têtes. Situé en Galicie, à la frontière de l'Ukraine, il accueillit des Russes, des Français, des Belges... dans le Triangle de la Mort de cette Pologne où beaucoup de camps d'extermination nazis étaient installés. Le livre comprend de nombreux documents d'époque qui permirent d'aboutir à la libération d'André FRISON - en particulier un faux " Certificat de Vie " établissant sa paternité. Sa fille nous rapporte les quelques souvenirs que son père a consenti à lui confier - toujours avec réticence car cette époque restait maudite. Les autres renseignements furent obtenus auprès de sa mère, qui conserva avec soin les documents présentés ici. Un bel hommage à cet homme épris de liberté et de nombreuses fois décoré, en particulier de la Légion d'Honneur.

04/2021

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Photographie

Paris avant qu'il ne soit trop tard. Edition bilingue français-anglais

Les soixante images en noir et blanc qui composent l'ouvrage de Thomas Michael Gunther – André Ostier, Paris avant qu'il ne soit trop tard // Before It Is Too Late – témoignent de l'insatiable curiosité visuelle du photographe français. Amoureux de Paris, André Ostier débute cette carrière en révélant des scènes éphémères et incongrues de la drôle de guerre. Pendant le grand conflit qui suit, Ostier se concentre sur le portrait, fixant les gestes et les regards d'artistes et d'écrivains, tels Bonnard, Maillol, Matisse, Picasso, principalement dans le Midi. A Paris, de nouveau, à partir de 1945, il travaille dans la mode pour ses amis les couturiers Christian Dior, Jacques Fath et Pierre Balmain, entre autres. A la même époque, souvent pour Vogue, Ostier tient une chronique des bals et soirées qui ont fait le glamour des décennies 50 et 60. Né à Paris en 1906, Ostier photographie la ville qu'il aime tant jusqu'à sa mort en 1994. Dans ce livre, l'historien de la photographie Thomas Michael Gunther rend hommage au plus parisien des photographes, en étudiant de près la passion et la conviction qui ont inspiré André Ostier à prendre ces vues de la Ville lumière.

09/2017

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Science-fiction

Hypermondes #02. Utopies. Utopies

Pour sa deuxième édition, le Festival Hypermondes se tourne vers les futurs enviables, avec un cahier couleur et des textes de Serge Lehman (parrain), Ellen Kushner (marraine), Francisco Verso, Nicolas Labarre, Alex Nikolavitch, Julien Heylbroeck, Ugo Bellagamba, Joëlle Wintrebert, Elisabeth Vonarburg, Michèle Riot-Sarcey, Nicolas Allard, Jean-Pierre Dionnet, Natacha Vas-Deyres, André-François Ruaud et Jeanne Mariem Corrèze.

09/2022

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Tourisme France

L'esprit de Marseille

A l'approche des nazis en 1941, André Breton et les surréalistes réfugiés à Marseille continuent à pratiquer l'art du jeu. Ils réinventent le tarot, dont ils conservent le principe des séries mais transforment les dénominations et les figures. Rebattant à nouveau les cartes, Sylvie Germain propose dans ce livre son propre jeu pour évoquer Marseille à travers de brefs tableaux. Un texte kaléidoscopique, d'une grande finesse, embrassant pourtant la ville dans toute son ampleur, sa diversité, son passé et sa modernité, entre histoire et mythologie. Une iconographie inédite : cartes originales des surréalistes (Max Ernst, André Breton, Victor Brauner ou encore André Masson), images d'archives et photographies contemporaines de Tadeusz Kluba.

10/2018

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Romans historiques

L'année des métamorphoses

André Barreau, aîné de sa famille, est destiné à devenir prêtre. Toute sa scolarité a été programmée pour le mener au Grand Séminaire après son bac et André, toujours obéissant, s’est plié à cette tradition familiale. Mais une fois en terminale, il décide de rater volontairement le bac et change de lycée où il vivra de plein fouet les événements de Mai 68. Le lendemain de la fête de la Saint-Jean de son village, André reçoit une lettre d’une mystérieuse jeune fille nommée Valériane qu’il ne connaît pas. Celle-ci lui propose un échange épistolaire avec comme promesse de se retrouver à la Saint-Jean l’année prochaine.

12/2019

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Critique littéraire

Julien Gracq

Cahier Julien Gracq sous la direction de Jean-Louis Leutrat Textes de Ernst Jünger José Corti Robert Margerit Joyce Mansour Olivier Perrelet Marcel Béalu A. Pieyre de Mandiargues Jean-François Marquet Leo Pollmann Léon S. Roudiez Jean Pfeiffer Philippe Berthier Dino Buzzati J. M. Blanchard André Almuro Bernhild Boïe Ariel Denis Renée Riese Hubert Enea Balmas Michael Riffaterre Georges Sion Léonor Fini Jacques de Decker Franz Hellens François Nérault Marc Eigeldinger Gilbert Ernst François Van Laere Jean-Louis Leutrat Michel Guiomar Serge Gaubert Hubert Juin Béatrice Didier Jean-Noël Vuarnet Edmond Humeau Henri Queffélec Suzanne Lilar Jean Ballard Stanislav Jirsa Louis Charvet Textes de Julien Gracq Chemins Eclosion de la pierre Lettre-préface Le surréalisme et la littérature contemporaine L'oeuvre d'Ernst Jünger en France Bibliographie de l'oeuvre par Anne-Marie Chapouton Bibliographie critique par Peter C. Hoy. Iconographie.

11/1997

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Littérature française

Gaëlle Tome 2 : La mère

Gaëlle a su que l'aimée de Christophe n'est pas Isabelle, mais Angélique. Elle lui propose une rencontre impromptue avec elle. Isabelle va entrer dans le jeu, ayant pris conscience que sa relation avec l'homme qu'elle aime est vouée à l'échec. Ce sont les retrouvailles entre Christophe et Angélique. Nathalie va séduire l'ami de François, Jean-François, et c'est à cette occasion que celui-ci tombe éperdument amoureux d'Isabelle qui finira par céder à ses avances. André, un homme d'âge mûr, propose à Gaëlle de lui donner des leçons d'équitation. C'est ce même André dont Danièle tombe, elle aussi, amoureuse et qui deviendra son compagnon, après être devenu l'amant d'un jour de Gaëlle, ce que Danièle saura accepter sans en prendre ombrage. Ce qu'elle appréhende, c'est que pour ses enfants André ne soit pas le bienvenu. Gaëlle saura tout arranger en parlant avec eux. André (même prénom ! ) et Gabriel n'attendent qu'une chose, c'est d'avoir un papa qui leur donne une petite soeur.

11/2020