Le retour du Commissaire Maigret, cette fois sous les traits de Gérard Depardieu, relance l’intérêt pour le personnage de Georges Simenon. À travers 75 romans policiers et 28 nouvelles, l’enquêteur a officié entre 1931 et 1972. Amateurs de vins — sauf le champagne — et fumeur de pipe, il aura connu bien des visages sur petit et grand écran.
Le froid arrive et avec lui les petits plaisirs d'hiver : chocolat chaud, chausettes duveteuses et feu de cheminée (parfois juste métaphorique). Et quoi de mieux pour l'accompagner qu'un livre (bon ou mauvais, chacun décidera) ? Ils arrivent par centaines pour honorer le début de cette nouvelle année. La rentrée littéraire 2022 arrive à toute berzingue !
Lancé en 2005, "Lire en Poche" est devenu le rendez-vous incontournable de la rentrée littéraire dédié aux livres de poche. Bien que le salon ne néglige pas les dernières parutions en grand format des écrivains présents, il valorise principalement les ouvrages de petite taille, reflétant sa richesse et son actualité. Ces derniers représentent désormais un quart des acquisitions en librairie.
Né en 1965 à Brive-la-Gaillarde, Franck Bouysse publie son premier roman en 2008, L’Entomologiste, aux éditions Lucien Souny. Entre 2008 et 2012, il signe une trilogie, la Trilogie H., aux éditions Les Ardents Éditeurs, avec des illustrations de Pierre Demarty.
Le Prix Nobel de littérature récompense chaque année un auteur ou une autrice, depuis 1901. Comme l'a écrit dans son testament le chimiste Alfred Nobel, si un lauréat est choisi, c'est qu'il « a fait la preuve d'un puissant idéal », c'est-à-dire que son œuvre a su rendre de grands services à l'humanité.
Des auteurs paniqués, des éditeurs mondains, des libraires déjà épuisés, des distributeurs satisfaits – les seuls actuellement... –, des représentants (peut-être) en vacances, des transporteurs en retard, un ministère avec le Culture entre deux chaises, des lecteurs perdus, des blogueurs survoltés, des Instragrameurs pour lesquels nous n’avons pas trouvé de rime, des journalistes éreintés...
Grégoire Delacourt est un écrivain français, né en 1960, dont les œuvres ont suscité l'intérêt tant au niveau national qu'international. Avant de se consacrer pleinement à l'écriture, Delacourt a fait carrière dans la publicité, un domaine où il a acquis une expertise notable. Cette expérience a influencé son style d'écriture, caractérisé par une capacité à capter l'attention du lecteur avec des récits à la fois accessibles et profonds.
Javier Cercas est un écrivain espagnol né le 19 janvier 1962 à Ibahernando, en Estrémadure. Il a étudié la philologie hispanique à l'Université de Barcelone avant de devenir professeur de littérature espagnole à l'Université de Gérone.
Bernard Pivot, né le 5 mai 1935 à Lyon et décédé le 6 mai 2024, est une figure emblématique de la culture française, célèbre pour son rôle de journaliste, animateur de télévision et défenseur passionné de la langue française.
À 18 ans, Marc Levy s’engage dans la Croix Rouge et il y passe 6 ans. Puis, après avoir créé une société spécialisée dans les images de synthèses en France et aux États-Unis, il dirige un cabinet d'architecture.
Andrea Camilleri était un écrivain italien, né le 6 septembre 1925 à Porto Empedocle (Sicile) et décédé le 17 juillet 2019. Il a grandi dans un environnement marqué par les traditions et les coutumes de la Sicile. Après avoir terminé ses études secondaires, il a déménagé à Rome pour poursuivre des études à l'université La Sapienza, où il a obtenu un diplôme en littérature.
La famille, ce mot si universel, évoque en chacun de nous des images, des souvenirs et des émotions. Pourtant, sa signification et sa structure varient étonnamment d'une culture à l'autre. Voyageons à travers le vaste monde des familles et découvrons les mille et une façons de former ce précieux noyau social.
Décaler le regard pour mieux voir. Transporter une question actuelle dans d’autres temps et contrées – imaginaires, mythologiques ou simplement renommés –, afin de la poser d’une manière plus libre, plus féconde, telle est la méthode de Léonora Miano. Elle a ainsi accepté de prêter son nom à un prix « créé avec une volonté d’universalité, pour ne pas être prisonnier d’auteurs franco-français et faire connaître de nouveaux auteurs ».