À la fin des années soixante, Lucie Van Dam se voit invitée à entrer dans le bureau paternel afin de choisir quelques images pieuses qui serviront de souvenirs de sa communion privée. Quant au texte qui les accompagnera, aucune latitude possible pour la fillette : ses parents ont déjà décidé qu’il serait le calque d’un autre faire-part daté de 1946, celui d’une certaine Hélène Morgenstern.