Science-fiction
Dans cet ouvrage de science-fiction arrive ce qu’ont prévus les collapsologues au début des années 2000 , l’effondrement de notre civilisation. Guerres pour un rien ou presque entre les individus auxquelles s’ajoutent les conséquences désastreuses du dérèglement climatique, des centaines de millions de morts sous les tempêtes apocalyptiques des cyclones et des tsunamis, sous la chaleur étouffante des pôles qui ont fondu, ou noyés sous les océans qui ont envahi les rivages, et pour finir, ceux qui n’ont plus de quoi se nourrir et perdent leur âme en s’entassant sur les trottoirs ou flottent à la surface des fleuves dont beaucoup ne parviennent plus à se jeter dans la mer. Et enfin les conséquences de l’industrie numérique tellement envahissante dans les cerveaux humains que l’humanité n’a pu que sombrer dans le plus total et définitif abrutissement, tellement instrumentalisée qu’elle devient incapable de comprendre ce qui lui arrive.
Comment y échapper. Pour l’auteur, la seule solution est de pouvoir s’évaporer. S’évaporer, c’est voyager légèrement dans tous les possibles, entre les mots d’un vocabulaire inventé dans l’esprit d’une nouvelle mythologie, celle des anges et des dieux de l’informatique telle qu’elle était à ses débuts. Emesdos (MS-DOS), déesse tyrannique des systèmes d’exploitation, fille de Noum Eric, le dieu suprême de la dématérialisation créateur de la planète Zoc où vivent les zoctêtes, Antislache, déesse de l’arborescence des mondes… sans oublier Jean-Christophe Azerty, dieu extravaguant créateur du clavier quantique.
Tour à tour passant du tragique à la comédie, du réel au fantastique, ce récit est celui d’un homme en quête d’une vérité qu’il n’est pas possible de trouver en restant prisonnier d’un système organique trop pesant. Il faut s’en libérer. Se libérer de toutes les contraintes liées à la trop grande densité des corps, sources des plus grands plaisirs mais aussi des plus grandes souffrances.
Il y a aussi dans ce livre l’espoir de retrouver un frère disparu, tellement vénéré qu’il n’est pas possible qu’il n’existe pas quelque part entre les étoiles d’une galaxie lointaine, caché dans l’ombre que fait une trop belle sirène exposée à la lumière d’un soleil formidable.
Site de l’auteur : www.hennezel.net
03/2022
Notions
10/2023
Français
01/2022
Histoire et Philosophiesophie
09/2020
Littérature française
03/2019
Littérature étrangère
02/2012
Littérature étrangère
10/2014
Santé, psychologie
09/2023
Droit
02/2019
Etoiles, galaxie, univers
10/2022
Cinéma
10/2018
Guides de France
06/2020
Ethnologie et anthropologie
11/2022
Edition
09/2021
Intelligence artificielle
09/2023
Etudes et pratiques profession
10/2023
Essais psychiatrie
10/2021
Guides de France
06/2020
Religion
01/1985
Gestion
03/2019
Edition
12/2022
Droit public
02/2023
Linguistique
03/2023
Dictionnaires français
10/2022
Actualité médiatique internati
06/2024
Design
06/2022
Photographes
11/2022
Activités corporelles
03/2023
Design
04/2022
Islam
04/2024