La disparition de l’une de ses poules dans son poulailler n’a pas suffi pour faire changer d’avis à Nicolas Baron, malgré l’évidente signature du forfait que représentaient les quelques plumes retrouvées à l’extérieur de l’enclos : « Le renard […] n’était plus, à [ses] yeux, l’animal fourbe et doublement nuisible, en tant que prédateur et vecteur de maladies que la littérature et la législation avaient construit depuis très longtemps. »